Je donne un avis personnelle parce que j'aime la poésie, ça n'engage que moi et ça n'est pas une attaque personnelle (je préfère prévenir puisqu'ici je n'est pas du tout encore croisé ce type de critique...)
Gérard de l'Extrême : en poésie on peu ne pas respecté de règle et donc ne pas mettre de majuscule en début de vers... ce qui me gène plus c'est le coté non systématique, soit on met des majuscules, soit pas (dotant qu'ici ça accentue quelque chose d'existant... en bref : ça n'apporte rien celons moi, ni à la forme ni au sens...)
- Citation :
- Portrait de la ville
Je n'aime déjà pas trop le titre... la ville ? une ville ? je ne sais pas mais c'est pas un portais d'une ville particulière, c'est assez universelle comme description... "Portrait de ville" reste ouvert et me semble un peu moins lourd...
Dans l'ensemble le rythme se tiens bien, des vers un peu long (le troisième notamment).
"mémoire du temps"
C'est assez jolie mais... ça donne l'impression de déjà vu, déjà utilisé...
"les scènes du quotidien de ma ville"
des ? les ? je pencherai pour des... impersonnel scènes... multiples
"des malheureuse prostituées sans amour"
bon, là ça me plais pas trop parce que c'est joué sur des cliché... malheurs, prostituée, sans amour...
"aux gais poètes ivrognes"
Ici, c'est trop cours par rapport au vers d'avant et ivrogne me semble pas bien trouvé, c'est un mot... qui fait une chute... mais qui ne parle pas... je ne sais pas comment le dire... ici tu condense alors qu'au dessus tu développe ton phrasé aussi...
"Dans la rue la vision c' est routinière"
je ne comprend pas ce vers ci... "la vision est routinière ?" la vision routinière ? cette vision est routinière ?
"il y a tristesse et mécontentement
ils ne parlent pas de la paix
le portrait de la violence
estampée dans les journaux"
Il/Ils : on passe d'une chose à l'autre, c'est un peu maladroit je pense...
"Ils ne parlent pas de la paix" j'aurai supprimé "la" parce que c'est beaucoup plus fort sans...
estampée est presque trop jolie pour ce dont tu parle...
"le portrait de la violence" est un beau vers mais isoler, notamment parce que ton poème n'est absolument pas violent...
"les enfants abandonnées
le vieillard aussi abandonné"
Aussi... c'est lourd... les/le...
"Aujourd'hui l'abandon
c'est le mot à la mode"
et la fin... c'est un peu une non fin... l'abandon oui, mais on ne la pas ressentis, on la pas entre aperçus...
En fait ton fond n'est pas porter suffisamment par la forme... on est dans un poème libre, tu peu osé plus... plus de violence, plus d'abandon, on ne ressent pas... on a juste une ville douce, une mélancolie à peine ébauché...
J'aime les villes, ton texte est doux, celons moi... il manque un peu son but...