La lune, encore cette lune

Elle était sur le pont, face a la lune, qui ce situait mi chemin entre le ciel et l'eau du cour d'eau noir charbon, qui déposait un doux bruit d'eau a ses oreilles. La, a mi chemin entre l'eau et le ciel, ce dessinait le reflet de cette lune, ronde et plaine, sur celle-ci une silhouette de femme, la sienne, ondulée par l'eau, noircie par la nuit, elle contempla quelques instants cette leur dans l'eau et pris une grand inspiration, l'air était frais, humide et emplis d'un odeur familière et pourtant si étrangère à la fois ...

Un bruit, au loin, l’arrachât a ses pensées les plus tendre, il fallait courir, pourquoi ? Vers où ? Elle ne le savait pas mais le plus loin possible de cet endroit si magnifique et dangereux a la fois. Elle se mit a courir si vite qu'elle pouvais sentir le vent frais de la mi nuit lui fouetter le visage.

Plusieurs coups de jambe plus tard elle fit un stop et elle pris, enfin, la décision de regarder derrière elle, le vide, le néant, la nuit, tout simplement. D'un côté le jour de l'autre la nuit, elle fuyait ce jour qui se levait, pour qu'elle raison ? Elle n'en savait rien, mais au fond d'elle elle sentait que c'était vital pour elle.
"Ce bruit, pourquoi ce bruit ?" ce dit-elle avant de reprendre sa course a plaine jambe sans réfléchir plus.

Arrivé a set hôtel sombre et lugubre, elle s'arrêta nette, prit une grande inspiration
"c'est la, je le sens" pensa t-elle, sans savoir pourquoi. Elle entra dans le hall de l'hôtel et la ...

- Isis, que fais-tu dehors a cette heure-ci ? retentit une voix, calme, posée et rauque
- Je ... Pardon, où suis-je ?
- Encore ton amnésie, chaque jour c'est la même histoire qui ce répète.
- Comment ça ? Qui êtes-vous, je ne vous vois pas.
- Isis, je suis ton créateur, ton sauveur, je préfère.
- Mon créateur ? Mon sauveur ?
L'homme s'approcha d'elle, a la faible lueur d'une lampe a huile elle pu voir des trait d'homme jeune, pâle et emplit de charme.
- Je suis Mad, je t'ai sauvé la vie il y a maintenant 3 mois.
- Je ne me souviens de rien, Mad.
- Evidemment, chaque soir tu retourne a cet endroit, comme s tu y attendais quelque chose.
Elle ne comprenait rien de ce que cet homme pouvait lui dire. À présent elle se sentait si faible que tout paressait flou autour d'elle. Elle regarda l'homme et tomba sur le canapé à côté d'elle.
- Tu en oublie même de te nourrir jeune fille !
- Me quoi ?
- Isis, il y a 3 mois de cela je t'ai trouvée entre la vie et la mort sur ce pont, je t'ai donné la vie éternelle car j'ai senti en toi un potentiel inuit, mais je pense m'être tromper. Depuis ce jours tu ne fais qu'amnésie sur amnésie et tu manque de mourir chaque matin.
Tout devint, soudainement, plus clair dans son esprit, ce pont, ce bruit, cette lune ...

Il y a 3 mois de cela, elle attendait l'être qui lui était le plus chers, pour fuir sa famille tortionnaire et a cheval sur les principes, sauf que cette nuit là, sa petite protégé de soeur, et surtout jalouse, la dénoncée a son père, qui n'a nullement hésité. Il l'a suivit, lui à crier tellement fort dessus que ses oreilles en souffrent encore aujourd'hui. Elle se souvient d'une masse lourde qui se soulève au dessus de sa tête a plusieurs reprise avec ces mots "tu es la honte de la famille ISABELLE" et puis plus rien, le noir.

- Je suis morte ?
- Plus maintenant...
Elle vit briller deux petite dents pointue et d'un blanc, indescriptible, dans la bouche de ce "Mad". Elle passa sa main dans sa bouche et ...
- Aie ...
- La vie éternelle a un prix, ma chère.

Lourd prix a payer, pour avoir décider d'aimer contre la volonté...

Oh ton texte est trop chou!!! 

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Je peux quand même te conseiller de relire ton texte avec plus d'attention, par exemple ici: Elle regarda l'homme et tomba sur le canapé à côté d'elle. 
Tu confonds aussi souvent les "ce" et les "se".

J'aime bien le concept, ton texte se lit comme une nouvelle. Il est très court mais il ouvre la porte à tout un imaginaire. Est-ce que tu écris beaucoup de textes de ce genre?

Eau claire de la lune
Je m' y abreuverai
Par les vents de la dune
Je m' y protégerai
Des grands froids sidéral
Aux parfums boréales
Enivrante obsession
D' auto disloquation
Profondeur du coeur
Coule une liqueur
Un élixir de bonheur
Elle se bois sans modérateur
Juste une douce saveur
Qui se pique jusqu'à l' envie
De prendre le contrôle de sa vie
Alors s' ouvre la grande porte
Va de l' avant et nous emporte
Ô face cachée de la lune
Y découvrir ta fortune!..