Zoé et le leprechaun

Voila le resumé de mon histoire qui relate celle de Zoé une adolescente de 17 ans qui demenage en Ecosse avec sa mere car celle ci a un nouveau travail.
Le pere de Zoé est décédé et celui ci lui manque beaucoup.
Zoé est boulotte, timide, pas tres jolie, garçon manqué, tres reveuse et solitaire.
Arrivée a son nouveau lycée, l'adolescente desespere de se faire des amis elle devient rapidement le souffre-douleur de Julie la fille la plus canon et la plus populaire du lycée de son petit ami Bill et de la bandes de filles et de garçons top branchés qu'ils commandent, bref Zoé est le vilain petit canard .
Un jour, a la sortie de l'ecole ils la poursuivent pour se moquer d'elle et l'humiliée comme a leur habitude, et elle se cache dans le buisson d'une foret, la elle y rencontre un leprechaun Elgeor qui, voyant la situation de Zoé l'aidera a sortir de la foret par un chemin de secour.Zoé et Elgeor sympathiseront sur le chemin et au fil des jours elle continuera a le voir et Elgeor deviendra le meilleur ami de Zoé.
Celui ci lui proposera de l'aider a gardé le tresor caché des leprechaun dont il est le gardien et Zoé accepte mais deux scientifiques sans scrupules finissent par capturer Elgeor pour le forcer a révéler ou est caché le tresor des leprechaun.

" la fille la plus canon et la plus populaire du lycé"
C'est marrant, dans tout les filme dans un lycée y a une personne comme sa, mais pourtant dans le mien y en a pas...

Sinon, sa m'a tout l'air d'une histoire de teen-fantastic (j'adore ce mot) plutot banal et je vais etre franc, je deteste ce genre la (le teen-fantastic) mais sa ne tient qu'a moi

oui mais dans celui la yen a une

Tu aurais dû poster ce morceau dans synopsis, Ciboulina, mais cela ne fait rien, un modérateur le déplacera là-bas.


Comme l'a dit Tekmerak, l'histoire n'est pas très originale, avec des stéréotypes et des situations déjà vues. Il faudra que tu traites le sujet avec prudence, en le présentant sous une forme un peu extraordinaire pour te démarquer du lot, que ce soit sur le fond (là, nous n'avons qu'un résumé donc il se pourrait que l'histoire soit plus profonde que ce qu'elle ne paraît) ou sur la forme.

Tu as peut-être un premier chapitre à nous proposer ? ::rolling::

Le printemps est arrivé et le ciel est d'un bleu magnifique.
Je suis installée dans la voiture a coté de ma mere qui conduit.
Nous roulons depuis 9 heure du matin car nous demenageons en Ecosse definitivement parce que ma mere a trouvé un nouveau travail: elle est devenue professeur dans un college!
Moi je m'apelle Zoé , jai 17 ans et je suis un peu garçon manqué.
Je n'ai pas d'amis je suis tres solitaire
- maman on arrive quand demandais je vermoulue
- bientot Zoé mais ne me distrait pas je conduis
- maman je peut ouvrir la fenetre ? il fait chaud dans cette voiture
- oui tu peut et j'approuve il fait vraiment chaud
je suis exténuée et soulagée, voila bien des heures que nous roulon.
Nous arrivons bientot a notre demeure , une grande maison au toit en ardoise et aux murs crepis.
Ma foi sa a l'air super.
Ma mere arrete la voiture devant, et me dit:
-si tu veut tu peut visiter la maison pendant que je donne a boire aux déménageur et ensuite sort tes affaires et range les dans ta nouvelle chanbre
Je visite la maison qui comportait les chambres a l'etage , la salle de bain, la salle a manger , le salon, la cuisine, le garage je trouve cette maison tres belle mais vraiment tres grande pour toute les deux.
Comme la chambre de ma mere et la mienne sont a l'etage , je grimpais les escaliers en tirant mes valises difficilement car elles été vraiment lourdes et arrivée a l'etage je soufflé.
Les déménageurs, avant notre arrivée avait deja meublé les chambres et la cuisine quand on est arrivées ils attaquait le salon donc javais les etageres l'armoire le lit etc.
Je rangeai mes livres sur les rayons , mes vetements dans l'armoire.
Mes hauts je les trouve aux rayons garçons mais mes jeans chez les filles.
Ayant fini le rangement de ma chanbre, je descendit les escaliers pour voir ou le déménagement en était, et je vis ma mere dans la cuisine en train de bavarder avec les déménageurs qui s'offrait une petite pause:
- Zoé je t'est inscrite dans la meilleure ecole de la ville tu y rentrera Mardi
- oui maman dis je melancoliquement
Je ne sais pas pourquoi mais je pensais a mon pere, décédé quand javais 13 ans dans notre ancienne ville ou on l'avait entérré dans le cimetiere, la seule chose de mon ancienne ville qui me manque c'est de plus allez sur sa tombe lui porté des fleurs, mais ce qui me manque encore plus c'est sa presence , car j'etais tres complice avec mon pere et depuis son décès je me sent bien seule.
Ma mere qui a deviner mes pensées me dit tristement:
- nous n'avions pas le choix de déménager Zoé , moi aussi sa me rend malheureuse de plus allez rendre visite a la tombe de ton pere, mais mon nouveau travail l'exigeait serieusement
- il n'empeche qu'il me manque maman dis je
- a moi aussi il me manque Zoé
Je la vis sur le point de pleurer en repensant a lui puis elle se reprit dignement en voyant les déménageurs l'observer avec un air de compassion ( maman deteste qu'on compatie a son chagrin) et me demanda:
-cet apres midi tu visitera la ville?
- oui
- sa t'occupera un peu moi je peindrais le garage pendant ce temps
Et je reparti dans ma chambre, attrapais un de mes livres m'asseyais par terre et commença la lecture.


ps: c'est la premiere fois de ma vie que j'invente une histoire

"Nous roulons depuis 9 heure du matin car nous demenageons en Ecosse definitivement car ma mere a trouvé un nouveau travail: elle est devenue professeur dans un college!"
Deux fois "car" sa fait beaucoup

"demandais je" un tiret au millieu ? (je suis pas sur)

"maman on arrive quand demandais je vermoulue"
maman on arrive quand ? Demandais-je"

"bientot Zoé mais ne me distrait pas je conduis"
bientot Zoé, mais ne me distrait pas, je conduis

"tres belle et vraiment tres grande pour toute les deux" la maison est trop belle pour toute les deux ? (remplace ton et par un mais)

Il y a un melange de temps passé present, faut choisir

Je vais pas te dire toute tes fautes d'ortaugraphes, de grammaire et de ponctuation, mais il y en a pas mal (en fait il y en a meme beaucoup)


Bref, sinon pour le style ba un certain nombre de maladresse, mais c'est comme tous sa ce travaille

Bon...Je suis embêté? parceque habituellement je suis plutôt franc et là j'ai pas envie d'être méchant.

C'est courageurx d'inventer une histoire. Tu te lances dans cette aventure, et cela est tout à ton honneur.

Mais, l'histoire que tu crées est d'un autre temps. Celui des années 80 principalement. Puis elle a été exploitée à outrance, que cela soit d'un point de vue littéraire ou cinématographique.

Bref, j'ai peur que ton histoire ne passionne pas les foules.

Ensuite, sur ton extrait en lui même...Que de fautes! Je ne fais pas attention à cela habituellement, mais là, c'est trop. Plus d'une faute à chaque phrase. Cela devient illisible.

Alors deux conseils. 1 Corrige tes fautes.
2 Vois ce que tu peux faire pour rendre ton histoire différente des autres.

Bon courage.

J'ai été bien gentil pour une fois. Que m'arrive t'il?

D'accord avec les visiteurs précédents, mais si c'est une première, bravo. Tu as beaucoup de travail, certes, mais corrige et persiste.

Tout d'abord, vu que c'est ton premier texte, je ne peux que te féliciter de t'être lancé dans l'écriture !
J'espère que tu prendras beaucoup de plaisir, comme nous tous ici. Et pour cela, je t'encourage vivement à poursuivre.

Alors, concernant ton texte, comme l'ont dit mes camarades, il n'y a pas mal de choses à rectifier, mais ça ne fait rien, l'important était de commencer. Maintenant, il va falloir faire ce que nous faisons tous : travailler le style. Ca prend du temps, mais en persévérant, on progresse toujours, et on s'améliore forcément.

Cela commence par l'orthographe et la ponctuation. L'orthographe se travaille en lisant, en écrivant, et en corrigeant les textes des autres. Il y a quelques exercices (un peu difficiles) sur l'atelier, tu peux t'y essayer. Ce qui m'a le plus ennuyé dans ton texte, c'est l'oubli des accents, entre autres.
Pour la ponctuation, c'est pareil. En lisant des bouquins, tu peux voir qu'il y a des codes, par exemple pour les dialogues. Les tiens n'ont absolument aucune ponctuation (pas même de majuscule !), ce n'est pas facile de les lire.

Tout en essayant de maîtriser l'orthographe et la ponctuation, il faut ensuite tenter de maîtriser les tournures et la complexité des phrases.
Adjectifs et adverbes sont des outils performants pour cela ; l'expérience te donnera ensuite plus d'assurance et d'aisance quant à leur emploi. De ce côté-là, tu as su te débrouiller, je trouve ; quelques phrases sont parfois un peu naïves (trop simples), mais ça se corrigera.

Enfin, il y a le fond, c'est-à-dire l'histoire même, son contenu, sa profondeur, et surtout, il y a la façon dont tu l'amènes. Là, les conseils sont infinis... Tu en trouveras quelques-uns dans la rubrique "cours spécifiques" de "atelier d'écriture". Comment rendre un récit intéressant ? Comment susciter la curiosité ? Comment paraître crédible ? Qu'est-ce qu'il est inutile de raconter ? Qu'est-ce qu'il est crucial de dire ? ou ne pas dire, mais sous-entendre ?
Tout cela vient encore une fois, je pense, avec l'expérience. Lire beaucoup est un excellent moyen, mais il faut aussi "lire avec attention", c'est-à-dire tenter d'analyser tes lectures. Quand tu finis un chapitre d'un livre et que tu as pris du plaisir, reprends le chapitre en question et essaie de voir ce qui t'a plu, pourquoi, comment l'auteur a écrit, quel est ton passage préféré, comment il est amené. Tu dégageras des schémas, tu trouveras des astuces, et tu les mettras toi-même ensuite en application, avec ton propre style.

Voilà pour tous mes conseils du moment... Je suis moi-même écrivain en herbe, alors je ne jurerai pas de l'exactitude et la pertinence de mon avis ; mais comme je n'en suis pas à mon premier texte, je me suis permis de tenter de t'aider.

Tu as tous mes encouragements pour poursuivre.

Le dimanche et le lundi passerent tres vite et tres bientot le mardi arriva: le jour de mon entrée dans mon nouveau lycée.
Je marchais et, arrivée devant je fus intimidée devant la grandeur du batiment.
Mes cours se passerent tres bien jusqu'a la sonnerie de 10 heure, ou solitaire je m'assit sur un banc et regardais les élèves.
Je vis soudain ceux qui été devant moi reculer, effarés, pour laisser place a une bande guidée par une fille au physique ravageur , elle été tres maquillée ses ongles bien manucurés, elle tenait dans sa main le tout nouveau portable a la mode que javais vu a la pub elle portais un slim et un tee shirt tres court quand au garçon il été vetu d'un baggy d'un tee shirt moulant de mec de nombreuses chaine été attachés a son cou il avait beaucoups de bagues a ses doigts et il avait un piercing a l'arcade sourciliere:
- salut godzilla se presenta la fille je mapelle Julie je suis egalement chef de cette bande et voici Bill dit elle en me presentant le garçon habillé classe et tous les autres de notre bande dit elle en presentant les autres ados voici Sophie, Stephanie, Matthias, Antoine,Steven,Xavier,Marie,Delphine,Cindy, Ophelie et Lea t'est nouvelle godzilla?
Sur ce, elle sortit une cigarette de sa poche et se mit a la fumé.
Bill se mit alors a rire et me dit:
- sa va godzilla?
- quand on connai ..... on juge... me mis je a bagayé a cause de ma timidité
- désolé la grosse mais je connais pas cette chanson
- moi non plus s'exclama Julie jai envie de te rouler une pelle bébé
- moi aussi t'est trop sexy baby
Et ils se roulerent effectivement une pelle devant moi , et quand ils eurent finis , je m'etais levée , prete a partir parce que j'en avais marre mais ils me suivirent :
- pourquoi t'est grosse ? pourquoi t'est moche? pourquoi t'a un gros cul? pourquoi t'a l'air d'une triso? me demanda Lea en pouffant de rire
je repris un peu mon courage pour dire d'un ton glacial :
- quand on connait pas on juge pas les autres
Julie, Bill et la bande eclaterent de rire et Julie me dit:
- mais jai tres envie de te connaitre godzilla
et Bill et toute la bande hurlerent de rire.
Malheureusement mes jeans été grands et je devais les remonter souvent, j'en oubliais cette fois de le remonter et Lea pouffa en me montrant du doigt:
-tu t'est chier dessus? tu connais les panpers? t'en met au moins?
J'accelerais le pas pour les distancer , mais ils prirent mon allure et Matthias ricana:
-t'a mal a ton gros cul ou quoi? t'a le feu au fesse?
Ce a quoi Julie la sexy proposa:
eh,Bill,Sophie,Stephanie,Matthias,Antoine,Steven,Xavier,Marie,Delphine,cindy,Ophelie,Lea 20 point si vous lui donnez des coups de pied dans son enorme cul droite 30 dans son gros cul gauche
Et ils passerent un bon moment a me labouré les fesses de coups de pied douloureux car Ophelie ,Lea, Marie et Delphine avait des talons hauts.
Ce petit jeu fini , ils rire enormement puis ils reprenerent leur souffle.
Puis Cindy qui avait repris son souffle me dit:
-non serieux z'y vas pourquoi t'est vilaine?
Heureusement la sonnerie me sauva d'une autre humiliation , car le temps qu'a durer ce manege, les autres élèves s'etait moquer de moi.
La bande de Julie la sexy prirent leurs sac et ils me jeterent un regard enpli de mechanceté rieuse et Julie me dit
- tchao a + sandwich je sens que sa va etre trop delire avec toi
- ouais trop clair approuva Bill
Et il embrassa sa belle et Julie lui et la bande me laisserent seule, désenparée, puis je parti moi aussi a mon cour qui été celui de math.

Que de fautes!!!

Tu n'avais pas commencé la première partie de ton texte au présent?

Sinon...Ben...Euh...Rien de terrible là, non?

A bientôt 17 ans, si mes souvenirs sont bons, je me serais attendu à un peu plus de maturité dans l'écriture. Cela reste trés adolescent tout cela.

Reste à voir comment tout cela va évoluer, mais bon...

Allez courage.

Sombretoile, je croyais que tu voulais pas etre mechant

Ba heu... deja toujours plein de faute, presque pas de ponctuation, c'est pourtant pas bien compliqué (enfin la ponctuation du moin)

bref, sinon le style ba je le trouve un peu plus maladrois et immature que le chap precedent

l'histoire ba... comme le style : maladrois et immature (sa fait deplacé quand je dit sa), mais avec du travail sa peut s'aranger.

Bonne chance pour la suite

les jours on passé maintenant ça fait une semaine que je suis arrivée a la ville et, cette fois ci la journée au lycée passa lentement, et je n'etait pas fachée d'entendre la derniere sonnerie qui me permettait de sortir de cour.
Il été 5 heure et c'etait la fin de l'apres midi.
ma mere travaille la matinée et toute l'apres midi jusqu'a 6 heure du soir elle n'est donc jamais la a midi, donc je suis inscrite au self mais je rentre a pied a 5 heure.
Je fit mon sac et sorti de Français.
Je m'apretais a franchir tranquillement le portail quand j'entendit soudain une voix que je connaissais que trop bien:
- eh gros mammouth attend nous
c'etait julie, bill et leur bande.
Depuis que je suis arrivée dans le lycée ils me font mener la vie dure, ils n'ont meme pas chercher a me connaitre, ils me font des croches pieds dans les couloirs ou quand je tonbe tous les eleves se meurent de rire , je retrouve souvent mon sac de sport dans les douches du gymnase et je passe toute les humiliations qu'ils me font subir car sa ferait un roman.
- eh godzilla permet qu'on te raccompagne chez toi ? me demanda Julie un sourire hypocrite sur sa bouche pleine de rouge a levre.
Elle et Bill me prirent mon sac par la anse.
J'entendais les autres de la bande qui les accompagnait ricaner moqueusement
Je me degageais violement, et me mit a courir.
- ou tu va godzilla? ricana Bill
Et julie, lui et toute la bande se mirent a courir a mes trousses.
Je suis pas une chanpionne en course mais pour eviter une nouvelle humiliation devant le lycée et les eleves je suis prete a tout.
Ma course me mena alors devant un chemin caillouteux que je suivie et qui mena dans une foret , c'etais la plus grande que jai jamais vu.
Mais Julie ,son cheri et la bande me suivait bien , ils été juste derriere moi et , arrivée a la clairiere de la foret, je prit de l'avance sur eux et me depechais de me planquer derriere un gros buisson touffu.
Je les entendis arriver tres vite car malgré le fait que j'etais en avance sa ne les a pas enpecher de me suivre a la trace.
-ou tu te planque la grosse ? ria meprisament Julie
- ou tu te cache allez montre toi enorme mammouth dit Bill le sourire meprisant aux levres
Dans mon buisson, je me rapettissais un petit peu plus pour pas qu'ils me voit, puis soudain a coté de moi jentendis une voix:
-eh gamine qu'est ce que tu fais ici?
Je me retourne discretement sans faire de bruit pour pas me faire entendre et je vois un leprechaun!
Il été comme tout les leprechaun , petit , sec, se yeux refletait la mefiance, il avait sur la tete un tricorne noire, un mouchoir depassant de sa poche, jaquette jaune orné de boutons de cuivre culotte et bas bleus, ses chaussures portait des boucles d'argent.
Il me regardait d'un air plutot mefiant.
Etant une grande reveuse je suis une passionée de creatures fantastiques et par tout ce qui touche aux legendes etc.
j'etais un peu effrayée par la bande que j'entendais fouiller chaque buisson de la clairiere en mapelant heureusement elle été grande et par le leprechaun qui se tenait a coté de moi,
- que fais tu ici? me redemanda le leprechaun
- je me cache chuchotais je en trenblant de peur
et je lui montrais d'un doigt trenblant a travers un petit trou dans le buisson Julie Bill et les autres qui fouillait les environs a ma recherche.
Il les regarda et avait l'air de comprendre la situation car tout en les regardant la mefiance disparut de ses yeux et une lueur de ruse apparut dans ses prunelles et il me demanda:
-ils veulent t'humiliée n'est ce pas?
moi je tremblais toujours de peur a sa vue car je sais que les leprechaun sont dotés de pouvoirs et qu'ils sont tres rusés , et en me voyant apeurée il me dit d'une voix douce:
- je ne vais pas te faire de mal tu n'a rien a craindre de moi, je vais te faire sortir de la sans qu'ils s'en aperçoivent, allez viens.
Un peu rassurée, je voulus me mettre debout, mais il me conseilla:
- tu ferais mieux de rampée, si tu te met debout ils te verront
J'obeis, et le suivit et vit un chemin derriere le buisson.
Dans ma peur je n'avais pas remarquée le chemin qui s'etendait derriere le buisson, un chemin si discret que personne ne se rendait compte qu'il existait c'etait en quelque sorte un chemin de " secours".
Je rampais pendant une bonne partie du chemin derriere le leprechaun , jusqu'a ce qu'il m'amena hors de la vue de Julie, Bill et les autres.
Je put me relevée.
-Comment tu t'appelle? me demanda t'il
-Zoé Duplan et toi?
- Elgeor
-enchantée de te connaitre Elgeor
- moi de meme Zoé
Et je lui racontais ma venue ici le demenagement avec ma mère , comment la bande a Julie et a Bill m'avait prise en tete de turc au lycée.
Il m'ecouta attentivement et a la fin de mon histoire commenta:
- ton recit est tres interressant , mais dis moi tu n'a pas de papa?
A cette question , ma george se serra, et a la pensée de mon père mort au souvenir de son visage quand je parlait de lui je pleurais toujours
- il est mort dis je de grosses larmes chaudes coulant sur mes joues
A chaque fois que je parle de lui jai du mal a contenir mes pleurs, je n'est jamais reussi a faire mon deuil de lui en faites!
- je suis désolé me dit Elgeor mais tu sais les gens qu'on aime ne meurt jamais dans le fond
Il posa sa main sur ma jambe et me la pressa pour me consoler, ça me remonta un peu le moral
- merci dis je en m'essuyant les yeux
Et l'on discuta ainsi jusqu'a ce que je reconnut le chemin caillouteux par ou je suis passée pour fuir la bande il mene de ma nouvelle ville a la foret , je voyais les immeubles et les maisons .
- merci de m'avoir aidée a sortir au nez et a la barbe de Julie, son cheri et leur bande, je te dois enormement, est ce qu'on se reverra?
- bien sur qu'on se reverra dit joyeusement Elgeor
- tu veut que je te donne mon adresse ?
- non merci demain soir je te rendrais une petite visite je saurais trouver la ou tu habite
-d'accord mais fais le en catimini de ma mère s'il te plait
- ne t'en fais pas je serais discret dit il en souriant
- alors a demain Elgeor et encore merci pour tout a l'heure
- a demain Zoé
Et il disparut aussi vie qu'il été apparu dans le buisson.
J'arrivais chez moi sans encombre cette fois et en pensant a la tete de la bande dans la foret je ne put me retenir de rire.
Je pensais aussi a Elgeor avec qui jai sympathisé, maintenant je me suis fait un nouvel ami et un leprechaun en plus , moi qui pensait que jamais dans ma vie je n'aurais de copains.

J'ai lu toute ton histoire.
Comme l'on dit certains c'est c'est du rabaché depuis 15 ans, mais peux-tu trouver des originalités qui feront de ton texte quelque chose d'interressant.
Je te pousserai à poursuivre.

Mais il faut absolument que tu règles ton problème de fautes d'orthographes ( plus de 120 fautes dans ton dernier post)
Utilise un correcteur ou à défaut un bon dico et un becherel.
Allez, un effort et courage

Le lendemain je revint a l'ecole, la bande a Julie et Bill dès mon arrivée me sauta dessus comme a l'accoutumée en se moquant de moi a croire que m'ètre echappée hier ne leur servit pas de leçon mais, pensant a Elgeor qui viendrai me rendre visite ce soir et cette pensée me redonna courage et je les regardai froidement avant de rentrer en cour de français.
Vers 3 heure le temps commença de changer, des gros nuages violacets arrivait dans le ciel et sa n'annoncait rien de beau.
En classe je n'ecoutais rien et a la récréation je dut encore subir les moqueries de la bande des deux amoureux.
Et vers 5 heure il eue un événement que je n'avais pas prevu.
Nous etions en classe , en français quand soudain on a entendu de l'orage grondait et , soudain il fit aussi noir que si c'etait la nuit puis la pluie se mit a tombée, de plus en plus forte jusqu'a devenir de la pluie diluvienne.
on entendit hurler en bas:
- y'a deux centimètre d'eau dans la cour
Nous quittames nos chaises pour aller a la fenetre et voir la cour transformée en rivière.
La professeure , croyant a une blague nous fit rassoir:
- eh il faut finir vos exercices
- jai pas envie de mourir noyé s'exclama un élève, je me barre
Et le reste de la classe suivit
je suivit moi aussi le mouvement et ce fut pour voir l'eau rentrée dans les couloirs de l'ecole.
Partout c'etait la panique, les élèves hurlait de partout.
Les cours etant interrompu a cause de l'inondation, ma classe et moi sortimes de la salle pour marcher difficilement dans l'eau pleine de boue qui nous arrivait jusqu'au genoux, et on partit se refugier a l'etage.
Moi dans tout ça , je pensai a ma mère et a Elgeor et m'inquietais pour eux deux , Elgeor d'apres ce que j'en ai deduit de ma première rencontre avec lui hier est malin mais petit , l'inondation l'emporterait comme fetu de paille et ma mère qui travaillait dans son ecole, elle aussi devait etre inondée.
Ma mère avait un portable, moi aussi j'en avait un mais c'etait pas pour faire ma belle avec comme julie fesait avec le sien, moi j'en avait un très simple et il me contentée bien.
J'appelais ma mère , par chance elle me repondit :
- je ne peut pas aller te chercher Zoé, je suis moi aussi coincée dans mon etablissement par cette inondation et cette tempete, mais les bus vont arrivés avec du retard , t'a ta carte de bus?
- oui elle est dans mon sac
je precise que jai aussi une carte de bus car des fois meme si j'habite a coté je prend le bus
- tu te changera quand tu rentrera tu doit etre pleine de boue et trempée comme une soupe , je te donnerai ton pyjama tu sera plus a l'aise que dans des vètements mouillés
Et elle racrocha.
Il est vrai que j'etais vraiment trempe jusqu'au os.
Au bout de deux heure qui me parurent une eternité, une élève de la classe regarda par la fenetre et s'exclama:
-les bus sont arrivés
Rejouie je courut ouvrir la porte mais une fille me l'interdit :
- si tu l'ouvre sa va rentré
- et alors? on vas pas resté ici jusqu'a 10 heure du soir s'exclama une autre fille
Et nous revoila , barbotant dans l'eau , en direction des arrets de bus.
Soudain je senti un poid dans la poche de mon anorak et, ouvrant la poche, je vis Elgeor mais il été tout mouillé lui aussi
- Elgeor criai je pleine de joie et de soulagement tu est sain et sauf, oh que je suis heureuse de te voir.
- je suis moi aussi content de te revoir , pardonne moi je suis venu plus tot , cette inondation a failli m'emporter au loin grogna t'il et il se rassit dans ma poche tandis que je fermais la fermeture eclair de mon anorak trempé
Avec Elgeor dans ma poche je ne me sentait plus seule, je sais les leprechauns doués de pouvoirs magiques il a dut utiliser sa magie pour apparaitre dans ma poche , et je me hatai avec les autres élèves de montée dans le car , vite vite!!
La porte du bus aussitot fermée, je m'assit sur le dernier strapontin et put enfin respirée , que de peur !!!
L'autocar avait beaucoup de difficulté a roulé a cause de l'eau , yen avait 2 centimentres dans les rues , et je vis meme une voiture engloutie sous les eaux , j'espere qu'il n'y a personne dedans!!!
j'arrivais a un des arrets de bus de la ville, et les élèves se hatèrent de descendre , je fis de mème et ce fut pour voir ma mère , qui avait reussi a s'echapper de l'inondation de son travail:
-comment tu a fais pour venir me chercher ?
- nous avons appeler les pompiers qui sont venus aspirer l'eau de l'ecole et nous avons pu sortir.
Je montais dans la voiture et, pour me donner du courage , je tatais la poche de mon anorak ou il y avait Elgeor.
Arrivées a la maison, ma mère s'empressa de me donner mon pyjama et je me changeai car j'etais pas a l'aise dans ces habits mouillés et mes baskets été devenus des bateaux, puis elle fit a manger, du vite fait elle me prepara un hot dog et je mangeai comme quatre.
Je fis sortir Elgeor de la poche de mon anorak qui été posé sur la chaise de mon bureau et celui ci parti s'asseoir sur une etagère de la bibliothèque de ma chanbre.
Je m'enpressais de prendre le sechoir a la salle de bain pour le secher.
Apres quoi il me dit:
- ta chambre est magnifique Zoé tu sais
- merci
Sur ma table de chevet j'avais une photo de mon père et le leprechaun la prit et la regarda longuement avant de dire:
- c'est ton père n'est ce pas?
- oui c'est mon père dis je la gorge soudain nouée par une emotion tres forte
- il te ressemble beaucoup vous avez les meme yeux, la meme couleur de cheuveux.
De grosses larmes coulèrent sur mes joues aux paroles de Elgeor.
Le leprechaun, voyant mes larmes, sauta sur mon epaule droite me tapota la joue et se mit a dire, d'un ton faussement grincheux:
- allons tu ne vas pas te mettre a pleurer que t'ai je dit hier? les etres que l'on aime ne meurent jamais au fond
Essuyant mes yeux, je lui dit :
- mais il me manque Seigneur Elgeor
- je le sais mon enfant mais dit toi que ton père est heureux la ou il est et que il y aura toujour un lien entre vous que meme la mort ne brisera pas.
Consolée, je hoche la tète , puis je fit un lit a Elgeor je le plaçai sur ma table de nuit , puis epuisée , je tend le bras pour fermer ma lampe de chevet et m'endormit d'un profond sommeil.