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 Les vacances impossibles dont vous rêvez

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MessageSujet: Les vacances impossibles dont vous rêvez   Les vacances impossibles dont vous rêvez Icon_minitimeLun 7 Sep 2009 - 14:40

La rentrée est déjà bien entamée et vous attendez déjà celles de la Toussaint? Alors racontez-nous vos vacances.... Un peu trop scolaire pour vous? Suspect

Très bien! Alors, imaginez que vous ayez passé des vacances inoubliables, à un tel point que vous n'ayez plus besoin de vacances pour plusieurs années. Imaginez que ca ait eu lieu cet été et racontez-nous çà. cheers

Bref faites-nous baver avec des vos vacances d'été. Des vacances qui nous font envie, mais que nous ne pourrons jamais vivre. sad
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MessageSujet: Re: Les vacances impossibles dont vous rêvez   Les vacances impossibles dont vous rêvez Icon_minitimeSam 12 Déc 2009 - 10:11

Mon pauvre celebar, il faut croire que les vacances ne font plus rêver ou que plus personne n'a assez d'imagination.

En réalité cela ressemble trop à ce que l'on demande aux enfants à la rentrée des classes et que ça rappelle de mauvais souvenir à certains.

Merci d'avoir tenter un exercice.
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MessageSujet: Re: Les vacances impossibles dont vous rêvez   Les vacances impossibles dont vous rêvez Icon_minitimeMar 15 Déc 2009 - 21:07

Effectivement, tu n'as pas eu beaucoup de succès avec cette proposition...
J'espère que cela ne t'empêchera pas d'en faire d'autres.

Perso j'avais commencé à gratter la dessus, car nous avons avec quelques amis un projet de vacances qui peut tourner mal et j'avais envie de le faire partager...mais j'ai du avoir peur Smile

Si j'y survis je raconterai notre voyage ici même devil
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MessageSujet: VACANCES EN PLUME   Les vacances impossibles dont vous rêvez Icon_minitimeMer 6 Jan 2010 - 11:50

[b]

Les fenêtres du voyageur
Devant moi, je découvre cette photo représentant une fenêtre gigantesque et des mains fragiles agglutinées aux vitres cherchant désespérément l'ouverture vers l'autre monde.
L'image des nuages qui s'y reflète m'emporte au point de basculer dans mon enfance.
J'avais deux ans. Je venais juste d'apprendre à me tenir debout et comme tous les enfants de mon âge, je voulais découvrir de nouvelles sensations. Je me souviens de ce moment où j'avais traîné la petite chaise jaune en plastique jusqu'à la table pour me rapprocher le plus possible de la fenêtre. Ma curiosité, animée par le désir de découvrir ce qu'il se passait de l'autre côté allait être comblé. Souple, à l'époque, j'avais réussi à escalader sans difficulté.
Enfin !
J'admirai à mon tour ce que ma mère contemplait tous les matins en préparant le petit-déjeuner : un immense champ verdoyant garni de pissenlits. Suivant le rythme du vent, les brins d'herbes se balançaient de gauche à droite comme bercés par le temps.
Le ciel, ensoleillé, était teinté d'un bleu clair et des papillons colorés aussi beaux les uns que les autres faisaient la course.
La peur au ventre, j'étais redescendu aussi vite que j'étais monté lorsque j'entendis au loin les pas de ma mère dans le couloir qui se dirigeait vers la cuisine.
Depuis ce jour-là, à chaque fois que je ressens l'envie de m'évader je suis les conseils de mon grand père qui me disait : Ma petite fille, pour voyager, il faut une bonne fenêtre à sa portée.
Je suis curieuse de savoir pourquoi ce photographe a choisi de figer cet instant. Qui est cet enfant ? À quoi pense t'il ?
Le thème de l'exposition est l'exil. La galerie est entièrement habillée de photos aussi belles qu'énigmatiques. Chacune à son ombre, chacune a sa morale.
La plupart des visiteurs sont restés de longues minutes à s'imprégner de cette image. À mon tour, je m'assieds imaginant la vie de ses mains, de cet enfant perdu dans le vide.
Sans doute était-ce la fenêtre d'une personne terrorisée à l'idée de sortir, de s'évader ? Sans doute était-ce la fenêtre de mon ancien voisin, enfant, que j'ai connu il y a quelques années. Il n'est plus de notre monde.
Il passait ses journées à la fenêtre. Il est parti le jour où le docteur Limenstein est venu m'annoncer qu'il souffrait d'un complexe de survie.
Un complexe de survie ?!
Au début, je n'avais pas compris. J'étais la seule à m'être inquiété de le voir toujours seul, traînant avec le peu de force qui lui restait pour faire ses courses et monter les six étages.
Ses journées ?! Il les passait enfermé chez lui, à observer les allées venues des passants. Il sortait peu. Tout le monde m'avait dissuadé de le rencontrer :
- Attention ! Ce vieux croûton grabataire passe son temps à nous surveiller de son air absent. Il observe tous ceux qui passent devant l'immeuble comme s'il attendait quelque chose ou quelqu'un.
Dans l'après-midi, vers 18h00, il sortait son violon. Derrière sa porte close, il en jouait pendant une heure. C'était le seul moment de la journée où les voisins de palier prenaient le temps de s'arrêter, l'écouter jouer son état. Sa musique nous touchait tous, d'une douceur extrême nous arrêtions volontiers de travailler, de surveiller les œufs aux plats, de repasser les dernières chemises du linge fraîchement lavé…..pour se laisser aller à rêver, transporté par ses mélodies.
À la fin, la vie de l'immeuble reprenait son court.
Le jour où je décidai d'aller le voir, la concierge avait voulu m'en empêcher. Elle m'avait dit :
- Ema, tu es folle ! C'est un vieux con Eliaz Lévy. Ne va pas le voir. Tu te mettras tout le monde à dos.
Puis, elle m'avait claqué la porte au nez, voyant que je ne changerais pas d'avis.
Je n'ai pas été surprise de voir ce vieil homme me recevoir avec sympathie. J'étais venu avec une boîte pleine de chocolat que j'avais pris le soin d'acheter la vieille, et il fut ému de voir que quelqu'un pouvait lui apporter un peu de réconfort.
Avec le temps, on a appris à se connaître et lui à se livrer. Un soir, il m'ouvrit la porte de son histoire : rescapé de la Shoah, il avait perdu toute sa famille retrouvée cristallisée dans un four à Varsovie. Je comprenais mieux maintenant le fait qu'il aimait bien rester à la fenêtre. C'était sûrement pour profiter de sa liberté et voyager.
Un jour son esprit à quitter notre terre pour retrouver les siens.
Il est 19 heures 30. La galerie ne va pas tarder à fermer. J'aimerais laisser un mot à l'artiste qui a pris ces photos. Il n'a pas pu être présent au vernissage. Sa femme, m'a gentiment apporté le livre d'Or, mémoire des suggestions de chacun.
J'ai mis du temps à chercher mes mots pour finir par lui dire :
Monsieur Licoln
J'ai été très touché par votre exposition photo. Celle qui m'a bouleversé c'est la numéro 3 " fenêtre du plein dans le vide ". Elle ouvre sur un autre monde, réel ou imaginaire et séduit par son somptueux mélange de concret et d'abstrait : nuages en contraste aux mains par exemple...
J'ai pu grâce à vous m'évader sans limites
Bravo !
Ema
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MessageSujet: Re: Les vacances impossibles dont vous rêvez   Les vacances impossibles dont vous rêvez Icon_minitimeMer 6 Jan 2010 - 11:54

Autopsie de l'autre
de Amel Bakkar


Je ne sais plus exactement dans quelles conditions je suis partie, mais je suis bel et bien partie.
en ouvrant la fenêtre de chez moi.
De mes bijoux d'ancêtres, aux photos souvenirs jusqu'à la cuisine qui était encore le seul endroit où la création m'était possible, j'ai tout laissé.
J'ai cédé toutes ses années accumulées, tous ses comptes bancaires bien garnis qui ne demandaient qu'à profiter du temps qui leur restaient.
J'ai tout quitté, tout donné, tout délaissé.

Tout droit venu d'une planète qui m'était inconnu, UmoBong est venu me chercher, faisant le tour au passage de mon jardin à ma cuisine en passant par la fenêtre grande ouverte.
UmoBong appartient à cette peuplade avancée qui n'a pas besoin de penser pour agir. Il vient d'une communauté qui d'un claquement de doigt traverse des années lumières d'espace temps pour visiter nos civilisations.
Pour venir, il a choisi une de leur création intemporelle appelée générateur de temps ou plus communément connu chez nous comme « soucoupe volante ». Tout le monde connaît leur invention source d'inspirations pour de nombreux écrivains, réalisateurs, dessinateurs ou scientifiques.

C'était un 25 juin 2012 à 05h55. Un jour précis pour une heure précise.
Il s'était porté volontaire comme ceux qui se portent volontaire pour expérimenter la vie…un volontaire bien choisi que je pouvais observer comme une gourmandise, prête à tout dévorée. Des volontaires comme lui ? J'en ai connu plus d'un, en particulier mon meilleur ami qui a préféré le parachute à ses amis. Un jour, en pleine évasion, il en a payé le prix.

Ma mère, elle aussi, était une adepte du volontarisme. Elle donnait de sa personne, de son temps, distribuant sourires, bribes d'espoirs à souhait pour aider ses visages qu'elle ne connaissait pas. Elle donnait son cœur à des corps en transit. Elle donnait ses mots à des ombres, à des organes à fleur de peau.

Mon frère s'est lui aussi ouvert aux autres. Il a sacrifié sa propre personne pour aller dans la peau de l'autre, dans la peau de celui qu'il voulait être l'espace d'un instant. Un texte, un visage, une image, la caméra et hop le voilà se lançant corps et âme dans une nouvelle vie pour quelques jours ou quelques heures …le temps de figer son autre dans l'objectif.

Et, il y a eu Stéphanie Stendhal ma conseillère financière, Guy Cartouche mon meilleur ami spécialisé dans les redressements judiciaires, Laurent Wolf mon compagnon de vie et policier et Guy mon fils. Tous ont choisi d'être quelqu'un d'autre jusqu'au jour où l'image qu'ils reflétaient dans la glace ne leur plaisait plus. Rongés par la vie, ils ont fini par abandonner leur façade et apprendre à être eux-mêmes.




Moi ? J'ai passé ma vie à avoir peur de l'autre, des autres. J'ai passé mes journées à autopsier tous les mots, tous les souffles, tous les gestes, tous les regards, toutes les démarches qui se dessinent dans la rue. Je ne voulais surtout pas prendre le masque de l'autre, celui qu'on demande de porter en société.

Un tort, me disaient certains: « tu ne comprends pas que la vie c'est toi, c'est lui, c'est moi et que nos vies passent leur temps à se chercher dans le mensonge, l'envie et la vérité… »

J'ai lutté. J'ai résisté. Et, j'ai fini par me fermer comme une huître, comme une forteresse blindée à plein nez. Je me suis vu mourir à petit feu. Je n'avais plus personne, plus aucun ami autour de moi. Je me suis mis le feu toute seule, et, il s'est répandu aussi vite qu'un éclair.

Le feu ? Ne m'en parlez pas ! Mon père en a fait sa passion.
Enfant, disait-il, je m'amusais souvent à dompter le feu, parce que les autres en avaient peur, parce que les autres craignaient ses étincelles qui en une fraction de seconde dévastaient tout. Il a fini par faire la une des journaux avec une médaille de l'honneur qu'il n'a jamais eu l'occasion de porter.

Depuis cette fâcheuse journée, chaque année, le 28 juillet on évoque sur la grande place St Charles son courage, toutes ses grandes actions et toutes ses familles nombreuses qui auraient pu finir définitivement englouties.

Et toi, papa ? Que serais tu devenu si tu n'avais pas passé toute ta vie à te chercher dans le regard de l'autre ?
Et moi, qui serais je, si je n'avais pas vécu tout çà ?

Je ne serais peut être pas liée à ce fauteuil roulant, aujourd'hui.
Mathilde ne me dirais pas tous les jours que je peux progresser si je ne passais pas mon temps à dépenser le peu d'énergie qui me reste. Mathilde ne me dirais pas que si je continue de faire la course avec mes vieux camarades, elle sera contrainte et forcé d'en référer au médecin chef, parce que les fauteuils roulants çà coûte cher…
Mathilde ne me dirais pas qu'elle en a assez. Mathilde ne serait pas Mathilde et ce serait tant mieux pour moi !

Eh, bien maintenant elle n'aura plus ce plaisir, parce qu'UmoBong est là.
Il me regarde. Ses yeux lagon bleu m'emportent en moins d'une seconde dans un cyclone de bonheur réveillant toutes mes envies, toutes mes folies comme un premier baiser au petit matin.
Il me voit, il sait qui je suis. Il me tend la main.
Un sourire aux lèvres, l'air serein, il propose que je ferme les yeux. Il dit que ce sera plus facile pour moi.

Il dit qu'il est venu me soulager, qu'il sait que je vais enfin devenir une autre, que mon autre m'attend déjà et qu'elle a hâte de me connaître. Chouette, j'aurais bientôt une nouvelle conscience et une nouvelle âme.
Je vais croiser des ondes radios imperceptibles à l'œil nu, entendre les vents orphelins, voir toutes ses vies sans attaches et tous ses corps éteints qui ont leur place dans l'autre monde.
Comme d'autres, je vais voir des choses que les autres ne voient pas. Comme d'autres, je vais murmurer à l'oreille de celles et ceux qui suivent mon chemin, les visiter pour nourrir leur curiosité.

Je vais retrouver l'âme que j'étais au tout début, à la naissance. Le parfum de la fragilité et de la pureté se souviendront et reviendront.

Je vais retrouver ma famille et oublier tout ce que j'ai vécu ici bas. Au fil du temps, je verrais des choses, j'apprendrais des choses.
Au fil du temps, j'attendrais toujours que quelqu'un m'attende quelque part. Jusqu'au jour où Umo Bong sera au rendez-vous.

Et, UmoBong est là. Il m'attend.

- « On y va ? , me dit-il
- C'est l'heure ? !
- Oui, Anna. C'est l'heure. »

Son générateur de temps s'active. Les portes s'ouvrent. Main dans la main, on franchit l'entrée. Les portes de l'ascenseur se referment et moi avec.


Shocked
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MessageSujet: Re: Les vacances impossibles dont vous rêvez   Les vacances impossibles dont vous rêvez Icon_minitimeMer 6 Jan 2010 - 14:13

WOW!!! Tu t'es lâché sur ce coup là. Tu m'a mis sur le c' . Merci pour ta contribution, tu est le premier et peut-être le seul. confused
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MessageSujet: Re: Les vacances impossibles dont vous rêvez   Les vacances impossibles dont vous rêvez Icon_minitimeJeu 15 Sep 2011 - 17:48

Je tenterai l'exercice plus tard, parce que mes vacances de rêves je les ai eu Very Happy
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MessageSujet: Re: Les vacances impossibles dont vous rêvez   Les vacances impossibles dont vous rêvez Icon_minitimeMar 4 Oct 2011 - 17:50

Bon comme promis je me lance, puisque j'ai eu un petit moment.

Cela fait des années et des années que j'en rêve. Partir dans mon pays de rêve. Pas un endroit où il fait trop chaud, moi qui ne supporte pas la chaleur. Pas forcément non plus un endroit où il y a la mer et la plage à porter de main...cela ne me fait pas rêver. Au contraire.
Mon pays de rêve peut être exotique mais proche, avec une autre culture, qui est pourtant proche de la notre.
Il me suffit de partir en Pologne pour ça. J'y pars et je décolle, je redeviens alors la personne que j'aurais dû être, mas qui reste caché au fond de moi, cette personne qui a peur des français. Cette personne se sent bien en Pologne.

Etant fan de foot, notamment en Pologne, je pars donc voir les clubs que je connais et que j'aime bien. J'en profite aussi pour visiter plusieurs villes : Katowice, Tychy, Chorzow... Puis je vais voir les clubs, les joueurs...dont quelques uns me connaissent, et viennent me voir, pour discuter un peu.

Et puis, la surprise du siècle, deux des joueurs qui repartent de l'entraînement habillés en gendarmes! Suis- je en train de rêver? A voir leurs grands sourires, je me dis que c'est bien réel... et je crois que je ne risque pas d'oublier ce moment!

Le moment fort, dont je me souviens qui n'était pas prévu...le petit passage par l'hôpital. Même ce moment restera épique. Quitte à découvrir un pays, autant le faire jusqu'au bout. Je découvre de nouvelles machines, qu'un hôpital n'est pas toujours qu'en un seul bâtiment, et que c'est vraiment dur de comprendre quelque chose à l'hôpital...même en France.

Mais des vacances, pour moi, ne serviraient à rien, si je n'apprenais pas quelque chose. Apprendre la langue du pays, visiter des tas d'endroits différents, découvrir les plats et la culture locale...autant de choses intéressante à faire et tellement mieux que de faire du farniente sur une plage à cramer au soleil. Un peu se prendre des coups de soleil aussi en Pologne. Il suffit qu'il fasse beau sans que la chaleur soit étouffante, et hop! Le tour est joué! Des beaux coups de soleil pour aller voir d'autres joueurs de foot le lendemain!

Et puis, le plus fort, c'est aussi des découvrir des personnes, de se faire de nouveaux amis, et d'avoir des complicités avec des personnes qu'on aurait jamais cru pouvoir avoir en temps normal..


Voilà mes vacances de rêves, mes vacances, pour lesquelles j'étais heureuse d'être en vacances, et où je ne regrettais pas de ne plus avoir cours.
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