"sans titre" malheuresement

Éric un jeune homme d'une vingtaine d'année qui fait sa crise d'adolescence alors qu'il est dans une nouvelle ville depuis quelques temps déjà, dans son illusion de toute puissance il va faire un mauvais choix ignorer quelques conseils avisés et sa vie va basculer.

En gros c'est ça l'histoire, un peu cul cul la praline, mais bon... Une maigre partie de cette histoire est ma vie, le reste n'est que pure fiction.

Premier vrai texte que j'écris, et donc premier que je partage : à vos claviers pour les critiques :



La confusion régnait dans la tête de Éric, installé devant son ordinateur, tenant, dans la main gauche le dossier qu'il avait reçu de l'école d'ingénieur où irait son meilleur ami, dans la main droite la souris qui lui permettait d'explorer le site de l'éducation nationale gérant les inscriptions en école d'ingénieur. Il ne comprenait pas pourquoi il venait de recevoir un dossier d'inscription alors qu'il était toujours en liste d'attente pour cette école. Confus, il décida de téléphoner à l'école, mais les quelques informations qu'il avait pu glaner grâce à la secrétaire ne l'avaient en rien aidé à mieux comprendre ce que cela signifiait et il se retrouvait donc toujours dans la même impasse avec pour seuls compagnons ses doutes. En effet ses parents ne comprenaient rien à ces inscriptions, Éric lui même avait du mal à s'y retrouver. « Décidément, quel bazar ces inscriptions » pensait il las. Il savait ce qu'il lui fallait, un bonne cigarette. [Mais] Cependant il ne pouvait succomber à ce plaisir viscéral qui le rongeait depuis quelques temps déjà.

La fin des vacances approchait. Éric se trouvait face à son ordinateur, l'appréhension montait, c'était le dernier mercredi où l'évolution des rangs d'admission était encore possible ; après il devrait choisir entre redoubler ou d'aller à l'ESIGELEC. Pour ne pas aider, la pression mise par ses parents, si « subtile » soit elle, ne l'aidait pas à réfléchir posément. Son orientation s'est jouée en une fraction de seconde, Éric appuya sur la touche « actualiser » de son clavier. À peine avait il reposé son bras que les octets étaient là, le navigateur s'occupait maintenant de l'affichage. Le rush d'adrénaline ne pris qu'un instant lui aussi pour envahir tout son corps. C'était définitif il devrait aller à l'ESIGELEC. Quelle déception. Il valida sans grande motivation l'offre que l'école lui faisait depuis les deux dernières semaines. Il était maintenant officiellement accepté dans une école d'ingénieur. Pas celle qu'il voulait certes, loin de tout et de tous, mais il venait d'intégrer. C'était déjà pour lui une grande satisfaction car, pour lui, [faire cinq demi] redoubler et devenir « cinq demi » était une option inenvisageable, il en avait assez soupé! Il était dégouté de cette classe préparatoire qui pourtant [représente] représentait les deux plus belles années de sa vie, mais il savait au fond de lui que sa force morale ne serait plus suffisante pour supporter une nouvelle spé. Dès qu'il eu validé le choix de l'ESIGELEC il sortit de sa chambre pour en informer ses parents. Aucune explosion de joie, ses parents n'étaient pas déçu du tout, mais l'expression sur le visage d'Éric laissait transparaitre son insatisfaction.

Voilà donc que la course au logement débuta, paradoxalement une euphorie qu'Éric ne comprenait pas avait gagné son paternel et il savait que celle ci ne se dissiperait pas tant que le bail ne serait signé en bonne et due forme. Vivant à plus de sept cents km de l'école il eu la chance de trouver un appartement sur le net. Il bénit ce nouveau système d'« e-bail » qu'il trouva fort arrangeant. Néanmoins les embuches ne s'arrêtèrent pas là, encore fallait il que son dossier soit accepté. il ne le fut qu'à condition que sa mère se porte caution en plus de son père. « Quelle drôle d'idée » pensa Éric. Cela l'avait fort étonné mais après tout que pouvait il y faire ? Il lui fallait un logement. Sa mère se prêta donc caution elle aussi. La tension accumulée par son père se dissipa quelque peu lorsque la gérante de la résidence téléphona au domicile familial pour confirmer le fait que le dossier était complet et que l'appartement serait à eux dès que le bail serait signé. Le père de Éric avait toujours été d'un naturel prudent. Il décida qu'ils partiraient le vendredi suivant tôt dans la matinée. Tout était décidé, il ne restait plus qu'à préparer les affaires pour le grand périple de sept cents kilomètres.

Tout d'abord, bravo pour ton courage^^
Un bon début mais:
-la tête de Eric serait plutôt la tête d'Eric
-il faudrait peut-être revoir la ponctuation?

Sinon c'est bien, continue ^^ c'est vrai que même si tout est assez "quotidien" on s'intéresse au personnage.

Merci pour les commentaires !

La biquette (anarion) :

héhéhé prépa TSI (rules :p), et en fait j'ai jamais eu d'école d'ingénieur que je voulais faire car je voulais pas faire d'école d'ingénieurs :p

Je sais pas si c'est vraiment destiné à tous les lecteurs ni même à vraiment être lu, mais les prépas c'est quand même connu de tous non ? encore pour le 5/2 je comprend ^^

pour éclaircir le "cinq demi" je peux mettre "redoubler et ainsi devenir cinq demi" ?

peut être qu'en métant "classe préparatoire aux grandes écoles" je m'éviterai de devoir l'expliquer ?

Feher :

Oui avant il s'appelait pas Éric le personnage donc forcément j'ai pas corrigé partout .

Je suis pas calé du tout en ponctuation donc j'ai une forte tendance à en mettre de partout de peur qu'il y en ai pas assez je vais essayer de reprendre ça.

Pour les deux :

Le début c'est justement fait pour qu'Éric soit le mec le plus banal au monde. J'ai essayé de faire "banal" sans donner dans le cliché ni dans le gnangnan... :s

Dans la société il y a beaucoup qui arrêtent les études tôt et ne savent pas du tout ce que c'est, ou même des seconde ou première qui ne savent pas plus que ça, enfin cela reste mon avis.
Pour 5/2 peut être oui parler de redoublement.
Y a t-il une suite?

oui, en quantité il y a 8 à 9 fois ce que j'ai posté là

Voilà un bon début, inattendu et intrigant. C'est pas mal j'aime bien.

D'accord avec biquette, une petite explication de ce qu'est 5 1/2 serait utile à l'histoire, et le systême des prépas. Ca aiderait à cadrer ton histoire.

Citation :

Il était dégouté de cette classe préparatoire qui pourtant représente les deux plus belles années de sa vie,

Problème de concordance des temps ici, si tu as de l'imparfait, tu ne peux pas avoir du présent.

Citation :

était complet et que l'appartement serait à eux dès que le bail serai signé

serait


Bon ben continue et la suite quoi

Elgringo a raison, ça m'a échappé, il ne faut pas mettre du présent, au contraire continuer sur ta concordance des temps

En avant pour la suite je mettrais un poste quand j'aurai édité le premier Chapitre comme il se doit




Éric attendait son arrivée à Rouen avec impatience. Il était resté chez ses parents depuis la fin des concours et pour être franc ils commençaient un peu à lui taper sur le système.

Avec sont père ils prirent la route pour Rouen. Le fait d'avoir fait toute la paperasse par internet lui permis d'avoir accès à l'appartement dès son arrivée. Après un rapide état des lieux d'entrée, qui on peut le dire à été bâclé, le voilà en possession des clés de son appartement. Mais on parlera plus d'un studio, il avait 18m² à lui. Éric avait logé en résidence étudiante les deux années précédents sont admission à l'ESIGELEC, pourtant il avait toujours eu du mal avec ce petit espace, il se sentait étouffé ; Mais il s'en fichait. L'important était d'avoir son chez soi, son endroit bien à lui, loin de ses parents, loin... Dès lors que les clé furent en possession d'Éric son père pris des photo pour les transmettre à sa mère qui était restée en Savoie ; -La séparation avait été dure pour elle; elle n'avait pu retenir quelques larmes lorsqu'elle sera fort son fils dans ses bras le matin même. Elle ne l'avait pas vu grandir, et le regrettait armement. Elle avait déjà vécu cette expérience avec son fils ainé mais elle n'en avait rien pu en apprendre, celui ci étant beaucoup plus casanier et beaucoup plus dépendant de ses parents. Elle ne pensait pas qu'Éric puisse être tant opposé à son frère et être si indépendant d'eux. Éric pensant à tout cela se surpris à avoir un pincement au cœur. C'est la gorge nouée qu'il remercia son père et lui dit d'embrasser sa mère pour lui quand il serait enfin rentré.-

Une fois le bail signé sur une table du studio Éric ne se fit pas prier et commença les voyages entre la voiture et l'appartement situé au 5ème pour monter ses affaires. L'excitation montait. Il n'avait pris que le strict nécessaire, se disant qu'il aurait le temps d'amasser des objet aussi inutiles qu'encombrant voire cocasses. Puis après avoir tout déballé et rangé les cartons dans le coffre de la voiture de son père celui ci lui proposa de faire quelque courses. Cette idée avorta vite car il se sont perdus dans Rouen, c'était risible pensait Éric, se perdre avec un GPS, il fallait vraiment être doué. Cette ville n'est vraiment pas faite pour les voitures pensa Éric, et cette pensée fut confirmée par les bougonnements de son père qui râlait contre les autres chauffeurs. Pour finir, le père de Éric le ramena à la résidence voyant que son fils insistait pour rentrer. Éric n'espérait que cela : se poser dans son clic-clac et prendre ses marques. Le GPS fut fort utile pour le retour, et Éric pensa que finalement ils n'étaient pas si empotés que cela. Son père le laissa devant sa résidence, comme Éric insistait pour aller faire ses courses lui même le lendemain. Son père il lui proposa quelques sous pour la soirée d'accueil et pour commencer sa vie Rouennaise. Cela avait étonné Éric, il remercia beaucoup son père, s'embrassèrent dans la voiture et leurs chemins se séparèrent là.

Il installa tout dans son Studio, car il avait seulement déballé les paquets à la hâte, entassant par ci par là toutes sortes d'objets, la couette avait été négligemment jetée sur le lit les couverts trainaient sur la table, les affaires de bain et d'entretien étaient toujours dans un gros sac posé dans la douche. Cependant tout s'arrangeait et devenait parfait ! La télévision bien placée, le clic-clac confortable, le frigo remplis d'une nourriture de qualité, les placard de linge à l'odeur délicate, la vaisselle quant à elle était propre. Une année parfaite pouvait commencer! Après s'être assuré que son père ne ferai pas demi-tour, Éric partis en quête d'un bureau de tabac. Il pris un paquet de 'Apple essentiels', comme toujours, pas tant essentielles que ça mais il refusait d'acheter autre chose, du moins il n'y arrivait pas. Il avait attendu le départ de son père car ses parents l'avaient surpris en train de fumer et désormais ils pensaient qu'il avait arrêté de fumer ce qui manifestement était faux. La dépendance était toujours là, vicieuse, en sommeil, même après ces deux mois presque entier de sevrage.

Il était arrivé un vendredi c'était donc soirée catch, son petit rituel à lui qui remontait à ses années de classes préparatoire, bière si possible, cigarette, le son à fond pour donner dans le cliché et entendre, commentateurs et spectateurs hurler. La soirée commençait, il n'avait pas continuer à regarder le catch pendant les vacances car la couverture TNT dans sa région natale laissait vraiment à désirer. Et après avoir allumé la télé et son décodeur il se rendit compte qu'effectivement son décodeur ne pourrait pas marcher s'il ne le configurait pas! il du s'atteler à cette tâche tout de suite car il devait respecter son rituel Cela lui trottait dans la tête depuis quelques temps.

Après avoir lutté avec son décodeur pour régler les chaines, il lui restait encore assez de temps pour se permettre un petit break, il sortit un verre à whisky, le rempli de thé glacé à la pèche et s'installa à la fenêtre, s'alluma une cigarette, yeux clos inspira profondément cette première bouffée. Il senti la fumée s'enfoncer dans ses poumons, anesthésiant et bouchant ses bronches. Sa tête se mis à tourner il expira alors la fumée et ouvrit les yeux pour découvrir sa nouvelle vue. Il se rendit vite compte qu'il pouvait admirer le couché de soleil depuis son appartement, ceci le mis en joie. Il remarqua en penchant un peu la tête qu'il n'était pas seul ce soir dans sa résidence, mais ceci lui importait peu, il se disait que moins il ferai de connaissances plus il serait apte à travailler, foutaises pensait il en rigolant mais il était sincère, il désirait réellement réussir, il le voulait plus que tout. Il n'avait pas de cendrier ni rien qui ne pouvait faire office de cendrier. Il se résigna à mettre son mégot dans les toilettes pour ne pas le jeter au pied de la résidence ou se trouvait un par terre d'herbes. Une fois revenu de la salle de bain il entreprit de se faire à manger, il bénit sa mère qui avait pensé à tout ce qu'il lui avait dit d'acheter et même plus. Il commença son repas en même temps que le match de catch. Il s'était resservit un verre de thé glacé. C'était le pied, même s'il se surpris à moins aimer cela que quand il était en classe préparatoire. La soirée se déroula bien et plus elle avançait plus il zappait entre Arte, France5 et les quelques chaines musicales présente sur la TNT, sans pouvoir se fixer.

Il lui restait quelques jours de répit avant la rentrée, c'était une occasion pour lui de profiter de la tranquillité des vacances et pris l'habitude de regarder la télévision jusque tard dans la nuit, même si les émission laissaient réellement à désirer. À la fin de ses vacances il lui tardait de reprendre les cours, l'ennui l'avait gagné. Il ne souhaitait plus qu'une chose aller à l'école... paradoxal pour quelqu'un qui penses que l'éducation française est un système castrateur et non approprié pour lui. Il appela son meilleur amis et parla avec lui pendant environ 1heure. Il était content, il avait réussit pour la première fois à garder contact avec un membre de sa classe précédente. Il savait qu'il pouvait compter sur lui. Il partagea ses doutes et ils rigolèrent bien. Cela soulagea Éric qui se remis devant la télévision telle une larve.

Je corrige juste ce petit paragraphe.

Citation :

Avec sont père ils prirent la route pour Rouen.

Son père, il prend la route...

Citation :

Le fait d'avoir fait toute la paperasse par internet lui permis d'avoir accès à l'appartement dès son arrivée.

le ft d'avoir rédigé
Internet
permit
un appartement

Citation :

Après un rapide état des lieux d'entrée, qui on peut le dire à été bâclé, le voilà en possession des clés de son appartement.

état de lieux, je ne mettrais pas d'entrée.
qui, on peut le dire, a été bâclé

Citation :

Mais on parlera plus d'un studio, il avait 18m² à lui.

il possédait
dix-huit mètres carrés

Citation :

Éric avait logé en résidence étudiante les deux années précédents sont admission à l'ESIGELEC, pourtant il avait toujours eu du mal avec ce petit espace, il se sentait étouffé ; Mais il s'en fichait.

était logé
précédant son admission
pourtant,
mais, il s'en fichait

Citation :

L'important était d'avoir son chez soi, son endroit bien à lui, loin de ses parents, loin... Dès lors que les clé furent en possession d'Éric son père pris des photo pour les transmettre à sa mère qui était restée en Savoie ; -La séparation avait été dure pour elle; elle n'avait pu retenir quelques larmes lorsqu'elle sera fort son fils dans ses bras le matin même.

son chez-soi
loin... veut dire?
d'Eric, son père
prit
des photos
elle serra
Cette phrase est mal construite et un peu longue

Citation :

Elle ne l'avait pas vu grandir, et le regrettait armement.

amèrement

Citation :

Elle avait déjà vécu cette expérience avec son fils ainé mais elle n'en avait rien pu en apprendre, celui ci étant beaucoup plus casanier et beaucoup plus dépendant de ses parents.

fils aine, mais
mais elle n'en n'avait rien pu en apprendre : mal dit
celui-ci
excusez-moi, je ne comprends pas entre le dépendance de ses parents et que sa mère en pu rien apprendre.

Citation :

Elle ne pensait pas qu'Éric puisse être tant opposé à son frère et être si indépendant d'eux.

qu'Eric pût

Citation :

Éric pensant à tout cela se surpris à avoir un pincement au cœur.

penser deux fois : réfléchissant
se surprit

Citation :

C'est la gorge nouée qu'il remercia son père et lui dit d'embrasser sa mère pour lui quand il serait enfin rentré.-

et lui demanda d'embrasser sa mère de sa part quand il sera rentré.

Mes propositions de corrections sous réserve des éventuelles bêtises qu'il m'arrive d'écrire.

on découvre bien le personnage, son point de vue et sa personnalité, et j'aime bien.

C'est toujours inattendu bravo.

Bon alors il y a pas mal de remarques par contre. J'ai pas le temps de les mettre en mode diplomatique, ne t'offense donc pas, toutes mes remarques sont de pures suggestions dont tu peux faire ce que tu veux

Citation :

Mais on parlera plus d'un studio

Déjà je n'aime pas les phrases qui commencent par mais, et ensuite je ne vois même pas à quoi à il se rapporte.

Citation :

; -La séparation avait été dure pour elle; elle n'avait pu retenir quelques

Les points virgules, et le tiret sont de trop, tu pourrais simplement mettre des points, faire des phrases séparées et le sens serait même plus clair.

Citation :

Cette idée avorta vite car il se sont perdus dans Rouen

Concordance des temps, ton récit est au passé, donc le passé composé n'est pas bon ici.

Citation :

près s'être assuré que son père ne ferai pas demi-tour,

ferait

Citation :

qu'il avait arrêté de fumer ce qui manifestement était faux

pas besoin de dire que c'est "manifestement" faux, eric est le personnage principal, c'est par lui qu'on connait l'histoire, donc ça n'a pas grand sens... enfin c'est mon opinion.

Citation :

, il n'avait pas continuer à regarder le catch

déjà c'est continué, et en plus je dirais plutôt, "il n'avait pas pu regarder le catch..."

Citation :

le couché de soleil depuis son appartement,

coucher

Citation :

paradoxal pour quelqu'un qui penses que l'éducation française est un système castrateur et non approprié pour lui.

Et bien voilà une petite phrase très bien, mais beaucoup trop courte. Là il serait intéressant de nous faire un paragraphe entier sur le sujet pour nous expliquer en quoi le systême a influencé ton personnage et en quoi il ne lui convient pas. Cela permettrait de bien mieux le situer dans le contexte je pense.

On sent du vécu dans la narration. Ce n’est pas une critique, loin de là. Ce rend le texte définitivement plus vivant, en tous les cas pour ce qui te concerne.

En revanche, beaucoup de fautes d’orthographe… C’est dommage…

Malgré tout, cela ne m’empêchera pas de lire la suite de (tes) aventures d’Eric…

Continue, donc ! (les fautes en moins...)

Enfin tout lu!

désolé du retard Shai, j'étais très occupé.

Bon, tout a été plus ou moins corrigé.

Je trouve toujours le texte vivant et je veux surtout vite savoir ou tu vas nous amener, donc plus vite que ça tu postes la suite :p