Le tectonaute

Un embryons d'histoire qui m'est venue sans prévenir!
N'hésitez pas a critiquer.


J’ai courue le plus vite que j’ai pu. Toujours plus loin toujours plus vite sans me préoccuper des branches traitresses qui cherchaient à déchirer mes chaires de leurs ergot soufrés. Encore une journée comme celle si et je ne survivrais pas. Lorsque, enfin je me suis arrêté sur une pierre plate dominant les flots noirs de l’Athanos en crue, j’ai contemplé ce qu’il restait de moi et de mon ancienne vie dans un tesson de verre polychromatiques que l’érosion avait peu à peu libéré de la roche. Le visage have et les joues creuse j’ai pleuré en contemplant mon image déformé de reflets irisé. J’avais tant perdu. Ma jeunesse s’en été allait violemment lorsque le crépuscule rampant avait recouvert la terre de son voile rouge poussiéreux. Piégé dans un module de stase je n’ai pas contemplé la fin telle qu’elle nous avait été annoncée, mais j’ai découvert le post-monde qu’elle a engendré des années plus tard quand la pile à combustible de mon cénotaphe a finalement failli. Un monde roussi accablé par la lumière rougeâtre d’un soleil sur-dimensionné. Combien de temps avais je été maintenu dans un sommeil artificiel je ne saurais le dire précisément, mais une chose est certaine j’y suis resté suffisamment longtemps pour que tout ce qu’un jour j’avais connue ne se retrouve compacter broyé déformé dans une couche géologique de 25m a 200 m d’épaisseur, que les gens de maintenant convoitent pour les débris du passé que l’on peu en extraire. La « pierre à souvenir » c’est ainsi qu’il désigne dans leur langue gutturales ce ciment détritique qui scelle les reste de mon univers. Et de tout les souvenir extrait de cette pierre il semblerait que je sois l’un des plus recherché. Je l’ai lu dans les yeux des mineurs qui m’ont surpris ce matin dans une de leur galerie et qui à présent me poursuivent. Par chance, leurs yeux ne sont plus adaptés à la lumière du monde extérieur et une bonne course m’avais placé momentanément hors de leur porté. Mais a quelle prix, ma chemise était désormais en lambeau, j’étais épuisé et acculé contre les eaux bouillonnantes d’une rivière large comme l’avait été la Séquane de mon époque et j’avais compromis mes chance de me localiser.
Ou étais-je ? Étrangement cette question m’obsédait. Et plus étrange encore connaître ma position dans ce nouveau monde m’importait peu, ce qui m’intéressait par-dessus tout c’était connaitre ma position dans mon ancien référentiel. De quel pays venait le morceau de verre polychromatique que je tenais encore dans mes mains ? Ou avait il était produit ? Par quel hasard avions nous été réunis ? J’avais bien quelques idées mais leur perspective était effrayante. Plus tôt, dans la mine de mémorite j’avais collecté quelques objets qui n’avaient visiblement pas éveillé la convoitise des fouisseurs de souvenir. Il s’agissait d’un morceau de métal enchâssé en partie dans une gangue rocheuse, un petit cube de pierre étrangement inaltérée qui me rappelait la perfection des objets usiné de mon temps et une sorte de fossile qui ressemblait horriblement un fragment de main d’enfant. Je sortie de ma poche le morceau de métal et m’assis a même le sol pour l’étudier à la faveur des derniers rayons de soleil. L’objet de forme parallélépipédique était relativement peu rouillé et émergeait de quelques centimètres de la pierre. Lorsque je l’avais découvert il m’avait semblé porter des inscriptions en alphabet cyrillique. Je les retrouvais rapidement et constatais qu’elles disparaissaient sous la pierre. Après quelques efforts j’arrivais a dégagé le mot dans son ensemble et tentais d’en deviner le sens.

Архангельск

Je n’avais jamais appris à parler une quelconque langue utilisant cet alphabet mais je savais qu’il était relativement proche du grec, que d’innombrables heures de cours de mathématique m’avaient permis d’apprendre passivement. Je déchiffrais

Archahgepbck

Un vague souvenir d’un voyage que j’avais fait a Saint-Pétersbourg dans ma jeunesse me rappela que les H en alphabet cyrillique correspondait trompeusement a la lettre N en alphabet latin. Je corrigeais mon interprétation et obtenais.

Archangepbck

Je n’avais aucun moyen de savoir ce que valait ma traduction, mais le mot ressemblait étrangement à Archange dans ma propre langue et intrigué je décidais de conserver cet objet. Au moins je pouvais a présent raisonnablement supposer me trouver au dessus d’un poche de débris de l’aire d’influence russe. Comment les lents mouvements de la croutes terrestres soumis aux puissances telluriques m’avait porté là alors que je m’étais endormie a Paris restait encore un mystère pour moi.

J'ai lu ton début d'histoire et c'est assez intriguant pour vouloir une suite, mais assez brumeux aussi. Et difficile de donner un avis sur un si court passage.

Il y a aussi énormément de fautes d'inattention, ça manque de relecture :

— J’ai courue le plus vite : couru
— déchirer mes chaires de leurs ergot soufrés : chairs ; ergots
— Le visage have et les joues creuse : hâve ; creuses
— mon image déformé de reflets irisé : déformée ; irisés
— Ma jeunesse s’en été allait violemment : allée
— j’ai découvert le post-monde : postmonde
— pour que tout ce qu’un jour j’avais connue : connu
— dans leur langue gutturales : gutturale
— les reste de mon univers : restes
— Et de tout les souvenir extrait de cette pierre : tous les souvenirs extraits
— l’un des plus recherché : recherchés
— dans une de leur galerie : leurs galeries
— une bonne course m’avais placé : avait
— hors de leur porté : portée
— Mais a quelle prix : à quel
— mes chance de me localiser : chances
— Ou étais-je : Où
— quel hasard avions nous été : avions-nous
— quelques idées mais leur perspective : virgule avant mais
— dans la mine de mémorite : mémorite ?? c’est quoi je n’ai pas trouvé ce mot dans les dicos
— la perfection des objets usiné : usinés
— Je sortie de ma poche : sortis
— m’assis a même le sol : à
— Lorsque je l’avais découvert il m’avait semblé : virgule après découvert
— j’arrivais a dégagé le mot : à dégager
— quelconque langue utilisant cet alphabet mais je savais : virgule avant mais
— fait a Saint-Pétersbourg dans : à
— que les H en alphabet cyrillique correspondait : le H
— trompeusement a la lettre N : à
— Au moins je pouvais a présent : virgule après moins ; à
— au dessus d’un poche de débris de l’aire : au-dessus d’une poche
— mouvements de la croutes terrestres ; croûte terrestre
— je m’étais endormie a Paris : endormi (si s’est un homme, car tu n’as jamais au début laissé supposer que ce fût une femme si c’est le cas il y a d’autres erreurs à corriger) ; à Paris

Merci Schadow pour tes corrections :-)

Désolé pour les fautes c'est vrai que j'ai posté sans corriger.
Je suis d'accord avec tes critiques. Je vais corriger et compléter.

Salut !

Bon, je l'avoue, je ne suis pas une adepte de la science fiction, et je doit t'avouer qu'avec mon petit niveau, il y a plusieurs mot que je ne connais pas, mais je vais y faire abstraction ^^

Je suis d'accord avec Schadow54, il y a pas mal de fautes, mais moi, ce qui m'a le plus embêté, c'est la ponctuation. Il n'en y a pas beaucoup et c'est parfois frustrant. Regarde, par exemple : "...j’avais connue ne se retrouve compacté, broyé, déformé dans une couche..." ou ça, qui m'a encore plus déstabilisé : "...Mais a quelle prix ? Ma chemise était désormais en lambeau, j’étais épuisé..."
Tu vois ? Vu comme ça, ça n'a pas l'air de grand chose, mais ça a tout de même son importance.

Sinon, pour l'histoire en elle-même... A ce niveau-là, je ne peux pas trop juger, mais ça m'a l'air bien ^^ Je t'avoue qu'il y a un certain nombre de chose que je n'ai pas compris et qui sont encore trouble, mais en tout cas, si tu met une suite, je lirais volontiers ^^

Voilà ! Je ne sais pas si je t'ai été utile, mais bon, c'est fait ^^

Difficile de donner un avis objectif quant à présent. Cependant j'ai trouvé le style assez lourd. Je crois que c'est la tournure poétique de certaines phrases qui m'a dérangé et qui , à mon sens, ne se prête pas avec ce que tu racontes.
Je pense que tu aurais tout à gagner à "moderniser" ton écriture.
Sinon faut pas compter sur moi pour corriger les fautes et la ponctuation, je suis une incroyable nullité dans ce domaine.