Je ne sais pas pourquoi, mais le ton général du texte m'évoque "le Mistral Gagnant" de Renaud. Comme l'a souligné Galb, on ressent qu'il y a du regret, de la nostalgie des temps passés, une certaine amertume. Quand je lis cela, j'ai le cœur qui s'alourdit, qui s'oppresse. C'est un "amour" qui attend un retour et qui est frustré que rien ne vienne. Le véritable amour est inconditionnel et n'attend rien.
Sinon, j'ignore si c'est fait exprès, mais la construction de certaines phrases a un caractère enfantin, c'est sans doute cela qui confère le côté "vivant" au texte dont parle Galb une fois encore :
- "T'es beau" "DES jolis mots", etc.
Affectueusement, Coyote.