Atelier d'écriture Communauté d'écrivains en herbe |
| | Somnia | |
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| Sujet: Somnia Dim 26 Aoû 2012 - 5:57 | |
| Voici le court Prologue du roman que j'aimerais finir, le problème c'est qu'il est basé sur un multivers basé sur de la S-F, dont un des univers que je n'ai pas encore décris, est contemporain fantastique. Ceci est la première partie du prologue dans la ville de Liège en Belgique, le 1er univers.
Somnia.
Prologue : Expériences.
Liège, Royaume de Belgique, septembre 2012
L’homme ètait nu.Ses membres pendaient mollement le long de son corps. Il était maintenu debout par deux gorilles à l’air patibulaire.Les yeux hagards de l’homme fixait la table d’opération aux sangles de cuir qui allait bientôt l’accueillir.Nous étions assis en rang d’oignons moi et mes fréres devant la vitre sans tain derrière laquelle nous les observions.Je fixais sans rèprimez un frissons les bras mècanique armés de scalpels acérés et de griffes métalliques. Le Dr Amort fixait de son regard intense le cobaye aux cheveux poivre et sels.
-Informations sur le sujet ?, dit-il d’un ton sec. Ce fut un jeune homme en blouse blanche et à l’air nerveux. « Heu … Nom … et bien vous allez rire nous ne l’avons pas. 45 ans, médecin et chercheur en bio ingénierie , orphelin et célibataire, sans amis, un parfait cobaye. Nous l’avons obtenu de la manière habituelle. Souffre de dédoublement de la personnalité à caractère …… disons quasi destructrice .Une partie a bien faillit tuer l’autre il y a quelques années. La schizophrénie a été développée suite à un dilemme à caractère éthique. Il a été appelé pour soigner un malade en phase terminale. Le seul moyen de le sauver aurait apparemment été la mort d’une autre, le dilemme était si fort que l’homme les à tuer tous les deux à coup de scalpel sur la table d’opération. Son caractère double pourrait créer des situations intéressantes qui pourraient être exploitées. -Bien nous allons pouvoir commencer ! Je vis un long sourire se dessiner sur le visage de ce petit homme sec.il se pencha et ordonna,en activant le microphone de la salle, aux deux gorilles de placer le cobaye sur la table. Ceux-ci obtempérérent consciensceusement, vérifiant plusieurs fois chaque sangle.Pour finir ils quittèrent la salle. L’opération pouvait débuter
Dernière édition par Dr-Karoom le Mer 29 Aoû 2012 - 18:05, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: Somnia Dim 26 Aoû 2012 - 8:28 | |
| Bien, je le dis tout de suite : La SF n'a jamais été totalement dans mes cordes, ce qui ne m'empêche pas de l'apprécier. Mon commentaire sera surement moins constructif que d'autres, par conséquent. Je me concentrerai pas mal sur la forme. D'abord, les fautes. J'en fais pas mal, mais là y'en a vraiment vraiment beaucoup, utilise un correcteur orthographique. Quelques fautes de grammaire/conjugaison, ça et là, mais rien de grave. deux trois fautes de frappe aussi. Dans l'idée, relis toi :p A propos de la forme : je n'ai que très peu d'indications sur les personnages. L'homme dont la description est la plus représentative est le sujet de l'expérience. Et je pense que le personnage que l'on suivra dans le reste du roman ne sera pas ce petit docteur compulsif. Si je me trompe, il faudrait développer un peu plus sa description générale. Ensuite "dirons-nous". Communiquer avec le lecteur, ça peut être intéressant, mais ça doit être un parti-pris et non une facilité ponctuelle. Si tu fais ce parti-pris, tu dois t'y tenir par la suite, sinon ça jure avec le reste... Au niveau du style, il est un peu maladroit, pour être honnête. Certaines phrases sont tournées de façon étrange. Autant parfois le texte se lit bien, autant parfois on bute un peu. De petites erreurs dans la formation des phrases, des tournures un peu malvenues, quelques mots inutiles.. Bon, je me rend compte que ce dernier commentaire est une critique non constructive si je n'ajoute pas d'exemples. "L’homme se trouvait ainsi nu au milieu d’une salle d’opérations blanches" On dirait une "phrase-résumé". On sait bien que l'homme est nu, dans une salle d'opération blanche, tu l'as déjà évoqué. Donc la phrase est un peu inutile : il faut ajouter quelque chose. Un élément de description supplémentaire qui la rende intéressante. "L'engin de préparation". Un docteur, visiblement compétent, ne s'exprimerait pas comme ça je pense. "triturer les boutons" je sais pas si triturer est le meilleur choix de mot. Pousser un bouton, Appuyer sur un bouton... "Peu à peu, au fur et à mesure que xx" les deux expressions veulent + ou - dire la même chose. Il y en a d'autres, mais j'ai la flemme de faire un relevé complet :p Ce sont de petites maladresses, pas trop difficile à régler avec le temps, mais qui nuisent à la lecture. Bon, le fond maintenant. Ce début m'a l'air classique et prometteur, avec un bon docteur Frankenstein. Recette déjà exploitée mais toujours efficace. Pas grand chose à dire d'autre, y a pas assez pour me prononcer. j'ai juste une question : Pourquoi le docteur est "au bord de la crise de nerfs", au au début, alors qu'on lui annonce de bonnes nouvelles? Bon, voilà voilà, j'espère que tu n'as pas trouvé mon commentaire trop sévère. Bonne continuation, je lirai la suite |
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| Sujet: Re: Somnia Dim 26 Aoû 2012 - 9:20 | |
| voilà les fautes du prologue sont corrigé sur les conseils de Galb. Je vais revoir l'écriture pour que ce soit plus fluides en attendant voici le 1er chapitre situé dans le second univers de Somnia, Il est actuellement inachevé mais je vopulais votre avis .Bonne lecture ! Gald, je ne décris pas le sujet de l'expérience car c'est au fur et à mesure de l'histoire qu'il faudra les dècouvrir, en effet, il y aviat 2 cerveaux dans les bocaux
Chapitre 1 : Réveil en sursaut.
Krank, République utopique de Teslon , août 1865.
Les rayons de soleil traversaient péniblement les rideaux en lin blancs, éclairant le pâle visage d’un homme endormi dans son lit. Il était assez grand avait des cheveux roux enflammés qui explosaient en une gerbe d’étincelles. Son visage semblait usé par le temps ou par quelque chose de plus fort comme une explosion. Il n’avait pourtant pas l’air vieux. Son nez aquilin lui donnait l’air d’un vautour sinistre. La chambre était assez richement décorée. Un bureau en bois précieux trônait au centre de la pièce, recouvert d’une multitude d’outils et de matériaux mécaniques diverses. Des plans dessinès sur du papier bleu d'architecte s’amoncelait également et laissait voir les magnifiques dessins aux crayons blancs. L’homme dormait dans un grand lit à baldaquin rouge. Il bougeait de temps en temps dans son sommeil, mais semblait d’un calme olympien. Soudain, il s’agita défaisant les draps. Le visage crispé d’une douleur fantôme. Il leva le moignon qui remplaçait son bras gauche dans une vaine tentative d’arrêter un ennemi invisible.Il se releva en sueur et haletant de terreur. -Mon Dieu encore ce rêve atroce. À ces mots il prit sa tête entre ses mains. Il se leva et franchit la porte simplement vêtue de sa robe de chambre. Il descendit les escaliers quatre à quatre et arriva dans une grande salle qui semblait être un atelier. La salle s’élevait telle une cathédrale, tant en hauteur qu’en largeur. Sur les murs des étagères étaient recouverts de multiples rouages et ressorts de tailles diverses, du plus petit jusqu’au plus colossal. D’immenses machines étaient disposées dans tous les sens à travers la pièce. Des sortes de robots à deux jambes qui n’en avaient qu’une, un bras robotique terminé par une multitude d’outils diffèrent et d’où des petits nuages de vapeurs blanches s’échappaient par intermittence. C’est vers cet étrange bras qu’il s’avança. Il le saisit par l’arrière et le posa sur son moignon, et , et il accrocha les lanières de cuir autour de son torse. Le bras se mit à bouger semblant sentir la présence du corps de son propriétaire. -Test des fonctions de changements d’outils, dit mécaniquement l’homme, clef anglaise. À ces mots les rouages disposés sur le bras firent pivoter les outils jusqu’à ce que la clef anglaise semble devenir l’extension du moignon. -Ok, maintenant main. Et une main de métal cuivré sort du fin mécanisme et se mit en place face au moignon. Voyant cela, il remonta jusque dans sa chambre et ouvrit la penderie qui se trouvait appuyée contre un des murs. À l'intérieur, il se saisit d'une vieille chemise rapiécée et couverte de suie, d’un gilet en cuir usé et d’un pantalon rayé gris et noir. Il enfila de belles chaussures cirées noires .Sur la table de chevet il prit la paire de grosses lunettes noires de soudeurs dont il ne se séparait jamais. Il se dit à lui-même qu’il devait sembler extrêmement étrange vu de l’extérieur. Mais il s’en fichait, aujourd’hui était un jour diffère. Il allait pouvoir s’exprimer devant tout le monde, les photographes ainsi que le juge. Ce juge qu’il haïssait tant et par qui il avait perdu sa main. Cette loi est ridicule. Instaurer une éthique scientifique, on aura tout vu. Si cette loi passe ce sera la fin du test sur les humains et la mort de millions de personnes qui n’auront pu être soignées faute de test adéquat. Sans ces tests, il n’aurait pas pu développer les membres mécaniques à reconnaissance vocale. Sans ces tests, il n’aurait plus moyen d’utiliser son bras. Vraiment ce juge était fou. Soudain, on toqua à la porte. Il s’empressa d’aller ouvrir. -Dr Oswald, la voiture est avancée, lui dit le cocher face à lui. Au même moment dans une autre chambre à l’autre bout de la ville un autre homme se réveillait en sursaut. « Encore ce rêve »pensa-t-il en se relevant péniblement. Il était plutôt petit et possédait un ventre rebondi. Sur sa bouche poussait fièrement une moustache grande et courbée comme un guidon devélo. Il vérifia l’heure sur sa montre et la rangea dans son gousset, sans oublier d’accrocher sa chaîne au revers de sa veste. Il dévala les escaliers et se rendit dans sa grande salle à manger où son petit déjeuner était déjà servi. Un beau plateau d’argent trônait au milieu de la table aux pieds recourbés. Une assiette en porcelaine était ornée d’œufs aux plats et de bacon rissolés. Sur le coin du plateau le journal était plié prêt à accueillir son lecteur dans un monde de scandales et d’information, uniquement réservé aux lettrés. Il entama joyeusement ses œufs tout en demandant à son valet de lui apporter du pain, ce qu’il fit sans attendre. Il lui demanda également de déboucher une bouteille de whisky, 12 ans d’âge qu’il gardait pour les grandes occasions. Après tout, il n’est jamais trop tôt pour une petite goutte, se dit-il en lui-même, et puis aujourd’hui était un jour diffère. Il allait pouvoir enfin revoir celui à qui il devait la perte de son œil. Enfin il pourra lui dire en face sa façon de penser à propos des tests sur les humains que cet odieux personnage perpétrait tous les jours dans ce qu’il appelait son laboratoire. Il était fier d’avoir réussi à mettre la question des cobayes humains sur le tapis, c’était horrible de prendre des humains pour les transformer en machines ou pire encore. Cet homme représentait tout ce qu’il haïssait : la science sans limite. Si la république utopique continuait comme ça elle courait à sa perte. En effet qui empêcherait un scientifique dérangé de créer des monstres mécaniques à bases d’humains sous l’excuse futile de faire des tests pour la science. À quand les hommes-chiens et autres atrocités. Soudain, on toqua à la porte. Son valet alla ouvrir. Il revint et annonça : -la voiture de Mr le juge Éricka est avancé. La place Tesla était comme son nom l’indique, une place. Grande, dégagée, ses bâtiments richement décorés de cuivres et de statue dorées célébrant l’apogée de la science et ses bienfaits .
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| Sujet: Re: Somnia Dim 26 Aoû 2012 - 11:13 | |
| Niveau prologue, je ne me suis pas occupé des fautes puisque tu affirmes les avoir corrigées. J'ai mis mes remarques dans le texte pour le premier chapitre. - Spoiler:
Les rayons de soleil traversaient péniblement les rideaux en lin blancs, éclairant le pâle visage d’un homme endormi dans son lit. Il était assez grand (je trouve que c'est bizarre de dire d'un homme allongé qu'il est grand, surtout que le point de vue du narrateur semble être externe) avait des cheveux roux enflammés qui explosaient en une gerbe d’étincelles. Son visage semblait usé par le temps ou par quelque chose de plus fort comme une explosion. Il n’avait pourtant pas l’air vieux.(si le visage est usé par le temps, comment peut-il "sembler ne pas être vieux" ?) Son nez aquilin lui donnait l’air d’un vautour sinistre. La chambre était assez richement décorée. Un bureau en bois précieux trônait au centre de la pièce, recouvert d’une multitude d’outils et de matériaux mécaniques diverses(divers). Des plans dessinès(dessinés) sur du papier bleu d'architecte s’amoncelait (s'amoncelaient)également et laissait(laissaient) voir les magnifiques dessins aux crayons blancs(au crayon blanc). L’homme dormait dans un grand lit à baldaquin rouge. Il bougeait de temps en temps dans son sommeil, mais semblait d’un calme olympien. Soudain, il s’agita défaisant les draps. Le visage crispé d’une douleur fantôme. Il leva le moignon qui remplaçait son bras gauche dans une vaine tentative d’arrêter un ennemi invisible.Il se releva en sueur et haletant de terreur. -Mon Dieu encore ce rêve atroce. À ces mots il prit sa tête entre ses mains. Il se leva et franchit la porte simplement vêtue(vêtu) de sa robe de chambre. Il descendit les escaliers quatre à quatre et arriva dans une grande salle qui semblait être un atelier. La salle s’élevait telle une cathédrale, tant en hauteur qu’en largeur. Sur les murs des étagères étaient recouverts(recouvertes) de multiples rouages et ressorts de tailles diverses(tu répètes "diverse", mais "variées" à la place plutôt), du plus petit jusqu’au plus colossal. D’immenses machines étaient disposées dans tous les sens à travers la pièce. Des sortes de robots à deux jambes qui n’en avaient qu’une(? des robots à une jambe alors, ou amputés d'un jambe, à la limite), un bras robotique terminé par une multitude d’outils diffèrent(différents) et d’où des petits nuages de vapeurs blanches(vapeur blanche) s’échappaient par intermittence. C’est vers cet étrange bras qu’il s’avança. Il le saisit par l’arrière et le posa sur son moignon, et , et il accrocha les lanières de cuir autour de son torse.(pourquoi laisse-t-il son bras dans l'autre pièce alors qu'il le met dès qu'il se réveille ?) Le bras se mit(mirent) à bouger semblant sentir la présence du corps de son propriétaire. -Test des fonctions de changements d’outils, dit mécaniquement l’homme, clef anglaise. À ces mots les rouages disposés sur le bras firent pivoter les outils jusqu’à ce que la clef anglaise semble devenir l’extension du moignon. -Ok, maintenant main.
Et une main de métal cuivré sort(sortit) du fin mécanisme et se mit en place face au moignon. Voyant cela, il remonta jusque dans sa chambre et ouvrit la penderie qui se trouvait appuyée contre un des murs. À l'intérieur, il se saisit d'une vieille chemise rapiécée et couverte de suie, d’un gilet en cuir usé et d’un pantalon rayé gris et noir. Il enfila de belles chaussures cirées noires(noir/noires) .Sur la table de chevet il prit la paire de grosses lunettes noires de soudeurs (soudeur)dont il ne se séparait jamais. Il se dit à lui-même qu’il devait sembler extrêmement étrange vu de l’extérieur. Mais il s’en fichait, aujourd’hui était un jour diffère(je ne connais pas ce mot, mon dictionnaire (très petit, certes) non plus, est-ce un truc Belge ? "un jour particulier", non ?). Il allait pouvoir s’exprimer devant tout le monde, les photographes ainsi que le juge. Ce juge qu’il haïssait tant et par qui il avait perdu sa main. Cette loi est(était) ridicule. Instaurer une éthique scientifique, on aura(aurait) tout vu. Si cette loi passe ce sera (passait/serait)la fin du test sur les humains et la mort de millions de personnes qui n’auront pu être soignées faute de test(répétition test) adéquat. Sans ces tests(pareil), il n’aurait pas pu développer les membres mécaniques à reconnaissance vocale. Sans ces tests, il n’aurait plus moyen d’utiliser son bras. Vraiment ce juge était fou. Soudain, on toqua à la porte. Il s’empressa d’aller ouvrir. -Dr Oswald, la voiture est avancée, lui dit le cocher face à lui.
Au même moment dans une autre chambre à l’autre bout de la ville un autre homme se réveillait en sursaut. « Encore ce rêve »pensa-t-il en se relevant péniblement. Il était plutôt petit et possédait un ventre rebondi. Sur sa bouche poussait fièrement une moustache grande et courbée comme un guidon de vélo. Il vérifia l’heure sur sa montre et la rangea dans son gousset, sans oublier d’accrocher sa chaîne au revers de sa veste. Il dévala les escaliers et se rendit dans sa grande salle à manger où son petit déjeuner était déjà servi. Un beau plateau d’argent trônait au milieu de la table aux pieds recourbés. Une assiette en porcelaine était ornée d’œufs aux plats(au plat) et de bacon rissolés(rissolé). Sur le coin du plateau le journal était plié prêt à accueillir son lecteur dans un monde de scandales et d’information(informations), uniquement réservé aux lettrés. Il entama joyeusement ses œufs tout en demandant à son valet de lui apporter du pain, ce qu’il fit sans attendre. Il lui demanda également de déboucher une bouteille de whisky, 12 ans d’âge qu’il gardait pour les grandes occasions. Après tout, il n’est jamais trop tôt pour une petite goutte, se dit-il en lui-même, et puis aujourd’hui était un jour diffère(encore...). Il allait pouvoir enfin revoir celui à qui il devait la perte de son œil. Enfin il pourra(pourrait) lui dire en face sa façon de penser à propos des tests sur les humains que cet odieux personnage perpétrait tous les jours dans ce qu’il appelait son laboratoire. Il était fier d’avoir réussi à mettre la question des cobayes humains sur le tapis, c’était horrible de prendre des humains pour les transformer en machines ou pire encore. Cet homme représentait tout ce qu’il haïssait : la science sans limite. Si la république utopique continuait comme ça elle courait à sa perte. En effet qui empêcherait un scientifique dérangé de créer des monstres mécaniques à bases d’humains sous l’excuse futile de faire des tests(répétition "test" pour la science. À quand les hommes-chiens et autres atrocités. Soudain, on toqua(toqua, ça fait un peu patois je trouve "frappa" non ?) à la porte. Son valet alla ouvrir. Il revint et annonça : -la voiture de Mr le juge Éricka est avancé(avancée). La place Tesla était comme son nom l’indique, une place. Grande, dégagée, ses bâtiments richement décorés de cuivres(cuivre) et de statue dorées célébrant l’apogée de la science et ses bienfaits (il faut une suite à cette phrase sans verbe conjugué) .
Tu utilises énormément le verbe "sembler". Je suis d'accord avec à peu près, tout ce qu'a dit Galb. Dans le prologue, tu parles directement au lecteur mais il semble que tu aies abandonné cette idée par la suite. Et le style est parfois un peu lourd. Je trouve le premier chapitre, mieux écrit que le prologue, moins lourd, peut-être parce qu'il n'y a pas de dialogue à proprement parler. Dans le prologue, tu n'es pas obligé de toujours mettre un verbe de dialogue, surtout quand tu dis "lui répondit-on", à ce moment, la réplique se suffit à elle même et ça allège le texte. Quant au fond, ce jeu de miroirs des actions des deux personnages est pas mal, peut-être quand même, trop identique des deux côtés. Pour juger du récit, il faudrait en savoir plus alors pour le moment, j'attends la suite. Même avec toutes ces remarques, sache que ton récit est plutôt prometteur au vu de ce que j'ai lu dans la partie "synopsis" et après quelques réglages, je ne doute pas qu'il puisse vraiment faire quelque chose de bien. _________________ Je suis né pour te connaître, pour te nommer, liberté. Paul Eluard
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| Sujet: Re: Somnia Dim 26 Aoû 2012 - 16:49 | |
| Lourd. C'est le mot, ton style est lourd. Ça manque d'aération, de maitrise, de fraicheur. C'est chaotique, et ça donne franchement mal à la tête. Il n'y a pas de rythme, l'écriture est hachée, et sans rythme, on se fait rapidement chier. Je n'ai pas trouvé de voix au narrateur. Je t'avoue m'être ennuyé dès les premières lignes, et avoir voulu en zapper.
Et je ne comprends pas tout non plus. Au début, tout a l'air absurde, coloré, mais ensuite on s'aperçoit que c'est probablement dû à un manque de maitrise, et que tout ça devrait être en fait, sérieux ?
Il y a beaucoup d'erreurs aussi, de temps, de répétitions... "avait des cheveux roux enflammés qui explosaient en une gerbe d’étincelles. Son visage semblait usé par le temps ou par quelque chose de plus fort comme une explosion." : déjà je n'ai rien compris à la description, et de deux, deux fois explosions...
Relis toi, coupe dans le vif, aère, et surtout fait simple. Tu n'as pas le niveau pour décrire chaque action, chaque seconde d'une scène. Fais simple. Sépare mieux tes phases de dialogue, et l'action. Ne surcharge pas en descriptions.
Le deuxième bout est mieux écrit, mais comme précédemment, l'esprit est tenté de partir ailleurs, et ta technique de miroir n'a pas l'effet escompté. Ton projet était très prometteur, mais ne te laisse pas emporter par lui. Pose toi à plat, et ne cherche pas à tout complexifier. Vu comme c'est parti, on ne comprendra rien, et nul ne cherchera à comprendre le lien entre les univers. Tu fais des phrases étranges aussi : " dans le regard de la jeune femme, une lumière mourut " : qu'est ce ça veut dire ça ?
C'est peut être l'utilisation du passé simple qui donne ce côté saoulant à ton texte, car non maitrisé et ça l'alourdit davantage. Et la narration à la troisième personne ne fait que renforcer cette impression, car tu abuses des "il" et des descriptions de l'action... En tout cas, pour moi et pour l'instant, c'est difficilement buvable. |
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| Sujet: Re: Somnia Dim 26 Aoû 2012 - 19:27 | |
| j'ai révisé le premier texte mais je suppose qu'il y aura encore des modifications. En, effet c'est lourd, j'ai enlevé les parties non sérieuse qui faisaient taches, les verbes de dèclaration inutile et je vais voir si je peux utiliser un autre temps d'écriture.mais je vais d'abord me repencher sur le second texte. Merci pour votre intérêt et oui la dernière phrase du prologue ne veux rien dire. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Somnia Dim 26 Aoû 2012 - 20:21 | |
| Prends rien pour toi personnellement docteur surtout. Ton syno était vraiment super, mais ça se voit qu'à l'écriture, tu voulais en faire trop pour rester au niveau. On sent une excitation au niveau de l'écriture, et ça se transforme rapidement en désordre. C'est ce que j'ai ressenti en tout cas.
N'hésite pas à faire des phrases plus courtes, à moins décrire les actions et à aérer davantage, simplifie. Ton texte y gagnera en fluidité. Tu vois très bien qu'à force de trop faire littéraire, parfois certaines phrases ne veulent rien dire. Tu n'es pas en cours de français, amuse toi surtout sans craindre la critique ! Tant pis pour les fautes et les répétitions, on te les indiquera, toi concentre toi sur la narration, l'enchainement des événements et des univers.
Saute des lignes entre les phases de dialogue et l'action, évite d'abuser des il, il, il pour décrire les faits et gestes de tes personnages (on est pas obligé de tout savoir), et surtout relis toi encore et encore, corrige jusqu'à créer un rythme et donner une voix à ton narrateur ( bon là, on tombe dans le mystique...).
Tu as un projet ambitieux là, et je me demande vraiment comment tu vas t'en tirer. Je lirai la suite en tout cas. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Somnia Mar 28 Aoû 2012 - 9:20 | |
| Donc, lu le deuxième chapitre. Au niveau de la forme : Ben, clairement, je préférais le style général du prologue. Autant y avait des imperfections, autant c'était assez agréable à lire dans l'ensemble... Tu essaies d'en faire trop. Bon, je suis un aficionado des phrases courtes, donc mon point de vue est subjectif, mais à mon avis, un style assez "simple", convient mieux. Plus clair, plus prenant. Le style rococo, c'est étouffant, et ça doit être extrêmement bien maîtrisé pour être agréable Donc là, je trouve franchement que tu en fais trop. Pas besoin de métaphores, d'une profusion d'adjectifs... Un peu de simplicité ne fait pas de mal, et ajouterait beaucoup à la clarté ! Rien ne t'empêche d'être lyrique : mais il va falloir beaucoup de travail pour rendre ça plus mûr et plus efficace. Dans l'ensemble, je partage l'avis d'Ilaàn, mais je ne suis pas sur que la seule solution soit de "simplifier". Apprendre à maîtriser ce style un peu ampoulé peut marcher aussi, et donner une sacrée personnalité à tes textes ! (Mais je serais bien incapable de t'aider pour ça, en tout cas. x) ) Bref, je lirai la suite. Au niveau du fond, j'attends d'en avoir plus pour comprendre tout ce qui se passe. Je n'ai pas lu ton syno, je préfère le découvrir : déflorer un bouquin avant de l'avoir lu, je trouve que ça enlève beaucoup. Bonne continuation, surtout ne te décourage pas : le potentiel, tu l'as, le style, tu l'as en embryon. Maintenant, il faut juste maîtriser et polir tout ça. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Somnia Mar 28 Aoû 2012 - 16:55 | |
| je pense que je vais totalement réécrire ces deux passages. Il faut savoir que je les avais écrits il y a un an. Depuis j'ai inventé Igor et d'autres trucs ;Auriez vous un temps de conjugaison privilèdgé pour le rècit car ce n'est pas trop mon truc le passé simple.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Somnia Mar 28 Aoû 2012 - 17:11 | |
| Le passé simple est le temps du récit. Mais j'avoue avoir une préférence pour le présent. Un texte au présent est tout de suite plus facilement accessible, moins lourd, mais attention, beaucoup plus difficile à maitriser. On écrit pas un texte au présent de la même façon qu'au passé simple, sinon ça donne vite du grand n'importe quoi.
Essaye, teste différents modes de narrations, différents points de vue, modes ou personnes. Tu n'as rien à perdre. La forme est, pour moi, beaucoup plus importante que le fond. Comme un bon cinéaste est capable de rendre intéressante la vie de Momo le vendeur de kebabs (d'ailleurs ce serait un bon sujet de concours ça), un bon écrivain doit faire de même.
Certains ici te diront le contraire, mais pense à ça. La forme est plus importante que le fond. Sans une narration adéquate, le scénario le plus exceptionnel, original de tous les temps ne trouvera jamais un lecteur. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Somnia Mar 28 Aoû 2012 - 21:39 | |
| ok je pense que ej vais recommencer tous depuis le début, les même scénes mais au passé simple et en plus simple je vais m'y mettre demain |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Somnia Mer 29 Aoû 2012 - 8:19 | |
| Bon, je suis un tout petit peu fatigué (vu l'heure aussi. ^^), donc je me contenterais d'une critique du prologue pour l'instant. Première lecture : J'ai rit parfois. Une lecture plutôt agréable, malgré de grosses lourdeurs. Par contre, il y a une immense incohérence. Pourquoi ils se font chier avec le corps du gars, alors qu'ils peuvent simplement enlever son cerveau et balancer le corps au vide ordure? Nan mais sincèrement, ils se font un peu chier pour rien (d'autant plus que le liquide qui bousille les chairs passe probablement par le sang, et donc bousille aussi le cerveau. Je comprends que c'est pour donner une coté classe mais quand même. Seconde lecture : Attention les dialogues sont difficilement lisibles. Je te conseille d'utiliser des guillemets. - Spoiler:
Somnia.
Prologue : Expériences.
Liège, Royaume de Belgique C'est con, mais ça m'a fait bien rire, septembre 2012 -Avons-nous reçu un nouveau cobaye ? Telle est la phrase par laquelle débute notre histoire. Cette simple et unique phrase qui allait faire basculer des vies, mais aussi et surtout perturber l’équilibre de plusieurs univers, avait été prononcée par un petit homme en blouse blanche, qui pour l’instant, avait l’air contrarié. -Oui, Dr, nous avons trouvé un sujet viable. - Bien, lisez-moi son dossier. -Nom … et bien vous allez rire nous ne l’avons pas. 45 ans, médecin et chercheur en bio ingénierie , orphelin et célibataire, sans amis, un parfait cobaye. Nous l’avons obtenu de la manière habituelle. Souffre de dédoublement de la personnalité à caractère …… disons quasi destructrice .Une partie a bien faillit tuer l’autre il y a quelques années. La schizophrénie a été développée suite à un dilemme à caractère éthique. Il a été appelé pour soigner un malade en phase terminale. Le seul moyen de le sauver aurait apparemment été la mort d’une autre, le dilemme était si fort que l’homme les à tuer tous les deux à coup de scalpel sur la table d’opération. Son caractère double pourrait créer des situations intéressantes qui pourraient être exploitées ; nota fièrement un des laborantins, dont les regards étaient fixés sur les panneaux de contrôle disposé ça et là ; Je tiens à préciser que c’est moi qui ai sélectionné cette perle rare.
- Et nous vous en remercions ; dit le dr d’un air ennuyé ; bien, les enfants est-ce que la cellule de sommeil paradoxal sont prêtes ?
-Oui, Dr, nous sommes prêts. Comme vous pouvez le voir. Les laborantins s'affairérent autour de leurs claviers . Un des murs de la salle s’écarta en laissant apparaître une vitre sans tain, Remplace la virgule par un point, sinon la phrase est trop longue derrière cette vitre se trouvait une immense salle blanche au milieu de laquelle trônait une table d’opération munie de sangles en cuirs brunes.
Des bras mécaniques armés de pinces de scalpels et de seringues pendaient du plafond. -Bien faites entrer le cobaye, ordonna le petit homme. Une porte située sur le côté gauche de la salle s’ouvrit et trois hommes entrèrent. Deux étaient des gorilles gigantesques en costumes noirs et cranes rasés. Le troisième était un homme aux cheveux poivre et sel. Il était ceinturé par les deux gorilles répétition de gorille mais ne semblait pas vouloir se battre, visiblement drogué. De plus, une camisole de force empêchait tout mouvement. Les gorilles lui ôtèrent la camisole tout en le tenant solidement.Ils le saisirent au bras et le mirent sur la table. L’un l’attacha pendant que l’autre le maintenait en place. Ils sortirent tous deux de la salle stoïque et ne trahissant aucune émotion. -Bien, mettez l’engin de préparation en marche. À ces mots l'activité dans la salle s'intensifia.Peu à peu,les bras pendus au plafond se mirent en marche. Les scalpels s’approchèrent de l’homme qui ne bougea pas. Un bras armé d’une seringue lui injecta un liquide noir et poisseux. L’homme fut pris d’un frisson et s’affaissât encore plus sur la table. Les scalpels purent ainsi s’approcher de sa peau qu’ils commencèrent peu à peu à couper tandis que d'autres bras se chargeaient de l’écarter de la table. Ils continuèrent ainsi jusqu’à ce que tout l’épiderme soit retiré et laisse apparaître les muscles rouges à vif. Un autre bras, armé d’une espèce je trouve que "d'une sorte" passe mieux de tuyaux aspirait en même temps le sang qui s’écoulait des chairs. Après que tout le sang et la peau furent retirés d’autres bras armés de seringue vinrent injecter un liquide vert bouillonnant sur le corps de l’écorché. Petit à petit les chairs se mirent à fondre laissant apparaître les os et les organes internes. Un bras armé d’une disqueuse s’attaqua au crâne et le décapsula, dirons-nous laissant apparaître le cerveau de l’homme. Un dernier bras prit délicatement l’organe et y enfonça divers tuyaux métalliques et circuit imprimés. Il détacha ensuite l’organe du reste du corps et le plongea dans une cuve remplie d’un liquide rose qu’il referma en soudant le couvercle métallique .Il pivota un pan du mur s’écarta laissant apparaître une cache à trois emplacements sphériques dont une était déjà occupé par une cuve, pareil à celle-ci accueillant un deuxième cerveau .Le bras déposa délicatement le récipient et son contenu à l’un des emplacements prévus. -Bien, les enfants. Le minuscule homme jubilait. Voilà une opération rondement menée. Nous possédons maintenant 2 cerveaux en parfait état pour nos expérimentations. Bon maintenant répétition de maintenant nous allons opérer à l’injection de la cellule Morphée. Mademoiselle Annick, si vous voulez bien, dit-il en s’adressant à une jeune femme dans le coin de la salle, actionnez l’injection. La jeune femme eut un temps d’hésitation mais finit tout de même à actionner le levier noir qu’elle avait devant elle. Un liquide bleu dans lequel de petites fumées blanches voletaient fit irruption dans le bocal de liquide rose.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Somnia Mer 29 Aoû 2012 - 9:52 | |
| C'est exactement ce que je me suis dit aussi. Tout ça pour juste enlever le cerveau ? Alors qu'il suffirait de prendre une scie, couper le crane et retirer le machin ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Somnia Mer 29 Aoû 2012 - 16:25 | |
| pas faux j'y avais pas penser j'avais fait ça car je trouvais ça amusant de décrire une dissection. Edit: En y repensant aprés, je me suis souvenu de pourquoi j'avais fait ça, c'est parce que les sujets doivent rester vivants même sans leurs corps, ce qui demande une dextérité et une précision inhumaine. Les personnes sont toujours vivants dans les bocaux.En, effet, la remarque sur le cerveau n'est pas tré cohérente, en fait j'avais voulu reprendre une scéne que j'avais écrites lors d'un cours de religion.(Quand je l'ai lu à haute voix, mes camarades de classes m'ont regardé bizzarement.)Mais de toute façon je pense récrire l'histoire sous le point de vue de la scientifique que j'ai nommé dans le synopsis (dans cet univers, j'aimerai changer de narration dans Krank et Habay.Voilà, voilà, pour que vous sachiez que je prends vos remarques au sérieux. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Somnia Mer 29 Aoû 2012 - 18:06 | |
| commencement de réécriture du prologue court pour le moment je vais continuer à ècrire pour dècrire la scéne. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Somnia Mer 29 Aoû 2012 - 18:09 | |
| Euh, je ne vois pas ce que ça vient faire le fait qu'il doive être vivant. Il suffit de sortir le cerveau et de le brancher avant que des lésions dues au manque d'oxygène ne se fasse.
Donc je persiste et signe, toute l'opération est hautement inutile. |
| | | Sombrebarman Roi des noix de coco
Nombre de messages : 199 Age : 28 Localisation : Toulouse Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Somnia Dim 16 Sep 2012 - 11:05 | |
| Petite remarque de ma part :
Généralement il est beaucoup plus aisé de faire le prologue une fois que l'on a fini le livre .
Commence dés le début par écrire le chapitre un après on verra. Après je vois pas trop ce que je peux rajouter après Ilàan.
Après déjà que le synopsis est pas facile à comprendre essaye de ne pas te perdre et de ne pas faire d'incohérence.
Après fais gaffe à pas faire de la fausse science du genre : le rayon proton ionique azotifié dématérialisé la belette dans une gerbe de sang...
Tu vois ,pas mal d'auteur de sf se voient obligé de tout justifier ,mais cela n’intéresse pas du tout le lecteur vu que c'est du pur charabia.
Ensuite ,ton personnage est un peu flou ,pas bien personnifié .Enfin j'ai lu le texte à l'arrache mais bon .
Après charabia sur charabia ça fait au final...du charabia :p Essaye d'être plus direct dans tes descriptions :Le rayon fusa et dématérialisé la belette dans une gerbe de sang...
Ensuite hakkrat ,je crois avais fait un cours sur la tension et le début d'un roman sert 'en pour accrocher un peu plus ton lecteur .
Dés la première phrase commence à emmener l'intrigue.
Sinon ,ouai l'idée de base avec des amélioration est pas mal _________________ La pire que chose que tu écris est toujours mieux que la meilleure chose que tu aies jamais écrite.
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| Sujet: Re: Somnia | |
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| | | | Somnia | |
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