Atelier d'écriture Communauté d'écrivains en herbe |
| | Xeffey | |
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Invité Invité
| Sujet: Xeffey Jeu 17 Jan 2013 - 18:48 | |
| Salut tout le monde! voici une nouvelle petite histoire qui, pour ne pas changer, se déroule dans Orana. le titre est provisoire, je le changerais à un moment ou à un autre. Je n’étais encore jamais allé aussi loin à l’est de ma maison, le décor alentour était nouveau pour moi. Je respirai profondément, ici était ma vraie place, loin des hommes, loin de tout. Seule la fumée qui s’élevait loin au nord-ouest me signalait la présence d’Inial, un petit bourg non loin du mien, Qualter. Plus loin encore, près de l’horizon, s’apercevait les haute tours d’Aliano. Mais dans l’immédiat, je m’intéressai plus à mes environs immédiats, les arbres, les buissons, les pierres. Cela pourrait paraître anodin pour bon nombre de personne mais moi, j’aimais ça plus que tout au monde. De plus, c’était une belle journée, le printemps était déjà bien avancé et les températures devenaient de plus en plus agréables. Les insectes ressortaient après l’hiver et envahissaient l’air de petites stridulations. Au loin, s’entendait les appelle d’oiseaux de proies et le chant d’un ruisseau fougueux rejoignant certainement, par un chemin ou un autre, le Vil loin en aval. Je me remit en marche, le bruit de mes pas étouffé par l’herbe rase et dépassai un grand talus couvert de hauts arbustes et put enfin apercevoir la forêt de Demolkhor. C’était un peu pour elle que j’étais venu ici, on m’avait toujours conseillé et interdit de m’en approcher, protestant que ses troncs sombres et serrés renfermaient foule de créatures dangereuse. En particulier les immanios, ces bêtes féroces terrifiait au plus au point les villageois. Moi-même j’avais vu ce qu’il advenait quand une caravane se faisait attaquer par l’une de ces créatures. J’avais vu des corps à peine reconnaissable, ça aurait aussi bien pu être des chiens que cela n’aurait pas changé grand-chose. Un bref cris ce fit entendre et me chassa ces terribles images de la tête. Je me tournai vivement en direction de sa provenance mais je ne vis qu’une ombre détaler dans la prairie, certainement un cell. Je ne m’étais pas arrêté si bien que je ne me trouvais plus maintenant qu’a une trentaine de mètre de la lisière de la forêt. Je m’arrêtai, conscient du danger qu’elle représentait puis prit mon courage à deux mains et recommençai à marcher. En à peine cinq minutes j’étai devant les grands et ténébreux troncs et après un bref coup d’oeil en arrière, je pénétrai dans les bois. Directement, la pénombre fut sur moi, les feuilles bloquant la chaude lumière du soir. Je fit craquer une branche sous mon pied ce qui trancha avec le silence environnent. Je’ m’arrêtai, sur le qui vive, puis, n’apercevant aucune réactions, je reparti en faisant plus attention où je mettais les pieds. Je pus à peine faire quelques petits pas qu’un cri me gela littéralement sur place. Cette sensation me rappela immédiatement les paroles d’Hirlia, une vieille femme qui me servait de nounou étant plus petit : « Seule une créatures peut glacer les hommes de son cris aussi fort que le blizzard de la plaine de glace ». L’imanio, me dit je intérieurement et dès que j’eu comprit à quoi j’avais affaire, je fis demi-tour et, prit de panique, je couru aussi vite que je le put. Après une quinzaine de minutes de course effrénée et des centaines de mètres, je me permis une pause. La forêt avait disparut mais rien ne me permis de savoir si on me suivait. Je reprit donc ma cours quelques instant après m’être adossé à une souche pour creuser d’avantages l’écart entre l’immanio et moi-même. J’arrivai enfin en terrain connu, j’y connaissais chaque arbre, arbustes et pierres, tout de petits détails à qui personne d’autres ne faisait attention me permettait de m’y reconnaître. J’arrivai donc sans aucun problème au chemin reliant mon village à celui d’Inial et je ralenti enfin le rythme, j’était bientôt chez moi. J’aperçut enfin les premières bâtisses, des constructions simples en bois aux toits de chaumes et soutenues par de grosses poutres et basées sur des fondations de pierres. « Bonjour Al », fit je en croisant le grand bûcheron à la mine bourrue qui partait, la hache sur l’épaule, en direction de la forêt et qui me répondit par un hochement de tête. Je croisai d’autres personnes encore : Falia, la femme d’Erik, le forgeron, et ses deux derniers enfants, la vieille Hirlia, Terry et Brandon réparant une carriole brisée. Je leur dit tous bonjour de loin puis ouvrit la porte d’une petite cabane me servant de « salle de trésor ». J’y déposai mon petit couteau que j’avais caché sous mon fin veston en dessous des bois d’un coureur trouvé quelques années auparavant puis je ressorti et pénétrai chez moi. -Où étais tu ? me demanda ma mère d’un ton furibond. Je t’ai déjà dit de ne pas partir trop loin de la maison. Dépêche toi de ranger tes affaires, le repas est prêt. Et n’oublie pas de te laver, tu es dégelasse, termina-t-elle alors que je disparaissait dans l’escalier. j'attend vos commentaires
Dernière édition par Tiyan le Ven 18 Jan 2013 - 17:10, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Xeffey Ven 18 Jan 2013 - 10:42 | |
| Hello , Alors je ne ferais pas de commentaire orthographique, je laisserais passé la moitié des erreurs ^^. Mais une petite relecture s'impose, certaines fautes sont énormes et m'ont stoppées net dans ma lecture, par exemple : met pas au lieu de mes pas ^^. Et des phrases qui veulent rien dire! - Citation :
- J’y déposai mon petit couteau que j’avais caché sous mon fin veston en dessous des bois d’un coureur trouvé quelques années auparavant puis je ressorti et pénétrai chez moi.
Sinon en tant que lecteur, il n'y a rien dans cet extrait qui me donne envie de poursuivre désolé :( . Ce que je veux dire par là, c'est qu'il n'y a aucun début d'intrigue, il s'agit juste d'une petite randonnée du héros, on sait pas trop pourquoi ^^, on a aucune idée de ce qu'il va se passer dans ton histoire, donc on a pas envie de la lire. Voilà voilà, à la limite ça peut être un extrait qui se trouverait dans le livre, mais pas pour le commencer ^^. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Xeffey Ven 18 Jan 2013 - 17:09 | |
| yoh! merci de m'avoir lut et désolé si ça ne t'as pas plut mais peut-être que les infos que je te donnerai pourront te permettre de mieux comprendre certaines choses. pour l'extrait que tu as cité, peut être comprendrais tu mieux si je te disais que le "coureur" est un animal. ^^ par contre pour les fautes, j'ai beau relire trois fois mon texte je ne les vois pas. désolé. ET enfin, cet extrait est seulement le premier tiers du premier chapitre et tu aurais normalement dut le lire avec la suite bon, je vois que j'ai encore du boulot^^ |
| | | Elann Accro au forum ? Oui, pourquoi ?
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| Sujet: Re: Xeffey Ven 18 Jan 2013 - 21:15 | |
| Bon, bon, Titou a raison, pas mal de fautes... Alors au boulot ! - Spoiler:
- Citation :
- Salut tout le monde!
voici une nouvelle petite histoire qui, pour ne pas changer, se déroule dans Orana. le titre est provisoire, je le changerais (changerai) à un moment ou à un autre.
Je n’étais encore jamais allé aussi loin à l’est de ma maison, le décor alentour était nouveau pour moi. Je respirai profondément, ici était ma vraie place, loin des hommes, loin de tout. Seule la fumée qui s’élevait loin (répétition "loin") au nord-ouest me signalait la présence d’Inial, un petit bourg non loin (et encore...) du mien, Qualter. Plus loin (un "loin" acheté égal 32 offerts ?) encore, près de l’horizon, s’apercevait (s’apercevaient) les haute tours d’Aliano. Mais dans l’immédiat, je m’intéressai plus à mes environs immédiats, les arbres, les buissons, les pierres. Cela pourrait paraître anodin pour bon nombre de personne (personnes) mais moi, j’aimais ça plus que tout au monde. De plus, c’était une belle journée, le printemps était déjà bien avancé et les températures devenaient de plus en plus agréables. Les insectes ressortaient après l’hiver et envahissaient l’air de petites stridulations. Au loin, s’entendait (s'entendaient) les appelle (appels) d’oiseaux de proies et le chant d’un ruisseau fougueux rejoignant certainement, par un chemin ou un autre, le Vil loin ( héhé, oui... Encore un "loin"...) en aval. Je me remit (remis) en marche, le bruit de mes pas étouffé par l’herbe rase et dépassai un grand talus couvert de hauts arbustes et put (pus) enfin apercevoir la forêt de Demolkhor. (La phrase est maladroite, deux fois "et", découpe-là, allège-là ou ce que tu veux mais modifie cela ) C’était un peu pour elle que j’étais venu ici, on m’avait toujours conseillé et interdit de m’en approcher (en même temps, conseillé et interdit d'y aller ? Euh... ), protestant que ses troncs sombres et serrés renfermaient foule de créatures dangereuse (dangereuses) . En particulier les immanios, ces bêtes féroces terrifiait (terrifiaient) au plus au point les villageois. Moi-même j’avais vu ce qu’il advenait quand une caravane se faisait attaquer par l’une de ces créatures. J’avais vu (répétition "avais vu") des corps à peine reconnaissable (reconnaissables) , ça aurait aussi bien pu être des chiens que cela n’aurait pas changé grand-chose. Un bref cris (cri) ce (se) fit entendre et me chassa ces terribles images de la tête. Je me tournai vivement en direction de sa provenance mais je ne vis qu’une ombre détaler dans la prairie, certainement un cell. Je ne m’étais pas arrêté si bien que je ne me trouvais plus maintenant qu’a une trentaine de mètre (mètres) de la lisière de la forêt. Je m’arrêtai, conscient du danger qu’elle représentait puis prit (pris) mon courage à deux mains et recommençai à marcher. En à peine cinq minutes j’étai (étais) devant les grands et ténébreux troncs et après un bref coup d’oeil en arrière, je pénétrai dans les bois. Directement, la pénombre fut sur moi, les feuilles bloquant la chaude lumière du soir. Je fit (fis) craquer une branche sous mon pied ce qui trancha (j'ai l'impression que "trancher" n'est pas très approprié ici...) avec le silence environnent (environnant) . Je’ m’arrêtai, sur le qui vive (qui-vive) , puis, n’apercevant aucune réactions (réaction) , je reparti (repartis) en faisant plus attention où je mettais les pieds. Je pus à peine faire quelques petits pas qu’un cri (c'est un peu répétitif tout ça... Deuxième fois qu'un cri lui fait peur en deux paragraphes...) me gela ("me glaça" plutôt, je crois.) littéralement sur place (et deuxième fois aussi qu'il s'arrête par peur... dans le même paragraphe) . Cette sensation me rappela immédiatement les paroles d’Hirlia, une vieille femme qui me servait de (ça fait un peu esclave dit comme ça...) nounou étant plus petit : « Seule une créatures peut glacer les hommes de son cris ("cri", mais arrête donc avec "cris", Cris, c'est lui) aussi fort que le blizzard de la plaine de glace ». L’imanio, me dit je (dis-je) intérieurement et dès que j’eu comprit (eus compris) à quoi j’avais affaire, je fis demi-tour et, prit (pris) de panique, je couru (courus) aussi vite que je le put (pus) . Après une quinzaine de minutes de course effrénée et des centaines de mètres, je me permis une pause. La forêt avait disparut (disparu)mais rien ne me permis (répétition "permis") de savoir si on me suivait. Je reprit (repris) donc ma cours (course) quelques instant (instants) après m’être adossé à une souche pour creuser d’avantages (d'avantage) l’écart entre l’immanio et moi-même. J’arrivai enfin en terrain connu, j’y connaissais chaque arbre, arbustes et pierres (arbuste et pierre) , tout de petits détails (pas compris, là... ? "tous des petits détails", non ?) à qui personne d’autres (d'autre) ne faisait attention me permettait (répétition de "permettre/permis") de m’y reconnaître (ça ne veut pas dire grand chose... "de m'y retrouver" peut-être, non ?) . J’arrivai donc sans aucun problème au chemin reliant mon village à celui d’Inial et je ralenti (ralentis) enfin le rythme, j’était (étais) bientôt chez moi. J’aperçut (aperçus) enfin les premières bâtisses, des constructions simples en bois aux toits de chaumes (au toit de chaume) et soutenues par de grosses poutres et (fais attention aux "et" que tu as tendance à répéter au détriment d'une virgule) basées sur des fondations de pierres. « Bonjour Al », fit je (fis-je) en croisant le grand bûcheron à la mine bourrue (un peu (beaucoup) cliché...) qui partait, la hache sur l’épaule, en direction de la forêt et qui me répondit par un hochement de tête. Je croisai d’autres personnes encore : Falia, la femme d’Erik, le forgeron, et ses deux derniers enfants, la vieille Hirlia, Terry et Brandon réparant une carriole brisée (je trouve cette énumération un peu "surfaite" et inutile... On ne connait pas ces gens et on dirait que tu les cites juste pour le plaisir de le faire.) . Je leur dit (dis) tous bonjour de loin (maladroit... "je les saluai de loin") puis ouvrit (ouvris) la porte d’une petite cabane me servant de « salle de trésor ». J’y déposai mon petit couteau que j’avais caché sous mon fin veston en dessous des bois d’un coureur (qu'est-ce qui est sous les bois du-dit coureur ? le couteau ? Le veston ?) trouvé quelques années auparavant puis je ressorti (ressortis) et pénétrai chez moi (dire "je pénétrai chez moi" (certes bien conjugué... ^^) est assez moche à mon goût... il "rentre" chez lui tout simplement, non ?) .
-Où étais tu (étais-tu) ? me demanda ma mère d’un ton furibond ("ton furibond" sonne bizarre, dis plutôt que la mère est furibonde.) . Je t’ai déjà dit de ne pas partir trop loin de la maison. Dépêche toi (dépêche-toi) de ranger tes affaires, le repas est prêt. Et n’oublie pas de te laver, tu es dégelasse (dégueulasse) , termina-t-elle alors que je disparaissait (disparaissais) dans l’escalier.
j'attend (j'attends) vos commentaires
Surtout des problèmes de conjugaison (et beaucoup...) ... On dirait que tu as écrit tout le texte à la troisième personne du singulier et qu'au dernier moment, changeant d'avis, tu as ré-écrit à la première personne en omettant de modifier un verbe sur deux... Utilise ça lorsque tu as un doute (et même quand tu n'en as pas d'ailleurs... Il est toujours utile de vérifier...): http://la-conjugaison.nouvelobs.com/ Sinon, tu adores quand tes personnages se font engueuler par leurs parents, ou quoi ? ^^ Comme le dit Titou, on n'a pas la moindre idée de ce que tu vas bien pouvoir raconter après ça... Et on ne sait pas non plus pourquoi tu nous as parlé de cette balade... Alors j'attends d'en lire (et d'en savoir) plus avant de me prononcer quant à la trame du récit... _________________ Je suis né pour te connaître, pour te nommer, liberté. Paul Eluard
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| Sujet: Re: Xeffey Sam 19 Jan 2013 - 10:28 | |
| voici le texte corrigé, modifié et tout le tralala...^^ Je n’étais encore jamais allé aussi loin à l’est de ma maison, le décor alentour était nouveau pour moi. Je respirai profondément, ici était ma vraie place, loin des hommes, loin de tout. Seule la fumée qui s’élevait derrière un petit bois, au nord-ouest, me signalait la présence d’Inial, un petit bourg construit près du mien, Qualter. Plus distantes encore, près de l’horizon, s’apercevaient les hautes tours d’Aliano. Mais dans l’immédiat, je m’intéressai plus à mes environs immédiats, les arbres, les buissons, les pierres. Cela pourrait paraître anodin pour bon nombre de personnes mais moi, j’aimais ça plus que tout au monde. De plus, c’était une belle journée, le printemps était déjà bien avancé et les températures devenaient de plus en plus agréables. Les insectes ressortaient après l’hiver et envahissaient l’air de petites stridulations. Dans le lointain, s’entendaient les appels d’oiseaux de proies et le chant d’un ruisseau fougueux rejoignant certainement, par un chemin ou un autre, le Vil plus bas en aval. Je me remis en marche, le bruit de mes pas étouffé par l’herbe rase. Je dépassai ensuite un grand talus couvert de hauts arbustes et put enfin apercevoir la forêt de Demolkhor. C’était un peu pour elle que j’étais venu ici, on m’avait toujours conseillé et interdit de m’en approcher, protestant que ses troncs sombres et serrés renfermaient foule de créatures dangereuses. En particulier les immanios, ces bêtes féroces terrifiaient au plus au point les villageois. Moi-même je savais ce qu’il advenait quand une caravane se faisait attaquer par l’une de ces créatures. J’avais vu des corps à peine reconnaissables, ça aurait aussi bien pu être des chiens que cela n’aurait pas changé grand-chose. Le brâme d’un celle s’éleva soudain au loin et me chassa ces terribles images de la tête. Je me tournai en direction de sa provenance et plissai les yeux pour apercevoir le grand herbivore mais je ne pus le voir. Je ne m’étais pas arrêté si bien que je ne me trouvais plus maintenant qu’a une trentaine de mètres de la lisière de la forêt. Je m’arrêtai, conscient du danger qu’elle représentait puis pris mon courage à deux mains et recommençai à marcher. En à peine cinq minutes j’étais devant les grands et ténébreux troncs et après un bref coup d’oeil en arrière, je pénétrai dans les bois. Directement, la pénombre fut sur moi, les feuilles bloquant la chaude lumière du soir. Je fis craquer une branche sous mon pied ce qui trancha avec le silence environnant. Je m’arrêtai, sur le qui vive, puis, n’apercevant aucune réaction, je repartis en faisant plus attention où je mettais les pieds. Je pus à peine faire quelques petits pas qu’un hurlement me glaça littéralement sur place. Cette sensation me rappela immédiatement les paroles d’Hirlia, une vieille femme qui fut ma nounou étant plus petit : « Seule une créatures peut glacer les hommes de son cri aussi fort que le blizzard de la plaine de glace ». L’imanio, me dit-je intérieurement et dès que j’eus comprit à quoi j’avais affaire, je fis demi-tour et, pris de panique, je courus aussi vite que je le pus. Après une quinzaine de minutes de course effrénée et des centaines de mètres, je m’autorisai une pause. La forêt avait disparu mais rien ne me permit de savoir si on me suivait. Après m’être adossé à une souche quelques instants, je repris donc ma course pour creuser d’avantage l’écart entre l’immanio et moi-même. J’arrivai enfin en terrain connu, j’y reconnaissais chaque arbre, arbuste ou pierre soit grâce à une singularité, soit à cause de son emplacement, tous des petits détails auxquels personne d’autres ne faisait attention et qui me permettait de les différencier. J’arrivai donc sans aucun problème au chemin reliant mon village à celui d’Inial et je ralentis enfin le rythme, j’étais bientôt chez moi. J’aperçus enfin les premières bâtisses, des constructions simples en bois, aux toits de chaumes, soutenues par de grosses poutres et basées sur des fondations de pierres. « Bonjour Al », fit-je en croisant le grand bûcheron à la mine bourrue qui partait, la hache sur l’épaule, en direction de la forêt et qui me répondit par un hochement de tête. Je croisai d’autres personnes encore : Falia, la femme d’Erik, le forgeron, et ses deux derniers enfants, la vieille Hirlia, Terry et Brandon réparant une carriole brisée. Je les saluai de loin puis ouvris la porte d’une petite cabane me servant de « salle de trésor ». J’y déposai mon petit couteau à côté des bois d'un coureur, trouvés quelques années auparavant, qui se trouvait sur une petite étagère puis, ceci fait, je ressortis et rentrai chez moi. -Où étais-tu ? me demanda ma mère furibonde. Je t’ai déjà dit de ne pas partir trop loin de la maison. Dépêche-toi de ranger tes affaires, le repas est prêt. Et n’oublie pas de te laver, tu es dégueulasse, termina-t-elle alors que je disparaissais dans l’escalier. j'ai fait attention à tout ce que tu avais mentionné Elann. la suite arrivera demain Edit: j'ai essayé d’arranger la phrase citée plus bas par Titou, c'est mieux ainsi?
Dernière édition par Tiyan le Sam 19 Jan 2013 - 14:59, édité 3 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Xeffey Sam 19 Jan 2013 - 13:54 | |
| Hello , C'est beaucoup mieux au niveau de l'orthographe , mais au niveau syntaxique il y a encore des bémols. - Citation :
- J’y déposai mon petit couteau et ma ceinture à laquelle il avait été attaché pendant ma balade en dessous des bois d’un coureur trouvé quelques années auparavant puis je ressortis et rentrai chez moi.
Le fait que l'on sache que le coureur est un monstre n'arrange en rien la compréhension de la phrase, il faut minimum 2 relectures pour la comprendre! Il n'y a pas de virgule, pas de point, et on voit difficilement où tu veux en venir, c'est trop alambiqué! C'est de ça que je te parlais la première fois ^^, si le lecteur doit revenir plusieurs fois sur tes phrases, le rythme ne s'installe pas, et tu ne captive pas son attention, il vaut mieux faire des phrases plus courtes et surtout plus simple! Un style simple et compréhensible est préférable de très loin à un style compliqué auquel personne ne comprend rien ^^! PS: j'ai fais lire cette phrase par plusieurs personnes, et celle d'avant aussi pour qu'ils aient bien le contexte, et le verdict est le même |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Xeffey Sam 19 Jan 2013 - 15:59 | |
| Je n'ai pas lu aussi la version non corrigée, parce que je suis un connard. Sur ce, je te donne mon avis sur ce petit passage. Mmm. C'est pas génial, génial en fait. Pour une fois, je ne ferais pas sempiternelle critique au niveau de l'originalité, vu la taille du texte. Tu n'as pas sorti de gros clichés, donc aucun problème de ce côté là. Par contre, ce qui pèche clairement, c'est la forme. Il y a énormément de fautes, et un nombre hallucinant de problèmes de concordances des temps. Pour les trouver, tu peux te relire, ou bien attendre Elann. ^^ (perso, je fais la grammaire à l'instinct, j'ai oublié quasiment toutes les règles qu'on m'a faites apprendre. ) Ensuite, ce qui est encore plus problématique, c'est que tes phrases portent un sens qui ne me semble pas celui que tu veux faire passer. Un exemple sera plus parlant : - Tiyan a écrit:
- Je fis craquer une branche sous mon pied ce qui trancha avec le silence environnant.
Quand j'ai lu cette phrase, j'ai pensé pendant un moment que le personnage avait fait craqué la branche exprès! (parce que c'est exactement ce que dis la tournure). Et vu que ton personnage, ce n'est pas un manipulateur psychopathe de génie qui se dit qu'il va faire craquer une branche sous ses pieds pour attirer les bêtes et avoir le plaisir de les déchiqueter, c'est pas très bon. Pour faire passer ce genre d'action qui se passe malgré la volonté du personnage, le passif est très bien. A part ça, y a juste pas de rythme. J'ai essayé d'en trouver un, mais ça part dans tous les sens, et les phrases ne s’arrêtent jamais au "bon" endroit. Voila voila. ^^ bon, je lirais la suite quand même hein. Bon courage. |
| | | Elann Accro au forum ? Oui, pourquoi ?
Nombre de messages : 770 Age : 29 Localisation : Nord Date d'inscription : 13/06/2012
| Sujet: Re: Xeffey Sam 26 Jan 2013 - 22:24 | |
| - Tiyan a écrit:
- j'ai fait attention à tout ce que tu avais mentionné Elann.
Pas tout à fait... - Spoiler:
- Citation :
- Je dépassai ensuite un grand talus couvert de hauts arbustes et put enfin apercevoir la forêt de Demolkhor.
pus - Citation :
- je ne me trouvais plus maintenant qu’a une trentaine de mètres
qu'à - Citation :
- Je m’arrêtai, sur le qui vive,
qui-vive - Citation :
- Seule une créatures peut glacer les hommes
créature - Citation :
- L’imanio, me dit-je intérieurement
dis-je - Citation :
- J’aperçus enfin les premières bâtisses, des constructions simples en bois, aux toits de chaumes
au toit de chaume. - Citation :
- Bonjour Al », fit-je en croisant le grand bûcheron
fis-je
Aurais-je eu l'audace d'avoir laissé passer tout ça la première fois ? ^^ Et cette phrase qui cloche toujours... - Citation :
- J’y déposai mon petit couteau à côté des bois d'un coureur, trouvés quelques années auparavant, qui se trouvait sur une petite étagère puis, ceci fait, je ressortis et rentrai chez moi.
Analysons... "J'y déposai mon couteau à côté des bois d'un coureur, trouvés quelques années auparavant" Jusque là tout va pour le mieux. Mais après... en fait on ne sait pas quel est l’antécédent de la relative introduite par "qui". Donc je te propose d'arrêter la phrase à "quelques années auparavant". Puis de reprendre dans une autre phrase le reste. Ou... ou ça: "J'y déposai mon couteau sur une petite étagère, à côté des bois d'un coureur trouvés quelques années auparavant. Ceci fait, je ressortis et rentrai chez moi." - L'homme qui fait de la grammaire à l'instinct a écrit:
- Pour les trouver, tu peux te relire, ou bien attendre Elann. ^^
Il faudra bien un jour vous sevrer mes petits... ^^ _________________ Je suis né pour te connaître, pour te nommer, liberté. Paul Eluard
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Xeffey Dim 27 Jan 2013 - 11:57 | |
| oui, je crois bien que tu a laissé passé ces quelques fautes^^ mais, c'est pas grave, je les corrigerais bientôt. merci encore pour ta correction, je ne savais vraiment pas comment arranger cette phrase. excusez le retard, mais j'ai pas eu le temps (ni l'envie) de continuer ce texte, peut-être la semaine prochaine. |
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| Sujet: Re: Xeffey | |
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| | | | Xeffey | |
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