merci
c'est vrai que la marque ONDAR je sert pas à grand chose ici en faite et je pourrais en crée pour les remplacer c'est tout à fait possible mais en faite vu que je la poste sur un blog où j'ai pas mal de retour et que pas mal de monde me suis (pas au début parce que c'est vrai que les premiers chapitre ne sont pas top) si je change tout d'un coup on ne comprendras plus grand chose
mais je prend note et pour ma prochaine fiction je créerais mes propres personnages.
Voici les chapitre 4, 5, 6 vu qu'ils sont très court.
Chapitre 4 : La partie continue
21/12/12 O1HOO Banlieue de Paris - France
La pluie battante frappait la façade de la maison avec une puissance sans pareille. La foudre, accompagnée du vent, dessinaient en cette nuit, un spectacle des plus effrayants. Les éclairs zébrant le ciel et déchirant le silence quasi religieux de l'endroit faisait voler les feuilles. Elles dansaient au rythme des bourrasques à travers la campagne endormie.
Alors que les éléments se déchainaient en ce lieu, et que tout portait à croire en une fin tragique de l'espèce humaine, mais aussi de toute autre forme de vie vagabondant ce monde, plus loin, un autre spectacle se déroulait...
"Aie !!!"
Le cri transperçât la pièce dans la semi-obscurité.
"Arrête de faire ton douillé deux minutes tu veux ! Supplia Florent.
- C'est facile à dire. Ça se voit que ce n'est pas toi qui a roulé sur 10 mètres."
Florent, armé d'une pince à épiler et de coton imbibés d'alcool à 90°, s'improvisait infirmier auprès de Jeremy dans le salon d'Arnaud.
Quand à celui-ci, il était assis sur le canapé, fixant le mur de ses yeux rougis par les larmes qui n'avait cessées de couler depuis plus d'une heure. La perte de sa compagne pendant l'accouchement l'avait terriblement perturbé, et il ne savait plus vraiment quoi penser alors que son enfant se trouvait actuellement à l'hôpital, étant née prématurément. Des larmes et des sanglots à répétition se faisaient entendre depuis le fond de la pièce dans l'obscurité.
Posant délicatement ses ustensiles sur le comptoir du bar, Florent alla s'asseoir aux côté de son ami qu'il enlaça d'un étreinte amical pour le rassuré.
"T'inquiète mon pote... On sera là si tu as besoin..." Chuchota-t-il alors que l'homme au bouc prenait sa tête dans ses mains.
Une larme roula sur la joue de Jeremy, toujours au fond de la pièce sur la chaise du bar. Il n'aimait pas le voir dans un tel état ! Mais aussi car la mort de Sandrine avec qui il avait sympathisé l'attristé aussi. Tout le monde pensait que l'humoriste à l'humour noir n'avait pas de cœur, mais c'était tout le contraire. Il lui arrivait souvent de pleuré ou d'être triste pour de petite chose sans importance. Peu de personne le savait et sa lui allais comme cela.
Un bruit strident se fit entendre du fond de la maison, non loin de la porte d'entrée. Relevant la tête, Arnaud scruta l'obscurité à la recherche de ce qui aurait pu provoquer le bruit. Ses deux amis présent ne réagissant pas, il se leva et se dirigea vers l'entré.
"Tu vas où comme ça ? Lança Jeremy.
- Vous n’avez pas entendu ?
- Bas si mais sa doit être juste une branche contre le volet..."
Arnaud se retourna juste devant l'encadreur de la porte. Son visage était devenu blanc comme la mort et de la peur se lisait dans son regard humide.
"Vite venait ! Faut qu'on dégage là !!! Cria Arnaud."
Arnaud attrapa à la volé son manteau ainsi que les clé de la voiture sous le regard interrogateur des deux autres hommes. Jeremy allait lui demander se qu'il lui prenait mais le temps lui manqua. A peine s'était-il dirigé vers la porte qu'une scène d'horreur s'offrit à lui...
Centre de météorologie - France
Une sirène retentie dans tout le bâtiments dans le noir complet. Plus loin, dans les dortoirs, un homme se levait à la hâte et se mit à courir dans les couloirs sombres du centre. D'autre pas se firent entendre mélanger à l'alarme assourdissante qui ne s'arrêtait pas.
Une porte s'ouvra brusquement et le premier homme la passa pour s'assoie devant un ordinateur qui affichait un nombre incalculable de donnée et incompréhensible pour de nombreuse personne.
Le directeur s'avança dans la salle qui fourmillé de personne pour rétablir la situation. Quelqu'un se tourna vers lui la mine résigné.
"On a un très gros problème... Voir plusieurs !"
Chapitre 5 : Pas sans elle…
01H10 Banlieue Parisienne – France
Arnaud ouvrit la porte.
Jeremy qui arrivait en courant regarda par l’ouverture et vis une chose horrible.
Dans le ciel se dressait un cône grisâtre tourbillonnant sur lui-même et emportant dans son sillage tout ce qui se trouvait à sa portée. Cette tornade, on l’aura donc compris, se dirigeait droit vers Paris, et notamment sur la maison d’Arnaud.
« Faut qu’on dégage… »
Jeremy avait soufflé cela tout en prenant Florent par le bras et l’entrainant vers la voiture d’Arnaud déjà à l’intérieur. Le vent soufflait sur les deux amis qui eurent du mal à rejoindre le garage en évitant les branches qui volaient.
« Merde… Ma moto… »
Jeremy se retourna sur l’homme qui venait de prononcer cela. Le regarda dans les yeux avant de murmurer :
« Là c’est soit ta moto à la con soit ta vie ! Tu choisi ? »
Florent hésita et à plusieurs reprise se tourna vers la cylindré qui croulait à présent sous les feuilles et les branches.
« Je n’aurais aucun pitié à te laisser là si tu nous ralentis… »
Le regard de Ferrari était empli d’un mélange de peur et de colère, glacial et dure. Ses cheveux lui tombaient sur les yeux sans qu’il prenne la peine de les rabattre en arrière alors qu’il tenait toujours le bras de son ami sous le plus battante de cette sombre nuit. Après quelques coups d’œil en arrière, il se décida enfin à le suivre.
La voiture démarra au quart de tour et les roues glissèrent sur le gravier trempé. Des éclairs tranchèrent le ciel alors la tempêtes se rapprochait dangereusement.
« Tu ne veux pas te dépêcher un peu ?! Cria Jeremy à l’arrière de la voiture.
- Si tu n’es pas content tu le fait toi-même, répliqua Arnaud.
- Tu ne vas pas me le dire deux fois… »
En un rien de temps, le plus jeune se faufila sur la place avant et échangea de place avec le conducteur, non sans mal. Il fit demi-tours et poussa la voiture à l’extrême sur la petite route goudronnée.
« On peut s’avoir où tu vas ?
- Je m’éloigne de ce monstre !
- Ah non !!! »
Jeremy freina brusquement, manquant de se retrouver dans le fossé et se retourna vers celui qui venait de crier.
Tsamere se dressait fièrement sur le siège arrière, mâchant nerveusement sa lèvre inferieure coupé d’où quelques gouttes de sang s’échappaient.
« On ne part pas sans Lucie ! !
- Sans qui ? »
Florent écarquilla les yeux alors qu’il était torturé par la peur.
« Je ne retourne pas là-bas ! C’est hors de question ! »
Il ouvrit la portière, laissant entré la pluie et les bourrasques de vent. Elle claqua sous une rafale, se refermant sur la jambe de l’humoriste alors qu’il s’apprêtait à sortir. Un hurlement se fit entendre du jeune homme. Il la débloqua miraculeusement mais, le sang ruisselait de son mollet et une frotte entaille se découvrait.
« Bon ! Maintenant toi tu restes là ! Cria Jeremy, Yen a marre de tes conneries ! »
Il enleva son t-shirt et le noua autour de la blessure sous un cri du blessé.
« Là ! Et maintenant tu te tien à carreau ! Et toi ? C’est qui cette Lucie ?
- A ton avis ? C’est son gosse pardi ! Siffla Florent entre ses dents. »
Arnaud acquiesça d’un hochement de tête. Sa fille se trouvait toujours à l’hôpital et il n’était pas prêt à partir sans elle…
Chapitre 6 : Bienvenue…
La voiture roulait à une vitesse prodigieuse sur la petite route du sud de Paris. Toutes les âmes présente à l’intérieur du véhicule tremblaient de peur mais aussi de froid. Leur but : Récupérer la petite Lucie de l’hôpital puis décampé aussi vite que possible pour échapper à la tempête grandissante.
Cela faisait maintenant plus d’un quart d’heure qu’il roulait, et la clinique apparaissait peu à peu au loin dans toute la grisaille qui l’entourait.
Ouvrant la portière à la hâte lorsque la voiture dérapa devant l’entrée, Arnaud couru aussi vite que possible pour rejoindre l’entrée. Mais, une bourrasque, bien plus puissante que les précédentes le firent chuter. Tombant lourdement sur le sol, il se redressa et rejoignit l’entrée.
Une vraie fourmilière se dessinait sous ses yeux en voyant la cohue à l’intérieur du centre. Il regarda autour de lui pour essayer d’apercevoir le panneau « nouveau-né ». Une fois repérer, il passa cette porte, le menant aux couveuses où étaient regroupés tous les nourrissons.
« Mince… »
Il n’en croyait pas ses yeux, une vingtaine de bébé étaient dans cette pièce. Comment allait-il trouver Lucie ? Il était tous identiques, et sa fille n’avait aucun signe distinct pour la différencier des autres.
« Bon qu’est-ce que tu fous ?! »
Jeremy apparut dans l’encadrement de la porte. Arnaud n’eut pas le temps de parler qu’il regardait déjà toutes les fiches accrochées au berceau.
« Putain c’est pas possible, jura-t-il entre ses dents. »
Depuis cinq minutes qu’il cherchait sans succès. Tous les berceaux avaient été inspectés…
« Hé merde ! Elle est où ta gamine ? Cria-t-il »
Quelques nourrissons commencèrent à pleurer, et d’un signe de tête, Arnaud fit signe à son acolyte de le suivre. Par chance aucune infirmière ne se trouvait dans les parages par cause de l’abondance de blesser qui arrivait. Cherchant du regard, ils trouvèrent le panneau « prématurés ».
La salle était vide, plongé dans l’obscurité, un seul berceau trônait dans un coin de la pièce, sous une lumière à UV. Après quelques vérifications, le papa prit sa fille dans les bras avant de l’enrouler dans une couverture.
« Tu vas pas partir comme ça ?
- Bas si ! Pourquoi ? »
Jeremy ne répondit pas. Il prit un sac en vitesse et fourra à l’intérieur tout ce qui lui semblait utile pour un bébé. Couche, vêtement chaud et boite de lait en poudre ne firent pas exception. Une fois tout cela dans la sacoche, ils rejoignirent la voiture.
« Ha bas ce n’est pas trop tôt ! Râla Florent.
- Toi ta gueule, cria Jeremy. »
Il démarra le véhicule en vitesse et rejoignit en moins de temps qu’il faut pour le dire, la maison d’Arnaud qu’il dépassa et fila tout droit sur la route de campagne. Derrière eux, la masse grisâtre grandissant à vue d’œil et rien ne pouvait l’arrêter. Et, à cette allure-là, ils ne pourraient pas échapper à la tornade. Regardant machinalement dans le rétroviseur, le plus jeune n’était pas sur d’arriver à s’éloigner suffisamment. Il avait beau accélérer, cette voiture n’était pas un bolide et il était certain que ce monstre les rattraperait.
« On n’aura pas le temps ! »
Détachant sa ceinture de sécurité, il prit le sac de vêtements et sortis. Arnaud fit de même en serrant Lucie dans ses bras et la protégeant du vent et de la pluie. Florent quant à lui s’extirpa avec peine et rejoignit ses amis qui se cachaient dans le fossé, à l’abri des intempéries.
Malheureusement, ils ne le savaient pas, mais ce ne serait pas suffisant pour y échapper. Un triste sort leurs étaient réservés. Un monstre se dressait maintenant à quelques mètres d’eux et des bourrasques impressionnantes se faisaient ressentir.
Mais, une sphère bleue apparut soudainement, protégeant notre petit groupe. Puis, celle-ci explosa au passage de la tornade.
Maintenant, un trou était visible, mais aucune trace de vie n’y était présente…
*****
Dans un monde complètement diffèrent dû nôtre, où la paix et le calme règnent en maitres sur les lieux, un autre spectacle était visible, celui de petit homme bleu préparant une fête dans un village.
Plus loin, non loin de la rivière où l’un d’eux remplissait de l’eau dans une coquille de noix vide, notre sphère réapparut.
Nos trois compagnons, accompagnés du bébé, avait atterri sur le rivage, sous une autre forme. Notre petit bonhomme, cria désespérément en voyant le groupe.
« Hum… qu’est-ce qui s’est passé, souffla Jeremy en se frottant le crane.
- Je n’en sais rien du tout… répliqua Florent.
- Haaaaa !!! »
Ils se retournèrent tous les deux en directions du cri, et virent ce qu’était maintenant Arnaud. Il était bleu, portant un pantalon blanc et un ridicule bonnet d’où l’on pouvait voir ses cheveux en bataille dépasser.
« Je suis devenu pareil…
- Moi, aussi, chuchota Jeremy. »
Leur taille avait réduit considérablement, et une personne s’avança, leur ressemblant grandement, à la seule différence qu’il portait une barbe blanche. Derrière lui se dressait un village où les maisons étaient des champignons.
« Bienvenue chez les schtroumpfs ! »
Un autre monde…