Défi: Qu'y a-t-il après la mort?

Idée de concours non aefficiel?

Non pas vraiment plutôt un jeux, j'ai trouvé se sujet plutôt amusant je veut donc voir si cela vous inspire également je ne considère pas sa comme un concours.

Je peux aller vérifier si vous voulez ?   

Je n'ai pas l'humour de chats patoirs, mais mon humour n'est pas beaucoup mieux. ^^

Qui a-t-il après la mort ?

Voici donc mon humble proposition :

Spoiler:

Zé ben ! J'ai fait drôlement sinistre...    Bouh ! Je n'aime pas ça !     
J'aurai dû m'arrêter à la première moitié de la seconde réplique, comme j'avais prévu au début.   
Enfin, bon, j'ai participé pour donner le coup d'envoi de ce défi, vous ferez sans doute dix fois mieux !

Impressionnant January!!   j'aime beaucoup ta façon d'écrire, la poésie de tes mot surpassent de loin mes capacités mais j’espère que mon texte plaira tout de même.

Spoiler:

Comme ça fait des semaines... voir quelques mois que je ne poste plus rien, avant la mort en tout cas il y a école... musique, jeux et dodo, et apres je pense que c'est la même chose. Peut etre la mort est un rêve. Et on ressuscite quand on ce réveille... Holala, faut que j'aille écrire tout ça. Ce week end j'essayerais de poster un texte.

PS: C'est vrai que c’était nul ce que j'ai dit... c’était a cause de mon absence sur le forum... c'est compliqué dis donc.

Merci pour les compliments, Jaspe,
Mais j'ai rien écrit de si génial que ça, crois-moi. ^^

Ta vision en tout cas relève d'un questionnement philosophique récurrent qui amènent beaucoup de gens à réfléchir.
La vie, nos existences, notre mort, n'est-ce qu'un songe ?
Existons-nous réellement ?
Il parait que dire "un jour je mourrai, tous les hommes sont mortels" n'est qu'une hypothèse, disait mon prof de philo (qui était fou, je précise), car rien ne le prouve scientifiquement et on aura la réponse "oui ou non" à ce débat qu'au moment où le cerveau ne pourra plus répondre à la question. ^^

Longue vie à tous !

Halala j'aime la philosophie dommage que je ne sois pas encore en âge de participer à de tels cours   

En tous cas j''ai écris se texte sans avoir était aucunement se qui je pense ne m'empêche pas d'avoir une vision un peut différente de celle que j'ai représentée mais que serait un texte sans un peut de fantasy? Après tous doit on vraiment toujours dire la vérité? Non je préfère créer ma propre vérité et puis de toute façon qu'est ce que la vérité? ^^

P.S:J’espère ne pas avoir fait trop de fautes d'orthographes dans mon texte, je sais que c'est une horreur pour vos yeux en tout cas désoler j'essaye de m'améliorer

@ Jaspe
L'ortho ? ^^
Vraiment, pas facile, hein ?
Voilà la correction de ton petit texte si tu veux :

Citation :

N'est-ce pas la question que tout le monde se pose ? La questions à laquelle personne n'a jamais pu répondre ? Enfin si, nous avons tous notre propre façon de voir les choses, nous avons donc, chacun à notre manière, imaginé ce qu'il y a après la mort, mais bien entendu ce ne sont que des hypothèses sans aucun fondement et personne, je dis bien personne, ne peut prétendre savoir avec exactitude ce à quoi ressemble ce que nous appelons nous « le Paradis » et « l'Enfer ». Tout simplement parce que nous ne nous y sommes jamais rendus, et si nous nous y sommes déjà rendus,comme certains le prétendront, nous avons oublié ce que nous y avons vu. On ne peut cependant pas mettre de côté l'hypothèse du déjà-vu, car en effet nous avons tous notre vision de ce qui se trouve après la mort, mais la questions est : et si nous avions raison ? Et si chacune de nos hypothèses individuelles faisaient partied'un projet plus grand, plus vaste ? C'est vrai après tout, pourquoi aurions nous soit raison soit tord ? Il se pourrait parfaitement que « le Paradis » et « l'Enfer » soient exactement comme chacun d'entre nous les imagine, mais non pas en intégralité comme nous nous le représentons, mais seulement une toute petite partie. Chacune de ces parties représenteraient la façon de voir les choses d'un unique individu et chacune de ces petites parties mises bout à bout formerait l'intégralité du lieu ainsi sans avoir à proprement parler, raison nous n'aurions pas forcément tort.        
C'est ma vision de voir les choses et je sais également que ce n'est qu'une hypothèse sans aucun fondement comme toute celles qui sont émises, car il ne faut pas oublier que pour avoir une réponse valable à cette question, la meilleure solution serait bien évidemment de s'y rendre, mais si c'est le cas, il y a peu de chance pour que la personne ayant fait cette expérience revienne nous faire part de ses observations, mais le plus important, je pense, c'est de ne pas avoir peur de ce qu'il y a après la mort, car il n'y a rien de pire que ce que notre imagination peut inventer.

Sur le fond, je n'ai pas de conseil, ta vision se tient.
J'aime bien la chute.

Sur la forme, il faut que tu fasses des phrases moins longues.
Que tu apprennes la différence entre "se" (= pronom réfléchi, comme "me, te") et "ce" (cela)
Que tu saches la différence entre "ses" (les siens) et "ces" (ceux-là)
Que tu te dises qu'un verbe au conditionnel ne finit jamais par "ai" tout seul ^^ (ça, c'est le futur, première personne)
"Est-ci", ça n'existe pas. N'oublie pas que pour différencier "et", tu essaies de changer par "ou" tandis que "est" est le verbe "être".
Les accords viendront ensuite, il faut relire et juste se poser la question à chaque fois. :DNe crois pas que ça tombe du ciel : on se relit tous en se posant bêtement la question avant de valider l'accord ou non.

Et ça sera déjà un bon début pour la syntaxte.
Bon courage !

Je me sens brusquement légèrement nul, quelle incompétence! Écrire c'est vraiment plus compliqué que sa en a l'air même si les idées sont là il y a toujours des problème en se qui concerne l'orthographe.

Ce n'est "que" de l'orthographe, tu as déjà une certaine réflexion et maîtrise de l'expression derrière : ne te décourage pas !

Intéressant comme exercice.
Bon, je triche un peu, je ressors une nouvelle que j'ai déjà écrite il y a un an et demi.
https://ecrire.forumactif.org/t4062-nirvana-en-trois-etapes

Sinon, mon avis sur les participations jusqu'ici :

January > Sincèrement, tu m'as eu! Vu le début, j'étais persuadé que le point de vue était complètement négatif, et ce petit retournement à la fin m'a bien plut.

Jaspe > Marrant, je ne m'attendais pas à une réflexion philosophique, plutôt à une histoire. Mais l'idée n'est pas mauvaise. D'ailleurs, si tu ne connais pas, c'est le concept de la vie après la mort dans Les Annales du Disque monde de Terry Pratchett. Quand tu meurs, il t'arrive ce que tu pensais qu'il t'arriverais.

Mmmh je m'y tente :

La mort n’est pas l’arrêt de la vie. Ca n’en est pas la continuité, ça n’en est ni le commencement, ni la sublimation.
La mort est une longue descente, une décébralisation cathodique à coup de clavier et souris. C’est le cul sur une chaise et non dans un lit qu’on meurt. C’est la tête vidée, et non vide, qu’on meurt. C’est dans ses excréments qu’on meurt, ceux des idées plausibles, de la méninge carbonisée, de la liberté envolée. C’est quand le matin, le chemin est tout tracé que la corde est déjà au plafond.
Ce n’est pas la cigarette qui vous tue, c’est la dépense qu’on y développe au fil des années. Ce n’est pas l’obésité morbide qui vous tue, c’est le lent encrassement du libre arbitre, qui trop tôt vole en éclat, comme une machine désabusée. La lente décadence du potentiel humain, voici la mort.
Mais alors qui y-a-t-il après la mort ?
Une déprimante prise de conscience. Un inventaire des perdus. Un choix.

A mon tour :

Après la mort, il y a une boite noire. Après la mort, il y a mon corps qui se désagrège. Des morceaux de plus en plus petits, de plus en plus fins. Petit à petit, je me décompose, lentement, je glisse au travers des lattes du cercueil. Je deviens multitude, je me répends. Après la mort, il y a la terre. Je ne suis plus intègre, les molécules, les atomes que je deviens sont absorbés, transformés, appelés vers d'autres horizons. Mais peut-être que je ne dois plus dire "je", peut-être aurais-je dû arrêter depuis un moment déjà. Et pourtant... Je vois bien mes composants rejoindre d'autres écosystèmes, je suis une partie de ce sol, un morceau de cette plante, bientôt une bribe de cet animal. Malgré tout ma conscience persiste. Là. Mais pour combien de temps ?

Je suis intéressé par vos retours vous êtes le tout premier public de mes écrits

Merci

J'avance dans un couloir. Moi qui pensait être tranquille... Je suis dans ce couloir, et petit à petit je ne suis plus seul. Nous somme 2, puis 3, puis des dizaines, et des milliers. Une foule sans fin qui se masse dans un couloir qui s'élargit petit à petit , de plus en plus. Dans ce couloir, il y a de tout. Des petits vieux qui semblent étonné d'être là, des plus jeunes qui semblent résignés. Ils sont tous là, de tout âge, de toute nationalité. et au bout de ce couloir, des types qui consultent un grand registre et qui demande le nom et le prénom. Pour indiquer la file dans laquelle on est attendu. L'attente est plus ou moins longue, plus ou moins rapide. Et le temps n'a plus de limite. Certains contestent, d'autres veulent tricher. Mais au final, chacun rejoint sa file. Des couples se séparent et savent que cet adieu sera sans doute éternel. Et moi, perdu dans cet océan d'humanité, j'attends mon tour...

Nanshee a écrit:

A mon tour :

Après la mort, il y a une boite noire. Après la mort, il y a mon corps qui se désagrège. Des morceaux de plus en plus petits, de plus en plus fins. Petit à petit, je me décompose, lentement, je glisse au travers des lattes du cercueil. Je deviens multitude, je me répends. Après la mort, il y a la terre. Je ne suis plus intègre, les molécules, les atomes que je deviens sont absorbés, transformés, appelés vers d'autres horizons. Mais peut-être que je ne dois plus dire "je", peut-être aurais-je dû arrêter depuis un moment déjà. Et pourtant... Je vois bien mes composants rejoindre d'autres écosystèmes, je suis une partie de ce sol, un morceau de cette plante, bientôt une bribe de cet animal. Malgré tout ma conscience persiste. Là. Mais pour combien de temps ?

Je suis intéressé par vos retours vous êtes le tout premier public de mes écrits

Merci

Intéressant. C'est plutôt bien écrit, mais peut être que pour le coup, c'est un poil trop "scientifique" dans la description...

La seule chose dont on peut être sûr après la mort, dont on reconnait assurément la véridicité, c'est l'espoir. La croyance se base d'ailleurs sur l'espoir, et chacun se rassure à imaginer le meilleur des possibles afin d'oublier l'omniprésence de la faucheuse.
L'espoir me diriez-vous, c'est un peu flou comme concept et assez peu rassurant au final pour clôturer l'angoisse d'un phénomène si indéterminé. Mais c'est son caractère multiple qui le rend attrayant au contraire, lorsque l'on meurt nous ne sommes plus et nous sommes tout à la fois ! Tout ce que chacun a espéré durant son passage sur Terre, toutes les utopies macabres ou angéliques que l'Homme s'est imaginé comme récompense ultime de ses efforts (il n'y a qu'à voir : le paradis, le Walhalla, la réincarnation en une chose meilleure, la transformation en étoile... bref tous ce que les peuples et les mythologies se sont fabriqués avec ardeur et envie).

La mort ce n'est pas si négatif au final, c'est même peut être la plus belle chose qu'ai créé l'Homme à travers les siècles.

Voici un sujet, que j'aime beaucoup.

Le sujet a été traité par des auteurs comme Philip José Farmer ( le fleuve de l'éternité) ; que j'ai aimé "assez" bien.

Pour ce qui est de la réalité, je conseille fortement de lire ( voir de rencontrer des personnes ) des NDE ( EMI en Français), soit des personnes avec des récits de " morts cliniques"

Whaou ! Super texte Djevelen !

Thank's petite ! J'attends ton texte avec impatiente

Houlà ! Alors tu vas devoir patienter, disons...3 ou 4 ans, le temps que je fasse un truc potable 

Des ombres. 
Des ombres partout.
Fantomatiques, informes, inhumaines.
Elles errent sans but dans l'immensité d'une plaine sèche et désertique.
Elles se ressemblent, se croisent, se mélangent, se fondent l'une en l'autre, en ressortent inchangées.
Mais plus j'avance au milieu de ces âmes en perdition, moins elles me semblent étrangères, et bientôt derrière le voile noir de leur corps s'étirant sur l'herbe rase et jauni, je discerne le contour de visages familiers.
C'est avec horreur que je constate que tous ne sont pas encore morts, comme je l'avais d'abord cru, et je reconnais des visages que je viens à peine de quitter, encore bien vivants, je l'espère.
En continuant ma promenade, ma logique bute contre ces ombres incompréhensibles, dont la plupart des silhouettes ne réveillent en moi aucun souvenir. 
Elles sont si nombreuses. Je ne peux connaître autant de monde.
Il me faut encore arpenter cette terre sans passion un long moment pour comprendre que les corps translucides que je vois là ramper en ver de terre de l'au-delà sont des représentations fades de toutes les personnes que mon regard a pu croiser au cours de ma vie.
Étourdie par cette découverte et par la danse incessante des ombres, je m'effondre soudainement, face contre terre, et lentement, je sens le terreau malsain de la plaine me grignoter peu à peu la peau jusqu'à me recouvrir complètement...