Jenna sommeillait depuis plusieurs heures sur une paillasse miteuse lorsqu'un garde vint ouvrir la porte de sa cellule. (C'est le début ça? Un peu hard comme entrée en matière, j'espère que tu nous présente Jenna un peu plus en détail par la suite^^)
— Vous pouvez sortir Your Highness.
La jeune femme bondit sur ses pieds.
— A (À) demain, lança-t-elle joyeusement au vieil homme.
Mais sa bonne humeur retomba comme un soufflé quand elle vit que sa mère l'attendais (attendait) dans le couloir, encadrée de soldats en uniformes pourpres.
— Jenna Lynn James...
Mince... la jolie brune au(x) yeux iridescents (elle a des yeux arc-en-ciel? Oo) savaient que c'était très, mais alors très mauvais signe quand sa mère l'appelait comme ça. Jenna voulu se justifier, mais Lydia James balaya les arguments de sa fille d'une revers de la main.
— Étant donné que tu n'est (es) pas décider à te calmer, avec ton père nous avons pris une décision. Tu as deux choix.
La jeune noble était de plus en plus inquiète, mais elle réeusis (réussit) à demander d'une petite voix :
— Lesquels ?
— Te trouver un mari...
— Non !
— Ou Caerdydd.
Pour Jenna la réponse était évidente :
— Les bouseux, je préfère encore les bouseux.
Le regard noir de sa mère lui rappella qu'elle avait grandie là-bas.
— Mère, je n'ai pas une troisième option ?
Lydia James croisa les bras sur sa poitrine, la discutions (discussion) était terminée. Jenna avait envie d'exploser, mais elle savait que ce n'était pas le moment. Les deux James quittèrent rapidement la lugubre Tour de Londres pour rejoindre à bord d'une calèche (je mettrais ce complément à la fin de la phrase personnellement) leur manoir de Hyde Park. Jenna se réfugia dans sa chambre et brisa d'un coup de poing le miroir de sa coiffeuse.
— Merde, gémis (gémit) la petite brunette.
Elle se laissa tomber sur son lit. La jeune femme se mis (mit) à fixer le plafond, sans se préoccuper des éclats de miroir plantés dans sa main. Pourquoi sa mère l'envoyait chez les bouseux ? Caerdydd est (était, à moins que tu sois en discours direct libre, et dans ce cas ce n'est pas clair du tout) une ville d'arriérés. D'un autre côté Jenna se disait qu'elle n'avait pas d'attaches à Londres, et de l'autre(,) que débarquer dans une ville où les flics ne la connaissait (pas?) pouvait être intéressant. La belle brune fourra quelques habits dans une vieille gibecière de cuir avant de soigner sa main. (Oui, j'aurais pas forcément choisi cet ordre là moi, mais bon^^ Surtout qu'elle risque fort de foutre du sang sur tous ses vêtements avec ses bêtises.) Le lendemain(,) Jenna quitta sa maison en douce, au lever du soleil pour éviter de croiser ses parents.
2
Aleks profitait de sa carrure d'athlète taillée par des années d’entraînement pour bousculer sans ménagements les voyageurs encombrants le couloir du wagon. (Pareil, c'est hard comme introduction. Dur de s'imaginer qui sont Aleks et Jenna dans ces conditions.)
— Attends-moi ! lui lança Theo. (ah, mais c'est qui Theo?)
La petite blonde maigrelette aux yeux émeraude(s) avait du mal (peinait? histoire de supprimer un verbe faible =P)à suivre son jumeau qui pourtant portait armes et bagages. Aleks n'avait pas envie d'attendre, il agrippa la main de sa sœur et ils entèrent (entrèrent?) dans la première cabine venue. Mais les deux jumeaux (des jumeaux sont forcément deux en principe, et en plus du pléonasme, ça te fait une répétition^^) virent qu'il y avait déjà quelqu'un, une fille endormie sur la banquette de cuir brun.
Jenna se réveilla d'un coup.
— Vous foutez quoi ici ? lança Jenna aux jumeaux.
— On s’installe, lui répondit tranquillement Aleks.
— Dégagez, j'ai réserver (réservé) la cabine. (Elle se permet de faire des réservations et de jouer la princesse alors qu'elle a filé en douce..? Elle devrait pas plutôt se faire toute petite?)
Le jeune homme voulu prendre le revolver a(à) sa ceinture mais sa sœur arrêta son geste avant d'aller s’asseoir à côté de Jenna. Les yeux bleus iridescents (décidément ce mot m'énerve, je sais pas pourquoi^^) de la Londonienne exerçait une véritable fascination sur Jenna (sur Jenna? C'est pas Jenna qui a les yeux iridescents pourtant? Tu nous embrouille là, surtout que c'est aussi Jenna qui est Londonienne non? Les autres on sait même pas d'où ils sortent), elle n'arrivait pas à s'en décrocher.
— Aleks Skleraina, présenta-t-elle son jumeau. Mon frère. Moi c'est Theo.
— Theophano, corrigea Aleks.
— Je préfère qu'on m’appelle Theo.
Jenna trouvait que le mec (euh, si tu étais dans les pensées de la jeune fille, je comprends que le mot "mec" intervienne, mais là c'est le narrateur externe qui parle, il devrait avoir un langage plus neutre^^) était étrange, mais la fille avait l'air sympa, alors elle accepta qu'ils restent.
Aleks s'installa sur la banquette restée libre, sans quitter Jenna des yeux. Il se méfiait de la brune, Theophano fait (faisait, à moins encore que tu sois en discours direct libre, c'est à dire dans les pensées du personnage. Dans ce cas je te conseille de le mettre en italique pour bien le souligner.) trop facilement confiance aux gens. Et la Londonienne est (pareil, était, pis c'et un verbe faible, c'est pas terrible) un genre de princesse vu le peigne en argent massif qui tenait son chignon. Noble, autant dire pas digne de confiance pour le jeune homme.
— Tu va faire quoi à Caerdydd ? lança le jeune homme à Jenna. (Ah, mais donc en fait elle a pas réussi à s'échapper?)
— Je vais passer quelques temps chez mes grands-parents.
— Pourquoi ?
— Pourquoi je te le dirais ? Sérieusement, tu a cru qu'on était amis ? (Je trouve ça un peu puérile comme réaction. Si elle ne veut pas lui dire, elle peut mentir ou se contenter de l'ignorer. Dans tous les cas je pense qu'il y a plus subtile pour le rembarrer.)
Theo gloussa.
— Ne t'occupe pas de mon frère.
La belle brune lui sourit.
— En fait j'ai pas eut (eu) vraiment le choix Theo (ce genre d'adresse témoigne selon moi d'une certaine familiarité entre elles, ce qui me parait un peu prématuré du coup) , admis (admit) Jenna.
Pour la première fois de sa vie la jeune Londonienne se sentait gênée d'évoquer ses ennuis avec la justice. Jenna s'accouda au rebord en ébène de la fenêtre pour observer la campagne anglaise défiler. Le (la?) jeune femme était en admiration devant ces paysages figés par les neiges éternelles. (Pardon? Il y a eu un bouleversement climatique? J'aurais bien voulu qu'on me prévienne un peu en amont, d'autant que les personnages ne semblaient pas particulièrement souffrir du froid dans les scènes précédentes^^) Elle ne pouvait s'empêcher de se demander à quoi ils ressemblaient avant les Guerres. Presque tous les livres qui parlent de cette période ont disparus.
Le train s'arrêta brutalement. Jenna fut projetée en arrière, Aleks la rattrapa juste avant qu'elle percute le parquet de chêne.