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 L'an 3041 La course des hypatuce

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Sarahfee
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Sarahfee


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L'an 3041 La course des hypatuce  Empty
MessageSujet: L'an 3041 La course des hypatuce    L'an 3041 La course des hypatuce  Icon_minitimeLun 27 Nov 2017 - 20:38

L'an 3041
 
                                 La Courses des hypatuces
 

I.
La cage
 
    Nous étions en l’an 3041. Les guerres avaient laissé des traces.
Les vieux du village nous racontaient le monde de leurs ancêtres qui n’avait plus rien à voir avec ce que je connaissais. Les hommes avaient dû reconstruire une nouvelle façon de vivre, de s’adapter à l’environnement.
Il y a de cela quelques siècles, de nouvelles espèces ont vu le jour, grâce à l’effort humain qui a contribué à entretenir la nature et ne plus la saccager. Un vote universel espéré par tant de générations à enfin vu le jour. Le respect de la nature était devenu enfin une priorité.
Bien sûr je n'étais pas là pour le voir mais mon grand-père m’avait dit que les livres d’histoire,  expliquaient qu’auparavant le monde était fait de villes bizarres et de voitures rejetant du CO2 à grande vitesse et que beaucoup d'espèces d’animaux s’étaient éteintes. Maintenant nous prenions soin de la nature et un jour, des animaux spectaculaires et d’autres dont  on ignore s’ils ont existé un jour, finissaient par voir le jour. Je m’appelle Sam Cadjis et j’ai 25 ans. Je vis à Blecisco : un petit village qui se trouve dans les collines. Mon pays se nomme Minteran. C’est un immense pays  situé dans le plus grand continent du monde. … Je vis dans ce village depuis ma majorité. Dès l’âge adulte ; homme ou femme devaient  obligatoirement apprendre à entretenir le village et à manier une arme pour chasser. Nous devions aussi être capables de travailler et de colorer le tissu  en utilisant des produits non toxiques. Mais ce n’est pas tout, il fallait apprendre à dompter certains animaux  sauvages .Je veux parler bien sûr, des hypatuces ! Ce sont des animaux volants qui possèdent une force herculéenne, cinquante fois plus haute que celle d’un humain. Un hypatuce est une espèce plutôt rare, seul les plus chanceux et les plus braves peuvent en posséder. C'est un animal qui aime voler le jour et dort peu la nuit. Ils n’ont besoin que de quatre à cinq heure de sommeil. Ils ont l’apparence d’un immense faucon, ils possèdent deux longues queues, et ils ont chacun un pelage différent. Je n’en sais pas plus malheureusement. Tout ça je le sais grâce à mon père. Dans mon village les maisons sont faites en briques, sauf le toit qui est fait avec des roseaux.
Un jour, j'étais chez moi à faire un feu avec des pierres à feu. Je les frottais l’une à l’autre pour que ça fasse des étincelles. Je soufflais dessus jusqu’à que les flammes prennent du volume. Mon père était parti en expédition avec des chasseurs, pour livrer leurs viandes dans un endroit reculé. Son métier de chasseur, l’obligeait à s’éloigner souvent du village. Mais à côté de ça il était passionné par les hypatuces. Il adorait les monter, m’avait il dit un jour. Je rêvais depuis toujours de réaliser la même passion que mon père : chevaucher un de ces magnifiques animaux  pour qu’il puisse me faire voler au-dessus des nuages. Je voulais découvrir avec cet animal des endroits qui pourraient me faire rêver. Même si je n’en avais jamais vu un, il m’avait expliqué avec enthousiasmes leur apparence.
Nous étions en  novembre, la neige avait déjà commencé à tomber depuis deux jours et les chemins de terre étaient blancs. Quand j'eus terminé d'ajouter les dernières bûches dans les flammes, je m’assis sur une chaise devant la table du salon. Je pris une cruche qui était juste à côté de moi, je me servis du jus de carotte dans un verre et j’en bus une gorgée, quand on tambourina à la porte. Je me levai pour aller ouvrir.
On frappa encore plusieurs fois.
-Ça va, ça va il n’y a pas le feu ! Dis- je précipitamment en courant vers la porte.  Un homme d’une vingtaine d’année apparut devant moi. Il portait une barbe brune qui devait daté de deux jours, des cheveux bruns, et des yeux bleus. Il portait un long manteau noir en faux cuire.  Il semblait essoufflé.
-Daniel, qu'est-ce qu’il t’arrive ?
-Hhh...Excuse-moi Sam de te déranger mais les élans bleuâtres se sont encore échappés de l’enclos. Il faut vite aller les chercher avant qu’ils ne s'éloignent trop loin dans la forêt.
-D’accord, j’enfile une veste et j’arrive !
Je pris ma veste noire foncée sur le porte manteau en bois et je sortis dehors en courant. Daniel se retourna  me disant :
-Nous allons prendre mes motoneiges, aide-moi à les pousser hors du garage !
Nous poussions les motos jusqu'à qu’à ce qu’elles touchent la neige, je montai dessus et  fis démarrer le moteur. Le moteur tournait grâce à des combustibles végétaux. Nous franchissons ensuite le village à toute vitesse et descendions dans la vallée qui menait vers la forêt.
- Là-bas, ils sont là-bas, cria Daniel pendant que nous dévalions la pente enneigée. Effectivement on les voyait bien, ils marchaient tranquillement vers la forêt. Nous roulions à toute vitesse vers eux en les encerclant avec nos bécanes. Les élans poussèrent un cri  en nous voyant approcher trop près d’eux.
-treize, quatorze, quinze...C’est bon ils sont tous là. On peut les ramener dans leur enclos.
Les élans bleuâtres galopaient à toute vitesse devant nous, ils se méfiaient des motoneiges. Nous roulions derrière eux pour  les forcer à avancer jusque-là.  Comme ils connaissaient bien l’endroit, nous n'avons pas eu trop de mal à tous les ramener sains et saufs.
Une fois arrivée dans le village j’ouvris l’enclos aux élans pour qu’ils puissent entrer. Daniel referma la porte en la poussant.
-Et bien, je ne pensais pas qu’on les trouverait aussi facilement, heureusement que tu étais la Sam.
- Heureusement surtout que tu m’as prévenue à temps !
….
-Ah oui j’ai oublié de te dire que des nouveaux commerçants arriveront aujourd’hui dans le village pour vendre leurs produits.
Je lui demandai un peu intriguée par la nouvelle :
-  Ils arriveront vers quelle heure ?
- Dans une heure je pense.
 
Une heure plus tard je descendis avec Daniel vers la mer, afin d’accueillir les commerçants.
Nous nous assîmes  sur une dune de sable, en regardant les vagues gigoter, quand nous vîmes  un bateau  s’approcher.
Une fois que le bateau toucha la terre ferme, des gens descendirent, beaucoup parmi eux portaient de gros cartons.
Une énorme caisse, recouverte d’un drap rouge, arriva en tout dernier. Elle était posée sur une planche à roulette. Je regardai cette caisse longuement, curieuse de savoir ce qu’elle renfermait. Des chevaux de trait tiraient la cage avec force pour la transporter jusqu’en haut ; derrière eux un homme les forçait à avancer avec un fouet. Il criait :
-En avant, plus vite, dépêchez-vous ! Clac, clac.
Dan se mit à saluer un homme qui venait de descendre du bateau. Il s’approcha de nous. L’homme lui dit en souriant :
-Bonjour Daniel, ravi de te revoir.
-Moi aussi Mike, le voyage n’a pas été trop long ?
- Ho ça va, douze jours non-stop, mais on a vu pire. Heureusement, il n’y a pas eu trop de mauvais temps.
-Vous restez le temps de la course j’imagine ?
-C’est ça
Silence.
Oh pardon, j’ai oublié de te présenter Samantha, une amie de longue date.
Je lui serrai la main,
-Enchantée monsieur, Daniel m’a beaucoup parlé de vous.
-Vraiment ? Cela me touche madame. J’espère que vous serez là pour la course ?
-Évidemment, je ne raterais ça pour rien au monde.
-Vous ne serez pas déçue, croyez-moi.
Je lui demandai :
-C’était bien une cage que les chevaux tiraient ?
-C’est ça !
-Elle est immense dites donc, qu’y-a-t-il à l’intérieur ?
-Je préfère vous le laissez découvrir demain pendant le festival
-C’est toi qui fera les enchères ? Demanda Daniel.
-Exact, j’espère que tu seras la pour me voir  à l’œuvre, Daniel ?
Daniel ria :
-T’inquiète je serais là.
L’homme s’éloigna ensuite de nous pour  aider les transporteurs.
Je chuchotais à Daniel :
-Qui c’était ?
-Un ami du lycée !
***
En sortant de chez moi, j’aperçus que le festival avait déjà commencé. Je décidai d’y jeter un coup d’œil. Je vis beaucoup d’enfants déguisés en monteur d’hypatuce. Certains d’entre eux avaient un fouet en guise de déguisement. Personnellement je ne voyais pas l’utilité d’en avoir un, même pour jouer. Car dans la vraie vie l’utilisation d’un fouet était interdite par la loi. Je voyais qu’il y avait beaucoup de monde devant les cracheurs de feu et les jongleurs, qui usaient de leur talent pour flatter les jeunes demoiselles.
Il y avait aussi des personnes vendant des billets pour la grande course, certains billets valaient plus que d’autres car ils permettaient d’accéder aux meilleures places dans les tribunes. Les cavaliers, quel que soit leur origine ou leur niveau pouvaient participer, mais chaque pays ne possédait pas un hypatuce ; les hypatuces étaient des animaux très rares, et il arrivait qu’on puisse en acheter un à l’occasion des festivals.
Je n’avais jamais vu autant de monde à la fois dans mon village, c’était dingue. Soudain une voix plus forte que les autres nous proposa de venir.
Mike qui organisait l'événement, se tenait en hauteur devant nous  sur une scène ; il appelait son public avec un magnétophone. Un rideau rouge se trouvait derrière lui, j’entendis alors un bruit strident.
-Mesdames, messieurs, si vous voulez voir du spectaculaire, vous ne vous êtes pas trompés d’adresse. Car nous fêtons aujourd’hui la vingt-cinquième course annuelle d’hypatuces, qui aura lieu dans ce village même.
J’entendis des cris de joie retentir autour de moi.
-Hé oui, aujourd’hui est un grand jour, car pour la première fois un hypatuce est à vendre ici-même, au pays de Minteran.
Il nous pointa du doigt.
-Et parmi vous, je me demande qui sera prêt à l’acheter pour tenter la victoire et ainsi gagner une somme faramineuse, qui vous permettra de ne plus travailler jusqu’à la fin de vos jours ! L’offre est valable pour tout le monde, que vous soyez d’ici ou non.
-Il y a chaque année, treize cavaliers qui se battent pour gagner la course. Et chaque fois un héros parmi eux remporte le prix du meilleur cavalier de l’année. Je vous présente l’un d’entre eux qui est venu jusqu'ici pour assister lui-même à cet événement. Applaudissez le bien fort, lui qui a remporté trois fois les jeux d’affilée ! Voici Erick Gourtier ! Le vendeur appela le jeune homme à monter sur scène afin d’être salué correctement.
- Maintenant laissez-moi vous  présenter cet animal merveilleux, et ceux qui souhaiteront faire la course pourront tenter de l’acheter ! Que les enchères commencent ! Voici à présent l’incroyable…
Je vis quelqu'un tirer soudainement sur la ficelle, et le rideau tomba.
-Hypaaatuce !
J’entendis un bruit strident apparaître pendant que le rideau rouge  tombait  sur le plancher.
Un oiseau gigantesque de la taille d’un éléphant, se débattit dans son immense cage pour tenter d’en sortir.
J'entendis des exclamations et des applaudissements tout autour de moi.
-Contemplez mesdames et messieurs, cet animal si impressionnant, si majestueux.
Les ailes de cet animal étaient si grandes, qui lui fut impossible de les déployer dans cette cage.
Je regardai l’oiseau dans toute sa splendeur. Ses impressionnantes serres pointues, mais aussi ses deux longues queues jaunes qui remuaient fortement. Ainsi que ses cornes blanches.  Ses yeux étaient d'un couleur grisâtre. L'animal semblait être apeuré par les personnes qui se trouvaient face à lui, mais malgré cela je ne pus m’empêcher de le trouver magnifique.
 -Je vous invite dès à présent à acheter cette bête en commençant par le prix de cinq-cents dyens. Vous pouvez augmenter le nombre autant qu’il vous sera possible de faire.
J’apercevais cet hypatuce pour la première fois de si près. Il était d’une grande beauté, quel magnifique animal ! Je raffolai de son apparence, je chuchotai à Daniel.
-Tu as vu, il est magnifique !
Daniel regardait l’animal avec un peu de tristesse.
-Houai mais j’aurais souhaité qu’on nous le montre d’une autre manière que dans une cage.
-Voilà ! , continuait l’homme,  à vous de lancer vos prix.
Des exclamations et des chuchotements se répandirent aussitôt. On entendait des clics et des clacs venir des appareils photo.
La bête réveillée, à cause du boucan de la foule, poussa un cri de colère.
Le vendeur intervint :
-Heu s'il-vous-plaît, encore une chose, évitez les flashs, cela pourrait faire peur à l’animal.. -Alors qui veut acheter ce magnifique hypatuce ? Soyez en sûr, si vous l’achetez, vous ne le regretterez pas, mais il ne sera plus possible de me le ramener. Alors décidez-vous bien avant.  Alors qui veut cet animal ?
-Moi, Moi, Moi.
Une dizaine de bras s’étaient levés. L’apparence de ces personnes se distinguait de la majorité de la foule. Ils portaient des vêtements chics et distingués.
-Du calme, dites- moi à combien vous êtes prêts à l’achetez ?
-Je monte l’offre à 750.
Un autre cria
-Moi à 1000.
-1056.
-1079.
Le vendeur écoutait les voix avec attention.
-Alors 1079, qui serait prêt à monter plus haut pour cet animal, quoi, personne ?
Daniel se retournait vers moi :
-C'est ta chance, saisis là, toi qui as toujours rêvé d’avoir un hypatuce, tu pourras enfin réaliser ton rêve.
-Tu es fou ou quoi ? Je n’ai jamais dit que j’en voulais à la seconde, je ne suis pas prête pour faire des courses, je n’ai jamais monté sur un animal moi, même si c’est mon rêve depuis longtemps, tu le sais … cela me fait quand même peur.
-Justement, continuai Daniel, -C’est le moment d'affronter ta peur et de te prouver enfin que tu en es capable.
-Tu oublies que je n’ai pas les sous pour en avoir un.
-Je t’avancerai, d’accord ? Allez c’est ta chance. Ne la bousille pas.
Je voulus sortir un nombre, mais j'hésitais .... A cet instant, un autre cria :
-1097 !
Hooo… ! S’exclamaient les gens de surprise.
Cette fois c’était fichu, même à nous deux nous n'aurions pas assez d’argent pour l’acheter.
Le vendeur disait.
-Une fois, deux fois, trois fois, félicitation je...
Soudain Daniel cria à son tour.
-1134
Un nouveau cri de surprise s’élançait dans la foule
Je chuchotais :
-Daniel tu es fou ? Je ne pourrais payer la nourriture et les pierres à feu si tu fais ça, oublie cet animal ! Mais on aurait dit que Daniel était plus que décidé, il ne renonçait pas.
-1134 Cria le vendeur.
-1150 ! Criai à nouveau le même homme.
Daniel se décida enfin à abandonner, il poussa un soupir.
-Félicitation, vous venez de gagner ce superbe hypatuce à 1150 francs.
L’homme se dirigea vers l’animal le regard avide, il tenait son encolure fermement juste après que le vendeur ait ouvert la porte de la cage. Nous regardions, Daniel et moi avec regret, l’hypatuce s’en aller au loin.
Je me dirigeai chez moi avec Daniel, en ne faisant même plus attention aux autres objets et nourritures vendus dans ce marché.
*******
Une fois arrivé chez moi j’enlevai mon manteau en laine, et je le déposai sur une chaise.
-Tu veux quelque chose à boire ou à manger ? Demandai-je à Daniel en me dirigeant vers la cuisine.
-Non merci. J’ai déjà ce qui faut dans mon sac. Disait-il
Je découpais du pain avec un couteau de cuisine afin de m’en servir une tranche, que je déposai ensuite sur une assiette. Je la pris et je l’apportai à table en face de moi.
Daniel sortit des biscuits secs dans un sachet, et l’ouvrit, il en mangea un.
-Je suis désolé que tu n’aies pas pu acheter cet animal. Dit Daniel
-Ce n’est pas grave ils en vendront peut-être l’année prochaine.
-Oui mais là il paraît que cette année la course serait pleine à craquer, car des gens viendront des quatre coins du monde.
-Et alors ?
-Et alors tu aurais pu apprendre à le monter pour pouvoir faire la course ensuite.
Je rigolais
-Quoi ! Je ne sais même pas montez sur un hypatuce et tu voudrais que je fasse une course ?
-Tu aurais pu apprendre ?
-Avec qui ?
-Ben, ton père ou moi ?
-La course aura lieu dans quelques mois, même si mon père s’y connait un peu il n’aura jamais le temps de tout m’expliquer avant le jour j.
-Et toi je veux dire tu n’as pas…Heu…enfin…
Il souriait
-Pas assez d’expérience !
-Voilà, c’est ce que je voulais dire. De toute façon cette bête est vendue donc on n’en parle plus d’accord ?
-Comme tu veux. Dit-il en buvant une gorgée d’eau.
-Heu... Je vais me coucher, il vaudrait peut-être mieux que tu rentres chez toi ?
-C’est ce que je comptais faire. Dit-il en se levant.
Il m'embrassait sur la joue avant de sortir de chez moi.
Je montais vers ma chambre, j’enfilai ma chemise de nuit, avant d’éteindre encore une fois la lampe qui se trouvait près de mon lit.
Une fois couché j'essayais de me souvenir l'apparence qu’avait cet animal. En fait je m’en rappelais très facilement.
Il portait un bec blanc, deux longues queues blanches. Et de grandes ailes dorées. Il portait aussi deux grandes cornes jaunes sur la tête. Mais ses yeux étaient plutôt bleus. Son torse était de couleur blanc et jaune, et ses serres étaient blanches. Mais quand je l’avais vu enfermée dans cette cage, je ne pus m’empêcher de voir de voir du désarroi dans ses yeux. On n’aurait dit que son regard était perdu dans la peur.
Je me demandais si cet animal allait être heureux chez l’homme, qui a pu le gagner, en tout ça je l’espérais pour lui, je fermais les yeux en baillant, je m’endormis quelques minutes plus tard.
Fin du chapitre 1
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