J'ai le droit de vous embêtez dites, avec mes p'tites histoires? Bof, allez, je me permet! Soyons fou-fou, je vous met ici un autres de mes multiples textes! Je n'ai pas pour habitude de mettre un si long texte, si vous vous découragez, je comprend :s seulement, couper au millieu de ça, c'est pas vraiment possible, ou alors c'est vraiment une coupure (genre clac!! couper! A pu!) Bon courage
L'homme se retourna, et avec un grand sourire, tendit sa main. J'hésitais, froid, mais je consentit à la serrer. Quelque flash crépitèrent pour immortaliser cette scène, ainsi que quelque caméras.
- Venez, venez, me dit le chef absolu de l' Afrique avec un anglais parfait. Dans mes appartements, nous serons plus tranquille.
Je m'avançait, m'efforçant de mon mieux a représenter mon continent: l' Europe. Nous arrivâmes dans une grande salle à manger, et allons nous asseoir à la grande table, l'un en face de l'autre. Une fois installer, des femmes vinrent nous servirent des mets étranges, et d'autres français. Ainsi il s'était informer sur moi. J'avais pris aussi quelque liberté avec son dossier. Mon statue de représentant de l'Europe me le permettait. C'était normal, plus, c'était anormal et stupide de ne pas le faire. Après un silence pesant, je me lançait, un regard et des gestes fermes, sans peur, et je fit comme si j' étais absolument sûr de moi.
- Allons droit au but, voulez vous? Votre pays et l'Europe sont en Guerre. Vous avez prouver votre supériorité. Mais soyez franc, vous aussi vous perdez beaucoup de budget, et votre économie risque d'en prendre un coup. Contrairement a vous, nous avons des réserves. Il faut donc pour le bien de tous stoppez les machines.
- Allons, allons! sourit le président Africain, découvrant ses dents blanches. Vous faites des affirmations sans connaître vos dires. Vous avez bien apprit vos leçons, je vous le conçoit. Mais franchement, dire que nous avons pas de réserve, c'est tellement puérile! J'en attendais plus de vous!
Je fit semblant de ne pas être troubler, mais il avait déjà réussi a m'ébranler, moi et mes convictions.
- La roue tourne! s' exclama mon homologue noir. Nous sommes en 2147! Le temps ou l' Afrique était un pays pauvre et sans culture est révolu! Je dirais même que nous sommes bien au dessus de vous sur le sujet de la vie de tout les jours. Nous vivons plus sainement, mangeons mieux, et nous aimons la nature; contrairement a vous qui continuez à polluer notre belle planète. La leçon de février 2020 ne vous à pas donc suffit. Si des machines glacières n'était pas intervenue, la calotte polaire aurait totalement fondu, engloutissant pas mal de territoire.
Il se mit à rire, et moi a grogner. je m' apprêtait a répliquer mais il murmura:
- Ah, Venise! C'est dommage que nous l'ayons perdu. Maintenant, les riches dépensent leur argent bêtement pour visiter cette ville sous marine. Elle était magnifique à son époque.
- Nous en avons créé une autre, non loin de l'ancienne, rappelais-je.
- Oui, oui, le souvenir de Venise, entièrement reconstitué, mais en mieux, dit il en levant les yeux. Seulement voila, avec vos bâtiments moderne, toute la magie de Venise a disparut!
- Que savez vous de la magie de Venise? répliquais-je, agaçais. Vous n' étiez pas née qu'elle disparaissait!
Il me considéra d'un oeil triste, haussant les épaules. J'avais envie a cette instant de renverser la table sur lui et ses jolies discours et partir sans demander mon reste. Mais j'avais un devoir. Celui de cessait cette guerre qui pompait toute nos ressources!
- Nous nous éloignons du sujet je crois, dit je en prenant une inspiration. Il faut discuter de l'arrêt des machines.
- Mon armée de robots est en pleine forme. Vous avez investie trop sur la quantité. Nous sur la qualité. Avouer le, mon pays et en train de gagner la guerre. Qu' aurais-je a gagner avec cette trêve? Encore quelque mois, et le tour est jouer!
L'autre me regarda d'un oeil amusé, se demandant sans doute comment j' aller m' en sortir. Il avait de la répartie. De l'intelligence, car il avait mener une guerre moderne à bien. Il avais gagner, et il le savait. Enfin, pas encore! Je pouvais encore essayer de trouver un accord. Quitte a ce que cela prenne des heures!
- Vous m'ennuyez profondément, dit je sans détour. Ne jouer pas au plus fort, nous aussi avons des ressources encore inconnues. Si nous n'arrivons pas à trouver un accord, nous serons obliger d'utiliser nos dernière forces mécaniques, et croyez moi, vous ne vous en remettrez pas.
Mensonges bien entendu. Mais on ne peut pas s'en sortir autrement. Le président africain fait la moue, se demandant ou étais la vérité. Je fit semblant d'être ennuyer - ce qui n'était pas difficile.
- Le problème c'est que notre argent s'envolerais, ainsi que nos réserves. Certes, nous aurions gagnez la guerre, mais pour le prix fort. Alors, c'est pour cela qu'on m'a charger de vous rencontrer pour signer un accord.
Le président se pencha, me regardant avec des yeux plissés.
- Et moi on m'a charger de ne pas tomber dans des pièges comme celui la, murmura t il.
J'haussait les épaules, indifférent.
- Tant pis pour vous. On verras qui viendra demandez un accord par la suite.
Je jouer gros. Il pouvait très bien partir, ne me croyant pas, et il ne resterais alors qu'une option: le supplier et tout lui avouer. Honte ultime pour l' Europe. L'autre se servis un vert de vin rouge, m'en servit un que je ne touchait pas et bus lentement.
- Vous voudriez donc l'arrêt des machines. Mmh. Mon armée est encore intact. Il faut que j'y gagne pour les arrêtez. Et même en signant un accord, en cas d'attaques ou de mécontentement, la guerre reprendra.
- C'est déjà tous pensé!
- Ne pensez pas a notre place, voulez vous? Les noirs on un cerveau eux aussi.
Son ton était sec, froid, hautain. Le racisme avait augmentait de notre côté après 2010, mais maintenant, c'était l'inverse. Tous ce que nous pouvions dire était perçu comme un acte raciste. J'en avais assez d'ailleurs mais j'étais sur la bonne voie. Se calmer, me montrer docile.
- Je n'en doute pas. C'était simplement pour nous facilité la tache.
Je lui tendit un contrat, clair et simple, stipulant un cessait le feu. Si l'Afrique acceptait, nous lui verserions un impôt annuel d'une somme assez élever, sans l'attaquer bien entendu. Drôle de méthode, mais c'était notre dernier recourt.
Le président noir leva les sourcils, surpris, puis afficha un sourire de triomphe.
- Bien! Je fait une copie de ce contrat et je signe. Vous avez choisis la meilleurs solution, président Laroche.
La première fois que j'écrit ce genre d'histoire. Je sais même pas si je l'aime ou pas moi même ^^