l'itineraire nocturne du Desterro - I

L'ITINERAIRE NOCTURNE DU DESTERRO - I


etrange en l'entraille du passé
par les au-delá te tes latitudes être sauvage
des voix disparue rodent

une pile de verre brisé dans le recoin
la muse endormie aux seins corrompus
des espérances perdues en chiméres
ici la pierre d'angle observe le temps

la boussole affolée
egare la vie d'une lampe à mercure l'autre
et nos rêves, dévorés par les rats


Maison Bambe - Desterro,1982
Saint-Louis du Maragnon - Brésil

J'ai un peu (et même beaucoup) de mal à saisir ton poème. Outre les fautes de français, le fond est assez curieux et j'ai du mal à relier les éléments entre eux, à comprendre les idées. Ceci étant, il y a tout de même de belles images mais le tout reste dur à la compréhension.

Par ailleurs, tu pourrais peut-être aller te présenter dans la section appropriée, histoire qu'on en sache un peu plus sur toi ! ;-)

J'ai l'impression que l'auteur se livre à un exercice extrèmement compliqué; écrire un poème dans une langue qui n'est pas la sienne.

Si c'est le cas c'est plutôt courageux. :-)

Eh bien j'espère qu'il va rapidement se manifester de nouveau et surtout, qu'il va se présenter afin de nous éclairer un peu... ^^

Si tu as raison Alfred, je suis bien d'accord avec toi, c'est courageux.. XD

un texte poétique pour moi peut ressembler à une fumée de pipe, des idées qui partent nulle part, et forment bout à bout une atmosphére.
Du passé, des ruptures, des pertes, des visions nocturnes.
Comme les chamans certaines phrases divinatoires laissent libre court à notre interprétation, selon notre propre passé. En somme il y a un échange entre l'auteur et le lecteur, personne n'est passif, chacun se renvoit sa propre histoire.
N'êtes vous pas touché par certaines phrases sur les murs, mêmes incomplétes.
Je lirai la suite en rentrant de vacances. Cordialement et bienvenue anne.

J'adore ce petit résumé.

Je suis tout à fait du meme avis.

Oui, derrière les fautes, il y a quelque chose de profond et qui m'a touché.

Bravo Rodrigues ! Continue.