Le mystère du domaine de la Valière

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Gérard, si tu n'attends pas les avis, tu risques de poster dans le vide...

Quelle sombre affaire.
Bien écrit, mais d'une lenteur un peu exaspèrante pour moi.

Pour ce récit qui a son charme ,j'ai eu un peu de mal à te donner mes impressions,je crois que la phrase du début

il partit avec pour seuls bagages, la femme de sa vie et une lourde valise.

me fit une impression (d'exagération un peu malvenue ?je ne sais pas au juste,mais je trouve cela étrange ..) qui m'a un peu rebuter,mais,sinon,j'ai tout lu et, je retrouve ton style d' histoires ,alors,j'aime bien quand même,je me demande bien où tu vas nous embarquer?!
Par contre ,j'ai un mal fou à imaginer possible qu'un couple de paysans quitte ainsi leur terroir après tant de dur labeur...Pourquoi partent-ils sans raison aucune?
mais,pas mal le coup du fusil ^^
A quand la suite,puisque nous ne sommes pas trop nombreux à commenter,tu peux sans doute la poster maintenant

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le maire décida donc, de l’ensevelir avec les siens au fond du parc, sous un chêne." Gérard, je sais que je suis nulle en virgule mais ici la tienne me semble déplacée.

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Vraiment bien!
quelle ambiance quand même...
non décidément,je retire ce que j'ai pensé au début; c'est très bien ,ce petit côté vieillot du couple me plaît de plus en plus,et ce... je ne sais quoi!!!!

Mais où est cette clé ?

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Mystère.......une maison hantée.....

(Mes petites annotations ne sont là que pour montrer que je suis...un auteur aime bien se savoir lu)

Mais dans quelle galère se sont ils embarqués , au domaine de la Valière...

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Madeleine – c’est sa femme – était convaincue" pourquoi ne dis-tu pas simplement : Madeleine, sa femme, ... Ou mieux son épouse pour éviter la répétition avec femme plus haut.
qu’il serait incapable de vivre heureux" L'emploi du singulier était-il voulu?
Trente ans, trente années de labeurs," entre les deux je mettrais un point pour mettre l'emphase sur le temps qui s'est écoulé.
ils furent des étrangers ici." à quoi se réfère le ici? la ferme?

Monsieur et de Madame Bourganeuf avait tellement de zéros que le banquier s’en inquiéta, mais depuis déjà une semaine le numéro de téléphone était aux abonnés absents." Si tu veux dire qu'ils sont à découvert tu donnes l'impression inverse. on parle de beaucoup de zéros quand il y a des millions. Ils sont dans le rouge eventuellement

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Gerard le " ici" pour moi c'est mon bureau. Je doute que c'est de cela dont tu parles.

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Je ne suis toujours pas convaincue, mais demande aux autres ce qu'ils en pensent.

Tout ce que tu dis ,Evahe, est sensé,et,les points que tu as soulevé m'ont aussi pas mal étonné , à mon heure
mais,j'y ai réfléchi à deux fois en lisant cette réponse de Gérard à mes critiques:
Beaucoup de faits son étranges dans cette histoire mystérieuse.
Pourquoi partent-ils ? Le savent-ils vraiment !
Une sorte de fuite irrationnelle.

Ainsi qu'à son habitude ,Gérard nous invite dans un monde "assez bizarre "(si je puis me permettre, Gérard,car le terme ne se veut pas péjoratif,ici )qui dans un premier temps peut étonner,et puis,l'écriture une fois comprise (je crois qu'on peut dire cela?) je trouve qu'elle devient très attachante,et, intrigante ,ici...
* pour la phrase au-dessus,il faut penser "paysan",l'étranger,c'est celui qui n'a pas de chez soi?Mais ,quand même,tous les paysans n'avaient pas de propriétés dans le temps,et ,maintenant non plus ..;je me demande si la suite ne va pas nous apporter une réponse , Evahé,j'en ai comme l'impression...
*j'en profite pour te dire, Gérard, qu'à la relecture du premier post, je me suis demandé si en remplaçant "inquiéta" par étonna, tu n'éviterais pas ce petit malentendu quand aux finances du couple ...

Le compte de la banque de Monsieur et de Madame Bourganeuf avait tellement de zéros que le banquier s’en inquiéta,mais depuis déjà une semaine le numéro de téléphone était aux abonnés absents.

Et,pour la fin de cette phrase,ne manquerait-il pas un bout ,de ce genre, pour aider à bien comprendre ?

Le compte de la banque de Monsieur et de Madame Bourganeuf avait tellement de zéros que le banquier s’en étonna ,[mais sans trouver d'explication ],car depuis une semaine déjà ,le numéro de téléphone était aux abonnés absents.
j'ai bien changé ta phrase
A quand la suite
et bientôt le dénouement ?
comme l'impression!

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".... il venait de comprendre que le mystère était peut-être au fond de la malle. Il la tira jusqu’aux greniers, elle ne résistait plus, elle avait abandonné l’idée de la fuite devant la fougue de.."

Pour ce passage,j'ai beau bosser et bien comprendre...je trouve quand même que tu mélanges trop de choses ,la malle, la femme,c'est équivoque,et,même si l'on comprend, en fait,la lecture ne se fait pas assez facilement.

La malle, bien qu’il faillît se démettre le dos, demeura scellée au sol. Il ne restait plus qu’à l’ouvrir puisqu’elle était si lourde et que la porter fût impossible.

Cette phrase ci-dessus,ne me semble pas très au point,alors,je me permets de te l'écrire ainsi :
Bien qu'il faillît se démettre le dos,la malle demeura scellée au sol;il ne restait plus qu'à l'ouvrir puisqu'elle était si lourde qu'il eût été impossible de la porter.
L 'histoire est toujours intrigante et cela m'a fait plaisir de la lire et de te mettre mon avis