la siréne

Parfois certains pécheurs trouvent au font de leurs filets une sirène.
Qu’ils s’empressent de revendre au poissonnier.
Voici la sirène sur l’étale de glace entre deux citrons.
Un prince passe et séduit lui promet bijoux, robes et châteaux.
Elle le reconnut.
N’as-tu pas jadis épousé la femme qui te sauva de la noyade ?
Oui, c’est vrai, et je vécue un enfer, chacun de ses caprices s’accompagnées de ce rappel.
Alors qu’as-tu fait ?
Je lui ais tout offert, parures d’ors, d’argents, de diamants, robes de velours,
Puis, j’ai fait affréter mon plus beau navire.
Des dauphins passaient, aimables, saluant notre vaisseau.
Afin de mieux les voir, elle se pencha.
Je la poussais.
Les flots s’entrouvrirent immédiatement pour avaler princesse, bijoux, tissus.
Je suis de nouveau chère madame de nouveau libre et vous propose mon royaume.
La sirène réfléchie.
Ainsi, son malheur n’était qu’illusion,
Et le prince tout bien fait par la nature était une âme perverse.
Elle réfléchie, et répondit :
Mon bien malheureux prince, votre histoire est des plus touchantes et la malheureuse semble s’acharner sur votre belle personne.
En vérité, moi aussi je suis princesse et riche.
Ainsi j’accepte de vous épouser, mais sous condition cependant.
Vous devrez vivre dans mon royaume.

A la vérité cette condition n’était pas pour déplaire au prince, fatiguée de la tutelle de sa mère la reine, fatiguée de devoir participer aux conseils du roi, son père.
Il accepta.
Ainsi le prince pris la sirène dans ses bras, organisa un mariage rapide et partie vers son pays.
Arrivé à destination elle lui montra un bénitier d’au moins deux mètres.
La sirène lui expliqua qu’il s’agissait de la chambre nuptiale et que la tradition voulait qu’il s’y installe en premier.
Ce qu’il fit donc.
Or, à peine prit-il le temps de s’allonger que le mollusque se referma.
La sirène entendit hurler maudire, au travers de l’huitre mais rien n’y faisait.
Pour finir elle répondit au prince :
Je suis la sirène qui vous avez sauvé mais vous m’avez oublié, j‘ai bravé mille mort pour vous, jusqu’au jour ou ma marraine me confectionna un filtre d’oublie d’amour. A ma place vous avez épousez une jeune fille que vous avez fait assassiner pour échapper à ses caprices.
Prince, tout prince que vous êtes, vous êtes un être vil qui mérite le sort qui vous attend.
Prince au cœur des cette huitre, vous ne serez qu’une poussière, mais elle vous fera la faveur de vous entourer de nacre.
Dormez et grossissez, un jour de votre triste personne, il sortira une perfection sans non.

Ainsi la sirène retrouva sa liberté.
Doublement :
-Elle nageait librement au milieu des coquillages
-Elle avait totalement oublié un prince nigaud !

J'aime bien ce genre d'écrit où, on va à l'essentiel. L'histoire est belle et sa lecture musicale.
Si je puis me permettre de faire un commentaire important.
La ponctuation, dans se genre est très importante. une virgule manque et le rythme est cassé, ou pire, on est perdu.
Vous devriez peut-être ponctuer vos dialogues pour la clarté.

Citation :

Un prince passe et séduit lui promet bijoux, robes et châteaux.

Un prince passe, séduit, et lui promet bijoux, robes et chateaux.

Bravo ! A quand le prochain ?

je suis d'accord sur le fait qu'il faudrait accorder un peu plus de temps de réflexion sur la ponctuation. Mais dans l'exemple, je modifierais plutôt ainsi :

Un prince passe et, séduit, lui promet bijoux, robes et châteaux.

Oui, voyez, je pensais que séduit était à la troisième personne, alors que c'est le participe.
il est séduit, il ne séduit pas.

Vous l'avez maintenant, mieux écrite

Bravo, j'aime.

A la fois beau et rigolo,et ,une fois encore:bravo

Texte qui surprend. J'aime bien.

merci de vos réponses.
tout à fait d'accord avec gérard sur le pb des ponctuations.Parfois je les domine mal, parfois,malheureusement à jouer les mayols du jb-entre descente et sevrage anxiolitisé,je perds mon latin,deja perturbé par de la dyslexie naturelle.
Pour finir ,donc, je repensais à l'idée du tutorat en me mettant comme volontaire, en recherche d'un tuteur-corecteur de texte.
Mais je ne trouve pas les rubriques concernant le tutorat, l'idée est elle encore dans l'air, ou a -t-elle été abandonnée ?

La petite sirène : la fin d’un amour !
Parfois certains pécheurs trouvent au font de leurs filets une sirène.
Qu’ils s’empressent de revendre au poissonnier.
Voici, la sirène sur l’étale de glace entre deux citrons.
Un prince passe et séduit, lui promet bijoux, robes et châteaux.
Elle le reconnut.
- « N’as-tu pas jadis épousé une femme qui te sauva de la noyade ?(du moins ,le pensais-tu)
-Oui, c’est vrai, et je vécue un enfer, chacun de ses caprices s’accompagnées de ce rappel.
-Alors qu’as-tu fait ?
-Je lui ais tout offert, parures d’ors, d’argents, de diamants, robes de velours,
-Puis, j’ai fait affréter mon plus beau navire.
Des dauphins passaient, aimables, saluant notre vaisseau.
Afin de mieux les voir, elle se pencha.
Je la poussais.
Les flots s’entrouvrirent immédiatement pour avaler princesse, bijoux, tissus.
-Je suis de nouveau chère madame de nouveau libre et vous propose mon royaume. »
La sirène réfléchie.
Ainsi, son malheur n’était qu’illusion,
Et le prince tant bien fait par la nature, en apparence, était une âme perverse au fond de son âme..
Elle réfléchie, et répondit :
Mon bien malheureux prince, votre histoire est des plus touchantes et le malheur semble s’acharner sur votre belle personne.
En vérité, moi aussi je suis princesse et riche.
Ainsi j’accepte de vous épouser, mais sous condition cependant.
Vous devrez vivre dans mon royaume.

A la vérité cette condition n’était pas pour déplaire au prince, fatiguée de la tutelle de sa mère la reine, fatiguée de devoir participer aux conseils du roi, son père.
Il accepta.
Ainsi le prince pris la sirène dans ses bras, organisa un mariage rapide et partie vers son pays.
Arrivé à destination elle lui montra un bénitier d’au moins deux mètres.
La sirène lui expliqua qu’il s’agissait de la chambre nuptiale et que la tradition voulait qu’il s’y installe en premier.
Ce qu’il fit donc.
Or, à peine prit-il le temps de s’allonger que le mollusque se referma.
La sirène entendit hurler, maudire, au travers de l’huitre mais rien n’y faisait.
Pour finir elle répondit au prince :
-« Je suis la sirène qui vous avez sauvé mais vous m’avez oublié, j‘ai bravé mille mort pour vous, jusqu’au jour où ma marraine me confectionna un filtre d’oublie d’amour. A ma place vous avez épousez une jeune fille que vous avez fait assassiner pour échapper à ses caprices.
-Prince, tout prince que vous êtes, vous êtes un être vil qui mérite le sort qui vous attend.
-Prince au cœur des cette huitre, vous ne serez qu’une poussière, mais elle vous fera la faveur de vous entourer de nacre.
-Dormez et grossissez, un jour de votre triste personne, il sortira une perfection sans non. »

Ainsi la sirène retrouva sa liberté.
Doublement :
-Elle nageait librement au milieu des coquillages
-Elle avait totalement oublié un prince nigaud !