Concours spécial 2 ans de l'AE - votons !

Bonjour,


Les votes sont ouverts pour ce concoucrs... conconurs... concours (j'vais y arriver !) spécial 2 ans de l'AE !

Vous avez le droit à un seul vote par personne. Les votes seront clos le dimanche 8 mars, 20h00.


Bonne chance et merci aux participants !

Texte 1


Je me levais. Tut … tut … tut ! Mon réveil ! Nous sommes Jeudi, le jour de mon anniversaire ! Oh non, il fallait que j’aille à l’école, c’est pas possible !
Je regardais dans le placard, mais je ne trouvais pas de petit déjeuner … Comment pourrais-je aller à l’école le ventre vide ? Mais bon, j’étais bien obligé d’y aller …

A 8h00 je me dirigeais donc vers mon collège avec mon car et des élèves qui ricanaient bêtement devant ma magnifique présence. Cela me faisait beaucoup de peine de devoir aller à l’école un jour pareil … Deux autres élèves marchèrent vers moi et essayèrent de me cloîtrer dans une pièce toute sombre, que je ne connaissais pas …

J’arrivais donc en retard pour mon premier cours : le cours de math, ma bête noire. En plus, le professeur me détestait et je reçus une colle de deux heures pour le soir.

Depuis une heure, mes camarades ne cessaient de ricaner … en me regardant. Je me demandais pourquoi, puis je me regardais le torse et je remarquais l’absence de mon T-shirt. Quelle pouvait bien être cette malédiction ? L’anniversaire de mes seize ans se révélait décidément bien décevant.

Après un cours bien ennuyeux, je me rendis, lors de l’intercours, aux toilettes, pour mettre le T-shirt que j’avais pris le matin en le prévoyant pour le sport. En français, je me rendis compte que j’avais oublié mes affaires, et toutes celles des autres matières, sauf pour le sport . Je faisais un rapide et calcul des punitions : 2h de colle pour le soir et 3000 lignes à réaliser pour le lendemain ! Ce n’est pas possible un anniversaire pareil ! Comment survivrais-je à un tel supplice ?

A midi, nous eûmes droit à … rien ! Les cantines scolaires étaient vides, les fournisseurs avaient complètement oublié d’apporter la nourriture … j’en déduisais que j’aurais encore faim jusqu’à ce que je prenne quelque chose chez moi.

Lors de la fin des cours, alors que j’attendais mes parents, personne ne vint. Je fus donc contraint de prendre le bus. Le soir, s’il y a bien quelque chose que je déteste c’est prendre le bus tout simplement parce qu’il suit un circuit particulier et que cela dure interminablement. Enfin, arrivé chez moi, je dus monter les mille mètres restants.

Je commençais vite à trouver mon sac très lourd. Je l’ouvris, car étant donné que je n’avais pas pris beaucoup d’affaires, cela était très étrange. Je vis alors quelque chose qui me rendit stupéfait. Je devins rouge de colère, car apparemment des élèves s’étaient amusés à placer des cailloux énormes dans mon sac. Je les enlevais alors, et cela me permit d’être largement moins fatigué par le trajet que cela l’aurait été si j’avais laissé les pierres …

Arrivé pas très loin de la maison, un téléphone sonnait sans arrêt. J’eus tout de même le temps, avant de répondre au téléphone, de m’apercevoir que toute la nourriture avait disparu , et qu’à la place trônait au beau milieu de la table, un gâteau au chocolat avec un mot à côté, fait à l’informatique, et en italique, par mes parents : Nous sommes désolés, mais nous avons du partir chercher ton frère , et la seule boulangerie restée ouverte n’avait que ce gâteau-là à nous vendre …
Nous n’avons d’ailleurs plus d’argent, la boulangère n’ayant plus rien à vendre étant donné ses difficultés financières pour commander de nouveaux produits boulangers… le prix du gâteau était donc du montant de la moitié de notre somme, ,et le reste est allé dans la nourriture achetée hier . A plus tard, on t’aime.

Je portais et je lisais le mot tout en me dirigeant vers le téléphone et j’entendis :

- Allô ! C’est la gendarmerie qui vous appelle. Je ne sais pas quel membre de la famille vous êtes, mais je vous annonce que Mr. Déni et Mme Déni ont eu un accident aujourd’hui en allant chercher un autre membre de la famille. On m’informe également qu’ils n’ont pas survécu à l’accident étant donné la vitesse de leur collision avec un autre véhicule, et les différents facteurs du manque de sécurité, par exemple le non port de la ceinture …

Je suis sincèrement désolé pour vous … Aurevoir. Et le policier avait raccroché. Il ne me restait plus qu’à aller chercher mon frère … à dix kilomètres de là ! Je pris une part de gâteau, et je m’en allais le chercher à son école maternelle. Heureusement que j’étais un bon « marcheur » ! Arrivé là-bas, mon petit frère de quatre ans boitait.
Qu’est-ce que tu as ? lui demandais-je.


Il me répondit qu’il était tombé du toboggan de l’école. Je dus alors le porter. Je pensais sans arrêt qu’aujourd’hui était le pire anniversaire de ma vie. En plus, étant donné que j’avais fait les deux heures de colles consécutives, la nuit était tombée. Lorsque je franchis la porte, je découvris qu’un cadavre gisait dans ma demeure. Le cadavre était là depuis longtemps … Je dus l’enterrer dans la plage qui longeait ma « résidence ».

Et là, ma stupéfaction fut justifiée par le fait que le gâteau était désormais moisi, car je l’avais laissé à l’air.

Vingt minutes plus tard, je me mis à vomir comme je n’avais jamais vomi, à cause de la part de gâteau que j’avais prise en rentrant. Mon frère, que j’avais couché il y avait de cela trente-cinq minutes exactement, se réveilla à cause du bruit réalisé par mon vomi lancé dans les toilettes. Au bout d’un moment, je ne pouvais plus viser dans le gouffre. Je dus ensuite nettoyer le sol. Faire en sorte que mon petit frère dorme.

Evidemment, une heure plus tôt, je lui avais donné à mangé les spaghettis d’hier. J’avais de la chance, il n’était absolument pas difficile pour la nourriture et m’obéissait très bien.

Je réalisais mes devoirs, je fis mes trois mille lignes de « je ne dois pas oublier mes affaires » et je me couchais dans mon lit. Je fus mouillé de la tête aux pieds, je me levais, j’allumais la lumière, et vis l’eau. Je changeais mes draps, jetais l’ancien au sale, et pus me rendormir, et … pleurer mes parents.

C’était le pire jour d’anniversaire que j’avais jamais eu … Je prévoyais de m’occuper d’autre chose le lendemain, et de ne pas aller à l’école. Je me levais. Tut … tut … tut ! Mon réveil ! Nous sommes Jeudi, le jour de mon anniversaire ! Oh non, il fallait que j’aille à l’école, c’est pas possible !
Je regardais dans le placard, mais je ne trouvais pas de petit déjeuner … Comment pourrais-je aller à l’école le ventre vide ? Mais bon, j’étais bien obligé d’y aller …

A 8h00 je me dirigeais donc vers mon collège avec mon car et des élèves qui ricanaient bêtement devant ma magnifique présence. Cela me faisait beaucoup de peine de devoir aller à l’école un jour pareil … Deux autres élèves marchèrent vers moi et essayèrent de me cloîtrer dans une pièce toute sombre, que je ne connaissais pas …

J’arrivais donc en retard pour mon premier cours : le cours de math, ma bête noire. En plus, le professeur me détestait et je reçus une colle de deux heures pour le soir.

Depuis une heure, mes camarades ne cessaient de ricaner … en me regardant. Je me demandais pourquoi, puis je me regardais le torse et je remarquais l’absence de mon T-shirt. Quelle pouvait bien être cette malédiction ? L’anniversaire de mes seize ans se révélait décidément bien décevant.

Après un cours bien ennuyeux, je me rendis, lors de l’intercours, aux toilettes, pour mettre le T-shirt que j’avais pris le matin en le prévoyant pour le sport. En français, je me rendis compte que j’avais oublié mes affaires, et toutes celles des autres matières, sauf pour le sport . Je faisais un rapide et calcul des punitions : 2h de colle pour le soir et 3000 lignes à réaliser pour le lendemain ! Ce n’est pas possible un anniversaire pareil ! Comment survivrais-je à un tel supplice ?

A midi, nous eûmes droit à … rien ! Les cantines scolaires étaient vides, les fournisseurs avaient complètement oublié d’apporter la nourriture … j’en déduisais que j’aurais encore faim jusqu’à ce que je prenne quelque chose chez moi.

Lors de la fin des cours, alors que j’attendais mes parents, personne ne vint. Je fus donc contraint de prendre le bus. Le soir, s’il y a bien quelque chose que je déteste c’est prendre le bus tout simplement parce qu’il suit un circuit particulier et que cela dure interminablement. Enfin, arrivé chez moi, je dus monter les mille mètres restants.

Je commençais vite à trouver mon sac très lourd. Je l’ouvris, car étant donné que je n’avais pas pris beaucoup d’affaires, cela était très étrange. Je vis alors quelque chose qui me rendit stupéfait. Je devins rouge de colère, car apparemment des élèves s’étaient amusés à placer des cailloux énormes dans mon sac. Je les enlevais alors, et cela me permit d’être largement moins fatigué par le trajet que cela l’aurait été si j’avais laissé les pierres …

Arrivé pas très loin de la maison, un téléphone sonnait sans arrêt. J’eus tout de même le temps, avant de répondre au téléphone, de m’apercevoir que toute la nourriture avait disparu , et qu’à la place trônait au beau milieu de la table, un gâteau au chocolat avec un mot à côté, fait à l’informatique, et en italique, par mes parents : Nous sommes désolés, mais nous avons du partir chercher ton frère , et la seule boulangerie restée ouverte n’avait que ce gâteau-là à nous vendre …
Nous n’avons d’ailleurs plus d’argent, la boulangère n’ayant plus rien à vendre étant donné ses difficultés financières pour commander de nouveaux produits boulangers… le prix du gâteau était donc du montant de la moitié de notre somme, ,et le reste est allé dans la nourriture achetée hier . A plus tard, on t’aime.

Je portais et je lisais le mot tout en me dirigeant vers le téléphone et j’entendis :

- Allô ! C’est la gendarmerie qui vous appelle. Je ne sais pas quel membre de la famille vous êtes, mais je vous annonce que Mr. Déni et Mme Déni ont eu un accident aujourd’hui en allant chercher un autre membre de la famille. On m’informe également qu’ils n’ont pas survécu à l’accident étant donné la vitesse de leur collision avec un autre véhicule, et les différents facteurs du manque de sécurité, par exemple le non port de la ceinture …

Je suis sincèrement désolé pour vous … Aurevoir. Et le policier avait raccroché. Il ne me restait plus qu’à aller chercher mon frère … à dix kilomètres de là ! Je pris une part de gâteau, et je m’en allais le chercher à son école maternelle. Heureusement que j’étais un bon « marcheur » ! Arrivé là-bas, mon petit frère de quatre ans boitait.
Qu’est-ce que tu as ? lui demandais-je.


Il me répondit qu’il était tombé du toboggan de l’école. Je dus alors le porter. Je pensais sans arrêt qu’aujourd’hui était le pire anniversaire de ma vie. En plus, étant donné que j’avais fait les deux heures de colles consécutives, la nuit était tombée. Lorsque je franchis la porte, je découvris qu’un cadavre gisait dans ma demeure. Le cadavre était là depuis longtemps … Je dus l’enterrer dans la plage qui longeait ma « résidence ».

Et là, ma stupéfaction fut justifiée par le fait que le gâteau était désormais moisi, car je l’avais laissé à l’air.

Vingt minutes plus tard, je me mis à vomir comme je n’avais jamais vomi, à cause de la part de gâteau que j’avais prise en rentrant. Mon frère, que j’avais couché il y avait de cela trente-cinq minutes exactement, se réveilla à cause du bruit réalisé par mon vomi lancé dans les toilettes. Au bout d’un moment, je ne pouvais plus viser dans le gouffre. Je dus ensuite nettoyer le sol. Faire en sorte que mon petit frère dorme.

Evidemment, une heure plus tôt, je lui avais donné à mangé les spaghettis d’hier. J’avais de la chance, il n’était absolument pas difficile pour la nourriture et m’obéissait très bien.

Je réalisais mes devoirs, je fis mes trois mille lignes de « je ne dois pas oublier mes affaires » et je me couchais dans mon lit. Je fus mouillé de la tête aux pieds, je me levais, j’allumais la lumière, et vis l’eau. Je changeais mes draps, jetais l’ancien au sale, et pus me rendormir, et … pleurer mes parents.

C’était le pire jour d’anniversaire que j’avais jamais eu … Je prévoyais de m’occuper d’autre chose le lendemain, et de ne pas aller à l’école.

Texte 2


ONE MAN SHOW.

Bon, silence s’il vous plait…Votre attention…J’AI DIT SILENCE! Bien. Tout le monde est là? Alors on va pouvoir commencer.

Je tiens à vous remercier tous d’être venus pour mon anniversaire. Cela me fait vraiment plaisir de vous voir tous ici réunis pour fêter ce jour merveilleux qui m’a vu naître…Hein?…Mais oui! Même toi Alfred je suis content de te voir. Alors j’en étais où? Ah oui! Je suis content de vous voir tous réunis en ma demeure…Akira! S’il te plait! Tu peux arrêter de manger le gâteau en cachette? …Comment ça, c’est pas toi? Tu as la bouche pleine.

Alors je disais que j’étais content…TekMerak! Pourquoi tu râles? Kakkrat a piqué ton étiquette? Alors là, non! Ça va pas être possible. Chacun doit conserver son étiquette avec son nom sur soi. Sinon comment on fait pour se reconnaître? Hakkrat tu rends tout de suite son étiquette à Tek! Je sais, c’était pour rigoler, mais tu vois, personne ne trouve ça drôle, n’est-ce pas?

Ah ben si! Apparemment ça fait rigoler Hélène. Mais elle va nous dire pourquoi elle rigole Hélène? Alors?…Hein?…On fait moins sa maline maintenant. On ne sait plus quoi dire….Est-ce que je vais enfin pouvoir faire mon petit discours de bienvenue, ou on passe tout de suite aux jeux des charades?

Quoi? Comment ça des charades? Et bien oui Mike. J’ai prévu de faire des jeux de charades. Il faut bien mettre un peu d’animation. Et les charades sont un excellent moyen de s’amuser. Tu as quelques choses à dire contre mes charades? Non. Et bien parfait…

Donc je vous souhaite la bienvenue. Il était important pour moi de vous réunir ici. Cela fait à présent prés d’un an que je vous connaissais par le biais de l’AE et j’avais le besoin de vous connaitre plus personnellement…HAKKRAT ET TEK CA SUFFIT!!! Je vais me fâcher. HAKKRAT pour la dernière fois rend son étiquette à TEK. Il va finir par exploser tellement il devient rouge….Mais dis donc Kakkrat…Peux tu me dire pourquoi tu portes l’étiquette d’EVAHE? Comment ça elle ne voulait pas la porter car elle la trouvait trop moche? Madame crois que nous sommes dans un défilé de mode? D’ailleurs où est elle? EVAHE!!! Ah je te surprend petite coquine. Occupée d’ouvrir mes cadeaux. Mais vas y continue, te gêne surtout pas. Comment? Tu voulais savoir si les autres cadeaux étaient plus beaux que le tien Et alors?…Je n’ai eu que des cadeaux de merdre! Et bien nous dirons qu’ils sont à la hauteur de mes invités…Mais c’est bon Gérard de l’Extrême te fâche pas, c’est de l’humour. Tu sais ce que c’est? De l’humour avec un grand U.

Je vous préviens tous, nous avons plus de 07 minutes de retard sur le programme, si ça continue comme ça, on ne pourra pas faire de charades et il faudra tout de suite passer au jeu des mimes. Alors laissez moi terminer mon discours…Tiens voilà qu’on sonne à la porte. Manquait plus que ça. Restez clames les enfants j’arrive. Encore un foutu de retardataire…Tiens IRON, mais content de te voir, 08 minutes 37 secondes de retard, mais tout va bien.

- DIEU s’excuse. Dieu a été retenu dans les embouteillages.

Ouais je vois ça dieu est omniprésent, mais il est pas foutu d’être à l’heure à mon anniversaire. Allez rentre et va te mettre où tu veux. Tiens, à côté de Akira qui a commencé à attaquer les petits-fours.

-DIEU te remercie.

Alors, vais-je enfin pouvoir terminer ce discours? Pitié!!! Quoi Niko? Non, il n’est pas prévu de danser la gavotte. Tu te crois dans une fest-nos? Aucun danse bretonne. J’ai prévu un programme d’activité. 20h00 charade. 20h30 pause. Boissons. Petits gâteaux (s’il en reste).21H00 Jeux de mimes. 21H30 pause. Gâteau d’anniversaire (ce qu’il en reste), ouverture des cadeaux (on va gagner du temps, c’est déjà fait). 22H30 lecture au coin du feu….

Oui je sais Shoun, je n’ai pas de cheminée, mais c’était juste une image tu comprends. Je voulais évoquer la convivialité, mais personne ici ne semble savoir ce que cela veut dire.

Donc, alors ça c’est dit…ça aussi. Ah oui. J’ai donc trouvé le prétexte de mon anniversaire pour que fassions tous plus un peu plus amples connaissance…Hum….Oui Kalystah….Ce que je viens de dire ne fais pas très français. Hum…moi je trouve que si…Qu’Est-ce qui t’a choquée?…ah bon…De toute façon y a personne qui écoute. Tiens Lilabelle, plutôt que de te curer le nez en baillant, tu peux pas aller consoler Tek, je crois bien qu’il est parti en pleurant dans le jardin. Ah est pendant que tu y es, il a trois étiquettes collées dans le dos. Tu peux les enlever? Merci.

Je sais même plus où j’en étais dans mon texte. De toute façon j’ai même plus envie de le lire. Tiens Hélène et Evahe bras dessus bras dessous. Mais vous êtes ivres? Ne me dites pas que vous avez trouvé les bouteilles de champagne? Si, vous avez trouvés les bouteilles. Je les avais cachées pensant qu’Anne serait parmi nous ce soir. Mais c’est pas possible quelle galère.

Iron, mais pourquoi tu verses tout le punch sur Morrigan? T’es malade!

-DIEU va bien, il baptise ses disciples »

Mais c’est du grand n’importe quoi. Non mais je rêve là. Non mais Iron, tu imagines la tronche du chauffeur de Taxi quand Morrigan va monter dans sa voiture.

Non Evahe s’il te plait, il n’est pas possible de rentrer dans le gâteau. Et s’il te plait rhabille toi. Hélène fait quelques choses…Ok, non mais fait comme tu veux Hélène si tu veux aller bronzer nue dans le jardin, pas de problème. C’est Tek qui va bien se rincer l’œil…Ça va le calmer peut être.

Luciole, tu es gentille. Va dans la cuisine. Prend le seau, le balai et la serpillière . Pourquoi? Ben regarde Akira vient de vomir tout les petits fours.

Non mais Gérard et Mike, vous regardez la télé? Vous ne voulez pas rater plus belle la vie? Les deux vieux du Muppets show, vous me le dites si je vous ennuis. Quoi? Je vous ennuie. D’accord. Moi, je suis ennuyeux? Non mais pas de soucis….C’est pas grave je vois que Luciole vomit à son tour en ramassant le vomi d’Akira, mais je dis rien. Parce que je suis ennuyeux. C’est bon, là je parle plus. De toute façon, toute cette fête pour avoir des cadeaux de merdre, franchement ça valait pas le coup. En plus on aura même pas fait les charades.

Mais c’est pas grave, parce que je suis quelqu’un de chiant. D’ailleurs je suis tellement chiant que je vais vous laisser tout seul, tiens! Moi je vais au cinéma.

Non mais je vous jure, l’année prochaine je fais pas de discours et on commence tout de suite par les charades.

Texte 3


Tout s’annonçait pourtant bien quand notre copain décida de fêter son anniversaire ; une bonne soirée en perspective nous mettait toujours le cœur en joie, et surtout quand il s’agissait de pouvoir s’amuser avec nos meilleurs copains, notre « bande de Punk de Strasbourg ».
Il y a plus de vingt ans que cet événement arriva, mais il m’en reste un souvenir fort cuisant. Mais, ne serait-ce pas plutôt le terme « cuitant »qui serait alors bien plus approprié ?
Et oui, quand on est jeune, et qu’on se prend pour des terreurs, il peut arriver un dérapage lors d’une simple soirée d’anniversaire…
Donc, mon copain et moi , l’après-midi même de ce grand soir, étions dans un supermarché, au rayon alcool, car nous n’avions pas encore trouvé de cadeau pour notre ami, c’est pourquoi, une bouteille de vodka nous semblait pouvoir faire l’affaire.
Mais, quelle mauvaise idée nous vint donc là !
C’est bien à cause de cette malheureuse bouteille que la soirée chavira dans les profondeurs abyssales d’un mauvais délire, quand la nuit fut venue.
Pourtant, au début de la soirée, l’ambiance était plutôt sympa, nous étions une vingtaine de très bons copains réunis chez Marc, dans son tout petit appartement comportant un beau balcon.
Quand il ne faisait pas encore tout à fait nuit, la soirée avait commencé très agréablement entre ce balcon qui permettait de profiter de l’air printanier qui est un soulagement pour les alsaciens après le long hiver enduré, et le salon ou bien la cuisine, à l’intérieur de l’appartement . Ainsi, deux petits groupes se formèrent, un dehors qui devisait gentiment, et l’autre à la cuisine entrain de siffler en douce la bouteille de vodka que venions d’apporter…
Assez vite, l’ambiance se mit à être tendue, nous étions tous bien trop survoltés pour qu’il puisse en être autrement d’ailleurs ..
Ainsi nous étions tous habitués les uns aux autres , fortement soudés par une passion commune : le rock’ n roll ; nous avions formé un groupe de musique dont mon copain était le guitariste et moi « la batteuse » novice, le chanteur et le bassiste était avec nous ce soir là.
Habitués à boire ensemble plus que de raison en écoutant de la musique à fond, très vite, il fut impossible de communiquer normalement tant le bruit était assourdissant.
C’est un peu pour cette raison que mon copain et moi avions tenté de nous réfugier à la cuisine, quand, à notre grande stupéfaction, on vit là un bon attroupement près du réfrigérateur, où chacun, à petits coups répétés, s’envoyait des bouchons remplis de vodka.
Pourtant, la bouteille avait été soigneusement mise au frais, en vue de la garder pour plus tard, c’est du moins ce qu’avait espéré notre copain, Marc, qui fêtait ses vingt cinq ans .
Voilà l’ambiance qui se mettait à tourner au vinaigre... dès cet instant là, je trouvais que les choses ne se passaient plus vraiment bien.
Sur ce, les deux frères de la bande, Marc et Yves,très éméchés, se mirent à s’engueuler pour de bon, puis se ruèrent l’un sur l’autre devant nous tous, tels deux sales gamins, dans une rixe infernale …
S’en était fini, cette fois tout à fait, de la bonne ambiance.
Pour tout dire, cela aurait pu être risible , mais, chacun était parti dans un tel délire éthylique que l’amitié qui ordinairement nous liait, s’en trouva comme toute étiolée ; tous, en passe d’être vraiment ivres, le mauvais délire alla croissant.
Deux compères chargés de nous rapporter de quoi boire, au retour de la station service ouverte la nuit, revinrent avec une quantité bien trop grande de bières qu’il posèrent au milieu du cercle que nous formions. Cela nous acheva. La soirée se terminait mal, nous étions lassés après l’excitation démentielle du début et, tous assis en rond autour de cet amas de canettes de bière , nous étions dans un état second surprenant …
Mais, comment me suis-je donc retrouvée sur les genoux du chanteur de notre groupe alors que mon copain était juste à mes côtés ?
Toujours est-il qu‘après avoir reçu une claque magistrale de la part de la copine de ce gars là , je retrouvais quelque peu mes esprits…
Après cet éclat, les gens sont partis très vite, la soirée était foutue, cette fois, plus rien n’aurait pu y remédier, manifestement !
Ainsi, chacun rentra chez soi sans plus attendre, mais, le clou de la soirée était encore à venir, et nous n’en serions avertis que le lendemain soir…
Yves, resté un peu plus tard que les autres, se retrouva coincé dans l’escalier, car la porte d’entrée venait d’être fermée à clef pour la nuit, derrière nous, et, quand il remonta chez son frère, Marc, celui-ci dormait déjà à poings fermés, et ne lui ouvrait plus.
Yves, notre bassiste, se retrouva ainsi bloqué là, quand il vit la seule issue possible : la porte de la cave…
Il descendit les quelques marches et, s’introduisant en ce lieu, y resta pour boire jusqu'à l’aube, car il avait trouvé des bouteilles de champagne dans une des caves …Puis, il fit un bruit épouvantable en tentant de fracturer la porte du garage afin de sortir de ce pétrin , ce qui réveilla les voisins ; ces derniers appelèrent la police .Inutile de dire que cela ne se passa pas bien du tout, il fit du grabuge, et puis, un rebelle au poste, cela fait des vagues^^

Texte 4

1.

Quarante neuf ans, onze mois et trente et un jours. Oui, cinquante ans, si vous voulez, mais cet âge ne me va pas du tout. Un demi-siècle, vous vous rendez compte ?
Telle une bougie, ma vie se consume et ma flamme vacille toujours plus de jour en jour. Et je vais devoir affronter ce jour d’anniversaire, me coltiner toutes les remarques débiles et ringardes que l’on sort à cette occasion.

Bon, tout d’abord, me lever et affronter ma famille, première à me vomir dessus. Oui, je suis de mauvaise humeur, et alors, j’ai le droit non ? Si vous croyez que j’ai envie de vivre cette journée…

A peine sortit de ma chambre, je perçois le rire de mes deux filles. Elles ont l’air contentes d’avance de me fêter mon anniversaire. Tu parles, ça leur fait plaisir de me voir se rapprocher de la mort ! 15 et 18 ans. 33 ans à elles deux, même pas mon âge. P***** de jeunes insolentes !

- « Bonjour Papa ! »
Ah ben tiens, c’est la plus jeune qui déclenche les hostilités ! Ca ne m’étonne pas, elle tient bien de sa mère celle-là, toujours prête à m’enfoncer.
- « Et bon anniversaire ! 50 ans, mais t’es toujours aussi beau mon papinou ! »
Papinou, le premier coup de poignard, aussi meurtrier que celui de Brutus à César. « T’es toujours aussi beau » qu’elle me dit avec sa voix niaise. Elle croit que je ne vois pas mes rides et mes cheveux blancs ou quoi ? Sale hypocrites de gosses.
- « Fait pas la tête comme ça ! On t’a préparé un bon petit-déjeuner pour que tu sois en forme.
- Mais c’est notre ancêtre ! Bon anniversaire !
Tiens, la sœur ! Elle, au moins, elle n’y va pas par quatre chemins : elle me voit comme une épave. Et après on dit faîtes des gosses ! Tu parles, si c’est pour qu’ils nous descendent à la moindre occasion…
J’esquisse un large sourire, pour essayer de leur faire croire que j’apprécie leur attention et dit :
- « Vous ne devriez pas être sur le chemin des cours ?
- Si, me répond la plus jeune, mais on voulait être les premières à te souhaiter ton anniversaire ».
Quelle touchante attention ! L’humiliation est bien meilleure pratiquée de bon matin, c’est sûr !
- « Merci les filles, mais je ne voudrais pas que vous soyez en retard à l’école ».
Pour ce que vous y apprenez… En même temps, vu leurs niveaux, qu’elles y aillent ou pas, je fais sûrement face à deux chômeuses en puissance. Et en plus ça me coûte des tunes !

M’enfin, elles sont partis et c’est bien le principal. Ma femme n’est pas là, bonne nouvelle. La reine des chieuses à dû partir tôt, sûrement pour me préparer une surprise pour ce soir. Mais quel calvaire !
Je laisse le p’tit-déj là où il est, je n’ai pas très faim. Et puis quand je pense que je dois partir au boulot subir mes « chers » collègues, ça me coupe l’appétit.
Que l’on me donne une croix et une couronne d’épine, et là le supplice sera complet.

2.

Sans surprise, le périphérique est bouché. Je suis bon à attendre une heure dans ma voiture, entouré d’excité du klaxon.
Enfin, il faut que je vois le bon côté des choses : j’ai une heure de solitude dans cette journée, c’est déjà ça de pris.
Et puis il me faut bien ça pour me préparer à cette journée de bureau. Sans nul doute, les plus anciens se souviendront de mes 50 ans, et me serviront toutes sortes de réflexions débiles pendant la journée. Les autres devraient me foutre la paix. L’avantage quand on est chef, c’est que l’on a le droit à un surplus de respect. Certains pourraient craindre des sanctions s’ils allaient un peu trop loin. Par contre, les autres savent que je ne ferais jamais ça, et ils vont m’en faire baver.

Il faut que je me détende. La radio, parfait pour passer le temps.
- « … il faut effectivement se souvenir de la contribution de Jean Dupont, et c’est pour cela que nous lui consacrons notre émission du jour, à l’occasion des 50 ans de sa mort. »

Non, je ne la sens pas cette radio. 50 ans et mort dans la même phrase, ce n’est pas le jour. Une autre.
- « Et flash de dernière minute, nous apprenons l’incendie d’une maison de retraite en Charente-Maritime. Pour l’instant aucun survivant n’aurait été… »

Okay, là, c’est un complot ! Ils n’en ont pas marre de parler des vieux ? Je vais m’écouter un CD. Qu’est-ce que j’ai ? Ah, les Stones, un bon groupe qui ne se démodera jamais.
Au fait, il a quel âge Mick Jagger ? La cinquantaine… Attends, non ! Les Stones ont fêté leurs quarante années de carrière en 2003. Mince, Jagger a plus de soixante ans.
P****n de vie !

Et qu’est-ce qu’il fait l’autre devant avec sa poubelle ? Il avance ou pas !
Qu’est-ce que t’as à me regarder ? Oui, je klaxonne et alors, ça te gêne ? Crétin.

Faut vraiment que je me calme…

3.

Finalement, je n’ai pas trop attendu dans les bouchons. Peu de voiture devant le bureau. Mouais, sauf Marc et Jean-Pierre, deux gars qui sont là depuis 10 ans.
Allez, j’enfile mon plus beau sourire, mon armure anti-débilité et je monte les escaliers. Marc vient directement vers moi. Tout ce qu’il me dira sera drôle, tout ce qu’il me dira sera drôle…
- « Salut François
- Euh, bonjour Marc. Tu vas ?
- Pas mal et toi ?
- Oui, oui… »

Rien. Pas de moquerie. Il se tourne et repart vers son bureau. Il a dû oublier. J’avance doucement, et j’arrive jusqu’à Jean-Pierre. Cette fois, c’est la bonne !
- « Bonjour François.
- Salut Jean-Pi…
- Désolé, j’ai une urgence.
- Ah. Okay. »

Rien non plus. Ca fait plaisir ! Dix ans que l’on bosse ensemble et ils ne se souviennent même pas de mon anniversaire ! Mais qu’est-ce que je dis ? Tant mieux ! Bon, au travail.

Il est bientôt midi. Tout le monde a défilé dans mon bureau mais personne n’a pensé à mon anniversaire. C’est vexant. Je me rends compte que je ne représente rien pour eux. Ca m’apprendra à penser aux leurs, tiens ! Je vais aller manger, ça va me faire passer la déception.
Plus personne dans les couloirs. On dirait que tout le monde me fuit aujourd’hui. Je rentre dans la cafétéria et…

-« Surprise !!! »

Mais qu’est-ce que c’est ? Oh non, quelle l’horreur ! Tous les employés sont réunis dans la salle à manger et affichent un sourire de joie consternant. Et après avoir crié, ils se mettent à applaudir, pensant sûrement que la grimace qui se dessine sur mon visage reflète mon bonheur. Marc et Jean-Pierre s’approchent de moi en portant un gros carton, qu’ils finissent par poser sur une table.
- « Tu croyais qu’on t’avait oublié, hein ? » commence Jean-Pierre.
- « Mais c’est mal nous connaître, papi ! »

Marc a lancé les hostilités. Place à l’avanie. Pendant une demi-heure, j’ai eu le droit à des « C’était comment les années 60 ? », « Maintenant, tu attaques la moitié la plus dure » ou pire, à des « Tu te souviens quand on étais jeune ». Pendant tout ce temps, je me suis retenu de hurler « Foutez-moi la paix !! »

Mais le bouquet final arriva avec le fameux carton, toujours gardé par Jean-Pierre et Marc.
- « François, on t’a fait quelques cadeaux et c’est l’heure de les ouvrir.
- Merci les amis, mais il ne fallait pas. » Vous pouvez vous les mettre où je pense, vos cadeaux !
Je déballe donc le carton, sans me douter que je vais sombrer dans le pire moment de cette journée. La première chose que je saisi semble être un vêtement. Oui, c’est un T-shirt blanc. Je le déplie, et là m’apparaît un texte digne des plus grands auteurs de notre temps : « 50 ans, et toujours la trique »
Trois ou quatre secondes se sont écoulées avant que je ne réagisse devant ce « merveilleux » présent. Tout le monde a ris et m’a demandé de l’enfiler, Marc prenant la peine de rajouter avec un rire gras que c’était peut-être la dernière chose que je pouvais encore enfiler. L’ambiance est posée. Moi qui déteste le graveleux, j’allais être servi.
Je continue de fouiller dans ce que j’appelle désormais la malle de l’horreur et attrape une boîte assez légère. Je la déballe, toujours devant les regards impatients de mes collègues et découvre un sexe d’homme. Un godemiché pour être précis. Je crois que c’est à ce moment que mon esprit s’est déconnecté de mon corps, le laissant réagir automatiquement à tout ce qui l’entoure par de violents spasmes ressemblant à un rire. Je crois qu’à un moment Jean-Pierre a dit :
- « Tu vois, on a aussi pensé à ta femme ! »
Navrant, mais mes chairs ont ris.
Tout ce qui a suivi est un peu flou, mais je crois avoir trouvé dans le fond du carton des cachets de viagra et une alèse, cette dernière représentant pour moi un agréable répit.

La journée a repris sont court après 2 heures d’humour douteux entrecoupé de quelques verres de champagne. Je suis resté la fin de la journée dans mon bureau, bloquant de dépit devant mon PC.

4.

19h45, je quitte le boulot, déprimé mais soulagé de voir le bout de ce cauchemar. Tel un robot, je prends ma voiture et repart chez moi.

Me coucher et dormir. Voilà la seule chose que je souhaite. Ma femme a sûrement préparé un bon repas pour fêter mon anniversaire, mais je prétexterai une maladie quelconque pour gagner directement le lit. Oui, je crois que je vais faire ça.

J’arrive chez moi et me gare. Aucune lumière aux fenêtres. Avec un peu de chance, personne n’est à la maison. Preuve de mon état déplorable, je dois m’y prendre à plusieurs fois pour glisser la clé dans la serrure, ce qui amuserai sûrement Marc et ses vannes à deux ronds. J’en ai vraiment marre.
Enfin, j’ouvre la porte, allume la lumière et…

- « Surprise !! »

Oh non, pas une deuxième fois ! Pitié, mais oubliez moi !!
Ma femme et mon frère, encadrés de mes deux filles, mes parents et quelques amis d’enfance me font face. Le même cirque recommence, à domicile cette fois. Rire, réflexions douteuses, cadeaux qui n’amusent qu’eux… Et je leur apporte la même réponse : un rire obsessionnel compulsif.

Au milieu de la soirée, je réussi à gagner la salle de bain pour m’isoler. Je ferme la cuvette des WC et m’assoie dessus. Cette journée m’a vraiment atteinte et j’ai besoin de souffler. Mais qu’ai-je bien pu faire pour mériter cela ?
Je passe les mains sous l’eau du robinet et me rafraichit le visage plusieurs fois. Mon regard croise celui de mon reflet et je reste ainsi pendant une minute à m’observer. Mes cheveux blancs, mes rides…
J’ai peur de vieillir. De mourir sans avoir vécu pleinement ma vie. Pourtant, j’ai un bon travail, une femme qui m’aime et des amis chers. Tout ce que l’on peut souhaiter.
Je me souris. En ce moment, je me trouve plutôt bête. Tous ces gens m’aiment, me le prouvent depuis ce matin et je les rejette. Ils ne veulent pas m’enfoncer mais juste prouver combien ils tiennent à moi…
Je m’essuie le visage, me tourne vers la porte et me prépare à rejoindre la fête. Décidé à profiter de ceux qui m’entoure.

Finalement, c’est peut-être ça, la vie.

Texte 5



AVERTISSEMENT :

L’histoire qui suit est une fiction. L’auteur se décharge de toute responsabilité si certaines personnes s’y reconnaissent. Toute similitude avec des situations ayant déjà eu lieu ou existantes serait purement fortuite.

(Ames sensibles à l’humour grinçant s’abstenir. Aucune méchanceté n’y est intentionnelle.)




Q.G. du staff.

Crrr… Crrr…
Sergent Aki : Mayday, mayday. Allô, Youston ? Euh… Je veux dire : Colonel Iron ?
Colonel Iron : Je vous reçois… crrr… crrr… trois su… crrr… inq. La ligne est brouillée. Que se passe-t-il ?
Sergent Aki : Nous avons un gros problème.
Colonel Iron : Quoi ? Hakkrat a encore gagné le dernier concours ?
Sergent Aki : Non, pire que ça ! La réouverture du flood a provoqué une concentration massive de floodeurs. Je les vois à l’horizon. Ils sont crrr… crrr… milliers.
Colonel Iron : C’était à prévoir. Prévenez le duo dunkerquois.
Sergent Aki : OK. Allô, allô, j’en appelle aux capitaines Shoun la terreur et Sombretoile le rentre-dedans. Répondez.
Capitaine Sombretoile *tapant sur son talkie-walkie* : crrr… crrr… marche pas ce truc. Crrr… crrr…
Capitain Shoun *remontée à bloc* : Taïaut ! Qu’y a-t-il ?
Sergent Aki : Les floodeurs attaquent ! Tenez-vous prêts à modérer !
Capitaine Shoun : Bien reçu. Capitaine Sombretoile, votre police rouge modération est-elle parée ?
Capitaine Sombretoile : Euh… Sais pas comment on fait.
Capitaine Shoun : Tapez le code « [color=red] ». En attendant, j’invoque Ultuant le fantôme-drogué-à-Rappelz.

Pendant ce temps, dans le camp des floodeurs.

Amazone evahe : Hahaaaa ! Tout le monde est là ?
Tout le monde : Ouais !
Amazone evahe : Bien. Reprenons l’inventaire de nos armes une nouvelle fois. La guerre ne laisse place à aucune erreur !
Savant Alfred : Saviez-vous que le mot « guerre » venait du francique, werra ?
Amazone evahe *cochant vigoureusement sur son calepin* : Arme étymologique, c’est bon. Tronçonneur d’orthographe ?
Troll Tekmerak : Soyon sang pitier !
Amazone evahe : C’est bon aussi. Donneur de migraine sombretoilienne ?
Super guerrier Reader : Clètnemlpot oanrtépnoeil !
Amazone evahe : Impeccable. Stimulateur d’œstrogènes ?
Chevalier Morrigan : Avec moi les littéraaaaiiiiires !
Virilité incarnée Phylla Vell : Hé, ho, quand est-ce qu’on arrêtera de me confondre avec une femme ?
Dyslexique sexuel Mike : *sifflote*
Amazone evahe : Parfait. Sonnez les trompettes, on attaque !

Chez les modos, qui commencent à avoir franchement peur.

Sergent Aki : Alerte ! Ils ont donné l’assaut !
Capitaine Sombretoile : On va tous mourir.
Capitaine Shoun : Ils sont trop nombreux !
Colonel Iron : Au moins, on aura battu le record de présence…
Fantôme Ultuant : Bonjour. Bienvenue. Bonjour. Bienvenue. Bonjour. Bienvenue. Bonjour. Bienvenue.
Capitaine Shoun : Oh non, il s’est détraqué. A force de ne dire que ces deux mots, il a perdu la boule.
Sergent Aki : Les voilà !
Colonel Iron : Que la force soit avec nous.

La bataille épique.

Ménestrel Hellwing : Ô, bataille funeste qui s’empare de l’AE. Puisses-tu épargner ma sinistre vi-euh.
Sage Elios : Je vous souhaite à tous une bonne guerre.
Héros masqué Numenhilion : Vers l’infini et au-delà !
Conservateur de la culture celtique Niko : Waaaaaaaaaaaaah !
Capitaine Sombretoile : Oh non, pas du métal !
Enquiquineur Hakkrat : OoooooOOoOOOoOooooh !
Capitaine Sombretoile : Oh non, pas du Mariah Carey !
Boute-en-train Hélène : Coucou mes p’tits loups ! Vous êtes tous mignou mignou !
Capitaine Sombretoile : Oh non, pas du Chantal Goya !
Boute-en-train Hélène : Mais non, je disais simplement bonjour…
Capitaine Sombretoile : Ah.
La Belgique en force Lilabelle : Dites, vous modérez, une fois, ou pas ?
Capitaine Sombretoile : Me souviens pas du code.
Sergent Aki : La prépa m’appelle. *S’en va*
Fantôme Ultuant *retrouvant toute sa vigueur* : Yaaaahaaaa !
Capitaine Shoun : Oh non, l’appel du flood a été plus fort, il a basculé dans le côté obscur…
Je-suis-à-court-de-surnoms-et-d’inspiration-vite-la-fin-du-délai-pour-rendre-les-textes-approche-je-me-grouille Luciole : C’est quoi, mon texte, à moi ?
Boute-en-train Hélène : Pirouette, cacahuète ! ( ? ? ?)
Colonel Iron : Pchhhh ! (Fer à repasser power !)
Enquiquineur Hakkrat : *Brûle des livres de Gemmell* Joyeux anniversaire, l’AE !
Colonel Iron : *Se pend*

Message d’erreur.

Suite à un bug informatique, nous vous informons que l’accès au forum est momentanément impossible.

Amazone ça me va Comment ça je ne peux pas rentrer dans le gâteau!
Bravo à tous.

Le texte gagnant sera le texte le plus drôle !"
Ca va pas être facile

Euh, y a pas un copier coller sur le texte1?

C'était dur ... trois textes m'ont fait rire,deux plus particulièrement, mais j'ai quand même tranché.
un gros bravo à vous cinq, c'est franchement terrible ^^

(t'aurais-je reconnu Sombretoile ? )

Ah oui, et effectivement,le chauffeur de taxi a fait la tronche quand j'ai salit ses sièges ... merci Iron xD (euh ... DIEU ! )

Bravo à tous ! On devrait organiser plus souvent des concours humoristiques !

Un texte m'a fait rire en particulier, donc je n'ai pas eu trop de mal à me décider.

Dyslexique sexuel....pourquoi pas mais j'adore les Muppets show
Bravo à tous Bien rigolé dur dur de choisir

mouais,Hakk volant les étiquettes des autres, t'as pas honte non ?

c'est avec celui-là que j'avais hésité j'avoue

T'es pas mal non plus, en stimulateur d'oestrogènes ! ^^

Je passe mon temps dans la bouff' !!! (et son rendu...)

Bon, si c'est comme ça, je voterai après avoir pris mon petit déjeuner !




De toute façon c'est honteux ! Je suis une des seules à ne pas être officier !!!! Même pas une sous-off' digne de ce nom !
*Sergent Aki s'en va au mess sans plus de cérémonie*

Hakkrat a écrit:

T'es pas mal non plus, en stimulateur d'oestrogènes ! ^^

ouais hein ? c'est bien ça qui me fait peur xD

c'est vrai qu'on en prend tous pour notre grade là, c'est sympa (sans aucune référence à toi Akira ^^ )

Que du bonheur ces 5 textes ! Dur dur de choisir... Tous sont superbes ! Mais un plus que les autres, les jeux sont fait.
En tout cas, bravo aux 5 auteurs, bravo !

J'avoue n'avoir lu que le dernier texte pour l'instant (ça attire comme un aimant ces textes là ).
Déjà mort de rire, alors avec les autres je me demande ce que ça va être... Je repasse dans pas longtemps

Bout entrain qui fait sa maline ^^et vlan passe moi l'éponge
j'ai pleurer de rire ! même que j'en ai encore mal au ventre...
C'est beau la vie sur l'atelier^^
Pas facile d'en enlever un des deux que j'aime ...

Morrigan a écrit:

c'est vrai qu'on en prend tous pour notre grade là, c'est sympa (sans aucune référence à toi Akira ^^ )

Pas de soucis Morrigan... pas de soucis...

J'ai lu, j'ai bien aimé mais je vote pas

Bah pourquoi tu ne votes pas ? ::rolling::

ba j'arrive pas a me decider donc ...

Ben... tu tires à pile ou face.
Apparemment, le choix est difficile pour pas mal de gens... Les membres de ce forum sont décidément trop forts, hein oui ?

*Fleurs pour tout le monde*

A voté.

J'ai vraiment craqué sur le texte 5. Bravo!

Mdr, le 5 est fort, et le 2 aussi. Les auteurs ont vraiment bien cerné l'ambiance ainsi que certaines personnes, c'est géant, j'ai beaucoup ri !

Néanmoins, j'ai voté pour le 4. Enorme coup de coeur sur ce texte-là. Je me suis reconnue... Et j'avoue m'être pris une jolie claque à l'arrière du crâne à la fin. ^^