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 Début histoire

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MessageSujet: Début histoire   Début histoire Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 19:51

Bonjour à tous!
Je viens de m'inscrire sur le forum pour poster le début de mon histoire. J'espère qu'elle vous plairas, mais j'en doute, car je n'ai aucun style. Excusez moi d'avance pour les fautes d'orthographes. Je ne sais pas si je poste au bon endroit...

Chapitre I





Mon cœur palpitait à toute vitesse en dessous ma douce peau fragile où ruisselait de fines gouttelettes de sueur. Une panique c’était emparé de moi, qui était dû au fait que je me trouvais dans un endroit totalement inconnu, les yeux bandés, avec comme seul moyen de repère mon ouïe. J'étais dans un lit, enveloppé tel à l’intérieur d’un cocon, respectant les courbes de ma fine silhouette.

Le doux silence de mon sommeil profond laissait à présent place aux bourdonnements intempestifs des conversations auxquels je ne prêtais aucune attention auparavant. Aucun signe ne portait à croire que quelqu’un se souciait de moi à cet instant précis. J’aurais voulu leur crier ma présence, les arracher à leurs discours si passionnants, mais un seul soupir rauque sorti de ma bouche. Ce n’était pas un grand signe de présence, mais je sentais déjà des personnes s’activer dans ma direction. Les pas d’un homme se répercutaient sur le sol, s’approchant de moi, calmement. Il me prit la main pour me rassurer et tenta de m’expliquer la situation dans laquelle je me trouvais actuellement :

« Bonjour. Ne vous inquiétez pas je suis médecin. Vous êtes à l’hôpital, vous avez eu un grave accident de voiture, et avez reçu des projectiles dans le visage. Vos yeux ont étés touchés, mais semblent ne pas avoir subit de dommages importants. Est-ce que vous pouvez parler ? »

Ma voix tenta de lancer un oui, mais se contenta en réalité de dérailler. Il approcha son visage du mien pour mieux capter les mots que j’allais laisser échapper de ma bouche. Je réessayais, et le mot tant voulu sorti enfin, par mes lèvres qui bougeaient avec grande peine :

« Oui… Depuis…combien de temps suis-je ici ? Demandais-je dans un murmure presque inaudible.
- Vous êtes arrivé à l’hôpital il y a environ une semaine. Je vais vous retirez le bandeau, faite attention, cela risque de vous éblouir. J’ai pris soin de fermer les rideaux de la pièce. Vous êtes prêtes ?
-Allez-y. »


Une lumière aveuglante s’abattis devant mes yeux, mes membres retrouvèrent aussitôt leur vieux réflexe, et cachèrent mon visage, tel un enfant qui ne veut pas se réveiller après une courte nuit de sommeil. Un léger frisson parcouru mon corps, puis, mes doigts s’écartèrent peu à peu pour laisser place au décor d’une chambre aux quatre murs blancs, assez petites, triste. Je percevais le ciel bleu, ainsi que le soleil à travers les rideaux de la fenêtre, qui trahissaient son épaisseur. Le médecin se trouvait à quelques centimètres de moi, assis sur le bord de mon lit. C’était un homme plutôt bien bâtit, avec des cheveux d’un noirs éclatant, de magnifiques yeux noisette qui me fixaient, plein de compassion. Il s’assura à nouveau que j’allais bien, puis me posa une question troublante :


« Savez-vous comment vous vous appelez ? »


Cette question me parut tout d’abord idiote. Je fronçais les sourcils, me redressais dans mon lit, m’adossais au mur, et n’eu envie de répondre qu’une seule réponse : « bien sûre ! », mais les mots ne vinrent pas d’eux même. Cette question me frustra. Comment peut-on ne pas savoir son prénom ? Son nom ? Le prénom et le nom avec lesquelles on nous à toujours appelé, lesquelles font parti de notre histoire. Mon histoire…ma famille…mes proches. En quelques secondes, je sentis le monde s’écrouler autour de moi, ayant l’impression de mettre jeté d’une falaise, d’avoir heurté un rocher en pleine tête, et de giser inconsciente sur le sol. Je sentis mon visage pâlir, prenant l’aspect d’une triste mine blanchâtre, ma vue se troubler plus qu’elle ne l’était auparavant, et le lit me soutenant s’effondrer sous mon poids.

De petites claques heurtaient mon visage, essayant vainement de me sortir de cet évanouissement. Un frisson me parcouru, jusqu’à hérisser mes cheveux. Ne pas savoir qui j’étais était un réel choc pour mon esprit si fragile.

« Je suis désolé, je ne pensais pas… » Le docteur me fixa durant plusieurs secondes pour chercher les mots les plus appropriés à la situation, puis reprit sur un ton des plus posé :

« Vous vous appelez Peyton Blake. Vous êtes originaire des Etats-Unis, de New York pour être précis. Vous avez été adoptée à l’âge de deux ans, et…
-Adoptée ?
-Oui, d’après mon dossier, votre mère serait morte peu après votre naissance. Quant à votre père, rien ne lui fait allusion, il est peut être vivant, mais ne vous a pas reconnu comme sa fille. Personne ne sait donc qui il est.
-Si je comprends bien, je suis … complètement seule ?
-Vous avez certainement des amis de longue date, mais aucun d’eux ne s’est manifesté pour le moment. Je suis désolé. Quand vous rentrerez chez vous, vous pourrez toujours aller questionner vos voisins, vous obtiendrez probablement des réponses. En attendant, nous vous gardons quelques jours en observation. Dès votre sortie de l’hôpital, vous serez mise en contact avec l’un de nos psychologues, pour vous permettre une meilleure réinsertion dans la vie active. Sur ce, je vous souhaite un très bon rétablissement. Au revoir Mlle Blake, je n’aurais certainement plus l’occasion de vous revoir, et j’imagine que c’est bon signe pour vous ! »

Des larmes me montèrent aux yeux, puis se perdirent sur mes joues. Mon cœur était rempli de désespoir. Comment pouvais-je être autant la risée du monde ? Sans personne à qui me raccrocher. Et pourquoi cet accident ? Qu’était ma vie avant celui-ci ? Des centaines de question trottaient dans ma tête, sans aucunes réponses. Mais je comptais bien reprendre ma vie en main et découvrir mon passé si mystérieux.
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MessageSujet: Re: Début histoire   Début histoire Icon_minitimeMar 2 Juin 2009 - 9:57

Le traitement de l'amnésie est difficile et tu t'en sort pas trop mal.
C'est un texte équilibré faisant bien ressortir le désarroi de l'héroine.
Quelques fautes que tu pourrais éviter comme "Vous êtes prêtes...sans s. ou Une chambre assez petites (sans s)

J'attends de lire la suite Smile
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MessageSujet: Re: Début histoire   Début histoire Icon_minitimeMar 2 Juin 2009 - 18:59

Merci de ta réponse. Je m'excuse encore pour les fautes...
Je n'ai pas encore commencé la suite, mais ça ne devrais pas tarder.
Wink
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MessageSujet: Re: Début histoire   Début histoire Icon_minitimeMar 2 Juin 2009 - 19:03

Ne t'excuses pas, ce n'est pas grave, mais s tu fais attention tu vas progresser très vite.
Si tu veux une correction complète dis le moi.
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MessageSujet: Re: Début histoire   Début histoire Icon_minitimeMar 2 Juin 2009 - 19:06

J'espère. Oui je serais intéressée pour la correction. Ce serais vraiment sympa.
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MessageSujet: Re: Début histoire   Début histoire Icon_minitimeMar 2 Juin 2009 - 19:13

Je te la post dès que j'ai le temps.
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MessageSujet: Re: Début histoire   Début histoire Icon_minitimeMar 2 Juin 2009 - 19:26

Merci d'avance!
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MessageSujet: Re: Début histoire   Début histoire Icon_minitimeJeu 4 Juin 2009 - 18:01

Une petite correction vite fait. J'ai pu en oublier et n'ai pas regardé la syntaxe.

Mon cœur palpitait à toute vitesse en dessous ma douce peau fragile où ruisselait de fines gouttelettes de sueur. Une panique c’était emparé(emparée) de moi, qui était dû au fait que je me trouvais dans un endroit totalement inconnu, les yeux bandés, avec comme seul moyen de repère mon ouïe. J'étais dans un lit, enveloppé tel à l’intérieur d’un cocon, respectant les courbes de ma fine silhouette.

Le doux silence de mon sommeil profond laissait à présent place aux bourdonnements intempestifs des conversations auxquels(auxquelles) je ne prêtais aucune attention auparavant. Aucun signe ne portait à croire que quelqu’un se souciait de moi à cet instant précis. J’aurais voulu leur crier ma présence, les arracher à(arracher de) leurs discours si passionnants, mais un seul soupir rauque sorti de ma bouche. Ce n’était pas un grand signe de présence, mais je sentais déjà des personnes s’activer dans ma direction. Les pas d’un homme se répercutaient sur le sol, s’approchant de moi, calmement. Il me prit la main pour me rassurer et tenta de m’expliquer la situation dans laquelle je me trouvais actuellement :

« Bonjour. Ne vous inquiétez pas je suis médecin. Vous êtes à l’hôpital, vous avez eu un grave accident de voiture, et avez reçu des projectiles dans le visage. Vos yeux ont étés touchés, mais semblent ne pas avoir subit de dommages importants. Est-ce que vous pouvez parler ? »

Ma voix tenta de lancer un oui, mais se contenta en réalité de dérailler. Il approcha son visage du mien pour mieux capter les mots que j’allais laisser échapper de ma bouche. Je réessayais, et le mot tant voulu sorti enfin, par(de) mes lèvres qui bougeaient avec grande peine :

« Oui… Depuis…combien de temps suis-je ici ? Demandais-je dans un murmure presque inaudible.
- Vous êtes arrivé à l’hôpital il y a environ une semaine. Je vais vous retirez( retirer) le bandeau, faite(faites) attention, cela risque de vous éblouir. J’ai pris soin de fermer les rideaux de la pièce. Vous êtes prêtes (prête) ?
-Allez-y. »


Une lumière aveuglante s’abattis(s’abattit) devant mes yeux, mes membres retrouvèrent aussitôt leur vieux réflexe(leurs vieux réflexes), et cachèrent mon visage, tel un enfant qui ne veut pas se réveiller après une courte nuit de sommeil. Un léger frisson parcouru mon corps, puis, mes doigts s’écartèrent peu à peu pour laisser place au décor d’une chambre aux quatre murs blancs, assez petites(petite), triste. Je percevais( tu as certainement voulu dire j'apercevais) le ciel bleu, ainsi que le soleil à travers les rideaux de la fenêtre, qui trahissaient son épaisseur( je ne comprend pas ?). Le médecin se trouvait à quelques centimètres de moi, assis sur le bord de mon lit. C’était un homme plutôt bien bâtit, avec des cheveux d’un noirs(noir) éclatant, de magnifiques yeux noisette(noisettes) qui me fixaient, plein de compassion. Il s’assura à nouveau( de nouveau ca a un sens differrent a nouveau : c'est autrement, de nouveau c'est une seconde fois) que j’allais bien, puis me posa une question troublante :


« Savez-vous comment vous vous appelez ? »( une phrase à revoir, 3 fois vous)


Cette question me parut tout d’abord idiote. Je fronçais les sourcils, me redressais dans mon lit, m’adossais au mur, et n’eu(eus) envie de répondre qu’une seule réponse : « bien sûre ! », mais les mots ne vinrent pas d’eux même. Cette question me frustra. Comment peut-on ne pas savoir son prénom ? Son nom ? Le prénom et le nom avec lesquelles on nous à toujours appelé, lesquelles font parti de notre histoire. Mon histoire…ma famille…mes proches. En quelques secondes, je sentis le monde s’écrouler autour de moi, ayant l’impression de mettre jeté d’une falaise, d’avoir heurté un rocher en pleine tête, et de giser( il faudrait vérifier si ce verbe peut s’écrire sous cette forme) inconsciente sur le sol. Je sentis mon visage pâlir, prenant l’aspect d’une triste mine blanchâtre, ma vue se troubler plus qu’elle ne l’était auparavant, et le lit me soutenant s’effondrer sous mon poids.

De petites claques heurtaient mon visage, essayant vainement de me sortir de cet évanouissement. Un frisson me parcouru, jusqu’à hérisser mes cheveux. Ne pas savoir qui j’étais était un réel choc pour mon esprit si fragile.

« Je suis désolé, je ne pensais pas… » Le docteur me fixa durant plusieurs secondes pour chercher les mots les plus appropriés à la situation, puis reprit sur un ton des plus posé :

« Vous vous appelez Peyton Blake. Vous êtes originaire des Etats-Unis, de New York pour être précis. Vous avez été adoptée à l’âge de deux ans, et…
-Adoptée ?
-Oui, d’après mon dossier, votre mère serait morte peu après votre naissance. Quant à votre père, rien ne lui fait allusion, il est peut être(peut-être) vivant, mais ne vous a pas reconnu comme sa fille. Personne ne sait donc qui il est.
-Si je comprends bien, je suis … complètement seule ?
-Vous avez certainement des amis de longue date, mais aucun d’eux ne s’est manifesté pour le moment. Je suis désolé. Quand vous rentrerez chez vous, vous pourrez toujours aller questionner vos voisins, vous obtiendrez probablement des réponses. En attendant, nous vous gardons quelques jours en observation. Dès votre sortie de l’hôpital, vous serez mise en contact avec l’un de nos psychologues, pour vous permettre une meilleure réinsertion dans la vie active. Sur ce, je vous souhaite un très bon rétablissement. Au revoir Mlle Blake, je n’aurais certainement plus l’occasion de vous revoir, et j’imagine que c’est bon signe pour vous ! »

Des larmes me montèrent aux yeux, puis se perdirent sur mes joues. Mon cœur était rempli de désespoir. Comment pouvais-je être autant la risée du monde ? Sans personne à qui me raccrocher. Et pourquoi cet accident ? Qu’était ma vie avant celui-ci ? Des centaines de question(questions) trottaient dans ma tête, sans aucunes réponses(aucune réponse). Mais je comptais bien reprendre ma vie en main et découvrir mon passé si mystérieux.
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MessageSujet: Re: Début histoire   Début histoire Icon_minitimeJeu 4 Juin 2009 - 18:23

Je viens de regarder pour giser.

d’avoir heurté un rocher en pleine tête, et de giser inconsciente sur le sol.
Il aurait fallu écrire "et suis entrain de gésir là, inconsciente sur le sol.
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MessageSujet: Re: Début histoire   Début histoire Icon_minitimeJeu 4 Juin 2009 - 18:30

Merci beaucoup!! Pour giser j'avais beaucoup hésité à le mettre. Effectivement ta forme me parrait plus correcte. Ahlala moi et le français... Sinon pour le reste c'est vrai que j'aurais pu éviter beaucoup de fautes, surtout les accords. J'éditerais mon premier post en mettant en couleur les changements que j'aurais apporté.
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MessageSujet: Re: Début histoire   Début histoire Icon_minitimeDim 7 Juin 2009 - 0:21

J'aime bien l'idée de départ, j'ai hâte de lire la suite génial
Je trouve aussi qui a pas mal de fautes d'orthographes... tu devrais l'écrire sur Word, le correcteur grammatical t'en corrigerait certaines Wink
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