Pénélope sèche tes larmes

J'ai bien relus pour éviter toutes fautes. Et je m'excuse d'avance si il y en a encore.

C'est un texte accès ancien. Un thème assez classique mais il y un début à tout, comme on dit !

La pièce était sombre, dans un coin une silhouette recroquevillée tremblait par de petits spasmes. Sur le planché usé, une série de clichés sur papier glacé était éparpillée en désordre.
Un silence de mort régnait dans la salle , il était entrecoupé par de faibles sanglots à peine audibles .

Des pas feutrés s’arrêtèrent derrière la porte, puis le glissement du mécanisme de la poignée arrêta les pleurs de la frêle personne. La porte s’entrouvrit, et une tête recouverte de boucles soyeuses passa par l’entrebâillement.
<<- Pénélope>>

La protagoniste tourna légèrement la tête vers la chevelure charbonnée. Avançant dans l'obscure cabinet, passant près des photos un arrêt léger se fit puis continua jusqu'à se planter derrière Pénélope.

<< Artis, je ne peux pas, c'est au dessus de mes forces >>

Un soupir se fit entendre, le jeune homme s'accroupit à côté de la jeune femme. Celle-ci repartit en sanglots, les mains couvrant son visage fatigué et creusé par la tristesse. Artis l'a pris dans ses bras, la réconfortant par de doux mots glissés dans son oreille. Elle se calme progressivement et il la regarda dans les yeux.

<< Tu dois le faire Pénélope, je ne veux plus te voir comme ça . Je ne le supporte plus. Te voir pleurer à longueur de journée, t'enfermer dans ta chambre la plupart du temps.>>

Pénélope baissa les yeux, s’essuyant les yeux d'un revers de manche, la bouche grimaçante. Sachant qu'il ne pouvait pas épiloguer davantage, il se releva et se dirigea vers la porte..

<< Tu ne peux pas comprendre, tu n'as jamais aimé comme moi je l'ai aimé >>
Artis stoppa net. Sa mâchoire se crispa et une veine apparut sur sa tempe. Les poings serrés, il se retourna vers elle, le regard noir. Cette phrase là était de trop ; la goutte d'eau qui fait déborder le vase.

<< Tu ne comprends pas , balbutia Pénélope, larmoyante.>>

Une idée folle s'illumina dans la tête du jeune homme, un geste tout aussi fou la suivit. Dans mouvement furieux Artis pris toutes les photos éparpillées et les jeta dans le feu du petit poêle, à proximité, sans aucune hésitation. Les yeux écarquillés, la jeune femme regardait son ami, éberluée. Lui, furieux, s'approcha d'elle.

<< Je ne comprends pas là. Il me semble que c'est moi à qui tu venais raconter tes malheurs, c'est moi qui te réconfortais quand ça n'allait pas, c'est encore moi qui quand tu étais dans la merde était là. C'EST MOI, CA ETAIT TOUJOURS MOI !! ET NON TON PSEUDO PETIT COPAIN A LA CON ! Comment OSES tu me dire ça à MOI ! Merde je compte pas moi !? Tu crois que moi je n'ai pas souffert dans l'histoire. Quand tu étais avec lui, moi j'étais invisible. Je n'étais plus ton ami, mais une vulgaire chaussette que tu enlèves quand t'en as plus besoin. Tu t'accrochais à lui, alors qu'il n'en avait rien à branler de toi ! Il te respectait pas, t'étais de la merde pour lui. >>

Il marqua une courte pause pour reprendre son souffle. Pénélope, elle, était stupéfaite. Les yeux embués, il termina d'une voix tremblotante :
<< Moi je t'ai toujours respectée. Alors pourquoi , POURQUOI ? Moi tout ce que je voulais c'était ton amour. Je t'aime tu sais. Je t'ai toujours aimé, mais j'ai mis mes sentiments de côté quand tu étais avec lui. Et..>>

Il ne put même pas finir sa phrase , il pleura, déversant des larmes depuis trop longtemps retenues. Pénélope se leva brusquement et enlaça son ami, en disant :
<< Excuse moi Artis. Je suis horrible. Je suis une grosse merde. Une grosse conne. Je n'avais pas le droit de te faire ça..
-Tais-toi!>>
Il saisit sa tête des deux mains et l'embrassa fougueusement. Lui donnant un baiser salé , un baiser depuis longtemps désiré.

( je précise que je poste mes écrits sur plusieurs forums donc c'est normal si vous l'avez vu ailleurs ce n'est point un fake )

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Citation :

tremblait par de petits spasmes

ça sonne bizarre le "par" mais je ne sais pas quoi mettre d'autre...

Citation :

de la poignet

poignée

Citation :

un arrêt léger se fit puis se planta derrière Pénélope.

?? si tu écris ça, ça veut dire que "l'arrêt léger" (qui est devenu sujet) se plante derrière Pénélope.

Citation :

en sanglot

sanglots

Citation :

s’essayant

s'essuyant

Citation :

c'est moi qui te réconforté

réconfortais

Citation :

Comment OSE tu me dires ça à MOI

oses / dire

Citation :

t'en a

as

Citation :

t'était

étais

Citation :

je t'ai toujours respecté

respectée

Citation :

déversent

déversant

Citation :

un baisé salé , un baisé

baiser (dans les deux cas)


Sinon, au début tu dis que la pièce est sombre mais en fait, il y a un feu. Donc pas si sombre.
L'histoire est (pour le moment) assez clichée:
le meilleur ami et son amour inavoué
la dispute qui se finit en embrassades,

la littérature et le cinéma ont largement exploité le truc.
Ce n'est pas pour autant que je ne t'encourage pas à continuer (l'histoire s'arrête là ? Ou non ?) mais il faut veiller à ne pas tomber non plus dans tous les clichés.

Le récit est bien écrit et fluide(sauf au niveau de ma deuxième remarque), ce qui est déjà un bon point.
Je vois bien que la jeune fille souffre beaucoup mais je ne connais pas son histoire alors je ne peux vraiment ressentir ses sentiments. (pareil pour Artis d'ailleurs, on ne sait pas à quel point l'amour de son ami le fait souffrir) Peut-être en saurons nous un peu plus par la suite.

Mon message peut paraître négatif, il ne l'est pas. Je pointe les erreurs et ce que je pense être améliorable mais je trouve ça bien dans l'ensemble.

EDIT: tu t'es présentée ? (j'demande ça gentiment mais j'en connais qui vont râler dans le cas échéant, avec un peu de chance, ils sont en vacances ^^). Au boulot !

Merci pour c'est correction ! :p Je cours éditer.

Oui c'est sur que c'est cliché :/ Je m’entraînais sur des thèmes revisités maintes et maintes fois pour amélioré mon écriture :p.
Une suite.... à voir. Il faut que je réfléchisse comment je pourrais sortir de ce cliché .

A non mince :/ Je cours aller le faire alors. Merci

Attention il y a beaucoup de fautes juste dans tes phrases de présentation !

Evoushh a écrit:

J'ai bien relus pour éviter toutes fautes. (J'ai bien relu pour éviter toute faute.) Et je m'excuse d'avance si il y en a encore.

C'est un texte accès ancien. Un thème assez classique mais il y un début à tout, comme on dit !

La pièce était sombre, dans un coin une silhouette recroquevillée tremblait par de petits spasmes (par petits spasmes). Sur le planché usé, une série de clichés sur papier glacé était éparpillée en désordre.
Un silence de mort régnait dans la salle , il était entrecoupé par de faibles sanglots à peine audibles . Une note sur la ponctuation. Ponctuation simple (point, virgule) : pas d'espace avant, un espace après. Ponctuation complexe (point virgule, point d'exclamation, d'interrogation, deux points) : un espace avant et après. Donc ici, pas d'espace avant ton point et ta virgule.

Des pas feutrés s’arrêtèrent derrière la porte, puis le glissement du mécanisme de la poignée arrêta les pleurs de la frêle personne. La porte s’entrouvrit, et une tête recouverte de boucles soyeuses passa par l’entrebâillement. Une remarque que je fais souvent, après on est d'accord ou pas : pour moi, les mots "et", "mais" ou "puis" sont des ruptures de phrases et il n'y a donc aucune raison de mettre des virgules avant ou après. Essaye de les enlever et de lire à voix haute pour voir si tu fais naturellement des pauses à ces mots ou pas.
<<- Pénélope>>

La protagoniste tourna légèrement la tête vers la chevelure charbonnée. Avançant dans l'obscure cabinet, passant près des photos un arrêt léger se fit puis continua jusqu'à se planter derrière Pénélope. Pour moi qui râle en permanence parce qu'il y a trop de virgules et bien là, il n'y en a pas assez, ta phrase est très confuse ! "Avançant dans l'obscur cabinet, passant près des photos, un arrêt léger se fit puis continua..." d'après ta phrase, c'est l'arrêt qui "continue", bizarre... bref, il faut réécrire cette phrase en mettant au moins un sujet : "Avançant dans l'obscur cabinet, il fit un léger arrêt en passant près des photos et continua..."

<< Artis, je ne peux pas, c'est au dessus de mes forces >> Point ?

Un soupir se fit entendre, le jeune homme s'accroupit à côté de la jeune femme répétition de jeune. Celle-ci repartit en sanglots, les mains couvrant son visage fatigué et creusé par la tristesse. Artis l'a pris la prit dans ses bras, la réconfortant par de doux mots glissés dans son oreille. Elle se calme changement de temps progressivement et il la regarda dans les yeux.

<< Tu dois le faire Pénélope, je ne veux plus te voir comme ça . Je ne le supporte plus. Te voir pleurer à longueur de journée, t'enfermer dans ta chambre la plupart du temps.>>

Pénélope baissa les yeux, s’essuyant les yeux répétition d'yeux d'un revers de manche, la bouche grimaçante. Sachant qu'il ne pouvait pas épiloguer davantage, il se releva et se dirigea vers la porte..

<< Tu ne peux pas comprendre, tu n'as jamais aimé comme moi je l'ai aimé >>
Artis stoppa net. Sa mâchoire se crispa et une veine apparut sur sa tempe. Les poings serrés, il se retourna vers elle, le regard noir. Cette phrase là était de trop ; la goutte d'eau qui fait déborder le vase. "phrase-là". Pourquoi un point virgule ? Une virgule suffit amplement.

<< Tu ne comprends pas , balbutia Pénélope, larmoyante.>> Les guillemets ne doivent être placés qu'autour du texte parlé.

Une idée folle s'illumina dans la tête du jeune homme, un geste tout aussi fou la suivit. Dans un mouvement furieux Artis pris toutes les photos éparpillées et les jeta dans le feu du petit poêle, à proximité, sans aucune hésitation. Les yeux écarquillés, la jeune femme regardait son ami, éberluée. Lui, furieux, s'approcha d'elle.

<< Je ne comprends pas là. Il me semble que c'est moi à qui tu venais raconter tes malheurs, c'est moi qui te réconfortais quand ça n'allait pas, c'est encore moi qui quand tu étais dans la merde était là un peu trop complexe pour de l'oral surtout sous l'effet de la colère, on fait des phrases courtes.. C'EST MOI, CA ETAIT c'était TOUJOURS MOI !! ET NON TON PSEUDO PETIT COPAIN A LA CON ! Comment OSES tu me dire ça à MOI ! Merde je compte pas moi !? Tu crois que moi je n'ai pas souffert dans l'histoire. point d'interrogation plutôt Quand tu étais avec lui, moi j'étais invisible. Je n'étais plus ton ami, mais une vulgaire chaussette que tu enlèves quand t'en as plus besoin. Tu t'accrochais à lui, alors qu'il n'en avait rien à branler de toi ! Il te respectait pas, t'étais de la merde pour lui. >>

Il marqua une courte pause pour reprendre son souffle. Pénélope, elle, était stupéfaite. Les yeux embués, il termina d'une voix tremblotante :
<< Moi je t'ai toujours respectée. Alors pourquoi , POURQUOI ? Moi tout ce que je voulais c'était ton amour. Je t'aime tu sais. Je t'ai toujours aimé, mais j'ai mis mes sentiments de côté quand tu étais avec lui. Et..>> Deux choses : il devrait selon moi un peu plus hésiter avant de lui révéler ses sentiments... Et ça s'appelle trois petits points parce qu'il y a trois petits points

Il ne put même pas finir sa phrase , il pleura, déversant des larmes depuis trop longtemps retenues. Pénélope se leva brusquement et enlaça son ami, en disant :
<< Excuse moi Artis. Je suis horrible. Je suis une grosse merde. Une grosse conne. Je n'avais pas le droit de te faire ça..
-Tais-toi!>>
Il saisit sa tête des deux mains et l'embrassa fougueusement. Lui donnant un baiser salé , un baiser depuis longtemps désiré.

( je précise que je poste mes écrits sur plusieurs forums donc c'est normal si vous l'avez vu ailleurs ce n'est point un fake )

Exprimez vos avis pour m'améliorer :p

Voilà, j'espère que tu ne me trouveras pas trop méchante ! Pour le fond... je pense que les garçons ont plus de mal à exprimer leurs sentiments que ça (en tout cas, ce garçon a l'air d'avoir du mal). Ensuite, on n'a pas du tout la réaction de la fille qui, vu comme elle était grave amoureuse de l'autre, devrait sans doute le repousser. Et si elle se met à sortir avec lui tout de suite après, là ça devient trop irréaliste pour moi XD

Bon, j'ai lu. Je te préviens, ma critique est particulièrement négative. Mais vu que tu veux t'améliorer, et que ton texte est plutôt vieux, je te dis la vérité.

Je n'ai pas du tout aimé. Déjà je ne suis pas histoire d'amour. Mais en plus, tu enchaines cliché sur cliché, pire qu'un nanard hollywoodien. Ensuite, en ce qui concerne le style, il est surexplicatif. Je prends un exemple :

"une série de clichés sur papier glacé était éparpillée en désordre."
S'il sont éparpillé, par définition ils sont en désordre. Donc la fin de la phrase est en trop.

Sinon : "le glissement du mécanisme de la poignée arrêta les pleurs de la frêle personne" Le début de la phrase est vraiment trop lourd. En plus, ce n'est pas très clair. Je te conseille de remplacer "glissement" par "bruit" ou "son".

Un dernier point : "La protagoniste tourna légèrement la tête vers la chevelure charbonnée"
Le "charbonné" ne passe pas du tout. Le mot est dans un registre différent de tout le reste du texte, ce qui cause un petit blocage à sa lecture.

Enfin, evite de parler de protagoniste dans un texte. Le but c'est que le lecteur rentre dans un des personnages. Il doit donc les considérer comme de vraies personnes. Les appeller protagonistes empêche l'empathie du lecteur.

Voila. Sinon, je remarque quand même que tu as une certaine maitrise de la concision, et que tu sais quand placer ta fin.

Bon, j'espère que je ne t'ai pas découragé, et j'attends des textes plus récents