C'est donc un petit texte sans prétention qui parlera à certains je pense (malheureusement)...
Tu te pointes sans frapper.
Tu t’insinues, insidieusement.
Tu laisses dans ton sillage cette odeur infâme que je refuse encore de reconnaître,
Mais bientôt, ta sale gueule et ton haleine fétide s’imposent à moi comme une évidence et je ne peux que l’admettre : tu es bien là et pour de bon.
J’ai tellement mieux à faire que de passer la journée avec toi mais toi, tu as décidé de rester.
Tu m’es insupportable.
Tu me prends littéralement la tête et ta présence me donne la nausée.
Cachée sous la couette ou dehors au grand air, j’essaie de te chasser.
En boule sur le canapé, la tête au-dessus des toilettes, j’arrête de lutter.
Tôt ou tard, tu vas t’évaporer, et je vais pouvoir t’oublier…
Migraine…
Et je ne savais pas s'il valait mieux le présenter comme ça, parce que ce n'est pas vraiment un poème...
Tu te pointes sans frapper. Tu t’insinues, insidieusement. Tu laisses dans ton sillage cette odeur infâme que je refuse encore de reconnaître, mais bientôt, ta sale gueule et ton haleine fétide s’imposent à moi comme une évidence et je ne peux que l’admettre : tu es bien là et pour de bon. J’ai tellement mieux à faire que de passer la journée avec toi mais toi, tu as décidé de rester. Tu m’es insupportable. Tu me prends littéralement la tête et ta présence me donne la nausée. Cachée sous la couette ou dehors au grand air, j’essaie de te chasser. En boule sur le canapé, la tête au-dessus des toilettes, j’arrête de lutter. Tôt ou tard, tu vas t’évaporer, et je vais pouvoir t’oublier… Migraine…