Le monde oublié de Thornasshnaë

C'est le dernier texte que j'ai fait, il est en cour d'écriture. J'ai écrit cela hier à 3 heures du matin, prise d'une inspiration soudaine. J'aimerais avoir vos avis, personellement je trouve qu'il y a quelque chose qui cloche et je sais pas quoi, de plus j'ai du mal a y retrouver ma façon d'ecrire . Ma mére qui ma donner sa passion de la lecture (aux grands dépent de son protefeuille ::rolling:: ) dit je cite " c'est pas mal". j'ai utilisé le corecteur orthographique mais ...
Bon je vais arrété de vous diserté ma vie et vous laisé lire:

Le prologue:
Samaëll courrai à en perdre haleine, maudissant les 3 brutes sans cervelle qui la poursuivais.En vu de la forêt, elle accéléra, la jeune fille savait qu’elle ne les sèmerait jamais. Mais avec un peu de chance, ils n’oseront pas entrer dans le bois maudit, après tout seule Samaëll est sortie vivant de ce lieu dit hanté, elle avait 5 ans et personne ne sait d’où elle viens, ni où et qui sont ses parents. Réfrénant ses larmes à grand peine, pestant contre elle-même pour avoir baissé sa garde, elle aurait dû voir le mauvais coup, après tous n’est-elle pas l’humain le plus intelligent jamais recensé dans le pays et sûrement au monde ? Alekshander son « père » adoptif avait été si fière quand il l’a appris…
Puis Samaëll à grandit et s’est renfermée sur elle-même, se forgeant une carapace d’arrogance et d’indifférence mais l’envie d’avoir des amis l’avait affaiblit et elle s’est montré sur son vrai visage, cela na pas réussit et la voila entrain de courir, transie de froid, en pleurant le soir de noël, qu’elle allé passer toute seule soi dit en passant. Alekshander Baal Zoeyn avait été appelé au dernier moment pour son travail laissant sa fille de cœur encore une fois seule. L’adolescente, comme tous, ignoré la teneur véridique de travail de Lord Zoeyn, la seule chose qui se savait était la richesse de l’homme : immense. Dans son poing droit, le « p’tit génie » tenez contre son cœur l’un des deux dernier souvenir de ses vrai parents : deux plaques d’un métal inconnu changeant de teinte selon la luminosité passant du gris perle à l’onyx en passant par toutes les variantes de gris, sur l’une de celles-ci été gravait ces mots en d’étranges signes que seul Samaëll pouvait déchiffrer:

Samaëll Orphée Gridelwess
07/13/1628
Ange (déchu) de la mort
Impératrice d’Aÿhriss

L’autre face et la deuxième plaque sont étonnement vierge de toutes inscriptions. Prise dans ses pensée Samaëll ne remarqua pas tout de suite que :
Petit un : Elle avait pénétrée le bois maudit.
Petit deux : l’ambiance était glauque
Petit trois : plus personne ne la suivais.
Cela continua jusqu'à ce qu’elle traverse un mur de végétation après lequel la forêt change du tout aux tous de magnifiques arbres feuillus on pris la place des veilles branches mortes. Samaëll jeta un coup d’œil sur sa montre : 23 h 36, cela fait deux heures qu’elle courrait. Avisant les deux chênes plusieurs fois millénaire au centre de l’immense clairière verdoyante, les plus hautes branches des deux arbres s’enlacent et formant un magnifique dôme, les branches basses, toutes située aux extérieures comme pour protégé le cœur du dôme : un voile de lumière bleutée pendant des plus hautes branches des « piliers » végétaux, en plus de la coupole de verdure qui encerclée la clairière agissant comme un bouclier au monde extérieur qui l’entouré. Prise d’une soudaine fatigue Samaëll se hissa sur la première grosse branche accessible s’y installa confortablement et s’endormie.
Elle fit un étrange rêve : elle était dans le hall un château à la déco … cauchemardesque ! Au centre, de la pièce semblable a des catacombes trôné un miroir richement décoré tout en or et en face de ce miroir il y avait un garçon grand, musclé sans être un gorille, la peau blanche comme la neige, les yeux gris perle, les cheveux lui arrivant aux épaules, d’un noir si intense qu’ils en deviennent bleutés, lisses avec quelques mèches lui retombant sur les yeux. Une barre lui traversée le cartilage du haut de l’oreille droite, oreilles légèrement pointues il semblé à Samaëll que c’était un persing industriel, il avait aussi un persing à l’arcade droite. L’inconnu devait avoir le même âge que Samaëll : 14 ans et des poussières, il portait les mêmes plaques qu’elle, celles-ci lui était illisible; il faisait trop sombre.
Le plus étrange fut le reflet du garçon dans le miroir : une jeune fille plutôt petite, mince, musclée sans excès, aux étranges yeux d’un gris antharcis sans fond, encadré de long cils noirs, une coupe de cheveux punk et original : une crête courte mais pas trop 7,5 cm, Samaëll l’avait mesuré, qui descend jusqu'à la pointe de ses cheveux mi-long lisses d’un noir si intense qu’il en est bleuté, sa crête est veinée d’étranges mèches grises argentés, les oreilles légèrement pointues. Elle a deux anneaux antharcis à la lèvre inférieur, une épingle à nourrice dorée à l’arcade gauche et une marque bizarre sur le côté gauche du cou : une sorte de tatouage noir, or, argent, bordeaux, bleu foncé, gris perle et antharcis représentant un symbole complexe et magnifique où le dessin et l’écrit s’entremêlent, écrit que seul Samaëll pouvait lire car c’était bien elle, le reflet dans le miroir.
L’individu et elle étaient habillés de la même façon : un jean noir, une chemise noir, des basket noir et une cape à capuche noire brodée de fils argentés aux attaches en argent placée au dessus du pectoraux droit. Ils étaient face à face, l’inconnu plus inconnu car Samaëll avait réussi à lire sa plaque :

Eryss Gadriell Gridelwess
07/13/1628
Nécromant (aimé) de la nuit
Prince d’Aÿhriss

levas sa main gauche, dévoilant le même symbole que sur le cou de Samaëll, inscrit à l’intérieure de son poignet et la posa contre la paroi du miroir, a plat. Samaëll fit de même avec sa main droite, ils étaient les yeux dans les yeux :

_ Sauve moi, Samaëll. Traverse la porte, trouve une jeune Anartahys appelée Atlantyss Veltanavoss dans la forêt du désespoir, elle t’expliquera tout puis sauve moi et mes amis. Je t’en pris Samaëll. Lui murmurât-il avant de disparaître dans la noirceur du sommeil.
Son frère, son jumeau lui demande son aide alors elle allée l’aider ! D’un bond elle fut debout au pied de l’arbre juste devant le voile, bien réveillée, elle le traversa sans crainte, ni appréhension.

Citation :

Samie a écrit:

C'est le dernier texte que j'ai fais, il est en cour d'écriture. J'ai écrit cela hier à 3 heures du matin, prise d'une inspiration soudaine. J'aimerais avoir vos avis, personellement je trouve qu'il y a quelque chose qui cloche et je ne sais pas quoi, de plus j'ai du mal à y retrouver ma façon d'écrire . Ma mére qui ma donné sa passion de la lecture (aux grands dépent de son protefeuille ::rolling:: ) dit je cite " c'est pas mal". j'ai utilisé le correcteur orthographique mais ...
Bon je vais arréter de vous diserter ma vie et vous laisser lire:

Le prologue:
Samaëll courrait à en perdre haleine, maudissant les 3 brutes sans cervelle qui la poursuivais.En vu de la forêt, elle accéléra, la jeune fille savait qu’elle ne les sèmerait jamais.(Mais plutot:sachant qu'elle ne les sèmerait jamais."La june fille je trouve ça pas très bien, enfin chacun son avis einn) Mais avec un peu de chance, ils n’oseront pas entrer dans le bois maudit, après tout, seule Samaëll est sortie vivante de ce lieu dit hanté, elle n'avait que 5 ans et personne ne sait(savait) d’où elle vient(venait), ni où et qui(très bizare là, je lokk aps bien^^) sont(étaient) ses parents. Réfrénant ses larmes à grande peine, pestant contre elle-même pour avoir baissé sa garde, elle aurait dû voir le mauvais coup, après tout n’est(était)-elle pas l’humain le plus intelligent jamais recensé dans le pays et sûrement au monde ? Alekshander, son « père » adoptif, avait été si fière quand il l’a appris…

Puis Samaëll a grandit et s’est renfermée sur elle-même, se forgeant une carapace d’arrogance et d’indifférence mais l’envie d’avoir des amis l’avait affaiblit et elle s’est montrée sur son vrai visage, cela na (n'a)pas réussit et la voilà entrain( en train) de courir, transie de froid, en pleurant le soir de Noël, qu’elle allé(allait) passer toute seule soi dit en passant(Je ne comprend pas trop là...). Alekshander Baal Zoeyn avait été appelé au dernier moment pour son travail laissant sa fille de cœur encore une fois seule(Répétition du mot"seul(e)"). L’adolescente, comme tous, ignoré( ignorait) la teneur véridique du travail de Lord Zoeyn, la seule (Répétition)chose qui se savait était la richesse de l’homme : immense(hum...dévellope). Dans son poing droit, le « p’tit(Petit.Attention même entre guillemet ce n'est pas français...) génie » tenez contre son cœur l’un des deux derniers souvenir de ses vrais parents : deux plaques d’un métal inconnu changeant de teinte selon la luminosité passant du gris perle à l’onyx en passant par toutes les variantes de gris(répétition de "gris" et "passant"), sur l’une de celles-ci été(était) gravait(gravé) ces mots en d’étranges signes que seul Samaëll pouvait déchiffrer(espace à rajouter):

Samaëll Orphée Gridelwess
07/13/1628
Ange (déchu) de la mort
Impératrice d’Aÿhriss

L’autre face et la deuxième plaque sont étonnement vierge de toutes inscriptions. Prise dans ses pensée Samaëll ne remarqua pas tout de suite que :
Petit un : Elle avait pénétrée le bois maudit.
Petit deux : l’ambiance était glauque
Petit trois : plus personne ne la suivais.
Cela continua jusqu'à ce qu’elle traverse un mur de végétation après lequel la forêt change du tout aux tous de magnifiques arbres feuillus on pris la place des veilles branches mortes. Samaëll jeta un coup d’œil sur sa montre : 23 h 36, cela fait deux heures qu’elle courrait. Avisant les deux chênes plusieurs fois millénaire au centre de l’immense clairière verdoyante, les plus hautes branches des deux arbres s’enlacent et formant un magnifique dôme, les branches basses, toutes située aux extérieures comme pour protégé le cœur du dôme : un voile de lumière bleutée pendant des plus hautes branches des « piliers » végétaux, en plus de la coupole de verdure qui encerclée la clairière agissant comme un bouclier au monde extérieur qui l’entouré. Prise d’une soudaine fatigue Samaëll se hissa sur la première grosse branche accessible s’y installa confortablement et s’endormie.
Elle fit un étrange rêve : elle était dans le hall un château à la déco … cauchemardesque ! Au centre, de la pièce semblable a des catacombes trôné un miroir richement décoré tout en or et en face de ce miroir il y avait un garçon grand, musclé sans être un gorille, la peau blanche comme la neige, les yeux gris perle, les cheveux lui arrivant aux épaules, d’un noir si intense qu’ils en deviennent bleutés, lisses avec quelques mèches lui retombant sur les yeux. Une barre lui traversée le cartilage du haut de l’oreille droite, oreilles légèrement pointues il semblé à Samaëll que c’était un persing industriel, il avait aussi un persing à l’arcade droite. L’inconnu devait avoir le même âge que Samaëll : 14 ans et des poussières, il portait les mêmes plaques qu’elle, celles-ci lui était illisible; il faisait trop sombre.
Le plus étrange fut le reflet du garçon dans le miroir : une jeune fille plutôt petite, mince, musclée sans excès, aux étranges yeux d’un gris antharcis sans fond, encadré de long cils noirs, une coupe de cheveux punk et original : une crête courte mais pas trop 7,5 cm, Samaëll l’avait mesuré, qui descend jusqu'à la pointe de ses cheveux mi-long lisses d’un noir si intense qu’il en est bleuté, sa crête est veinée d’étranges mèches grises argentés, les oreilles légèrement pointues. Elle a deux anneaux antharcis à la lèvre inférieur, une épingle à nourrice dorée à l’arcade gauche et une marque bizarre sur le côté gauche du cou : une sorte de tatouage noir, or, argent, bordeaux, bleu foncé, gris perle et antharcis représentant un symbole complexe et magnifique où le dessin et l’écrit s’entremêlent, écrit que seul Samaëll pouvait lire car c’était bien elle, le reflet dans le miroir.
L’individu et elle étaient habillés de la même façon : un jean noir, une chemise noir, des basket noir et une cape à capuche noire brodée de fils argentés aux attaches en argent placée au dessus du pectoraux droit. Ils étaient face à face, l’inconnu plus inconnu car Samaëll avait réussi à lire sa plaque :

Eryss Gadriell Gridelwess
07/13/1628
Nécromant (aimé) de la nuit
Prince d’Aÿhriss

levas sa main gauche, dévoilant le même symbole que sur le cou de Samaëll, inscrit à l’intérieure de son poignet et la posa contre la paroi du miroir, a plat. Samaëll fit de même avec sa main droite, ils étaient les yeux dans les yeux :

_ Sauve moi, Samaëll. Traverse la porte, trouve une jeune Anartahys appelée Atlantyss Veltanavoss dans la forêt du désespoir, elle t’expliquera tout puis sauve moi et mes amis. Je t’en pris Samaëll. Lui murmurât-il avant de disparaître dans la noirceur du sommeil.
Son frère, son jumeau lui demande son aide alors elle allée l’aider ! D’un bond elle fut debout au pied de l’arbre juste devant le voile, bien réveillée, elle le traversa sans crainte, ni appréhension.

Je n'ai pas tout corrigé faute de temps, puis c'est vachement long, 1/2heure pour juste faire ça
problèmes:
Problème de temps, soit ton texte est au passé soit au préset, il faut choisir!
orthographe... tu n'en fais pas beaucoup sur des mots mais sur les verbes tu fais que ça tu confonds le participe passé. Relis sur internet des tutos ça devrait te remettre sur pied
certaines phrases incomprises de ma part( je te l'ai écrit)
Décrit un petit peu plus ça serait chouette
Good:
Style plutot pas mal qui reste tout de même un petit peu Naïf( rien de méchant )
On est dessuite dans l'ambiance

Ben voilà, j'espère que ma correction t'aidera

Anorion

Bon... Je me sens pas le courage de corriger... De toute façon, je suis pas trop fort non plus en orthographe (je déteste écrire ce mot...) Enfin...

Comme l'a dit Petit Asti... Anarion, tu confonds participe passé et infinitif assez souvent. J'ai aussi remarqué que tu avais un chti peu de mal avec l'accord féminin/masculin.

Sinon, c'est vrai qu'on est dedans, l'histoire est assez intriguante, bien qu'un peu compliqué. Ca me plairait bine d'avoir la suite

J'ai lu le texte à mon tour et je vais sûrement répéter ce qu'on dit mes deux camarades du dessus mais bon.... ^^

Le fond : Bien. Y a de bonnes idées, c'est original et plutôt prenant ! J'aimerais bien connaître la suite, mais la forme du texte lâche une ombre sur le tableau...

Il y a effectivement de lourdes lacunes en français. Comme a dit Anarion, il faut déjà choisir le temps de ton texte : Présent ou passé, mais pas les deux. Ensuite, beaucoup de fautes d'orthographe (j'ai pas le courage de tout reprendre en détails) alors tout ce que je peux te dire, c'est de travailler le français, revoir les règles, les appliquer et ne pas hésiter à utiliser besherelle de conjugaison et dico. Après, si tu as des questions particulières ou des doutes, n'hésite pas à me demander !
Il faut aussi faire gaffe à la ponctuation pour donner un rythme à ton texte et ne pas essouffler le lecteur. Quelques tournures seraient aussi à améliorer, et quelques répétitions à éviter.

C'est vraiment dommage que tu aies du mal avec l'orthographe, la grammaire etc., car l'histoire a l'air vraiment bien !!! Mais n'hésite pas à poursuivre quand même !!!