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 Tendre Mois de Mars

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MessageSujet: Tendre Mois de Mars    Tendre Mois de Mars  Icon_minitimeVen 19 Fév 2016 - 13:43

Partie 1

L'homme poussa un soupir de dépit en observant les quatre grands bâtiments se dressant devant lui.Ils étaient haut de plusieurs dizaines de mètres ,rectangulaires,et d'une peinture blanche,délaissé,jaunis et crasseuse.L'usure du temps avait atteint sa phase finale et le délabrement des constructions apparaissaient au grands jours sur certaines bordures ou le plâtre et la ferraille était bien visible.L'homme baissa la tète et prit la direction du bâtiment le plus a droite.Le numéro quatre.L'exaspération se lisait de plus en plus sur sont visage.

Ses sourcils broussailleux dégouliné de transpiration et se déversé dans ses yeux bleus,conséquences directe d'un moi de Mars étonnamment chaud et sec.

Arrivant a l'entrée de l'immeuble il ouvrit la porte qui était peinte en vert de manière approximative,en ignorant totalement les deux jeunes individus au mines patibulaire qui le dévisagère avec insistance lorsque qu'il s’approcha d'eux.

L’ascenseur était en panne.Il devait alors gravir héroïquement les escaliers menant a sont lieu de rendez vous.Au huitième étage.Il n'avait pas le choix. Etant rond de nature,naturellement peu enclin a une activité physique intense et s' essoufflant rapidement en proie a de l'asme depuis l'enfance cela n'allait pas être une partie de plaisir.Sont exaspération de toute a l'heure était entrain de se transformé en rage.Se mettant a jurer entre ses dents il entama la rude ascension.

Les bâtiments étaient encore plus dégueulasse dedans que dehors.

Pour se donner du courage il ouvrir la pochette cartonné qu'il transporté sous le bras et commença a lire le premier document qu'elle contenait.Il s'agissait d'un devis de pose et d’installation d'un système de climatisation cher un particulier de la part de l'entreprise pour laquelle il travaillait.Il lus sur la feuille de papier le nom et le prénom de la personne a qui il était destiné : Karima Majlaoui.

L'homme mit plus de dix minutes pour atteindre le Huitième étage.En nage,passablement éreinté,au visage écarlate a cause des efforts excessif pour sont gabarit,il se trouvait a présent devant la porte d'entré du numéro trois.Ou il avait rendez vous.L'odeur acre douceâtre et violente de la pisse séché déjà très présente dans le hall l'était encore d'avantage dans les escaliers.Une infection.Rapidement il ouvris les premiers boutons de sa chemise afin de mieux faire passé l'air ,arrangea sa coiffure et s'épongea sont visage trempé de sueur a l'aide de plusieurs mouchoirs en papier. Après quoi il se placea devant la porte.

Il ni avait même pas de sonnette et l'encadrement de la porte était brisé a plusieurs endroits a tel point que le bois nus apparaissait a plusieurs endroits.Il frappa deux grand coups contre la porte.La porte s'ouvris et une femme apparus devant lui,il eu dus mal dans un premier temps a la distingué a cause de la pénombre du couloir et des escaliers mais la lumière provenant de l'intérieur de l'appartement l'aida rapidement a voir plus clair.Rapidement il prit la parole :

-Bonjours êtes vous madame Majlaoui ?

-Oui et toi mon chéri ? Entre.

L'homme fut surpris par l'accent typiquement arabe,fondamentalement oriental de cette femme,fort et profond.
Sans crier gare,la dame se retourna et posa sa main sur la joue de Christian.Rapidement il ressentit la douceur et la chaleur de la main.Cette dernière avait des doigts long et asser fins sur lesquelles se trouvait plusieurs bagues et se terminait sur une manucure au ongles long et recouvert d'un vernis bleu clair ostentatoire.L'inconnue la maintenait ainsi quelques secondes plus la retira.

-Ta la peau douce toi,un régal. dit la femme en souriant.

L'homme était surpris par cette soudaine caresse.il avait trouvé sa agréable et sensuel,instantanément toute sa colère et toute sa mauvaise humeur disparue comme neige au soleil.
Ils débouchèrent dans le salon et la femme lui indiqua un canapé puis alluma la lumière .Après quelques instant elles s'assis a ses coté.

Désormais il pus observé la propriétaire plus dans le détail.

C'était une jeune femme qui paraissait avoir entre trente et trente cinq ans.Presque aussi grande que lui,elle était doté d'un physique harmonieux ,ni mince ni enrobé,elle portait un pantalon rouge semblable a un pyjama bon marché et un haut noir. Légèrement matte de peau,le regard très ,fort,a la fois mystérieux et envoûtant ,charmeur et intrépide ,il semblait hypnotique au yeux de l'européen en face d'elle.

Lorsqu'il était prit dans ses grands yeux Christian avait du mal a s'en défaire.un grain de beauté sur la joue,le maquillage autour des yeux était outrancié ,les lèvres épaisses, charnus,pulpeuse recouvertes d'un rouge a lèvres rose bonbon mit en quantité.

Elle offrait ce type si connus de la femmes de joie nord africaine,de la dame de compagnie maghrébine reconnaissable entre toutes.La sensualité et la vulgarité transpiré de tout sont être,pouvant faire fondre n'importe quel cœur de pierre plus vite que du sucre dissous dans de l'eau,de mettre le feu au sens au pire des réfractaire au plaisir de la chair.La fierté et l’assurance était également présent cher elle.Et si cette Fatma aurait eu surement sa place comme pièce maîtresse du harem d'un quelconque sultan au jours anciens,au temps antique,elle aurait surement fuit sont palais le moment venus avec de gros sacs de diamants.

Ses dents a l’hygiène douteuse et ses lèvres des plus pulpeuse lui donner un sourire des plus ravageur.Le caractère bouillonnent hérité des ancêtres,la voix douce et agréable ou sa sensualité légendaire se poursuivait.Petite princesse berbère ambulante vivant dans le désintérêt du passé,le mépris profond des traditions de sont propre peuple.Au fils libidineux de l'éternelle déesse Europe , les petites princesses exotiques comme elle apportaient une touche d'aventure et d'inconnue et engendrer dans tout les lits de l'impudique Maghreb.

Christian leva la tète,et regarda la jeune femme qui le considéré avec douceur.bien que quelque chose au fond des mirettes de cette dernière déplaisait au commercial,il prit la parole.

-Votre maris nous avez commander avant hier après midi un devis pour une installation complété de notre nouveau système.J'aime votre accent vous êtes originaire d'ou ?

-Tunis. répondit la jeune femme.

Karima se rapprocha légèrement de lui et lui caressa l'oreille du revers de la main.

-Tu aime ce qui est oriental ? lui dit elle avec un regard coquin et une voix traînante.

Cette petite phrase ,cette nouvelle caresse et le ton sur laquelle cette phrase fut prononcé déstabilisa totalement le petit gros.De la transpiration commencé a coulé a sont front.Il ne savait plus quoi dire et était a la lisière de perdre ses moyens.Le désir,l'envie du plaisir de la chair,apparus a la première caresse,se renforça .

-Oui j'avais passé des vacances au maroc j'ai aimait ce petit séjour,des paysages merveilleux...

Il déglutit.Et rajouta :

-Votre maris est ici ? ou bien a qu'elle heure rentre il ? j'aimerais m'entretenir avec lui pour savoir s'il est intéressé par notre offre.

La tunisienne sourit et pour toute réponse posa une de ses mains au doigts de rappasses sur celle de Christian avant de dire sur un ton mielleux

- Tu va resté mangé avec moi ce midi,on pourra discuté,la petite mange a la cantine de l'école...Tu n'a rien contre la Tajine au moins ?

-Non rien du tout dit Christian un peu gèner

La jeune femme orientale se leva et lui adressa un nouveau sourire et se dirigea vers la cuisine.A cet instant le jeune commercial remarqua que cette dernière était pieds nus et que les ongles de ses orteils était recouvert du même vernis qu'aux mains.Après quoi sont regard se porta sur ses fesses ces dernières étaient ronde et rebondis a la fois large et serré...L'appel du plaisir de la chair se faisait de plus en plus fort et sont visage devint rouge,d'un pas chancelant il suivit la propriétaire dans la cuisine pour poursuivre cette conversation.

Karima alluma une cigarette et mit en marche le feu au dessous d'une casserole contenant une nourriture fortement parfumé et épicé.Ces odeurs lui mirent l'eau a la bouche et attisa le feu qui c'était emparé de sont corps.

-C'est vraiment dommage que Sophian votre maris ne soit pas la,ont aurait pus être signé et conclure cette affaire dés aujourd'hui.

La brune qui était entrain de remuer le contenus du récipient avec une louche ne répondis pas.Il poursuivit alors

-Vous savez ou je peut le joindre ?

La jeune femme restait dans sont silence et le commercial fronça les sourcils

-Vous ne voulez pas me dire ou il est ?

A cette instant Karima jeta sa cigarette dans la casserole au dessus du feu et se rapprocha très prés de l'homme.Elle le dévora du regard et ce fut réciproque.

Ne pouvant plus contrôlé sont désir sur le point d'explosé Christian passa sont bras dans le dos de Karima,sa main entre ses omoplates et la tira vers lui.

Elle posa alors sa main sur sont pectoraux.Ils commencèrent alors a s'embrassé d'une maniéré forte,puissante et particulièrement goulue.L'intensité ne faisait qu'augmenté.Remarquant que le baiser devenait de plus en plus fort,Karima passé ses deux bras autour des épaules de l’européen en serrant doucement.

A l'extérieur de l'appartement,sur la place du quartier en face des bâtiments ,les oiseaux perché sur les branches des arbres emplissait l'air de chant et de cris.

(A suivre)

(Je m'excuse par avance pour les nombreuses fautes qui jonche ce texte,j'ai toujours eux de très grosses lacunes en orthographe depuis l'enfance et c'est vraiment pas évident pour moi )
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