INSPIRATION PURE

Paisible comme l'eau d'un lac en l'absence de vent,

Le soleil éclaire mon cœur et fait chanter mon accent,

La grandeur de la nature efface mes peurs,

Le sens du mot vie prend toute son ampleur,

Les poissons me saluent en respirant à la surface,

Devant la vérité de l'instant les filtres s'effacent,

L'air est chargé de légèreté,

Le temps semble ici s'être arrêté,

Les nuances de vert se rapprochent de l'infini,

Les éléments se mêlent ne formant qu'harmonie,

Le champs des oiseaux incite à la joie,

Profiter de l'instant sans n'avoir à faire aucun choix,

Les balades se veulent fluide et sans obligation,

Les humeurs changent tout comme les saisons,

Ombre et lumière ne font que se compléter,

L'agitation semble ne pouvoir jamais exister,

Nul besoin d'abondance tout se trouve ici,

La réalité c'est la vie, pas toutes ces théories.

Salut Plume zébrée!
J' ai lu tes différentes inspiration et j' y ressens beaucoup de sensibilité exacerbée..
Je pense que tu dois continuer dans se sens, noircir l' immaculé jusqu'à l' éclaircissement..
A bientôt!

Bonjour cher Templier f

C'est exactement le but de ma démarche !

"noircir l' immaculé jusqu'à l' éclaircissement.." j'adore cette conclusion, merci ! En terme de sensibilité je pense que tu es sur la même longueur d'onde si je ne m'abuse ?

Je vais trouver un moment pour lire d'autre de tes écrits ! A bientôt

Bonjour,
J'aime bien "les poissons me saluent à la surface de l'eau", "les nuances de vert se rapprochent de l'infini", je trouve que c'est un bel hymne à la nature et à ses beautés.

Je me permet de vous questionner sur les termes "champs des oiseaux", s'agit-il du chant (du verbe chanter) ou vouliez vous effectivement poser le terme champs (celui qu'on laboure) ? Je me permets aussi de vous demandez, à quelles théories faites vous référence à la fin de votre poésie ? parce que tout du long aucune ne semble n'être mise en avant, si ce n'est celle de la beauté de l'instant et de la nature.

Bonjour,
Merci d'avoir pris le temps de lire mon texte.
Je l'ai écrit au bord d'un lac et afin de rendre hommage à ce lieu que j'affectionne

Le "champs des oiseaux" est juste une grosse faute d'orthographe en me précipitant pour retranscrire ce texte sur le forum, vous avez vu juste c'est bien "chant" qu'il faut lire.

Ma conclusion est plus une ouverture, un message, qu'en rapport direct avec le texte. Le terme "ces théories" parle de la tendance que nous avons tous parfois, en tout cas pour ma part c'est sur, à penser que la vie est soit toute noire soit toute blanche alors qu'elle est en réalité faite de tant de nuances...
Vous comprenez mieux où je veux en venir ?

Bonjour,
Avec plaisir pour cette lecture...
Je vois où vous voulez aller, la nuance, maintenant, ce serait peut intéressant qu'il y ai une ligne ou deux de plus pour cette poésie qui explicite cette pensée, c'était le fond de ma suggestion, nous lecteur nous ne savons pas à quoi réfèrent ces théories, sauf quand vous nous les explicitez...à moins que vous vouliez laisser une ouverture au lecteur pour qu'ils puissent penser à ces propres théories, dans ce cas, peut être laisser aussi l'ouverture dans le texte, "la réalité c'est la vie, pas que des théories"...

Je voyais ça comme général "ces théories" en gros les pensées négatives, et j'aime bien laisser court à la libre interprétation de chacun et que le lecteur se questionne. Mais je pense que vous avez raison et que ça peut ne pas être compris du tout ou être trop peu précis. Un plaisir d'échanger comme cela de manière constructive !