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 Zombicide Epidémie

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Benchibi
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Benchibi


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MessageSujet: Zombicide Epidémie   Zombicide Epidémie Icon_minitimeMar 13 Avr 2021 - 12:29

Zombicide épidémie



Tome 1: L’épidémie sanglante



Chapitre 1: Origine de la pandémie
-Aujourd’hui, ce Vendredi 13 Janvier 2023, la centrale nucléaire Tempestormxic de Boston, construite le 28 Février 2022, il y a de cela  plus d’une heure à subit un incendie pour une  raison qui nous est encore inconnue. Ce faisant quelques minutes après elle a explosé, laissant s’envoler dans la nature un nuage de radioactivité, mais de façon surprenant les effets ont été différents en comparant aux autres incidents nucléaires de l’histoire. Le gaz toxique n’a pas quitté les lieux de Boston, et ceux ayant respiré les vapeurs se sont retrouvé infecté par un nouveau virus, le Zombicide-23, le nom que les scientifiques ont donné à cette épidémie de Boston réponds au crainte des habitants. Mesdames, messieurs, une pandémie de zombie en ce jour vient de naître.  Nous vous laissons maintenant pour le discours de notre président Joe Biden.

Les écrans de télévisions, téléphones, ordinateurs ainsi que les radios de touts les Etats-Unies laissent maintenant la place à un discours de Joe Biden.
-Citoyens et citoyennes des Etats-Unies, aujourd’hui nous pleurons des infectés, des morts revenues en zombies. L’incident à Boston préoccupe actuellement toute l’attention du gouvernement, comme vous le savez tous, sur place, il y a des survivants , des martyrs de cet accident qui n’aurait jamais dût arriver. J’endosserais toute la responsabilité, que ce soit les morts, les souffrants ou les malheureux. Car oui, il y a des gens qui ont perdue leurs familles là-bas et qui espère que parmi les victimes toujours des nôtres,qu’ il y  est ceux pour qui ils pleurent, attendant des nouvelles de leur part. Pendant que je vous parle à l’heure actuelle des camions militaires sont en préparation, afin de secourir le maximum d’habitants. Bien évidemment, une inspection sanitaire sera faîtes sur chacun d’eux afin de nous assurer qu’ils ont auront sût se protéger convenablement, en ayant point respirer les gazes radioactives et cacher leurs peaux. Si jamais Bostoniens vous m’entendez, je répète que si vous absorber ne serait-ce qu’une bouffée d’air, laissé votre peau au contact des radiations environ une minutes, vous êtes touché par la maladie et vous ne serez point sauvable. Le point de rendez-vous sera le parking de Claudy Street à la sortie Sud de la ville. Vous pourrez dépasser la frontière du périmètre de quarantaine si vous êtes à bord de ses véhicules, il s’agit de votre seul et unique chance. Je vous le dit avec l’espoir que le plus grand nombre d’entre vous nous reviennent.

Juste après ce discours du dirigeant Etats-Uniens les écrans et radios du pays zappent à nouveau sur les chaînes journalistiques.
-Avant d’arrêter cette émission sur le Zombicide-23, afin de reconnaître les zombies si jamais il venait à rejoindre la civilisation, nous allons vous en faire une descriptions. Des photos en hélicoptères qui ont pût être faîtes, les zombies ont la peau très pâle, un peu grisé, aussi vous pouvez les reconnaître à leur démarche lente et sauvage. Selon les communiqués de la police Bostonienne, ils auraient des yeux noires et vides, puis produiraient des râles entre l’agonie, la souffrance à l’état pure et une rage sans nom, une colère noire. D’après les rapports entendre les cries des infectés en masse provoquent l’effroi, comme si on entendait des centaines de cries et pleures d’enfants. Voilà pour les informations.

Chapitre 2: Josh Owen
Josh Owen, un jeune adolescent de 16 ans comme les autres, enfin à première vue. Il s’agissait d’un lycéen solitaire, tout simplement car il se sentait différent des autres, il n’en a pas connut la raison avant ses 13 ans. Il est plus mature psychologiquement que les autres étudiants de son âge, il voyait le monde différemment des autres,  il était toujours dans sa bulle, se voyant au Far West, étant un cowboy, cherchant à devenir la meilleur gâchette. L’ennuie était en lui, il a 137 de QI et ce qu’il voulait c’était l’aventure, la découverte, le danger. Depuis l’épidémie Zombicide sa vision du monde à changer, il le voyait avant comme une déception, alors que maintenant qu’il a risqué sa vie, il a retrouvé l’envie de vivre. Josh qui ne se donnait pas à fond dans ses études malgré son intelligence supérieur, suivait un développement scolaire classique, il était dans un lycée non professionnel, malgré son potentiel et avait une moyenne au dernières nouvelles de 18,42. Cela bien évidemment en étant dépressif, suicidaire et ne travaillant pas. Bien évidemment il n’y avait pas que son ennui de la vie qu’il l’a rendue comme ça, il y a d’autres choses.

À ses 5 ans, sa mère, Jessica Millers est morte en accouchant de sa petite sœur, Chloé. Son père, John Owen, devenue homme d’affaire de la  jeune compagnie Cerberus Pharmaceutics, était là que très rarement à la maison, un jour par mois pour être précis, une semaine si c’était des vacances mais cela arrivait seulement tout les trimestres. Ce faisant, il donnait de l’argent de poche à chacun de ses passages, et Josh devait s’occuper de sa sœur tout seul, expliquant dotant plus sa maturité supérieur à ses amies. Amies qu’il a commencé à perdre petit à petit avec sa tristesse ambiante, ainsi que sa haine envers son père grandissante. À ses 9 ans, c’est sa sœur qui est mort d’un cancer du cœur, même avec les meilleurs soins médicaux produit, car son père en avait les moyens, elle est morte. Depuis ce jour-la il vit seul, voyant que très rarement son père.

Comme il ne voulait pas dépendre que de son père, il travailla illégalement à partir de ses 13 ans. Des entreprises acceptaient de le faire travailler car il était un surdoué mais le cachait aux gens. Pâtissier, Ramasseur d’ordures et Serveur dans un café, tels étaient les petits boulots qu’ils faisaient. Mais cette année il avait trouvé un travail qui lui rapportait plus que faire les trois en même temps grâce aux horaires. Il était devenue technicien de la centrale nucléaire Tempestormxic, ou il faisait très bien son travail. Il réussit à fuir suffisamment loin de  la centrale lors de l’incendie, avant l’explosion, afin de se mettre à l’abri chez lui. Il a réussit à rejoindre le dernier camion de secours qui roule en direction de la sortie de la zone de quarantaine maintenant.

Josh mesure actuellement 1m79, il a un jolie visage qui n’a pas de barbe, ni de moustache, il possède des cheveux très courts d’une couleur noir de jais. Il est habillé d’une veste, d’un pantalon et d’un t-shirt tous de couleurs gris qui était sa tenue de travail, ce qui lui protégeait mieux la peau et lui a permis d’atteindre à temps le parking.  Aussi, il possède une écharpe rouge bordeaux à son coup qui lui va ravir.


Chapitre 3: George Graham
George Graham est un scientifique de 28 ans travaillant pour la Cerberus Pharmaceutics, une entreprise exercant dans les recherches et le développement médical. Il s’agit d’une jeune compagnie existant depuis 2011 qui depuis 2022 a une forte influence dans le monde car elle a créé un vaccin au COVID-19 extraordinaire qui l’a fait disparaître de la surface terrestre en quelques mois. Après cela Georges les a rejoint, ayant finit ses études avancés et travaillé dans différents laboratoires. George travail dans la section de recherche sur les maladies mortels mais n’y ait pas très influent dû à son manque d’expériences.

Lorsque la centrale de Tempestormxic à exploser, puis libérer son gaz radioactif, lui était sur place pour des raisons professionnels. Se faisant, il a aidé aux mieux les gens qu’ils trouvaient à se protéger, avec ses connaissances lui donnant les bons réflexes dans cette situation. Il a décidé de lui-même de prendre le dernier camion.

George mesure 1m84 et a un visage plutôt attrayant sans barbe, ni moustache aussi et a des cheveux très courts et noirs. Il est habillé d’une tenue de scientifique classique, blouse blanche, chemise bleu en dessous de la veste et bien évidemment un pantalon blanc.

Chapitre 4: Edouardo Lopez
Edouardo Lopez est un criminel mexicain de 34 ans. Emprisonné à la «Suffolk County House of Correction», il était assez renfermé sur lui-même et si  on le cherchait généralement cela finissait mal pour l’autre détenu. Edouardo est un tueur à gage, il a été arrêter pour le meurtre d’un scientifique freelance. Selon les théories des enquêteurs, il serait un serial killer. Néanmoins aucun autre meurtre ne lui serait identifier.

Le prisonnier à profité de la cohue produite par le gaz radioactif pour s’évader alors que la prison n’allait pas être évacué,enfin en ce qui concerne les prisonniers. Cette décision a produit que les prisonniers ont lancé une émeute, qui a servit de couverture à Edouardo, qui à tué un des gardiens, pris son arme de service et son badge de sécurité. Il a donc filé en douce, s’est caché en ville et à pût rejoindre le dernier camion.

Edouardo mesure 1m85, possède une tête chauve (doté d’un minimum de cheveux visible) avec un visage banal, une barbe et une moustache courtes et mal rasés, ainsi qu’une peau légèrement bronzé. Il est habillé d’une tenue de prisonnier classique et possède retroussé derrière sa manche droite, un tatouage de serpent. Pour se faire accepter dans le camion par les militaires il a caché son pistolet dans son caleçon.

Chapitre 5: William Wackers
William Wackers est un journaliste de 41 ans travaillant au «Investigator Journal», un journal peu connue mais gagnant bien sa vie car 13% de la population des Etats-Unis s’est abonné à leur journal, tout simplement car ce journal publie des informations insolites et importantes mais peu intéressante pour la population globale. William est un journaliste plutôt brutal et un enquêteur chevronnée, qui au vue de son caractère autoritaire à fait partie de l’armée américaine, car oui il a participé à la guerre d’Irak.

William était à Boston car il enquêtait pour son journal sur un sujet brûlant et qui serait lié à une théorie du complot du moment, et plus précisément qui a démarré il y a 1 an de cela. Alors que ces indices le menait non loin de la centrale Tempestormxic, il a vu l’incendie. Intéressé par les événements il a pris le dernier camion afin de récolter le plus d’information car il est journaliste de terrain, et il a pût notamment enregistré des bandes vidéos sur les zombies qui ont pût agressé les gens et prendre position sur des positions importantes.

William mesure 1m87 doté d’un visage ordinaire, avec une barbe de style Full Beard avec des cheveux courts, alors que ces pilosités faciales sont de couleurs châtains claires. Il est habillé d’une vieille chemise de paysan et d’un jean légèrement déchiré.

Chapitre 6: Survivants d’un accident
Nous retrouvons Josh Owen et les trois autres survivants à l’intérieur d’un camion. Ils sont seuls, tout les quatre dans le wagon du véhicule, alors qu’une ambiance tendue prends place. Cela fait quelques minutes que le camion à démarré au parking de Claudy Street. Personne n’a parlé et des regards mauvais se font entre Edouardo et George, comme s’il y avait quelque chose qui les rends distants. William observe  tout le monde dans la salle, d’un regard bourrue et défiant en direction du scientifique et du prisonnier. Quant à notre jeune survivant, Josh observe George d’un air méfiant.

Alors que l’ambiance est froide à l’arrière il y a dans la salle de pilotage deux militaires, un qui conduit et son collègue qui observe à l’extérieur. Le véhicule avance à toute vitesse, le conducteur roule à 130 kilomètres/heures sur l’autoroute. Dût à la vitesse des petites secousses se sentent mais à part ça le voyage est confortable dût au fait que les fauteuils sont rembourrés. Tout se passe bien, d’ici une une dizaine de minutes nos survivants seront évacués. Néanmoins, au bout de trois ou quatre minutes, un coup de feu retentit. Le véhicule part en vrille, tout le monde dans les fauteuils sont secoués alors que les ceintures de sécurités empêchent tout dangers au passager. Puis tout à coup le camion tourne sur lui-même, fait plusieurs roulé-boulé en avançant, puis s’arrête, pour l’arrière, crasher sur le côté gauche du véhicule, côté où se situe Josh et George, et pour le reste le véhicule s’est arrêter à peu près debout. Pendant le chaos de l’accident les ceintures d’Edouardo et William se sont déchirer. Heureusement pour eux s’était sur la fin. Pour Edouardo s’était lorsqu’il restait deux tours de véhicules et William un seul. Edouardo lui à voler dans le wagon et s’est cogné au mur. Il est au sol au milieu du wagon, complètement sonné et poussant des râles de douleurs. Quant à lui, William est tombé sur un débris à l’arrière sur la gauche, il émet quelques gémissements de douleurs, il est tombé sur un morceau de débris tranchant, en plein dans la cuisse droite.

Josh à envie de vomir, son cœur bat la chamade et il constate la scène avec effroi. l’ex-prisonnier est à peine conscient et l’homme au goût vestimentaire ancien saigne en abondance. Il dévie du regard en direction du scientifique, en respirant profondément. Georges se tient aux ceintures de sécurités, respire un bon coup, observe la situation puis se détache du fauteuil.
-Gamin… occupe-toi du vieux. Je vais voir comment vont les militaires. Ordonne Georges peu confiant
-Bie… Bien. Réponds Josh point sûr de lui.
-Je peut savoir qui tu traites de vieux le scientifique! Exclame William en gémissant

Josh se détache et rejoint William qui est à 1 mètre de lui. Josh observe la blessure et analyse la situation.
-C’est profond. Le muscle à été touché, des soins primaires seront peu efficace. Il faudrait de quoi faire des premiers secours. Explique Josh reprenant contrôle de ses émotions
-Je sais bien gamin. Dépêche-toi de m’aider. Il me faut de l’aide pour enlever doucement le déchet de ma plaie. Exprime en respirant fort William
-Oui. Bien sûr. Réponds Josh
Josh pose ses mains sur la jambe droite de William en faisant à ne pas toucher à la plaie et regarde dans les yeux du journaliste pour savoir s’il est prêt. Les réflexes militaires de William reviennent, il s’allonge doucement, comme il peut et commence à retirer sa jambe, assisté par Josh.
En même temps, Edouardo reprends conscience de son environnement. Il se met à quatre  pattes sur les genoux, met la main gauche sur sa tête, regarde autour, s’assoit sur les cuisses en même temps, grince les dents dût à la douleur puis, se rends compte que son pistolet n’est plus dans son sous-vêtement. Il cherche rapidement en rampant au sol, et le récupère à gauche, à un bras de l’entrée de la salle de conduite. Il se relève, ouvre le chargeur de l’arme puis le referme. Il y a dedans 5 balles sur 12, par chance il n’a perdue aucune des balles dans la cohue. Finalement, il se relève et voit George fouillant à l’intérieur de la salle de conduite, puis d’un regard agacé il se retourne en arrière.

Pendant ce temps, George est rentré dans la salle de pilotage et constate une scène surprenante.


Dernière édition par Benchibi le Dim 25 Avr 2021 - 18:44, édité 8 fois (Raison : Lien Commentaires:https://ecrire.forumactif.org/t7922-zombicide-epidemie-commentaires)

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MessageSujet: Re: Zombicide Epidémie   Zombicide Epidémie Icon_minitimeMar 20 Avr 2021 - 13:09

Chapitre 7: Un crash atypique
George Graham vient de rentrer dans le poste de conduite du  camion, la scène est surprenante et inattendue.

À gauche, le militaire conducteur est avachit, le corps s’écroulant sur la fenêtre et surtout, à côté de son oreille droite, un trou ensanglanté, plus enfoncé dans ce trou il y a une balle. C’est la première chose que remarque le scientifique, se rendant compte que la balle vient de la droite, il tourne la tête, inquiet, avec une forte respiration. Le deuxième militaire lui, Il a la tête qui s’est éclaté contre le pare-brise épais, fissuré. Le dessus de sa tête a éclaté, laissant de la chair et du sang étalé partout, le haut crâne brisé, ensanglanté, visible, le soldat avait pris la peine d’enlever son casque, qui est au sol. Cependant, ce qui attire le plus l’attention du docteur, c’est le fait que le bras gauche du macchabée, est étalé sur le tableau de bord, un pistolet en main, laissant supposer que celui-ci a tirer sur son collègue. George se saisit du pistolet, qu’il a du mal à retirer de la main du défunt, dût à la rigidité cadavérique. Le scientifique ouvre le chargeur du pistolet, vide, étonnant car il y a eu qu’un seul tir. Cependant, il y a des traces éparses, discrètes et fluorescentes dans le conteneur. N’ayant pas peur d’y toucher grâce à ses gants il balance le chargeur au sol. Il fouille alors le militaire de droite et trouve quatre chargeurs, mais il remarque aussi un tatouage de serpent sur le bras gauche du corps.  Tatouage qu’il à pût remarquer sur le prisonnier qui était en face de lui dans le wagon arrière. Il cache le pistolet dans sa blouse, au tissue épais, permettant de cacher sa présence. Alors que le scientifique se retourne vers le côté gauche du tableau de bord, il remarque que le conducteur meurtris, est plus pâle qu’avant, et ceux, de façon brutal. Prudemment, le docteur l’observe fixement, sans bouger, s’arrêtant de respirer. Aucun spasme venant du corps, il n’est encore qu’à la première phase de transformation. George s’approche tranquillement, derrière le cadavre, il pose les mains sur sa nuque et la brise difficilement. Il ouvre le tableau de bord devant le pilote, une carte à l’intérieur, il l’a saisit.

Du côté de Josh, il a retiré la jambe de William du débris tranquillement.
-Merci gamin de l’aide.  Remercie le journaliste
-On est des survivants, on doit s’entraider.  Réponds Josh peu confiant de ce qu’il vient de dire
-Je ne suis pas trop d’accord avec ça. C’est chacun pour sa peau. Comptez pas sur moi pour rester longtemps ici.  Exclame Edouardo en descendant du véhicule, pistolet en main
Le silence s’installe suite à cette phrase de l’ex-prisonnier. Josh se saisit de morceaux de débris à côté de lui et déchire un bon bout de cuir d’un fauteuil, puis avec tout cela il fabrique une attelle rapidement pour William. Le cuir est posé autour de la blessure et les déchets métalliques, eux, sont accroché par une lanière de cuir du fauteuil autour du cuir, qui s’appuie sur la blessure, afin de le faire tenir et tenir droit la jambe, sans oublier que le métal ne touche pas la plaie de plus.
-C’est… impressionnant dans la panique.  Dit étonné l’homme
-C’est juste du bricolage.  Réponds Josh naturellement
William est vraiment surpris par la faculté d’adaptation du jeune adolescent. Quant au criminel du groupe qui vient de sortir, pendant cette scène, il observe autour, et voit un zombie errant qui a dût suivre le bruit des passages des autres camions, se diriger vers le véhicule accidentée. Encore plus loin, à une vingtaine de mètres, une horde de ses morts-vivants, qui avancent lentement, tel un escargot qui se déplace à toute vitesse, dans l’objectif de dévoré le survivant qu’ils viennent de repérer, alors qu’ils se dirigeaient vers le bruit violent de l’incident, tel des bêtes sauvages curieuses.

Heureusement pour lui, Edouardo est doté d’un sang-froid naturel. Il a une goutte de sueur qui perle sur sa joue, alors qu’il se pétrifie quelques secondes, il y a des petits râles qui lui parviennent.


Dernière édition par Benchibi le Dim 25 Avr 2021 - 18:10, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Zombicide Epidémie   Zombicide Epidémie Icon_minitimeMer 21 Avr 2021 - 22:45

Chapitre 8: Replie de la zone
Une horde de zombies se dirigent vers la camion, Edouardo est le seul à savoir leurs présences, alors qu’un zombie s’avance mollement vers lui.

Edouardo reprends le contrôle de lui, les râles des morts l’ayant tétanisé quelques secondes. Il se tourne vers la créature errante qui lui était proche, elle est plus qu’à deux mètres de lui. Elle commence à s’exciter, s’approchant de sa proie, enfin, c’est ce que son cerveau d’infecté pense. Le semi-chauve pointe son arme de poing en sa direction et tourne la tête vers le véhicule.
-Une horde va arriver d’ici quelques minutes! Exclame-t-il en tirant sur le mort
Une balle fuse, elle touche le contaminé au torse. Le rôdeur sursaute, sa poitrine tombant en arrière, il continue à avancer enragé, accélérant au mieux, titubant, faisant pitié dû à sa lenteur égalant quelqu’un qui boite. Le criminel n’hésite pas, il enchaîne un nouveau tir, cette fois-ci dans la tête de son adversaire, sur son front, au-dessus de son oeuil droit. La créature mortifère tombe au sol, du sang rouge-noir perlant de la blessure. Il s’avance en trottinant, puis donne deux coups de bottes sur sa tête pour s’assurer qu’il soit abattue, un craquement léger se fait entendre, qui hypothétiquement vient du crâne du défunt.

Pour ce qu’il s’agit de Josh, il venait de finir l’atèle en une vingtaine de secondes et entendit la voix d’Edouardo. Il se leva et regarda à l’extérieur du véhicule et vû la scène.
-Fait chier! Il a fallut qu’on soit dans le dernier camion. Exclame notre héros énervé
-Cela semble avoir été prévue à l’avance. Et puis aucune présence de sniper dans le coin. Continue le tueur en regardant autour et fronçant les sourcils
-Le but de cette attaque devait être de nous empêcher de partir. Dit William en se levant difficilement, s’appuyant sur un des sièges pour cela
-Sûrement. Ils ne s’arrêteront pas qu’à cette accident forcé à mon avis. Alors qu’il dit cela le regard de l’ex-prisonnier se tourne vers George, soupçonneux
En parlant du scientifique, alors que l’ex-détenu se tourne vers lui, il sort de la cabine de pilotage, une carte en main. Josh quant à lui, comme le journaliste à ses côtés, il a remarqué le regard dénonciateur de l’hors-la-loi. Il se tourne alors vers le professeur, qui s’avance et les rejoint, ce papier en main.
-Je sais où on peut aller! Si on se dirige vers la frontière sans être dans un camion militaire ils nous abattrons sur place, sans qu’on est le temps de leur adresser la parole. Néanmoins, si on trouve un véhicule, ils nous sauront dès qu’on sera dans leur champs de visions que nous sommes pas des rôdeurs, ils nous laisseront leur adresser la parole et nous justifier. Sur cette carte, il y a d’indiquer un manoir. Le manoir d’un certain Viktor Tarkovitch. C’est a un kilomètre environ d’ici et je suis sûr qu’il restera un véhicule, les riches ont toujours plusieurs voitures. Explique le jeune scientifique excité
-Et si jamais pendant l’évacuation des environs de Boston il est partie avec tout ses véhicules? Énonce le jeune survivant peu rassuré par ce plan
Edouardo se tourne vers Josh, d’un air surpris, mais lance un regard énonciateur d’un avis identique à celui de notre héros.
-Je pense personnellement que l’on n’a pas le choix, c’est notre seul solution. Vous pensez pouvoir réparer cette épave? Justifie le journaliste blessé, d’un air agacé
Personne ne parle à cette remarque, tout le monde se regarde, d’un air froid. Les râles énervés de la horde emplissant l’espace, nos alliés de circonstances commencent à suer légèrement à l’écoute de ces créatures. L’ex-détenue acquiesce ce plan en regardant George peu confiant, avec un mouvement descendant, puis un autre montant de la tête.
-Où est ce manoir? Demande Josh peu rassuré, dû à la présence des morts-vivants de plus en plus pesante
-Suivez-moi. Réponds le scientifique en sortant du véhicule et marchant à toute vitesse en direction, d’hors la route.

L’ex-prisonnier suit le chercheur en le talonnant, et ceux très méfiant envers sa personne. L’adolescent soutient l’ancien du groupe, afin qu’il court lui aussi. Ce groupe s’avance en tournant le dos à cette accident. Seul le journaliste se retourne, portable en main, et prends des photos de l’accident.
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MessageSujet: Re: Zombicide Epidémie   Zombicide Epidémie Icon_minitimeJeu 22 Avr 2021 - 1:26

Chapitre 9: Le manoir Tarkovitch
Le groupe improvisé est partit du lieu d’accident et de la route en général. Alors qu’il s’avançait en pleine nature depuis quelques minutes, ils rejoignent un chemin de terre et arrive finalement, quelques temps plus tard à destination.

Un portail en barreaux de fers, magnifiquement stylisé, en forme d’arche, les accueillent à une dizaine de mètres d’eux. Sur les côtés de cette entrée, connectée, il y a deux petits murets de 50 centimètres de haut, avec en sortant des barreaux de fers attachés, formant une grille, avec des pointes au bout, tels des cœurs à l’envers, et aussi acéré que des lances. Ces pointes se situent à environ 2 mètres et 30 centimètres du sol. Le bout de l’arrondie du portail est quant à lui, 10 centimètres au-dessus des pointes. De l’autre côté, doit se situé un jardin gigantesque, mais le groupe ne peut encore rien voire à cette distance, alors que le ciel s’assombrit, des nuages le couvre petit à petit, la nuit commence à tomber et le froid s’installe peu à peu.

En s’avançant, ils peuvent voir et entendre des zombies dans la cour. Immédiatement, il se cache derrière le muret à gauche. De plus, alors qu’ils se sont approchés, ils ont remarqués la présence d’un cadenas sur la grille. Une des créatures a été attiré par leurs mouvements, elle s’approche de la grille lentement, elle cherche du regard autour. Le groupe ne bouge pas, malgré que le mort-vivant ne peut pas les voire, ils stressent, de la sueur coulent le long de leur visage, ils ne doivent pas alerté leur présence. Finalement, après quelques minutes d’attente, elle s’est éloigné. Le survivants reprennent leurs respirations qui s’étaient fortement ralentie. Néanmoins, notre héros, qui lui est le plus jeune, a donc l’ouïe la plus conservé, il entends plusieurs râles zombiesques qui se répondent, tel un chuchotement, non, ce n’est pas ça. L’adolescent se tourne vers le chemin et dans la direction du sous-bois dont ils viennent. Il peut percevoir des formes humaines avançant lentement, et ceux en arc de cercle qui les entourent, comment s’ils les traquaient en horde. Notre jeune survivant regarde le sol et l’atèle du journaliste, il y a effectivement des petites traces de sang. Alors que le reste du groupe était en train de se rapprocher ils s’interrogent sur les mouvements de tête de notre héros et remarquent eux aussi le sang.
-Pourquoi cette réaction face au sang jeune lycéen? Demande George en chuchotant
-Docteur, étant donné que les zombies sont fortement attiré par le bruit ils peuvent donc accidentellement se guider ensemble sous forme de horde non? Interroge en réponse toute en chuchotant le jeune ado
-Oui, c’est logique, même évident. Réponds naturellement le scientifique toujours à voix basse
-Est-il possible qu’ils soient attirés par le sang à une certaine dose? Demande Josh qui regarde dans les yeux du chercheur
-Étant donné qu’ils se comportent comme des bêtes, c’est théoriquement possible. J’y avais même pensé lorsque j’étais en ville. Attendez… Réponds le professeur qui comprends ce qu’insinue son interlocuteur

Les trois autres qui viennent de comprendre se regarde dans les yeux, effrayé, ils regardent les traces de sang, puis remarquent les morts au loin, qui arriveront d’ici une quinzaine de minutes à leur niveau, malgré leur lenteur. Le médecin commence à paniquer, ses bras tremblent et commence à respirer fort et extrêmement vite.
-Qu’est ce que l’on va faire? Ils sot déjà au moins une trentaine dans la cour et la griffe est fermé. Marmonne-t-il en levant de plus en plus la voix
-Chut,tu vas nous faire repéré. Murmure Edouardo en mettant sa main sur la bouche de George
-Mais il a raison. Qu’allons-nous faire? Marmonne Josh en mettant sa main sur la tête, son cœur battant la chamade
-Il y a des fois où il ne faut pas réfléchir gamin. Murmure William aux autres en souriant
-Je vous préviens, ne comptez pas sur moi pour vous protéger. Quant à toi, le SCIENTIFIQUE, tu croyais que j’avais pas vue le pistolet dans ta veste. Ne t’avises de me tirer dans le dos, tu le regretterais sincèrement. Sers-t-en correctement, je peut t’en déséquiper quand je veut. Chuchote-il au groupe d’une voix à glacer le sang, avant de retirer sa main de la bouche du chercheur
-Bien. Réponds faiblement le docteur en se raclant la gorge tout en dégainant l’arme de poing
-Pas besoin de me soutenir maintenant gamin. J’ai déjà vu la mort à maintes reprises, c’est pas des zombies qui vont me faire peur. Chuchote William peu confiant
-Sinon, monsieur l’ex-prisonnier. Vous avez abattue une de ces créatures tout à l’heure, comment avez-vous procédez? Demande notre héros concentré
-J’ai tiré à la tête comme je l’aurais fait sur n’importe quoi. Je peut pas leur donner de points faibles sinon. Chuchote en réponse l’ex-serial killer
Josh Owen se tourne vers George Graham, d’un regard interrogatif.
-Au vue… de leur façon d’agir… et de leurs mouvements… je dirais qu’il faut s’attaquer à leur nuque ou leur cerveau. Murmure faiblement le médecin
-Si on leurs pètent les os ils bougeront plus alors? Parce-que la nuque c’est un os. Marmonne l’ancien du groupe de sa magnifique voix rude
Le professeur hoche la tête à cela. Une seconde de calme se découle au ralentie pour nos quatre survivants. Puis, subitement le semi-chauve se lève et cours jusqu’au portail, les barreaux de fers étant trop humide par l’atmosphère s’installant depuis leur arrivée, pour grimpée. À part le barbue qui a du mal à se lever, dût à son atèle, les autres le rejoignent immédiatement.

De l’autre côté du portail, dans une cour d’une dizaine, de mètres, un chemin de terre se rends jusque la double porte d’entrée du manoir, des morts en obstacle.
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MessageSujet: Re: Zombicide Epidémie   Zombicide Epidémie Icon_minitimeSam 1 Mai 2021 - 15:22

Chapitre 10: Course à la porte
Les survivants se font poursuivre par une immense horde de zombies, ils sont devant le portail cadenassé, de l’entrée du jardin, des créatures de l’autre côté, couvrant toute la cour qu’ils doivent traverser.

De l’autre de la grille ils peuvent voir le chemin de terre, escorté sur chacun des côtés de trois arbres, tous de grandes tailles. En premier lieu, il s’agît de deux chênes opposés, derrière, toujours parallèles de celui en face, des sapins, et encore plus loin ce sont des bouleaux. Le manoir quant à lui, il semble avoir été construit en chêne noir, et le bois, travaillé par un maître-charpentier. Le bâtiment est légèrement surélevé du sol, de 20 centimètres, avec de leurs visions, ce qui semble être des pavés de pierres. Il y a un petit escalier devant les portes, mais celui-ci est protégé, par des barrières et des piques de bois primaires, il y a un mort-vivant, la tête enfoncé dans une pique. Sur le chemin, un infecté est effondré au sol.

Edouardo essaye de forcer le cadenas à la main, cela n’est pas suffisant. Il frappe la sécurité avec la crosse de son arme à feu. Le métal est en faîtes du fer épais, creux à l’intérieur, qui fait résonner les coups à quelques mètres, les zombies proches, dans la cour, commencent à se tourner vers le groupe infortuné.
-Merde. Dit celui qui en est la cause, une goutte de sueur qui descends tout le long de son crâne, avant de tomber au sol
Celui-ci secoue une dernière fois le défenseur de la serrure, ainsi que la grille au passage, causant un vacarme gigantesque, dans les légères bourrasques environnantes, attirant l’attention de tous les morts dans la cour. Le semi-chauve perds patience, il tire l’une de ces trois dernières balles sur la serrure, faisant exploser le cadenas, maintenant ils sont sûrs d’avoir attiré tous les zombies du coin. Il avance la partie droite de l’entrée du jardin, et pénètre dedans à toute vitesse.

George le suit, paniqué, pistolet à la main, alors que dû à la peur, ils semblent souffrir de mutisme, en se fiant à l’expression d’effroi sur son visage. C’est en suite à Josh, il s’embarque dans la course, regarde une dernière fois derrière, William se force et court malgré sa blessure à la jambe, l’atèle improvisé de notre héros l’aidant à ne pas faire de faux mouvements. Ils s’avancent, et se rendent compte que le nombre de zombies dépassent ce qu’ils avaient pu repérer, ils ne sont pas une trentaine, mais au moins une cinquantaine, ceux-ci qui s’étaient tourné vers la provenance du coup de feu, les ont repérés, et commencent à les encercler lentement. Nos survivants ne prennent pas le temps de réfléchir, ils avancent, ils courent, ils sprintent de toutes leurs forces. Ils restent au milieu du chemin de terre, pour ne pas se faire surprendre par des créatures cachées par les arbres, ce qu’ils les protégèrent de deux créatures, une qui était derrière le chêne à gauche, et une autre camouflez par le sapin de droite. L’ex-détenu arrive entre les deux bouleaux, là où se situe le mort-vivant étalé au sol, qui semble immobile. Au dernier moment, l’ex-criminel voit l’infecter, s’animer et essayer de l’attraper. Il trébuche un peu sur une de ses épaules, mais passe au dessus d’elle et continue en direction de la porte. C’est finalement le scientifique qui s’arrête à son niveau, il semble vouloir crier de terreur, mais rien ne sort de sa bouche, il tremble d’angoisse et ne sait plus quoi faire.
-Tirez-lui dessus! Exclame l’adolescent qui passe à côté de lui en évitant le rampant
Suite à ça le médecin dresse son arme, tremblante, en direction de son agresseur qui, d’un bras saisit la jambe de sa proie effrayé. Le docteur panique d’autant plus, il n’a pas le courage de tirer, il voit sa vie défilé, il tire! Malheureusement, la balle se loge à gauche de sa tête, laissant émaner un petit nuage de poussières qui attaquent les yeux de la cible. La bête à l’allure humanoïde se tient la tête de son autre bras, et se secoue de partout, tel des spasmes inhumains, elle lâche le professeur qui n’hésite pas une seconde et fuit. Mais pile après cela le dévoreur de chair reprends ses esprits, et voient le journaliste arriver, homme qui ne se laisse cette fois-ci pas faire. Il s’appuie au mieux sur sa jambe non valide, et donne un coup de chaussure sur la tête de sa victime, ce qui lui brise la mâchoire. Puis 2, puis 3 et puis 4! Le mort-vivant n’est plus, sa tête écrabouillé, à moitié en bouillit. Il reprends ainsi sa course effrénée, toujours en traînant sa jambe droite.

Le semi-chauve atteint les escaliers, barricadés. Il s’arrête derrière le corps de l’infecté empaler, pointe son flingue, le rapproche rapidement. Le canon touche le crâne du mort, et, aucune réaction, il est bien en hors d’état de nuire. Il n'hésite pas, et commence à traverser les barricades, et les piques, comme il peut, sans se blesser, et n’importe comment, l’arme à la main. Josh, suis après cela et, grâce au fait qu’il en plein essor physique, dû à son adolescence, il passe les défenses à peu près en même temps, que le chef de file. Une fois de l’autre côté, l’ex-prisonnier ne cherche pas à regarder autour, et avance de deux pas dans les escaliers, et arrivent devant la porte, un cadenas connecté à des chaînes bloque la porte. De son côté, notre héros comprends, qu’Edouardo lui laisse la tâche de veiller sur lui, sûrement parce que le criminel, doit déjà avoir travaillé en équipe, et avoir des réflexes adapté pour cet genre de situation.

Il regarde donc, autour, Georges arrive au niveau des barricades, non loin derrière, il y a William, les morts-vivants se dirigeant vers l’entrée. Mais c’est autre chose qui attire son attention.
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MessageSujet: Re: Zombicide Epidémie   Zombicide Epidémie Icon_minitimeLun 3 Mai 2021 - 18:04

Chapitre 11: Entrée au Manoir
Edouardo est devant de la porte, bloquée par des chaînes cadenassées, Josh, lui aussi derrière les défenses sommaires, observent et remarque quelque chose. Quant à Georges et William, ils avancent dans le but de se mettre à l’abri, grâce aux barricades.

Mais observons plus précisément ce qui arrive à notre héros. Il regarde partout, autour, veillant à ce dont il n’arrive rien à son coéquipier de fortune, au niveau de la porte. Deux ou trois secondes après le début de sa surveillance, il voit une tache de sang, à droite de la porte. Il baisse donc le regard, car celle-ci, descends comme si quelqu’un avait glissé, puis il voit, étaler dans les escaliers, le dos contre le mur, le corps d’un militaire, ayant succombé d’une balle à la tête, au vu des traces de sang, étaler sur tout son visage. Sachant qu’il ne pourrait donc pas se relever de par une infection, il s’approche, puis se baisse au niveau de la carcasse récente. Il a beau ne pas être médecin, il est évident que l’homme est mort aujourd’hui, sa peau n’a pas commencé à pâlir. En inspectant rapidement et plus précisément, il peut voir que la balle a été tiré au-dessus de la mâchoire du défunt, il constate aussi la présence d’une morsure à la main droite. Il le fouille à toute vitesse, mais à part les vêtements, il n’y a rien, il a été dépouillé. Mais un détail le surprend, une précision marquante, sur son bras droit, au niveau de l’avant-bras, il y a un tatouage de serpent, identique à celui de l’ex-détenu, qu’il a vu brièvement, lorsque celui-ci, était secoué dans tous les sens, pendant le crash du camion. Il n’y avait pas porté attention jusqu’à maintenant, mais ceci, désormais le tracasse . Il dirige son oeuil gauche, suspicieux, en direction du semi-chauve, alors qu’il est toujours accroupie, devant la dépouille.

Pendant ces quelques secondes qu’est ce qu’il est arrivé aux deux fuyards, qui n’étaient pas encore à l’abri? Le scientifique, étant en bonne santé, et encore plutôt jeune, a passé les défenses facilement. De son côté, le journaliste, qui est arrivé peu après, est en difficulté, il a trop poussé sur sa blessure pour courir, et abattre le mort qui était sur son chemin. L’atèle n’est plus en bon état, le cuir qui sert de bandage est aspergé de sang, tandis que les débris, qui servent à faire tenir la chose commencent à ne plus tenir en place. Il traverse, lentement, les rôdeurs dans la cour, formant peu à peu un blocus, s’il essaye de faire un retour en arrière, c’est leur vie qu’ils mettront en danger. Le barbu finit par passer, juste au moment où un coup de feu retentit. L’ex-prisonnier a tiré son avant-dernière balle sur le cadenas, qui encore une fois lui résistait, il ouvre l’une des deux portes, de cette entrée et pénètre à l’intérieur. Le docteur prend son courage à deux mains, serre le poing qui tient son arme. C’est sous la pression que ses nerfs se brisent, il vide le reste de son chargeur, sur les créatures, sans aucune raison, toute en lançant à leur égard, une série de jurons scientifique tels que par exemple «Excrément» ou «Détritus», ses balles touchant peu les infectés, excité par le bruit. Pendant que le médecin tir, l’adolescent pénètre dans le manoir, suivi de l’ancien du groupe qui traîne de force l’homme en blouse blanche.
-Dépêche-toi abrutie!  Crie-t-il avec un arrière-goût de douleur alors qu’il emporte Georges avec lui
L’ex-criminel, qui était le premier entré referme la porte derrière eux, puis fait s’écrouler une pile de meubles cassés qui étaient à côté. Certains débris lui laisse des écorchures sur les mains, dû à des parties pointues.  Les compagnons d’infortune se posent comme ils peuvent sur des cartons dans le couloir. William dégaine son téléphone portable, car dans la débâcle, il a pris, comme il le pouvait, des photos. Le couloir, remplie de cartons au niveau de l’entrée, est long d’environ 5 ou 6 mètres, et au bout d’un mètre sur la gauche, il y a une porte fermé, plus loin, tout au fond, à 4 mètres, il y a un escalier qui prends toute la largeur du couloir, qui est de 3 mètres, permettant de monter à l’étage, qu’ils ont pu apercevoir de l’extérieur. Sur la droite, à 1 mètre de l’entrée, il y a une porte entrouverte, et encore plus loin, à 3 mètres, il y a une autre porte fermée. L’endroit est magnifiquement décorée avec des gravures dorées un peu partout qui laisse paraître ondulantes. Ce couloir possède aussi des meubles, remplissant celui-ci.

Alors que la tension tombe, les survivants se calment comme ils peuvent de leur stress, sans dire un mot, évidemment, ils sont des inconnues et. Néanmoins, l’ambiance reste tout de même tendue, comme si elle pouvait exploser d’ici peu.
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MessageSujet: Re: Zombicide Epidémie   Zombicide Epidémie Icon_minitimeMer 5 Mai 2021 - 4:44

Chapitre 12: Dissension sociale
Cela fait quelques minutes qu’un calme perpétuel, s’est installé dans le groupe. Ils sont assis à l’entrée du manoir Tarkovitch, manoir très mystérieux. À l’extérieur, les premiers zombies atteignent les barricades, alors qu’une fine pluie commence à tomber.

Josh, qui respirait au mieux pour se calmer du stress, relève la tête. La situation est très tendue, William appuie ses mains sur sa plaie, essayant de stopper le saignement au mieux, il regarde autour en même temps. Le journaliste voit un rideau sur une petite vitrine à gauche de la porte, il l’arrache, et fabrique un bandage rudimentaire, tout en serrant les dents, la douleur lui est fortement présente. De son côté, Georges tient fermement son arme de poing, contre son torse, alors qu’il tremble fébrilement, dût au stress post-traumatique. Il recharge son pistolet avec un de ses trois derniers chargeurs, observant le moindre mouvement des autres. Quant à lui, Edouardo s’essuie le visage, avec le t-shirt de sa tenue de prisonnier, il a la tête baissé, l’arme en main. Dans cette scène qui semble être celle d’un groupe de survivants épuisés, la sensation que ressent notre héros est différente. Dans les quelques regards de déviances, que les autres membres de cette équipe improvisée, envoient discrètement en direction des autres, l’adolescent se racle la gorge. Il a l’impression d’être dans une cocotte-minute sur le point d’exploser.

L’ex-prisonnier relève la tête, et ceux en direction du scientifique, son regard certes calme, froid, mais hargneux. Le docteur remarque immédiatement cela, il pointe faiblement son arme à feu vers le semi-chauve, qui l’a agressé ouvertement de son regard. William, qui finit son bandage, d’un visage curieux, mais robuste, se tourne vers la scène silencieuse mais intense. Le jeune survivant aussi, observe fixement ce qu’il se passe, observant tout les détails qu’il peut collecter, curieux et espérant mieux comprendre la situation. L’ex-détenue se lève lourdement, le regard noirci, pour cacher une rage impossible à contenir.
-Pourquoi avoir fait ça? Pourquoi avoir gaspillé de ces précieuses munitions? Interroge obstinément l’ex-criminel
-Je… J’ai eu peur et… j’ai craqué, j’ai perdue le contrôle… j’ai agît comme un imbécile je le sais. Je suis un imbécile. Réponds le médecin faiblement, tout en baissant le pistolet militaire
-Un imbécile, hein? Je suppose que c’est pareil pour tous vos hauts placés?! Exclame l’ex-tueur qui commence à perdre le contrôle de lui-même
Edouardo suit ses paroles en retroussant la manche de son bras droit, dévoilant un tatouage de serpent. Georges, quant à lui, détourne le visage, n’assumant pas des responsabilités lourdes.
-Si c’est comme ça. J’ai gardé une balle rien que pour toi, au cas où j’en arriverais là. Continue le tatoué, en pointant le canon vers le scientifique
-Monsieur le méxicain, que signifie ce tatouage? J’ai pu le voir sur le corps du militaire sur l’escalier, à la porte. Intérroge Josh pour stopper son interlocuteur
-Ce tatouage? Il ne signifie pas grand-chose. Enfin, plus maintenant pour moi. Ceux qui en héritent, sont destiné à éxécuter les basses besognes. Réponds l’ancien serial killer en montrant d’un regard dédaigneux sa cible
-C’est pas à moi que vous devez plaindre vos souffrances, je n’y suis pour rien… Dit apeuré, et interrompu par assaillant
-Et vous croyez que je suis capable de les retrouver? Vous les connaissez bien, comme moi, ils sont introuvables, quand on ne leur ai plus lié. Ce seront eux qui me trouveront en premier. Exclame, agacé le semi-chauve
Alors qu’il est obnubilé par sa discussion, et ses menaces, le journaliste, qui était attentif, et avait compris que Josh attirait encore plus son attention, s’est approché lentement, puis a contourné, le présupposé antagoniste actuel. Il est tout proche de lui, Edouardo sent sa respiration rustre, touchant le long de sa nuque. Mais c’est trop tard, l’expérience militaire de William se dévoile, il fait abstraction de sa douleur, et frappe le coude, du bras droit de sa proie, et ceux, de façon très brutal. L’ex-détenu lâche son arme, qui tombe au sol, il crie de douleur en tenant son coude, avec son bras gauche, une écorchure s’étant formé, de par la violence de l’attaque. Josh se jette au sol, il se saisit du pistolet, anciennement en possession de l’ex-prisonnier. Il range l’arme, dans une poche arrière de son pantalon,se lève, puis recule, prudent, une main dans le dos.
-Je me suis fait avoir comme un débutant. Râle Edouardo qui lâche son bras, tremblant
-Bon, maintenant, c’est le journaliste et moi qui posons les questions maintenant. Vous êtes d’accord? Explique notre héros en suivant du regard, les trois autres survivants
-Je… Je répondrais au mieux. Dit Georges hésitant
-Au vue de ta main droite cacher dans ton dos, si je m’élance vers toi, par peur et par réflexe, tu tireras dans ma jambe. N’est-ce-pas? Réponds agacé, le désarmé, en roulant des yeux légèrement
-Ne compte pas sur moi pour l’épargné, non plus, dans ce cas-là. Continue William, derrière la dernière personne après avoir pris la parole, tout en faisant craquer ses doigts

Dans une situation étonnante, un adolescent et un journaliste viennent de prendre le contrôle d’un ancien tueur en série, et d’en bonus un scientifique. Que vont-ils apprendre de ceux-ci, qui semblent en savoir plus sur ce qu’il se passe?
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