L'apprenti Nécromancien - Karvel

U_u

LA SUIIIIIITE !!!
(commentaire très utile )

J'ai lu, je ne suis pas vraiment fan quoique!!!J'ai adoré le passage des araignées.
Je ne me sens aucune capacité de critique sur le sujet, mais je trouve cela bien écrit, rien ne choque.

Je ne lis plus les galeries depuis un moment, et je n'avais pas vu qu'on avait commenté ici...

Merci d'abord d'avoir lu.

Belyh a écrit:

Bon j’apporte ma pierre, j’espère que tu n’as pas encore publié

Malheureusement, non, je n'ai encore rien publié. ^^

La description de la façon dont Dragen (le narrateur), entre dans la mémoire de Karvel, et comment il perçoit les choses à travers lui : très clair, impressionnant même.

Je m’infiltrais dans sa mémoire, qui m’apparut sous l’aspect d’une brume opaque et froide dans laquelle je pénétrai à l’aveuglette Tu es déjà infiltré dans sa mémoire, pénétrer encore à l’aveuglette cette brume opaque n’apporte pas grand-chose sauf si tu indiques un sentiment de Dragen comme y pénétrer avec appréhension, avec une confiance absolue…Sinon j’enlèverai la dernière partie.

Et bien, cette remarque s'ajoute à toutes les nombreuses autres similaires faites par les membres. Ce qui veut définitivement dire que je dois corriger cette phrase.

se trouvait dans une salle aux allures de cachot : Je ne sais pourquoi ça ne me parait pas très fluide; « à l’allure de cahots »?. Plutôt y mettre une description ou de l’éclairage (ombres et lumières) ce qui pourrait être utilisé par la suite pour renforcer l’angoisse générée par les araignées.

Je préfère "aux allures de cachot" que "à l'allure de cachot"...

En essayant de se mettre à la place de Karvel (pas facile sans avoir tous les éléments) il me semble que j’essaierais de trouver un moyen de m’enfuir et que mes yeux examineraient la pièce à la recherche d’ouvertures et les liens qui me retiennent, sur lesquels je m’acharnerais à tirer.

Bonne suggestion. J'essaierai de 'inclure (si je n'oublie pas) quand je reprendrai mon texte.

l’image eut un soubresaut : par sûr que quand on sursaute le regard ne reste pas fixé sur l’objet, au contraire des phares d’une voiture qui passe sur des bosses, il me semble qu’il doit y avoir un mécanisme de compensation, mais je ne suis pas certain.

La prochaine fois que je sursaute, j'essaierai de me souvenir de ce que je vois... Ca va être difficile ^^

A sa ceinture étaient accrochées de longues aiguilles, dont l’extrémité de certaines présentait des traces noires : Du sang ? Je trouve ça plus angoissant que les araignées, mais tu ne l’utilises pas dans ce texte, peut-être avant ou après, donc. Tu peux remplacer le dont qui est lourd par un et ou mieux par un point et commencer une autre phrase.

Non, ce n'est pas du sang, mais une substance appelée Noir. Pour plus de précisions, tu peux lire "L'apprenti Nécromancien (nouvelle version)" également disponible en rayon... dans le forum XD

J’ignorais s’il lui fournissait des réponses orales, n’entendant absolument aucun son. Ca sonne bizarre réponses orales, réponses devrait suffire puisque tu précises qu’il n’y a pas de son.

En fait, il y a aussi les réponses avec la tête (hocher la tête). Mais l'image bougerait un peu... Du coup, ça ne va pas, parce que Dragen s'en apercevrait. Merci.

L’homme, déçu de l’apparent manque de coopération de Karvel. Là on est dans la perspective de l’auteur du récit, Dragen, qui interprète ce que les yeux de Karvel ont enregistré "ses épaules s’affaissèrent". C’est un peu tiré par les cheveux de savoir ou non si l’homme est déçu. Et pourquoi ou pour qui est apparent ce manque de coopération ?
--> l'homme apparement déçu du manque de coopération

Je pense qu'on pourra toujours chipoter sur le "qu'est-ce que Dragen peut déduire ou non"... Je vais essayer de repenser le mieux possible la scène pour que dans l'ensemble, on y croit d'un bout à l'autre. Ca va être dur...

Pour le passage sur les araignées je suis d’accord avec les copains, ça n’est pas angoissant pour tout le monde - pas pour moi en tout cas. C’est trop court (5 phrases) et tu es bien sûr limité par le visuel. Est-ce que tu tiens aux araignées, pourquoi pas un de ces magmas protéiformes qui te rentre dans le nez la bouche ou tout les orifices et dans lequel le lecteur projette ses angoisses ?
En gardant les araignées: peut être peux-tu augmenter la longueur du paragraphe, ne pas décrire tout de suite ce que c’est (comme suggéré par d’autres), concentrer sur quelques détails.
Karvel se débat sûrement quand les araignées arrivent sur lui, il regarde là où ça fait le plus mal : dans ton texte il n’est pas vraiment clair ce que font les araignées : si l’obstruction du champ de vision vient des bestioles qui le recouvrent ou si c’est parce que Karvel est mort (ou évanoui). Une araignée plus rapide que les autres (ou celle qui tombe du plafond) pourrait s’attaquer à un des yeux…

Vous vous êtes beaucoup focalisés sur ce passage (à ma demande ^^) ; même si je cherche à faire un peu peur, le coeur du chapitre réside surtout dans l'infiltration de la mémoire et les informations récupérées. Les araignées, c'est plus du "bonus". Encore merci quand même pour ton avis, j'en prends bien sûr note.


J’espère que c’est utile. En tout cas le texte est prometteur : à quand la suite ?

La suite... quand l'inspiration me viendra. Depuis un bon moment maintenant, elle a disparu, alors j'attends qu'elle revient. Quand j'écris sans être inspiré, le texte est mauvais. Je suis patient. ::rolling::


Merci pour toutes ces critiques. J'apprécie beaucoup.

Mike et Victor ---> Merci d'avoir lu.

En tout cas, j'espère qu'elle reviendra vite et qu'elle durera longtemps ton inspiration. C'est toujours un plaisir immense que de voir un de tes nouveaux textes (alors les lire !)

Sinon, je ne vois pas trop quoi rajouter aux commentaires fait au dessus, à part que je suis la plupart du temps d'accord.

Et pour ce qui est du passage des araignées, je trouve que la version que tu as refaites, un peu plus étoffée déjà, ne demande qu'un petit coup de pouce pour prendre toute sa... (trouve pas le mot... grandeur ? Non, enfin on s'en contentera) Et pour ça, les conseils donnés par Belyh me semblent pas mal du tout. Rajouter les effets de la peur que provoquent les araignées : les yeux qui se fixent sur une partie de l'anatomie, qui passe d'un coin à un autre. Quand tu paniques, je ne penses pas que ton regard reste calmement dans la même directement (j'ai mis justement calmement, ça coince déjà !)
Et justement, cette panique, retransmise par le regard, qui ensuite va s'impreigner (ça s'écrit comme ça, non ?..) dans l'esprit de Dragen. Comment comprendre la force de ce qu'est regarder les mémoires d'un mort, si ce n'est en en sortant un paniqué soi-même ? Enfin, après, je suis peut-être en train de sur imaginer !


Ce qui doit ressortir c'est que... la suite quand ?