Une reflexion discutable que j'ai eu un soir de pleine lune, pendant que je relisais Légende (ça fais presqu'un mois, mais je n'avais pas eu la courage de la recopier (elle etait sur format papier)).
Bref, donc j'ai comme eu une idée et j'ai voulut la dvelloper un peu pour voir ce qu'elle donnait. N'hésiter pas à le dire si vous n'etes pas d'accord, je promet de faire ce que je peux pour garder le meme avi dans chaques postes
)
Bon vu que je n'aurais pas le droit de changer d'avais, je tient tout de suite à dire que cette reflexion est parfois légèrement extremiste dans le sens qu'elle se contente de la phase these, sans etre suivit par son anti-these.
Donc si je pense ce que je dit, j'aurais tout de meme tendance à le nuencer un poil, mais franchement, c'est quoi une relfection nuancée au maxium ? Un avis neutre ? Qu'elle interet de donner son avis pour un sujet si n'est pour dire qu'au final on en à pas, ou du moins qu'il n'apporte rien ?
Enfait ce que je dit c'est que je me garde le droit de dire le contraire de ce que je viens d'écrire... Ba au moins vous êtes prévenue
Non, ne partez pas !! A défault de d'avoir des propos cohérants, je vais faire en sorte que vous puissiez voir que j'accepte vos points de vues et vous pouvez dire que j'ai tord, je l'ai dit avant vous
(comme ça dans tous les cas j'ai raison).
Bon, arretons de parler de moi... Et franchement donnez votre avis, je briderais ma mauvaise fois. (rha j'hésite à effacer tout ce que j'ai écrit la... Ba on va dire que ça me donne un coté sympathique (qui à dit pathétique ?))
Avant que je lance un débat que je n'avais pas l'intention de lancer, voici ma reflexion :
On dit souvent que ce que les gens aiment dans la littérature, et particulièrement dans la fantasy(ie), c'est le sentiment d'évasion, le fait de sortir de son quotidien pour vivre des choses différentes...
Ainsi personne ne sera passionné par l'histoire de Marie qui après avoir achetée son pain, doit le ramener chez elle.
Mais pourtant, à moins de traité la situation avec de l'humour anglais, personne ne sera non plus passionné par l'histoire de Zougibidou le znorien qui va sur la planète Hirtanos afin de se gratter l'oreil.
Néanmoins, aux dernières nouvelles les znorien ne courts pas les rues et on ne voit jamais de gens aller sur des planètes pour se gratter l'oreille.
Enfait, peut-être que ce que le lecteur cherche ce n'est pas l'évasion, c'est juste l'émotion, celle de notre vie de tous les jours, mais à plus forte dose
Ainsi le lecteur se délecte d'histoire d'amour fictive, de mariage imaginaire, d'actes d'héroïsmes inventés. Pas que notre monde en soit dépourvue (bien au contraire), mais juste que tout ce qui en general se déroule sur une vie, va se concentrer sur quelques centaines de pages.
Un concentré de notre vie de tous les jours en somme.
Ainsi, ce sont les choses les plus « émouvantes » de notre monde qui nous émouvrons (je ne suis pas sur de mon mot pour le coup) dans les livres : histoire d'amours, tristesse, dileme, mort, courage...
Et en fait ce qui plait au lecteur dans un livre (de fiction du moins) c'est justement cette ressemblance au monde réel, car l'histoire de Zougibidou qui se gratte l'oreil nous ne pouvons pas en comprendre les enjeux, alors comment pourrions nous nous en émouvoir ?
Pour prendre un exemple célèbre permettant de faire un parallèle vie de tout les jours/romans à suces : le seigneur des anneaux, si on simplifie c'est quoi ? C'est l'histoire d'un mec qui doit amener un anneau à un endroit.
C'est si différent de l'histoire de marie qui rentre chez elle avec son pain ? Elle aussi elle peut se faire attaquer par des braqueurs, elle aussi son pronostique vital est en jeux (si elle ne mange pas, elle va mourir). Mais la différence est que certes tout cela peut lui arriver (elle peut aussi rencontrer le grand amour en chemin... qui sait ?), mais on ne sait pas si cela va arriver et pour être franc il y a peu de chance.
Alors qu'avec le Sda on sait que touts les hypothétiques problèmes de notre vie y seront.
Une autre raison possible à l'attirance des gens pour la fiction est certainement que dans un livre on peut savouré de la violence, ou bien le malheur des autres. Pas que la violence dans la vie réelle soit différente, mais plutôt qu'étant donné que c'est de la fiction, on peut savourer sans culpabiliser les plus horribles fait divers.
Choses que la société nous reprocherait si c'était de vrais personnes (imaginez le mec qui sourit, voir qui rit, tout en lisant la rubrique fait divers du Dauphiné qui parle d'un génocide dans le larzac (qui sait ?) vous trouveriez ça révoltant. Pourtant dans un livre ça ne choque personne, parce que « ce n'est que de la fiction »)