La dynastie des Elfes !

C’est toujours à la même époque que l’on voit se rassembler bon nombre d’Elfes de Lumières dans la vallée de Darlinga. Ils se retrouvent au milieu de la lande, autour d’un arbre gigantesque qui tous les ans accueille en son sein des milliers de vies venues fêter le solstice d’été autour de ses branches. D’immenses feux de joie sont créés par magie autour du grand arbre pour illuminer toute la vallée dès la tombée de la nuit. Des ménestrels, des bardes, des chanteurs et des danseurs de toutes traditions se mélangent aux Elfes pour remercier la nature d’avoir donné la vie sur cette terre. C’est aussi toujours un grand moment pour raconter les histoires du passé qui ont vu les Elfes se déchirer et parler encore de leurs espoirs dans la paix éternelle de leur peuple.
Dès le matin du solstice jusqu’aux premières lueurs de la lune, les Elfes dansent et chantent autour de l’arbre millénaire. La plaine bourdonne de chants mélodieux. Les Elfes dansent pour le ciel et la terre, pour hier et pour demain, pour l’inconnu qui s’avance à grands pas. Pour les personnes qui voient ce spectacle pour la première fois, c’est un mélange de couleurs, de rêves qui s’ouvrent à eux et les éveillent à une nouvelle beauté du monde. Tout le monde dansait jusqu’au coucher du soleil, moment où l’Ancienne descendait de l’arbre éternel, maison d’accueil des Elfes de passage pour cette cérémonie annuelle. Elle s’installait au milieu de tous les Elfes pour raconter encore une fois l’histoire ancestrale des Elfes. L’ancienne avait toujours eu le privilège de la raconter, même lorsqu’elle était jeune, car c’était son histoire.

Lorsque tout le monde, que ce soit les enfants, les adultes et même les vieillards, s’était regroupé autour d’elle dans un silence pesant, l’Ancienne commença enfin le récit sur la dynastie des Elfes. Comme par magie, ses paroles s’envolèrent dans le ciel et firent apparaître un miroir sur le temps et l’espace. Toute l’assemblée put contempler dans le ciel aux douces couleurs d’été une histoire passée et retracée par la voie bienveillante de l’Ancienne. Et c’est ainsi que commença le récit de l’Ancienne. Sa voix enchanteresse berçait le peuple à chaque mouvement de l’histoire.

« Il y a de cela des milliers et des milliers d’années, ne vivaient sur cette terre que deux peuples très ressemblants l’un de l’autre, mais en même temps tellement différent. L’un d’eux était un peuple d’Elfe aux oreilles légèrement pointues et au nez aquilin. Ils avaient tous la peau claire, presque blanche. Le plus souvent, ils portaient de longs cheveux blancs ou blonds. Leurs yeux bleus, gris ou verts étaient très clairs comme leur peau. Beaux, gracieux, intelligents et bienveillants, ils étaient les dirigeants d’un monde étrange et poétique du nom d’Egémynn. De par leur beauté mystérieuse et éblouissante, ils s’étaient eux-mêmes, appelés des Elfes de Lumière. Leur plus grande occupation était de protéger la forêt environnante et les êtres vivants qui la composaient. Pour cela, il existait à Egalown, la ville principale au centre d’Egémynn, un groupe étonnant de chercheurs qui essayaient sans cesse de trouver des remèdes aux différentes maladies de la planète, mais aussi d’agrandir les technologies pour aider le peuple de Lumière.
À l’inverse, il existait le peuple des Elfes de l’Ombre. Ils vivaient en parfaite harmonie avec la nature et la terre. Ils vivaient dans des endroits très reculés comme les grandes forêts ténébreuses, les montagnes ou même, sous terre. Leur peau était plus sombre que celle des Elfes de Lumière. Elle était plutôt grise. Leurs yeux rouges violet ou noir étaient très sombres ce qui leur permettait de voir dans la nuit. Leurs cheveux ressemblaient à de grandes éruptions volcaniques. Ils pouvaient être rouge, orange, noir, brun. Tout comme les Elfes de Lumière, ils étaient très beaux. Ils avaient le même visage et pourtant leur peau et leurs cheveux les différenciaient de ceux de la surface. Leur peuple avait été nommé par les Egémynns, le peuple de l’Ombre, mais ils préféraient s’appeler eux-mêmes, les Armédynns, en hommage à leurs ancêtres et créateurs Armérien. Ils étaient considérés comme malsains par le peuple de Lumière, à cause de leur couleur de peau. Ils considéraient les Elfes de l’Ombre comme sous évolués et ne voulaient pas faire affaire avec eux.
Contrairement à ce que croyaient les Elfes de Lumières, les Armédynns étaient de remarquables protecteurs de la nature et leurs avancées technologiques n’égalaient pas celle des Egémynn, mais les dépassaient au-delà de leurs plus grandes espérances.

Le peuple de l’Ombre était très pacifique bien qu’il aimait beaucoup se battre. C’était pour eux, une occupation journalière des enfants et des adultes, mais cela restait toujours amical.
Cela faisait déjà des milliers d’années que petit à petit les Elfes de l’Ombre s’étaient volatilisés et avaient construit de vrais palais souterrains. Ils avaient coupé tout lien avec leurs cousins et avaient continué leurs recherches pour la protection du monde. Au fur et à mesure de leurs avancées technologiques, ils égalèrent les Egémynns et les surpassèrent. Ils créèrent ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de portail sacré. Ils en construisirent un peu partout sur la planète et grâce à eux, ils découvrirent et explorèrent plusieurs Nouveaux Mondes. Ce sont les Elfes de l’Ombre qui ont découvert les sept mondes de Naviaka. Et c’est grâce à eux qu’aujourd’hui, nous pouvons passer aisément d’un monde à l’autre.
Ils avaient réussi cette prouesse technique grâce à une entité que seuls les Elfes de l’Ombre ont en leur possession. C’était un trait qui les différenciait des Elfes de Lumières. Ils avaient en eux depuis toujours un don extraordinaire donné par Armédien en personne. Les Elfes de l’Ombre savaient parfaitement utiliser la magie en puisant leurs forces et leurs pouvoirs de la nature ainsi que de l’environnement où elle évolue.
...>>



*Alors voilà, je vous le met ^^ ! Ceci est un texte qui sera au milieu de l'histoire entière mais qui est en lui même une histoire à lui tout seul. Je ne l'ai pas finis mais c'est celui sur lequel je travaille le plus ces temps-ci. J'espère qu'il vous plaira et bien sûr n'hésitez pas a corriger tout ce qui vous parait suspect !

J'ai essayer de mettre des marges mais apparement je n'y arrive pas ici ! Dommage ! J'avais un beau code !



Après peut être qu'il faut configurer le forum pour ça je sais pas ! ^^

Enfin bref, bonne lecture !*

Code:

<span class=marge> Le texte</span>

Elianaca a écrit:

deux peuples très ressemblants l’un de l’autre, mais en même temps tellement différent. L’un d’eux était un peuple d’Elfe [/code]

- Je dirais plutôt très "semblables" plutôt que "ressemblants"

- différentS

- ElfeS

voilà, sinon l'histoire est pas mal, j'ai peut-être loupé d'autres fautes...

« ... Contrairement à ce que croyaient les Elfes de Lumières, les Armédynns étaient de remarquables protecteurs de la nature et leurs avancées technologiques n’égalaient pas celle des Egémynn, mais les dépassaient au-delà de leurs plus grandes espérances.

Le peuple de l’Ombre était très pacifique bien qu’il aimait beaucoup se battre. C’était pour eux, une occupation journalière des enfants et des adultes, mais cela restait toujours amical.
Cela faisait déjà des milliers d’années que petit à petit les Elfes de l’Ombre s’étaient volatilisés et avaient construit de vrais palais souterrains. Ils avaient coupé tout lien avec leurs cousins et avaient continué leurs recherches pour la protection du monde. Au fur et à mesure de leurs avancées technologiques, ils égalèrent les Egémynns et les surpassèrent. Ils créèrent ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de portail sacré. Ils en construisirent sur toute la planète et grâce à eux, ils découvrirent et explorèrent plusieurs Nouveaux Mondes. Ce sont les Elfes de l’Ombre qui ont découvert les sept mondes de Naviaka. Et c’est grâce à eux qu’aujourd’hui, nous pouvons passer aisément d’un monde à l’autre.
Ils avaient réussi cette prouesse technique grâce à une entité que seuls les Elfes de l’Ombre ont en leur possession. C’était un trait qui les différenciait des Elfes de Lumières. Ils avaient en eux depuis toujours un don extraordinaire donné par Armédien en personne. Les Elfes de l’Ombre savaient parfaitement utiliser la magie en puisant leurs forces et leurs pouvoirs de la nature ainsi que de l’environnement où elle évolue.

Les Egémynns quant à eux savaient qu’il existait sur cette terre bon nombre d’animaux ou d’êtres spirituels qui utilisaient la magie. Ils les étudiaient sans relâche dans le seul but de créer des objets pouvant servir à leurs fins personnelles. Ils voulaient créer un monde où ils pourraient vivre sans effort, où tout leur serait amené naturellement. Ils inventaient de plus en plus de nouveaux objets grâce à la magie qui était conservée dans le corps de ces petits êtres sans défense. Mais leurs recherches s’arrêtaient à leur bien-être, il n’avait jamais pensé à étudier ces animaux pour comprendre à quoi leur servait leur magie.
Indépendamment des Armédynns, les Egémynns s’octroyaient la vie des plus faible pour vivre dans une plénitude artificielle. Très vite, ils comprirent que leurs idéaux avaient changés, qu’ils s’étaient éloignés de leur but originel. La défense de la nature n’était plus une de leur priorité. Mais la hiérarchie des Egémynns comprit le malheur de ces animaux et interdit toute création d’objets qui pourraient tuer ces espèces. Pourtant, les chercheurs ne s’arrêtèrent pas, ils continuèrent à expérimenter et à construire. Ils n’utilisaient plus des animaux, mais ils synthétisèrent leur essence magique. Ils réussirent à nouveau à créer des machines magiques étranges qui leur permettaient de vivre tranquillement.
Mais, toutes ces inventions extraordinaires alimentées en magie synthétisée ne surpassaient pas les anciens objets magiques construits grâce à des êtres vivants. C’est pour cela que dans des laboratoires secrets, quelques chercheurs continuaient leurs expériences infâmes. Les Elfes de Lumières les découvrirent tous et, pour l’exemple, les condamnèrent à mort. Mais, il en resta un qui de par sa grande notoriété put cacher ses expériences néfastes et devenir le chercheur attitré du roi lui-même. Son nom était connu de tous : Alvaken Myrakos, Expérimentateur de la cour.
Alvaken Myrakos faisait partie de plus grands chercheurs du royaume. Il avait été le premier à synthétiser la magie et à l’inoculer aux différents outils qui aidaient les Elfes. Cependant, c’était pour lui une perte de temps de synthétiser la magie, car elle perdait énormément de sa qualité, mais aussi de sa puissance. Alvaken préférait la subtiliser aux êtres vivants qu’il considérait comme inférieurs.
Il s’était aménagé un endroit pour pouvoir faire ses expériences en secret. Il était caché dans les cachots du château des Elfes de Lumière. On y avait accès par le laboratoire du chercheur, derrière un ancien four à métaux. Un long escalier étroit descendant vers sa cachette dont personne ne connaissait l’existence. Alvaken y menait de sombres expériences. Il tuait sans vergogne des êtres magiques. À force d’expériences plus douteuses les unes que les autres, il voulut accroître sa source de magie. Tous les petits êtres qu’il avait arrachés à la nature, ne lui donnaient que très peu de magie. C’est pour cela que de jour en jour, il en demandait plus.
... »

J'ai mis un peu de temps à venir, mais je me rattrape. L'histoire est vraiment bien, j'adore les légendes dans une histoire et celle là est bien faite.

Bon j'ai une pile de remarque, n'est pas peur, je ne fais que pinailler des détails ^^:

Citation :

D’immenses feux de joie sont créés par magie autour du grand arbre

petit pinaillage, je dirais allumés, au lieu de créés.

Citation :

C’est aussi toujours un grand moment pour raconter les histoires du passé

je trouve que le aussi n'est pas nécessaire, et rallonge la phrase.

Citation :

Pour les personnes qui voient ce spectacle pour la première fois

La répétition de "pour" dans la phrase précédente est très jolie et poétique (j'ai vraiment aimé, je me devais de complimenter ^^) par contre dans cette phrase là, je trouve que ça fait un peu trop.

Citation :

Tout le monde dansait jusqu’au coucher du soleil

Le début est au présent et tu passe à l'imparfait d'un coup.

Citation :

par la voie bienveillante de l’Ancienne

voix

Citation :

explorèrent plusieurs Nouveaux Mondes

les majuscules me semblent inutiles là.

Citation :

au-delà de leurs plus grandes espérances.

je ne suis pas sur que espérances soit le mot approprié ici

Citation :

bien qu’il aimait beaucoup se battre

Il me semble qu'ici il faudrait le subjonctif imparfait : qu'il aimât
mais bon plus personne ne le fait.


Voilà c'est tout ce que j'ai vu à la première lecture. L'histoire commence vraimnent bine j'attends de voir la suite.

Lorsque le subjonctif imparfait est requis :

- on l'utilise.
ou
- on le remplace par subjonctif le présent

bien qu'il aimât se battre
ou
bien qu'il aime se battre

Après une refonte de l'histoire et une réorganisation, je renvoie ce début refait à neuf ! Oubliez les fautes, je cherche surtout des commentaires et des questions sur l'histoire, à savoir si il y a des éléments qui vous titillent que je le sache !

Merci à tous

Elia

C’est toujours à la même époque que l’on voit se rassembler bon nombre d’Elfes dans la vallée de Darlinga. Ils se retrouvent au milieu de la lande, autour d’un arbre gigantesque qui, tous les ans, accueille en son sein des milliers de vies venues fêter le solstice d’été. Cette fête est célébrée depuis la nuit des temps dans tous les mondes de Naviaka. Elle appelle la lune et le soleil à se rencontrer, s’effleurer pour faire grandir la magie qui est présente en chacun. Avant la tombée de la nuit, on allume d’immenses feux de joie qui tapissent la lande. Des ménestrels, des bardes, des chanteurs et des danseurs de toutes traditions se mélangent aux Elfes de Lumières et Elfes de l’Ombre venus célébrer cette fête millénaire. A la nuit tombée, la plaine bourdonne de chants mélodieux. On danse pour le ciel et la terre, pour hier et pour demain et pour cette terre qui leur a donné la vie. Dans une paix peu commune, ils prient pour leurs confrères qui encore aujourd’hui se battent pour une guerre dont ils n’en connaissent pas l’aboutissement. Pour Eloïna et Arkin qui voient ce spectacle pour la première fois, c’est un mélange de couleurs, de rêves qui s’ouvrent à eux et les éveillent à une nouvelle beauté du monde.
Tout le monde dansait jusqu’aux premières lueurs du soleil, moment où l’Ancienne descendait de l’arbre éternel, maison d’accueil des Elfes de passage pour cette cérémonie annuelle. Elle s’installait au bas de l’arbre, sur de vieilles racines légèrement en hauteur pour que tout le monde puisse l’apercevoir. Dans un seul mouvement, toutes les personnes présentes à cette grande fête se réunirent devant l’Ancienne et s’installèrent calmement. S’en suivit ensuite un silence pesant intimant le début du récit de la dynastie des Elfes. Quelques instants plus tard, ce fut comme par magie que ses paroles s’envolèrent et firent apparaître un miroir sur le temps et l’espace. Toute l’assemblée put contempler dans le ciel aux douces couleurs d’été une histoire passée et retracée par la voix bienveillante et enchanteresse de la vieille Elfe qui les berçait à chaque mouvement de l’histoire. C’est ainsi que commença le récit de l’Ancienne.

« Il y a de cela des milliers et des milliers d’années, sur Emalota, monde des Elfes et royaume des Dieux, vivaient deux peuples qui se ressemblaient terriblement, mais qui étaient totalement différents. L’un d’eux était un peuple d’Elfes aux oreilles légèrement pointues et au nez aquilin. Ils avaient tous la peau claire tout comme leurs yeux et portaient de longs cheveux blonds ou blancs. Beaux, gracieux, intelligents et bienveillants, ils avaient tout pour plaire. Ils étaient les dirigeants d’un monde étrange et poétique du nom d’Egémynn. De par leur beauté mystérieuse et éblouissante, ils s’étaient eux-mêmes appelés des Elfes de Lumière. Ils aimaient dire à qui veut l’entendre qu’ils étaient les protecteurs de la nature et de la vie donnée par les dieux et pourtant ils passaient le plus clair de leur temps à flâner et à se reposer. Depuis qu’ils avaient réussi à utiliser la magie des plantes d’Argrook, ils ne faisaient plus rien. Les Argrook étaient des plantes de vie. Elles puisent la magie de la terre et la redonnent aux plantes autour d’elle pour qu’elles puissent mieux grandir et s’épanouir. Un jour, un chercheur en botanique réussit à puiser la magie contenue dans ses plantes pour l’inoculer dans différents objets qui permettrait de passer des messages plus rapidement que les messagers ordinaires. Il existait à Egalown, la capitale d’Egemynn, un groupe étonnant de chercheurs qui étudiaient la nature et ses propriétés dans le but de créer des remèdes aux différentes maladies, mais depuis cette étonnante découverte, ils ont décidé aussi de créer une session de recherches expérimentales qui permettrait d’innover et de vivre plus facilement. Ils créèrent de plus en plus de nouveaux objets qui les aidaient à vivre plus facilement.
À l’inverse, il existait un peuple au physique plus sombre que les Elfes de Lumière, mais au cœur aussi pur que des diamants. Ce peuple était celui des Armédynns en hommage à leur ancêtre Armérien, mais les Egémynns préférait les appeler le peuple de l’Ombre, car ils les considéraient comme malsains et sous évolués. Ils vivaient dans des endroits très reculés, où très peu de peuples venaient se promener. La plupart du temps, ils avaient élu domicile dans de profondes forêts ou des montagnes. Ils passaient leur temps à étudier et protéger la nature qui les a vus naître et contrairement à ce que pensaient les Egémynns, jamais ils ne feraient de mal à quelconque être vivant. Cela faisait des années que petit à petit les Elfes de l’Ombre quittaient leurs territoires des forêts et des montagnes pour se construire de véritables palais souterrains. Il était devenu indéniable pour eux qu’il fallait quitter les terres naturelles pour laisser la nature reprendre ses droits sur le monde. Ils avaient coupé tout lien avec les peuples du monde pour continuer en paix leur protection de la nature. Ils créèrent ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de portail sacré. Ils en construisirent trois sur la planète dans des recoins reculés et sacrés. Cette prouesse a pu être réalisée grâce à une entité que tout le peuple de l’Ombre possédait dans son corps depuis des milliers de générations. Grâce à celle-ci ils pouvaient utiliser la magie, mais ils étaient eux aussi des connecteurs des rouages de la magie sur la vie. Pendant longtemps ce peuple a cherché la source de ce phénomène, mais rien ne venait répondre à leurs multiples questions. Ils s’imaginèrent alors que c’était les dieux eux-mêmes qui leur avaient donné ces étranges pouvoirs et en échange, ils s’étaient promis de ne le révéler à personne et de ne jamais utiliser cette magie pour donner la mort. C’est aussi une des raisons qui les avaient poussés jadis à quitter leurs territoires pour que jamais personne ne connaisse jamais leur pouvoir et ne les utilise à mauvais escient.

À l’époque, personne n’aurait pu se douter qu’un tel pouvoir était en possession des Elfes de l’Ombre. Les Egémynns, bien que très proches cousins des Armédynns n’avaient pas reçu ce don des dieux. Ils se contentaient d’étudier cette magie très présente sur des plantes inoffensives, gardiennes de la magie du monde. La magie qu’ils étudiaient et qu’ils récupéraient grâce à de nouveaux procédés très poussés permettait d’intensifier leurs différents objets magiques qui leur permettaient de vivre sans effort. Les Elfes de Lumière devenaient de plus en plus fainéants. Tout ce qu’il voulait c’est vivre sans effort, ne faire que ce qu’ils voulaient. La pêche, la chasse, la vente, le ménage tout était organiser par des minis objets magiques conçus pour ce qu’ils appelaient le "Bien de Tous".
Trop heureux de vivre dans cette tranquillité qui ne demandait aucun effort, les Elfes de Lumière ne s’imaginaient pas ce qui se passait dans les laboratoires de recherche. La demande était telle que les chercheurs puisaient sans cesse la magie de ces pauvres plantes que jour après jour elles se fanaient. La magie était leur vie. Sans elle, seule la mort les attendait. Les chercheurs, trop heureux de gagner autant ne se souciaient guerre de ces quelques plantes. Ils s’imaginaient que, comme elles évoluaient sur toute la surface de la planète, quelques-unes en moins ne feraient rien. Mais ils se trompaient. Ces plantes faisaient partie intégrante de la planète. Si elles disparaissaient ne serait-ce qu’à un endroit, ce serait toute la faune et la flore qui en pâtiraient dans cette zone.
Fort heureusement, quelques chercheurs réalisèrent qu’il fallait arrêter ce massacre et présentèrent leurs arguments devant la cour. Le roi, bien assis dans sa tranquillité les écouta sans vraiment vouloir faire changer les choses jusqu’au moment où ces chercheurs commencèrent à parler des idéaux qu’auparavant les Elfes proclamaient et qu’ils avaient depuis longtemps oubliés. Les Egémynns s’étaient de plus en plus éloignés de leur but originel. Ils s’octroyaient la vie des plus faible pour leur plénitude artificielle, leur bonheur réglé à la lettre. La défense de la nature elle-même n’était plus une de leur priorité, car ils en tuaient les protecteurs.
Par miracle, le roi dont l’esprit était devenu embrumé par la somnolence prit vite conscience de ce qui se passait réellement et interdit toute création d’objets magiques contenant l’essence des plantes d’Argrook. Les chercheurs arrêtèrent alors de les tuer, mais les recherches ne s’arrêtèrent pas pour autant. Ils voulaient garder cette quiétude qui pour eux était bénéfique au monde. Pour cela, ils synthétisèrent l’essence magique et les Elfes recommencèrent doucement à vivre dans une banale tranquillité.

bonjour,

je viens de découvrir ton récit, alors je m'y mets de mon petit commentaire. Tu veux plus sur le fond que sur la forme, si j'ai bein compris.
Un petit truc quand même: attention aux temps employés, il y a des incohérences.

Sinon, il y a un passage qui me gêne:

Citation :

Depuis qu’ils avaient réussi à utiliser la magie des plantes d’Argrook, ils ne faisaient plus rien. Les Argrook étaient des plantes de vie. Elles puisent la magie de la terre et la redonnent aux plantes autour d’elle pour qu’elles puissent mieux grandir et s’épanouir. Un jour, un chercheur en botanique réussit à puiser la magie contenue dans ses plantes pour l’inoculer dans différents objets qui permettrait de passer des messages plus rapidement que les messagers ordinaires. Il existait à Egalown, la capitale d’Egemynn, un groupe étonnant de chercheurs qui étudiaient la nature et ses propriétés dans le but de créer des remèdes aux différentes maladies, mais depuis cette étonnante découverte, ils ont décidé aussi de créer une session de recherches expérimentales qui permettrait d’innover et de vivre plus facilement. Ils créèrent de plus en plus de nouveaux objets qui les aidaient à vivre plus facilement.

Pourquoi? parce qu'il intervient dans la description des Elfes de Lumière. Or, tu parles plus longtemps de ces plantes et de ces chercheurs que des elfes eux-mêmes. Cela paraît disproportionné, d'autant qu'on ne sait pas encore l'importance de ces plantes pour l'histoire (je suppose qu'elles en auront).

Citation :

Grâce à celle-ci ils pouvaient utiliser la magie, mais ils étaient eux aussi des connecteurs des rouages de la magie sur la vie

ce n'est pas très clair pour moi, cette phrase, même si je pense avoir compris l'idée.

Citation :

À l’époque, personne n’aurait pu se douter qu’un tel pouvoir était en possession des Elfes de l’Ombre. Les Egémynns, bien que très proches cousins des Armédynns n’avaient pas reçu ce don des dieux. Ils se contentaient d’étudier cette magie très présente sur des plantes inoffensives, gardiennes de la magie du monde. La magie qu’ils étudiaient et qu’ils récupéraient grâce à de nouveaux procédés très poussés permettait d’intensifier leurs différents objets magiques qui leur permettaient de vivre sans effort. Les Elfes de Lumière devenaient de plus en plus fainéants. Tout ce qu’il voulait c’est vivre sans effort, ne faire que ce qu’ils voulaient. La pêche, la chasse, la vente, le ménage tout était organiser par des minis objets magiques conçus pour ce qu’ils appelaient le "Bien de Tous".

là, tu reviens aux Elfes de lumière pour rdire à peu près la même chose que précédemment, ce qui donne un effet un peu décousu.

Citation :

Par miracle, le roi dont l’esprit était devenu embrumé par la somnolence prit vite conscience de ce qui se passait réellement et interdit toute création d’objets magiques contenant l’essence des plantes d’Argrook

c'est un peu contradictoire, non?

Avec la dernière phrase, je ne vois plus l'utilité de tous les détails sur les plantes magiques puisqu'elles ne sont plus utilisées et ne risquent donc plus de disparaître. Elle paraissaient juste avant importantes pour l'histoire et voilà qu'en quelques mots, elles me semblent devenues inutiles.


voilà, voilà, ne prends pas tout cela comme une critique trop sévère. Tu nous demandait de dire tout ce qui nous titillait, donc j'ai absolument tout détaillé (ce qui ne veut pas dire qu'il faille tout changer).

J'espère que mon commentaire pourra t'être utile.

ps. je n'ai pas relevé les fautes d'orthographe puisque ça t'intéressait moins mais j'en ai vu quelques-unes.

Merci pour ton commentaire Barla je t'en remercie. Il y a quelques détails qui je l'avoue sont peut être étrange pour un début mais il faut savoir que les plantes d'Argrook auront leur important sur toute l'histoire bien que cela ne reviendra que à quelques moment.

En ce qui concerne les Elfes je ne voyait pas trop comment ajouter plus de description, peut être que je m'arrête un peu à "tout le monde connais" mais c'est à réfléchir oui !

J'avoue que je me répète beaucoup même trop souvent la suite est pour moi encore pire que ce que je viens d'envoyer car j'ai l'impression de me répéter dix fois et en fin de compte de n'arriver à rien. Après si quelqu'un à de bonnes suggestions pour éviter un maximum les répétitions qui ne servent à rien je suis largement preneuse !

Enfin bref ! Après si tu as eu le temps de lire les premiers textes je suis prête à entendre ton avis :p je veux tout savoir ! C'est surtout pour voir si la différence est marquante, mieux ou nulle. Bref c'est comme tu le sens je ne forcerais personne ^^

Elia