Il l'avait tué (et bonjours à tous)

Bonjour,
Je vais tenter de reproduire ici l'expérience d'un certain Gringo (en bien moins ambitieux car je ne pourrai écrire au même rythme) de ma connaissance ^^ et tenter de poster de manière journalière un morceau d'une histoire de ma création... (je pense que j'alternerai entre deux texte complétement unrelated)

Je tiens tout d'abord à prévenir tout ceux qui auront le courage de me lire : je fais beaucoup non, énormément, de fautes d'orthographe.
Je serai très reconnaissant envers ceux qui me les signaleront mais ceux que ça rebute vraiment peuvent arrêter leur lecture...

Merci d'avance à ceux qui liront.
Encore plus merci à ceux qui me feront part de leur commentaires.

A demain

David


Introduction
Il l’avait tué... 3 balles toutes dans la nuque mais... pourquoi ? Encore maintenant il n’arrivait pas à comprendre son geste. Sans doute parce que l’autre l’avait contrarié en voulant retrouver leurs anciens compagnons tandis que lui avait décidé de tenter le casse du siècle. Rien qu’à eux deux. La discussion avait été violente puis, voyant l’autre partir, il avait sorti son arme et avait appuyé sur la gâchette une fois, deux fois, trois fois...

Il l’avait vu tomber sans pousser un cri. Maintenant seulement il comprenait : il venait de tuer son unique ami. Et pour la première fois depuis bien longtemps il pleurait, oui lui il pleurait, agenouillé devant le corps mutilé, il pleurait.

Quelques longs instants plus tard, il reprit ses esprits et décida de tout faire pour racheter l’acte insensé que ses pulsions lui avaient dicté. Puis il disparut dans la nuit noire, conscient d’avoir accompli l’irréparable.

D’un pas rapide il se dirigea vers le camping, une idée en tête ; traversa l’allée principale ; Obliqua à gauche et aperçu, de son oeil de lynx, l’antique caravane ou Garsh et lui avaient vécu depuis la mort de leur « père adoptif ».

Il ouvrit d’un coup d’épaule la vieille porte rouge , entra comme un fou furieux, fit dégringoler les meubles, fouilla partout sans s’occuper du bruit qu’il pouvait causer, sachant pertinemment que nulle âme n’habitait plus ce coin abandonné depuis des lustres .

Trente minutes plus tard il s’assit sur une chaise branlante, le teint pale, la mine défaite, et pourtant... Il n’avait plus revu ces précieux documents dans les mains de Garsh depuis leur départ de cette caravane... Il fallait bien qu’ils soient quelques pare !

Il tentait de se souvenir. Non, ils ne pouvaient se trouver dans le dernier squat qu’ils avaient partagé. Peut être chez l’Ex petite amie de Garsh mais non, non il n’irait pas la voir... Pas en tous cas avant d’avoir racheté son crime...

Bon début !

— l’antique caravane ou Garsh et lui avaient vécu : où
— le teint pale : pâle
— qu’ils soient quelques pare : quelque part
— chez l’Ex petite amie : ex sans majuscule

Merci à vous deux pour les commentaires et corrections ^-^
La suite demain ou après demain ^^

D’un coup, il eut un flash, sortit de la roulotte aussi vite qu’il y était rentré et fonça dans les profondeurs de ce qui avait été jadis un vrai camping plein de charme et de chaleur ; Il s’avança vers la carcasse vieille citroene; il s’approcha du capot les mains tremblantes, le souleva, et vit, sous la roue de secours, un sac de toile à matelas qu’il reconnut aussitôt : Il les avait trouvés... Il entrepris de lire les noms inscrits et les précieux renseignements sur chacun de ses anciens amis. Oui maintenant il pourrait donner à sa vie un nouveau sens ... Il retrouverait ses anciens compagnons et reformerait un groupe comme l’avait voulu Garsh.


Il se rappelait: Eliot, Euridyce, Mars, Yun, Lidie, Cecil, Victor, Brice, et...Garsh. Tous enlevés dans leur plus jeune âge par l’homme qui en avait fait des criminels. Cet homme les jeunes gens lui vouaient un véritable culte. Mais bien des années avaient passé se « Père » protecteur était mort et dieu seul savait ce qu’ils étaient devenus. Mais il les retrouverait, oui lui, il... D’un seul coup il sortit de sa rêverie et regarda sa montre, une heure, une heure déjà qu’il rêvassait en regardant ces papiers. Il jeta un coup d’œil aux alentours craignant d’être épié même dans ce lieu désert.

Un léger début d'explication !

— vers la carcasse vieille citroene : vers la carcasse de la vieille Citroën
— Il entrepris de lire : entreprit
— des années avaient passé se « Père » : ce

Tiens, cette histoire me rappelle quelque chose...

J'attends toujours la suite !

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Eliot Gang

Taille (à 15 ans) : 1m 75
Poids (à 15 ans) : 73Kg
Date de naissance : 03/10/06

Yeux : Marrons
Cheveux : Brun clair
Français ?

Fort et violent.

A subi les programmes B et D
Faisait parti des premiers capturés
Sentiment vis a vis de sa libération : indifférence

Hobbies: Les bagarres, les casinos, et l’alcool.

Ambition : Organiser l'approvisionnement en drogue de la France à partir de l'Algérie

Contact potentiels connus :
Mère : Vivrait dans des cartiers miteux de Paris, le battait, serait amputé du pouce de la main gauche. M'a conseillé de contacter un certain Louis Black résident au 54 rue … à Alger...

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Le lendemain matin, après s’être observé attentivement dans une glace, il se décida à agir, regarda une dernière fois la première fiche, et s’apprêta à partir. Il n’avait guère de bagages... Juste son arme, qu’il dissimula dans son jean noir, et une boite de munitions dont il vérifia le contenu : seulement huit balles il faudrait en racheter au plus vite ! Il se dirigea vers la porte, vérifia une dernière foi qu’il ne laissait rien d’utile derrière lui, un couteau alla rejoindre les munitions dans ça poche, et il partit enfin…



(je ne suis pas du tt satisfait de la fiche mais bon)

Le suite signalétique , je trouve cela bizarre ! Pourquoi ne pas intégrer les informations dans le récit au fur et à mesure ?

— Yeux : Marrons : Marron
— Contact potentiels connus : Contacts
— dans des cartiers miteux : quartiers
— serait amputé du pouce : amputée
— une dernière foi : fois

Merciii
Pour la (les car je compte en mettre d'autre) fiches... elle ne convien pas je suis d'accord néanmoins je préférerai garder le concept (elles sont censé être les fiches trouvées par Stris et écrites par Garsh
par contre elle manque de réalisme... Si quelqu'un à une idée (de modèles) de fiches genre fiches de la police dont je pourrai m'inspirer je suis preneur ^_^


et la suite :

Stirs s’était maintenant assis sur la banquette arrière d’un des wagons de deuxième classe du train presque désert en partance pour Marseille. Il ne s’inquiétait pas de l’approche du contrôleur car, comme tout bon voyageur, il avait payé son billet dépensant ainsi près d’un quart de ses économies. En attendant l’arrivée du contrôleur, Stirs essayait de saisir la conversation de deux intrigants voyageurs assis quatre sièges plus loin . Leurs tenues déjà avaient tendances à attirer le regard : le premier portait un chapeau à larges bords style cow-boy, un pantalon en velours beige et un long manteau qui ne dépareillait pas avec l’ensemble . Cet homme avait allongé ses jambes sur une banquette vacante maintenant occupée par ses bottes typiquement américaines, et semblait tout à fait à l’aise de fumer son gros cigare juste à côté de l’écriteau « espace non-fumeur ». A coté de lui un petit homme bouffi se pavanait dans un grotesque costume finement rayé noir et blanc qui se voulait élégant, mais au quel il manquait la cravate, et le chapeau négligemment posé sur le bord de la banquette par son propriétaire était tombé par terre. Le petit homme se levait de temps a autre pour regarder sa montre et accessoirement ouvrir la fenêtre puis prendre une grande bouffée d’air frais. Assit, il sortait généralement son téléphone portable Qu’il regardait fixement comme si ça pouvait accélérer un hypothétique appel. De l’autre main ou plutôt de l’autre bras il serrait une petite mallette noire qu’il ne semblait près à lâcher à aucun prix...

Enfin le contrôleur arriva et Stirs mit cinq bonnes minutes à retrouver le billet qui avait mystérieusement quitté son portefeuille pour se retrouver au fond d’une des poches de son pantalon.

Les cinq minutes passées Stirs se rendit compte que l’homme en costume avait reçu son coup de fil et était maintenant absorbé par une conversation téléphonique . Pendant ce temps une jeune femme brune aux cheveux noirs, qui tenait dans ses bras un bébé qui pleurait, avait quitté le wagon gêné par la fumée du cigare de ``l'américain’’. Le contrôleur étant partit, il ne restait plus dans le wagon que Stirs et les deux hommes.



Je pars 10jours en Indonésie donc je ne vais plus pouvoir poster pendant un moment...
Si certains veulent faire des pronostiques quant à la suite de l'histoire pendant ce temps je suis preneur

A bientôt et merci encore

Pronostique : Il va sûrement réussir à retrouver ses anciens potes au prix de grandes aventures peut-être, mais pourquoi et que feront-ils après ?

- levait de temps a autre pour : à
- Assit, il sortait : Assis
- avait quitté le wagon gêné par la fumée : quitté le wagon, gênée

rebonjour tout le monde
je rajoute la suite :


***

« Un immense tunnel et du noir, rien que du noir...

Non je vois une lueur à l’horizon. C’est la fin du tunnel ! Je retourne à la vie Stirs, traître, où peux-tu bien être ? »

***

Son coup de fil terminé l’homme au costume sembla se détendre. Il échangea quelques mots avec le ``cow-boy’’ . Et celui-ci sortit un sac de toile qu’il lui donna. En retour il se sépara enfin de sa précieuse mallette. Dans l’esprit de Stirs tout devint clair et il décida de tout faire pour profiter de la situation . Une demi-heure plus tard l’occasion tant attendue se présenta : L’homme au cigare se leva et se dirigea vers les toilettes à l’arrière du wagon . A son tour Stirs se leva et prit la direction opposée. Arrivé à l’extrémité du wagon il fit bruyamment claquer la porte et s’approcha à pas de loup de l’homme au costume . Arrivé dans son dos il enleva son blouson, et s’en servit pour étouffer les cris puis sa victime. Sa première cible neutralisée, il fouilla l’endroit et y trouva un portefeuille bien rempli ainsi qu’un revolver équipé d’un silencieux ; Bien plus que ce qu’il avait espéré, il renfila son blouson dissimula l’arme dessous et s’avança à son tour vers l’arrière du wagon. Et se trouva nez à nez avec le « cowboy » ! Il avait mal évalué le temps. Sa nervosité le trahi et son adversaire se rendit conte que quelque chose n’allait pas. Stirs, acculé, n'eut que le réflexe de sortir une arme et de tirer. L’autre tomba mais tenta de se redresser et d’articuler un mot. Stirs tira une seconde foi et l’homme s’effondra pour de bon. Stirs se retourna, heureusement il était tombé sur le silencieux et personne ne s’était aperçu de ce qui venait de se passer à l’arrière. Stirs récupéra le second portefeuille ainsi que le sac qui, comme il le pensait, contenait de la poudre blanche. Puis il commença la « mise en scène » : Installa le mort en face de l’homme au costume noir et blanc toujours inconscient, vérifia qu’il n’y avait pas de trace de sang par terre, essuya les empruntes et remis le silencieux entre les mains de l’homme assommé. Pour parfaire la mise en scène il mit le sac de coke entre les mains de l’ex « cowboy » puis mit la main gauche de l’homme au costume rayé sur la poignée d’alarme. Un dernier coup d’œil aux alentours pour voir s’il ne voyait pas la mallette qui devait contenir l’argent, et Stirs tira l’alarme, cassa une vitre d’un coup de coude, attendit que le train ralentisse et partit par la fenêtre brisée. En sautant hors du wagon il entendit des passagers crier, le bébé de la femme en noir se remettre à pleurer… Mais tout cela fut bien vite oublié car, en sautant, Stirs eu aussi un flash : C’était évident, l’homme n’était pas allé si vite aux toilettes, il y avait caché la mallette. Mais c’était trop tard pour regretter, et il ne lui restait plus qu’à espérer que les deux portefeuilles étaient bien remplis. Car ces acrobaties ne lui vaudraient certainement pas une bien grande récompense.

Hop j'enchaine avec la suite :


***

« Tu as encore tué Stirs. Le rédempteur arrive. J’arrive. Et tu vas payer tes crimes, touts tes crimes. Même ceux qui te sont inconnus. »

***

Fin du chapitre 1






Chapitre 2 : Eliot




Trois jours plus tard Stirs arriva enfin à Marseille, finalement il avait fait du stop : c’était plus économique et de toute manière il n’était pas pressé. Une question le tourmentait maintenant: Valait il mieux entrer clandestinement en Algérie ou se comporter en parfait touriste et ainsi dépenser le butin du train. Désireux de se faire désormais le plus discret possible Stirs opta pour la seconde solution.


…................................................

Eliot était heureux, sa vie, jusque là n'avait pas été facile mais il venait tout juste d'arriver en Algérie et pensait avoir enfin trouvé l'endroit parfait, bien sur il avait conscience de ne pas pas exploiter ses capacités: on en avait fait, il le savait, une véritable machine à tuer mais son maître n'était plus. A quoi bon continuer alors que le bonheur relaxant qu'il éprouvait maintenant valait les décharges d'adrénaline qu'il avait pu ressentir lors de ses précédents "jobs"... Du moins c'est ce qu'il se disait... En fait Eliot n'avait pas encore renoncé à ces décharges mais, depuis qu'il travaillait dans un hôtel de luxe de (nom de ville à trouver), il pensait avoir retrouvé cette sensation dans une toute autre activité. Eliot jouait: il ne jouait pas aux cartes, aux machines à sous ou à quelque qu'autre jeu que pratiquaient son ancien patron ou ses défunt hommes de mains... Non Eliot jouait à quelque chose de plus noble, depuis qu'il s'occupait de la sécurité du Palacio il jouait aux échecs, oh il n'était pas très doué et il le savait mais il progresserait il en était certain depuis qu'il avait éprouvé, grâce à ce jeu, les sensations qu'il ne pensait retrouver en fuyant vers l'Algérie... Ça n'était pas arrivé bien souvent, en fait ce n'était arrivé qu'une foi, la foi ou il avait cru vaincre le vieil homme qui lui avait appris à jouer. Bien sur ça n'avait pas duré, bien sur le coup d'après la désillusion était arrivée, bien sur il avait perdu mais il en était sur, un jour...

Depuis qu'il travaillait au Palacio, Eliot jouait aux échecs.

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1er chapitre
— Sa nervosité le trahi et : trahit
— Stirs tira une seconde foi : fois
— touts tes crimes : tous

2ème chapitre
— Valait il mieux entrer : Valait-il
— bien sur il avait conscience : sûr
— ces décharges mais, depuis qu'il travaillait : virgule avant mais
— quelque qu'autre jeu que pratiquaient : quelques autres jeux
— qu'une foi, la foi ou il avait cru vaincre : qu’une fois, celle où il

Ca faisait longtemps que Stirs n'avait plus voyagé...
En fait son dernier voyage datait sûrement du jour de sa libération.
Stirs maîtrisait 6 langues et en connaissait plus que superficiellement 7 autres mais ne parlait un mot d'Arabe c'est donc avec de l'appréhension mêlée à de la curiosité qu'il arriva en Algérie.
Si Stris avait nourri le projet, comme à son habitude, de se fondre discrètement à population locale, les chauffeurs de taxis et autres vendeurs à la sauvette lui auraient immédiatement fait réaliser qu'avec sa peau claire et ses cheveux teinté, il était un touriste. Et ici, les touristes, avant d'être des hommes, étaient de gros portefeuilles mobiles qu'il fallait savoir délester d'un maximum d'argent. Pourtant la foule qui criait et se massait autour de Stris avait bien peu de chance d'obtenir quoi que ce soit de lui, s'étant résolu à vendre son flingue avant de quitter la France il avait de l'argent mais n'avait pas l'intention d'abandonner ne serait-ce qu'un dinar pour l'instant. Sa seule préoccupation était d'arriver à Alger centre, d'y trouver un endroit ou dormir sans trop se faire arnaquer et d'aller voir son contact.
Sous prétexte d'avoir perdu, bagages et compagnons de voyages et de chercher des renseignements, il sympathisa avec un français qui semblait attendre quelqu'un, les profiteurs s'attaquaient moins facilement à deux homme entrain de discuter qu'a un touriste errant seul dans le hall et l'homme était, du coup, d'autant plus heureux d'avoir de la compagnie. Après quelque minutes Stris compris qu'il avait touché le jack-pot, Damien, c'était le nom de son interlocuteur, travaillait depuis 1 an comme ingénieur ici, il avait une voiture et attendait deux amis qui venaient lui rendre visite, il restait donc une place libre que Stirs n'eut même pas à quémander puisque Damien insistait pour l'emmener dans une auberge de jeunesse de sa connaissance...

Hiii ! faut pas changer le nom du personnage en court de route !

— Si Stris avait nourri : Stirs
— et ses cheveux teinté : teintés
— un endroit ou dormir : où
— Après quelque minutes Stris compris qu'il avait touché le jack-pot : quelques, Stirs, jackpot

oups sorry on a rien vu ....

toujours merci pour les nombreuses corrections ^^

la suite :

ici devrait s'intercaller une fiche vu que je ne sais toujours pas vraiment quelle forme lui donner je la réduis au maximum
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Fiche Eurydice Loinet (nom temporaire)

appeler le : 06 12 34 22 00

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Jour et nuit Eliot lisait. Pourtant quelques années plus tôt même payé c'est le genre de choses qu'il aurait refusé... Ses lectures avaient un thème, les échecs, mais plus vraiment de but, il lisait pour apprendre, il lisait pour progresser, il lisait pour se cultiver, il lisait car il y prenait bien plus plaisir qu'a la compagnie de ses semblables.

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En voyant le prix d'une chambre Stirs se dit que c'était cher payé mais que ça ferait l'affaire pour une nuit... Cela fit l'affaire pour deux, puis une troisième, les journées s'enchaînaient et Stirs était incapable de trouver son contact. Pour cela il ne disposait que d'une adresse et d'un nom.
Ce n'est qu'après avoir passé près de 10 jours avec Damien et ses amis à jouer au touriste dans Alger, ses ressources fortement entamées, ayant pratiquement abandonné, que finalement il rencontra l'homme qu'il était venu trouver. Son contact ne savait rien ou presque, oui il connaissait Eliot, connaissait ses projet d'installation en Algérie, sa mère lui avait même annoncé son arrivée prochaine il y a un an mais depuis, plus rien. Tout ce qu'il pouvait proposer à Stirs c'est un job au Palacio de (nom de ville à trouver). Il connaissait le responsable de la sécurité, ce serait facile de l'y faire embaucher, ce n'était pas une mauvaise idée, Eliot avait parlé de s'installer là bas, au mieux il retrouverait peut être au pire ce serait une occasion de se refaire avant de repartir en France.

***

« Tu laisses bien des indices derrière toi Stirs, si je n'effaçais tes traces d'autres que moi te retrouverait sans tarder mon ami... »

***

J'ai abandonné ma lecture en cours de route, je lierai la suite plus tard.

Je trouve ton rythme beaucoup trop rapide ! Les scènes s'enchaînent sans vraiment de transitions, je ne comprends pas vraiment la logique entre les différentes parties etc...
Bref, ça va trop vite : c'est dommage parce que ton histoire a l'air intéressante et peu donner une bonne trame. Peut-être que si tu essayais de prendre plus de temps pour les descriptions et les ressentis du personnage ça passerait mieux.
Cela reste un avis.

je serai intéressé de savoir ou tu t'es arrêté et plus précisément quelle scène te sembles arriver comme un cheveux sur la soupe

Pour le moment je vois 4 scènes :
- le meurtre
- la recherche des "documents"
- la scène du train
- l'Algérie (mais je pense que tu n'as pas été jusque là)

je vais reprendre le premier chapitre (peut être en supprimant la scène du train ? ) et en rajoutant des descriptions. Détailler davantage les ressentis de Stirs me semble difficile dans la mesure ou une partie significative du texte me semble déjà être consacrée à cette description sauf peut être la rêverie sur "père".

Sinon qu'est-ce qui t'a attiré/intéressé dans l'histoire ?


En tout cas merci beaucoup à toi pour cet avis

La suite au passage :


Pour Stirs la vie au Palacio était agréable, il faisait beaucoup d'heures mais la paye était étonnamment élevé, il pouvait profiter des équipements de l'hôtel, le job était
facile... Le seul problème était l'ennuie. C'était la première foi qu'il travaillait légalement et ce n'était pas désagréable mais l'inactivité le faisait réfléchir, son enquête ressemblait de plus en plus à des vacances. Ce voyage était un échec, un échec doux et ouaté mais un échec total. Mais il n'abandonnerait pas, à la fin du moi il retournerai en France et mènerait l'enquête plus intelligemment.

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Quant, Eliot était devenu responsable de la sécurité du Palacio il avait d'abord cru que Louis Black lui proposait un job a la hauteur de ses exploits passés, il avait surpris les gardes en les entraînant puis en organisant très précisément la surveillance de l'hôtel... Puis avec le temps il avait compris à quel point tout cela était inutile. Ici, et en dehors de l'arrivée de quelque VIP, la sécurité consistait à renseigner les clients et à s'assurer que les mendiants ne pénétraient pas dans l'enceinte de l'hôtel.

Correction de vendredi 8

— qu'a la compagnie : à
— connaissait ses projet d'installation : projet
— de s'installer là bas : là-bas
— au mieux il retrouverait peut être : il le retrouverait peut-être
— d'autres que moi te retrouverait sans tarder : retrouveraient


c'est vrai que l'histoire est assez compartimentée, mais j'arrive à suivre !

correction d'hier

— la paye était étonnamment élevé : élevée
— Le seul problème était l'ennuie : l’ennui
— un job a la hauteur : à

.............................................................


La secrétaire examina attentivement le jeune homme : Plutôt beau gosse, cheveux décolorés, piercing à l'arcade et à l'oreille, musclé mais trop sec pour faire réellement peur... Il portait son costume d'agent de sécurité de manière particulièrement négligée et elle se demandait bien pourquoi on l'avait engagé ici ... Elle avait entendu dire qu'il ne parlait même pas arabe...
"qu'est-ce que tu veux ?" lança t'elle dans la langue locale pour vérifier ses suscitions.
Stirs ignora les paroles de la secrétaire et entra dans le bureau du Boss.
- Eliot Gang tu connais ?
- Pas personnellement mais il a travaillé ici...
Stirs marqua une pause, il le savait déjà mais espérait encore.
- Il est ou maintenant ?
- Mort... suicidé.
- Pourquoi ?
- Comment veux tu que je sache, je l'ai vu deux foi, il travaillait bien, on m'a dis qu'il était déprimé, il ne parlait à personne...
- Quant ?
- Il y a six moi... Le 15 mars je crois.
Alors que Stirs allait repartir l'homme lui lança
- C'était un ami à toi ?
- Il y a longtemps
- Je suis désolé
Une nouvelle foie Stirs s'avança vers la porte. Puis il changea d'avis fit brusquement demis tour attrapa un stylo sur le bureau l'appuya sur la carotide du directeur tandis qu'il lui tordais violemment le bras de l'autre main et lui demanda ce qu'il voulait savoir. L'autre lui dis tout et Stirs s'en alla...


.............................................................



Il se préparait, il allait entamer une nouvelle partie d’échec, cette foi ci c'est sur il gagnerait, Le 15 Mars 2028 Eliot était heureux.




***

« Aujourd'hui j'ai tué pour toi Stirs, pas pour te protéger, mais pour prolonger ta vie et mon future plaisir. »

***



Fin du chapitre 2

et pause pour amélioration du chapitre 1

encore quelques fautes !

— "qu'est-ce que : Qu’
— lança t'elle : lança-t-elle
— vérifier ses suscitions : suppositions ou suspicions
— Il est ou maintenant : où
— on m'a dis qu'il : dit
— Quant ? :
— Il y a six moi : mois
— Une nouvelle foie Stirs : fois
— brusquement demis tour : demi-tour
— qu'il lui tordais violemment : tordait
— L'autre lui dis tout : dit
— cette foi ci c'est sur : fois-ci, sûr
— mon future plaisir : futur