Ghost Friend

J'aime autant vous prévenir, il risque d'y avoir des erreurs de formulation, d'orthographes ou autre dans mon texte.

Sous le ciel noir d'un matin de septembre, sous la brise légère, j'étais assise là seule sur un banc ... non ... j'étais entourée de mes meilleures amies mais c'était comme si j'étais seule. L'explication à tout cela ... je ne pensais pas comme elle et du coup je me sentais exclue ? ... ou bien simplement j'avais changé au point de ne plus être moi-même. Je dirais les deux... que faire ? Tiens, l'une d'entre-elles racontais quelque chose de drôle. Nos rires fusèrent mais parmi eux, le mien sonnait faux. Personne ne remarqua, tant mieux car j'avais perdu l'habitude de rire sincèrement. Tant de gens souffraient alors que moi je m'amusais, je culpabilisais ... de quoi ? Encore une question sans réponse, une de plus dans ma liste. Tout ce que je savais, c'était que j'étais devenu une poupée sans âme avec une apparence trompeuse, un mort-vivant traînant désespérément un corps inutile.

Salut, bon commençons par quelques remarques sur la forme, je ne chipoterais pas sur l'orthographe :

primo il y a un probleme au niveau des temps de tes verbes : tu mélange passé et présent dans la même phrase.

exemple : "je ne pensais pas comme elle et du coup je me sens exclue ?"

Sinon, la une faute de syntaxe :

"Nos rires se fusèrent" Il ne faut pas mettre "se". Ce probleme de fautes d'usage de certains mots est assez courrant en terminal litteraire parceque ces dernier veulent ce la petter en utilisant des mots qu'ils viennent d'apprendre en cours, mais qu'ils ne connaissent pas vraiment... parceque connaitre le sens d'un mot ce n'est pas suffisant pour écrire avec, il faut connaitre sa musique, il faut sentir le mot et sentir sa syntaxe... Bref tout ça (et tout ça c'est plus que tu le crois parceque j'ai eu un probleme de navigateur et j'ai donc du taper deux fois ce que tu lis...), tout ça pour dire que je te conseil ne n'utiliser que des mots qui te sont déja bien familier et de lire beaucoups pour devenir familiere avec plus de mots (c'est la seule vraie bonne solution pour enrichir son vocabulaire et améliorer son style).

Sinon, tu est sûre que ton texte a sa place dans la rubrique fantasy ? Pour rapelle la fantasy ça se passe dans un monde immaginaire, avec des choses extra-ordinnaire (magie et tout).

Enfin, c'est un peu court pour se faire une idée sur le fond.

Difficile de commenter cinq lignes, mais oui ce qui choque au premier abord, c'est le mélange de temps. C'est la première chose qu'on remarque, et ce que tu dois corriger en premier.
Quelques erreurs de vocabulaire ensuite. Comme a dit le charmant chevelu au dessus, contente toi d'utiliser des mots que tu connais, ça ne sert à rien de se compliquer la vie pour faire joli.

Sinon, on situe bien la scène et les émotions de la jeune fille. On comprend le message que tu veux transmettre. A quand la suite ?

Merci d'avoir lu et commenté ( ça m'aide ) .

Oui c'est vrai je fais des fautes de temps , j'en fais souvent d'ailleurs !
Et pour l'orthographe, il faut que je m'améliore !
Mais merci encore !

Sinon, disons que par la suite, il y aura l'apparition d'un fantôme , ça peut compter dans le fantasy ??

Nan, si il y a du surnaturel dans le monde réel c'est du fantastique ^^ (envoie un mp à niko pour lui demander de déplacer le sujet)

Ah d'accord ! Merci ^^ .

Je verrais bien ce récit au présent, pour rentrer un peu plus profondément dans la tête de l'héroïne... à part ça c'est court et j'attends la suite pour me faire une idée.

Voici le suite de l'histoire ( pas si terrible ) :



Chapitre 1 : Solitude

This is a place in your heart and I know what… Je me précipitai pour éteindre sur le champ ce maudit réveil. Encore une journée qui s’annonçait sans intérêt. Je n’avais aucune envie de me lever, rien que de penser à la journée lassante et monotone qui m’attendait, je voulais me rendormir. Seul bémol, ce qu’on appelle « les parents » et « le devoir » m’en interdisaient. Je poussais un soupir en m’habillant et descendis péniblement les vingt-trois marches de l’escalier en baillant aussi gracieusement qu’un hippopotame. Je n’avais pas envi mais du tout d’aller au collège, et encore moins de vivre. A quoi cela sert de vivre ? Je pouvais mourir, rien ne me retenait, j’avais déjà perdu tout ce que j’avais gagné, et puis une personne de plus ou de moins cela ne changeait pas grand-chose, nous ne sommes que des grains de sables à l’échelle planétaire. Mourir …. Aujourd’hui…Demain… Dans un an, quelle était la différence, du moment que cela atténuerait mes souffrances, why no’t ?
Ting. Le bruit du micro-onde qui indiquait la fin du réchauffement de mon bol de lait me tira de mes obscurs pensées. Impossible de mourir ! Bien que j’étais tentée, cela ferait de la peine à mes parents, ils m’avaient donné la vie donc je devais vivre pour eux, que ça me plaise ou non. J’observais la vapeur qui montait en volutes au dessus de mon bol, c’était remarquable, on aurait dit des esprits qui montaient au ciel…esprits…ciel….je n’avais plus faim, tans pis, je renversais toute la quantité de lait dans le lavabo. Ni vu, ni connu.
Je quittai ma maison et partis prendre le tramway qui se présentait devant moi pour aller à l’école.





La première, une fois de plus j’étais arrivée la première. Je consultais ma montre : sept heures trente-deux, effectivement, il était encore trop tôt mais c’était une habitude chez moi d’arriver en avance. J’attendais seule perdue dans mes pensées jusqu’à ce qu’une voix familière me ramenait sur terre :
« Coucou Ami, me salua Wendi, ça va ?
- Oui et toi ?
- Normal mais les vacances me manquent, ça fait que deux semaines qu’on est rentré.
- Eh oui ! »

A ces vacances … inoubliables… je me souviens encore, l’an dernier, en quatrième, je ne voulais absolument pas quitter l’école … cependant on ne pouvait pas dire que j’avais passé de mauvaises vacances dans un hôtel resort à cinq étoiles avec une plage privée, un buffet à volonté, un beau temps …. Mais même si c’était des vacances de rêve, je ne pouvais pas en profiter. Quelque chose m’en empêchait … ces deux poignards implantés dans mon cœur.
N’y pensons plus. La douleur s’agrandissait quand je la rappelais. De plus, il ne fallait sous aucun prétexte que l’on découvre ma face cachée, après tous ces efforts que je fournissais pour faire semblant d’être heureuse, personne ne devait percer ma faiblesse.

D’autres arrivaient petit à petit, j’étais moins seule. Enfin techniquement parlant. Je discutais en parlant de tout et de rien avec une allégresse anormale, quelle excellente actrice j’étais !

Les cours débutèrent, on commença par l’allemand et l’anglais. Super la journée, je ne détestais rien de plus (niveau scolaire) que les matières de langues. Je regardais les minutes passer en attendant la cloche qui annonçait la récréation. Lorsqu’elle arriva, je rejoignis immédiatement mon groupe d’amis. Nous étions unie comme les doigts de la main et nous nous étions même promis de vivre un moment de notre vie ensemble, pourtant, je me servais de ce prétexte pour me sentir moins seule. J’étais certaine que si je déballais tous mes doutes et mes questions, elles me diront, pourquoi je me cassais la tête à tout le temps réfléchir et à penser. A quoi cela servait d’être intelligente, la première de la classe, des troisièmes si personne ne pouvais me comprendre ? Incomprise étais-je ou incompréhensible ? Même moi j’avais du mal à comprendre. A la fin de la récréation, j’atterrissais sur Terre, j’avais la capacité (si on appelait cela une capacité ) de rêvasser pendant des heures ou au moindre petit truc et être complètement déconnectée mais aussi revenir de la même façon. Cela donnait une explication à mon étourderie mais surtout mon problème de concentration.

Pas mal, t'es dans le même délire "jeune femme déprimée à tendance suicidaire" que dans ma nouvelle "prisonnière", on devrait collaborer !

Ça commence bien, mais après ça se relâche. Des fautes d'orthographe apparaissent, des étourderies (je m'en foutis, lange...), mais rien qu'une relecture ne saurait corriger.
Pour moi, le seul gros défaut de ton texte, ce sont les descriptions des amies de ton personnage. Je sais pas... c'est long, ça n'a que peu d'intérêt et le lecteur est tenté de sauter cette partie.
Des erreurs de temps aussi. Passé simple, imparfait, quand on écrit à la première personne, les erreurs ne pardonnent pas. Je mangeai, passé simple. Je mangeais, imparfait. Conjugue dans ta tête à la troisième personne pour être sûr du temps à utiliser.

Sinon, le style n'est pas très profond, mais ça ne dérange pas du tout. Ça colle avec la narratrice. On sent bien l'adolescente qui en a marre et qui réfléchit un peu trop ! Évite juste de commencer le récit trop vite. Je n'avais pas envie d'aller à l'école, et encore moins de vivre. Ça va peut être trop vite, la deuxième partie de la phrase est sans doute trop forte tout de suite.
Et il y a le "commençâmes" qui choque par rapport au reste du récit. Oui, c'est la bonne conjugaison, mais à ta place j'aurai mis on commença, tout simplement. Rester dans le même style, ne pas chercher les beaux mots. C'est une ado qui raconte, est-ce que tu dis nous commençâmes toi ?

Merci d'avoir lu et pris le temps de commenter!

Oui, tu as raison, il faut que je fasse davantage plus attention aux fautes d'orthographe et de temps !
Quant à la description, je vais la supprimer et je ne pense pas avoir un style particulier . C'est plutôt simple et banal .
Sinon c'est vrai, j'ai tendance à vite rentrer dans le vif du sujet tout de suite ... mon professeur de français me l'avait dit l'an dernier . On va dire que je n'explique et détaille pas assez .

Sinon merci encore, je vais essayer de corriger mes erreurs .