300 miles

L'espoir est l'envers de la mort.
Jean-Paul Filion


Il est six heures.
Chambre 207.
Le lampadaire est allumé.

L'homme est assis sur le côté de son lit.
Il a les bras sur les genoux.
Le dos droit.
Les doigts à plat.
Le regard fixe.

Il se baisse.
Il met ses mains sous le matelas.
Il en extrait qulque chose.
Un sac noir.
Il le pose sur le lit.

L'homme se redresse.
Il se dirige vers les toilettes.

A l'intérieur, il s'approche de la baignoire.
Il tire le rideau en plastique.
Il se baisse et sort un fusil.
Un fusil à pompe avec un silencieux.

c'est noir. il y a quelqu'un derriere le rideau ou il veux se suicider?

Non, tu n'est pas sur la ligne...
Le personnage ne veut pas se suicider ou se faire tirer dessus par un inconnu ...
Attend la suite de l'histoire...

J'ai pas compris ta remarque, Rally ! Il n'y a pas de raison qu'il se suicide. Il a pris le fusil à pompes et... ?

Tu sais quoi, Vicot ? J'adore ton style. C'est original, et tu sembles maitriser ta technique à merveille.

Évite seulement d'abuser sur les :
Il en extrait un sac.
Un sac noir.

Il se baisse et sort un fusil.
Un fusil à pompe.
Un fusil à pompe avec un silencieux.

Utilise la répétition avec parcimonie. Sinon, ça va lasser le lecteur, voir l'énerver...

Et fusil à pompes avec un silencieux ? Pas sûr que ça existe ! Je ne m'y connais pas en armes à feux, mais je ne pense pas qu'on puisse visser un silencieux sur le canon d'une arme pareil.

Je lirai la suite. C'est prometteur en tout cas. Un certain nombre de gens ne risquent pas d'apprécier de tels tournures de phrases cependant ( toi qui connais la Route, tu dois savoir que ce chef d'oeuvre a été énormément critiqué à cause de l'abondance de "et", de répétitions de gestes, du manque d'action... tout ceux qui innovent sont exposés à la critique, prend garde !).

Merci Ilàan, je vais continué sur ce style, mais j'ai du mal à ne pas fire de répétitions... :|
Mais je vais quand mème essayé pour voir...
Et pour répondre à ta question sur le fusil à pompe avec un silencieux, ça existe...
Si tu veux en savoir plus, copie cette adresse sur youtube:
Silencer Research 410 Shotgun Silencer

Alors moi j'aime les répétitions mais j'ai quand même quelques critiques notament comme Ilàan sur

Citation :

Il en extrait un sac.
Un sac noir.

et

Citation :

Un fusil à pompe.
Un fusil à pompe avec un silencieux.

ce genre de répétition, surtout si tu le met en italique doit apporter quelque chose. or un sac "noir" oui bon d'accord ; un fusil à pompe "avec un silencieux" bah oui bon ok... je ne sais pas si je suis très claire, mais cela n'apporte rien. La répétition de ce genre doit attirer l'attention sur quelque chose de particulier, d'autant plus si en italique. Mais là le "noir" et "avec un silencieux", bah je ne trouve pas que cela justifie la répétition + l'italique.

Pareil pour

Citation :

Le regard droit.
Les doigts à plat.
Le regard fixe.

Change l'un des deux "regard" parce que là le schéma est bon, mais deux fois avec "regard" et qui plus est droit = fixe, met autre chose comme par exemple "Le dos droit, les doigts à plat, le regard fixe"

En fait morange, si j'ai mit en italique un sac noir et un fusil à pompe avec un silencieux, c'est que se seront des objets important dans la continuité de l'histoire... ::rolling::

Et pour "le regard droit", je vais changer avec "le dos droit", mais je sais pas comment on fait pour réctifier son texte après l'avoir envoyer...

il y a l'onglet éditer en orange à droite de ton message

mais je persiste pour la répétition et l'italique. ça fait trop. utilise l'un des deux, parce que pour moi les deux sont vraiment trop, ce sont peut être des objets important par la suite, mais là ce que tu met en avant c'est "noir" (ce qui en soit est tout à fait banal) et non "sac" et "avec un silencieux" (ce qui est moins banal mais tout de même) alors que ce que je pense tu veux mettre en avant c'est le sac et le fusil

C'est bon, j'ai réctifier le texte grace à l'icone "Editer"...
Merci, morange...

Ce matin, il fait beau.
Le soleil rayonne sur la ville.
Il fait chaud.

Le Shérif est là.
Il est assis sur un tabouret.
Il attend son café.

Une femme s'approche.
C'est la serveuse.
Elle pose le café.
Il est noir.
Ca vous fera deux dollars, Shérif...
Tiens, Mary...
Il lui tend un billet de deux dollars.
Merci, Shérif...

Il prend sa tasse.
Il en boit une gorgée.
C'est chaud.

Sa tasse est vide.
Il lit le journal.
Il regarde sa montre.
Il le repose.
Il se lève.
Il pose un billet d'un dollar et sort.

Ilàan a écrit:

J'ai pas compris ta remarque, Rally ! Il n'y a pas de raison qu'il se suicide. Il a pris le fusil à pompes et... ?

Tu sais quoi, Vicot ? J'adore ton style. C'est original, et tu sembles maitriser ta technique à merveille.

Évite seulement d'abuser sur les :
Il en extrait un sac.
Un sac noir.

Il se baisse et sort un fusil.
Un fusil à pompe.
Un fusil à pompe avec un silencieux.

Utilise la répétition avec parcimonie. Sinon, ça va lasser le lecteur, voir l'énerver...

Et fusil à pompes avec un silencieux ? Pas sûr que ça existe ! Je ne m'y connais pas en armes à feux, mais je ne pense pas qu'on puisse visser un silencieux sur le canon d'une arme pareil.

Je lirai la suite. C'est prometteur en tout cas. Un certain nombre de gens ne risquent pas d'apprécier de tels tournures de phrases cependant ( toi qui connais la Route, tu dois savoir que ce chef d'oeuvre a été énormément critiqué à cause de l'abondance de "et", de répétitions de gestes, du manque d'action... tout ceux qui innovent sont exposés à la critique, prend garde !).

Ah non sur le coup je pensais qu'il voulait se tuer ou qu 'il voulait tuer quelqu'un se trouvant derriere le rideau ...

C'est bien écrit en tous cas !!