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 Orf, la naissance d'une Déesse

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MessageSujet: Orf, la naissance d'une Déesse   Orf, la naissance d'une Déesse Icon_minitimeSam 6 Oct 2012 - 17:27

Je sais que je commence par des dialogues et que c'est peu courant. (En plus je suis incapable de faire du "descriptif" qui vaille la peine d'être lu.

J'ai lu les conseils sur les textes trop longs mais je n’arrive pas à trouver un endroit judicieux où couper le texte de mon premier chapitre.

Voici la première partie du chapitre 1 : L’attaque des zombres.

-----------

La présence des zombres sur la place du marché faisait l’objet de toutes les conversations.

- Viens.

- Non, si Naty apprend cela, nous allons être sévèrement punies.

- Tu dis des bêtises, jamais elle ne saura que nous avons été au marché. Comment veux-tu qu'elle l'apprenne ?

- Naty sait tout, à chaque fois.

- Tant pis pour toi j'irai toute seule.

- Non, je viens avec toi.

Les deux jeunes filles se glissèrent discrètement de leur lit pour éviter que le bruit n’attire l’attention de Lisy en charge de la garde du dortoir cette nuit là.

Cependant si elle dormait déjà, l’occasion était toute trouvée, si toutes les filles se réveillaient en même temps et décidaient de prendre la poudre d’escampette, Lisy ne se réveillerait pas tant elle avait le sommeil lourd.

Un long couloir découpé en compartiments de douze cellules s’étendaient sur plus de cinquante-deux toises . Elles traversèrent de longs couloirs sombres et déserts Seule la lumière des deux lunes à travers des petites fenêtres, leur permettaient de se diriger dans les dédales de couloirs et de portes closes. Depuis plusieurs jours des marchands venus du continent s’étaient installés sur la place du marché près du port. La jeune princesse avait appris par un groupe de jeunes garçons qu’un spectacle de bêtes sauvages était présenté chaque soir.

Bien entendu en tant que Princesse héritière il lui était interdit de sortir de l’enceinte du Temple et encore moins de s’aventurer dans les bas-fonds de la cité. Sans parler de la punition dont elle avait écopée.

Elle n’avait aucune chance d’assister à l’un de ces spectacles car il aurait fallu qu’elle invente une maladie qui la dispense de dîner, de trouver un moyen de sortir alors que beaucoup de Frères et de Sœurs vaquaient encore à leurs occupations. Mais y aller alors que tout le monde dors, l’idée ne la quittait plus.

Avec Lisy, ce serait plus facile. Il faudrait partir dès la nuit tombée. Le port D’Anvark n’était pas très loin. Les bateaux de deux voire trois mats pouvaient entrer facilement dans la ville tant le lit du fleuve Kalak était large et profond. C’est cette particularité qui avait permis à Kémir de devenir un grand pôle commercial d’une immense renommée. Et donc un endroit où tout le monde pouvait faire de bonnes affaires plus ou moins honnêtes.

Du haut de ses treize ans Dalyan était bien décidée à braver ses aînées pour voir de près le spectacle que les élèves plus âgés qui avaient le droit d’aller et venir en ville, décrivaient comme affreux, immonde, extraordinaire, époustouflant. Meordel et Kafir, deux camarades d’études avaient tout prévu : de longs manteaux à capuchons profonds en mauvaises laines pour masquer leur tenue d’étudiant du Temple avaient été cachés derrière les cuisines. Il leur suffirait de les enfiler rapidement dès qu’ils auraient réussi à échapper à la surveillance et filer directement vers le port côté nord.

Sortir de l’île était bien plus facile car les gardes du pont faisaient plus attention à ceux qui entraient qu’à ceux qui en sortaient, et l’heure assez tardive avait permis à ces acolytes de se fondre dans la masse des gens de services qui finissaient leur journée et rentraient chez eux. Aussi, après le passage des vigiles il ne leur fallut que trois quarts d’heure au quatre jeunes gens pour atteindre le lieu-dit. Très éloigné de la place du marché. Les garçons connaissaient bien la ville et surtout le port où l’été ils travaillaient sur les quais pour se faire un peu d’argent de poche à certains moment de l'année. Cela n’avait pas été très difficile pour eux de trouver le chemin malgré l’obscurité qui d’ailleurs n’était jamais totale avec Val et Hallem, les deux lunes jumelles. Le dompteur avait installé ses monstres dans un enclos avec pour seul garde un des deux soigneurs cependant les hautes palissades de bois de bunier empêchaient d’y voir à l’intérieur.

Dalyan, accroupie au côté de ses amis à quelques pas de la palissade interrogeait l’un des jeunes garçons.

- Mais comment allons-nous entrer.

- Le soigneur doit nous faire entrer. Tu as les sept sonnes ?

- Oui, mais je te préviens si je ne vois rien tu me rembourses.

Dalyan sortit sa petite bourse de sous son manteau qu’elle portait à la ceinture. Le soigneur, pour laisser entrer des visiteurs en secret demandait dix sonnes. Somme qui en soit était énorme pour de simples étudiants qui ne gagnaient pratiquement jamais d’argent. Les garçons s’étaient bien garder de dire à Dalyan qu’elle payait pratiquement pour tout le groupe mais seule elle possédait de l’argent régulièrement de par sa position.

- chut, quelqu'un approche.

Il s’agissait du soigneur Aschkimit qui avançait à pas feutrés en direction du petit groupe. Courbatu, la démarche torve, il ne s’embarrassa pas des préliminaires de la présentation. Il se baissa à son tour.

- Vous avez l'argent ?

- Oui.

- A la lueur des deux lunes, il compta les pièces une par une avant de parler.

- Suivez-moi et faites pas de bruit.

Dalyan n’aimait pas cet homme et le trouvait repoussant. Déjà l’odeur qu’il dégageait lui donnait la nausée et à sa grande stupeur, il passait régulièrement ses ongles qu’elle devinait sales dans ses cheveux roux jamais coiffés, jamais lavés pour sûrement écraser quelques parasites qui avaient élu sa tignasse pour domicile.

Une lourde chaîne entravait l’entrée de la palissade. On pouvait distinguer dans les yeux bleus de Julanne de la terreur à l’idée d’être surprise par le dompteur que l’on disait géant et monstrueux à l’instar de ses animaux tant son visage était recouvert de cicatrices et de pustules. Un jeune apprenti médecin avait même décrit sa probable maladie avec force détails comme une maladie de peau faisant que ses lèvres, l’intérieur de ses oreilles et ses paupières se couvraient de desquamation écœurantes. Julanne, assise à un banc derrière le jeune homme, n’avait pas pu terminer son repas.

- Faites pas de bruit j'vous dis.

Il les amena près d’une cage d’une demi-douzaine de toises de côté.

- Mais on ne voit rien se plaint Meordel.

- Là, elles sont couchées vous les voyez pas.

- La colère assombrit la voix du jeune homme. Crois-tu que tu vas nous voler aussi facilement gredin. Ça pourrait aussi bien être un tas de peau de chaguines des montagnes.

Meordel tenait le soigneur par le col de sa chemise crasseuse et avait bien l’intention de montrer qu’il n’était pas homme à se laisser abuser, surtout en présence de la princesse et de sa meilleure amie. Il lui serrait le cou de plus en plus fort.

- Ça va, ça va. Vous allez réveiller mon maître avec vot'raffut.

- Montre en nous plus où rend moi mon argent.

Le soigneur marmonnait on ne sait quelles récriminations mais se sentit obligé d’obéir de peur de provoquer un esclandre et ameuter l’autre soigneur et son maître qu’il craignait encore plus que les monstres. Il tapa une première fois sur les barreaux mais rien ne se passa. Il frappa une seconde fois sur l’un des barreaux qui fit un bruit un peu plus sourd. Le silence ne fut pas interrompu. Quatre paires d’yeux apparurent dans la pénombre. Rouges, profonds, malveillants. Julanne recula. Dalyan elle ne fit aucun mouvement mais sentit au plus profond d’elle-même comme une aiguille de fiel s’enfoncer dans son âme.

Personne ne le voyait à cause du manque de luminosité mais le soigneur suait à grosses gouttes. Il se grattait la tête de plus en plus nerveusement à s’en faire saigner le cuir chevelu. Jusqu’à cette nuit aucun de ses petits groupes de visiteurs clandestins n’avait voulu les voir bouger. L’odeur de pestilence, l’atmosphère chargée de peur mêlée à ce délicieux sentiment de braver les interdits avaient suffi à leur imagination. Le soigneur avait déjà reculé de quelques pas lorsqu’il avait vu les premiers yeux s’ouvrir.

Toutes les personnes qui avaient vu ses animaux les avaient pris pour un croisement d’un loup avec une hyène et le résultat de ce croisement encore croisé avec un ours tant la bête paraissait immonde et contre nature. Mais ils avaient absolument tort. Le croisement était magique. Le Maître était plus sorcier que dompteur. Et pour les tenir sous sa coupe. Il faisait appel à de puissantes incantations infligeant des souffrances psychiques et physiques insupportables à ses monstres. Seul moyen pour qu’elles obéissent et se laissent regarder par des badauds choqués et fascinés la fois par l’horreur.

- On ne voit rien. Meordel toujours dans un désir inconscient d'épater les deux jeunes filles qui les accompagnaient entreprit de soulever l'énorme barre qui refermait la grille de la cage. Le soigneur n'eut même pas le temps de crier ni de faire un geste. La première bête bondit sur la grille qui s'ouvrit violemment poussée par trois cent kilos de muscles sauvage, d'instinct animal exacerbé par des années de captivité.

Il n’y avait aucune douleur magique pour l’empêcher de dévorer tout ce qui se trouvait à sa portée.

Le soigneur lâcha la lampe qu’il avait recouverte d’un chiffon pour ne pas produire trop de lumière et qu’il tenait à la main. Elle embrasa immédiatement le tas de foin qui se trouvait là, servant à changer la litière des fauves captifs.

Cette lumière soudaine fut sa perte un deuxième zombre sortit et bondit sur lui. Il fut décapité d’un coup de dent. Une deuxième et une troisième bêtes sortirent de la cage. La seconde victime aurait dû être Julanne mais grâce aux cieux elle eut l’intelligence de s’évanouir lorsque la tête du Aschkimit avait roulé jusqu’à ses pieds. Les zombres ne s’attaquent pas aux choses inanimées. Meordel se mit à courir abandonnant son ami Kafir et Dalyan à un sort funeste. Il avait ouvert la grille, il avait été le premier à reprendre ses esprits et à se diriger dans une course effrénée vers la porte de la palissade. Les deux derniers zombres le pourchassèrent. Le petit Kafir qui n’avait que treize ans s’était interposé entre le premier zombre qui s’était échappé. Il voyait bien qu’il ne le regardait même pas. Ses yeux rouges étaient fixés sur Dalyan qui elle non plus n’arrivait pas à détacher son regard du monstre fauve. La dague qu’il avait à la main tremblait tellement qu’au premier grognement, elle lui échappa des mains. Les muscles de la bête se contractèrent imperceptiblement. Elle allait bondir sur les deux adolescents et les tuer tous les deux instantanément. Dalyan, dans un seul mouvement jeta le jeune Kafir au sol derrière elle et hurla.

Les quatre zombres s’écroulèrent, le zombre qui se repaissait de son soigneur la gueule ensanglantée, les deux autres qui s’apprêtaient à sauter sur le jeune Meordel près de la palissade et celui sur lequel la jeune Princesse avait crié. Tous étaient raides morts.
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MessageSujet: Re: Orf, la naissance d'une Déesse   Orf, la naissance d'une Déesse Icon_minitimeSam 6 Oct 2012 - 18:14

Okay, pour commencer, je pense que tu devrais faire des posts un petit peu moins longs, ce serait plus facile à commenter.

Au niveau du texte, quelques commentaires et corrections :

Citation :
La présence des zombres sur la place du marché faisait l’objet de toutes les conversations.
Les deux jeunes filles se glissèrent discrètement de leur lit pour éviter que le bruit n’attire l’attention de Lisy en charge de la garde du dortoir cette nuit là.
Je ne comprends pas, elles sont sur le marché ou ailleurs ? C’est pas très clair, je trouve

Citation :
Cependant si elle dormait déjà, l’occasion était toute trouvée, si toutes les filles se réveillaient en même temps et décidaient de prendre la poudre d’escampette, Lisy ne se réveillerait pas tant elle avait le sommeil lourd.
Syntaxe un poil embrouillée, et répétition de « réveiller »

Citation :
Un long couloir découpé en compartiments de douze cellules s’étendaient sur plus de cinquante-deux toises . Elles traversèrent de longs couloirs sombres et déserts Seule la lumière des deux lunes à travers des petites fenêtres, leur permettaient de se diriger dans les dédales de couloirs et de portes closes
Répétition de couloirs

Citation :
La jeune princesse avait appris par un groupe de jeunes garçons qu’un spectacle de bêtes sauvages était présenté chaque soir.
Précise de qui tu parles, le nom du personnage, parce je trouve que ce n’est pas clair.

Citation :
Sortir de l’île était bien plus facile car les gardes du pont faisaient plus attention à ceux qui entraient qu’à ceux qui en sortaient
Sortir de l’île fut plus facile, non ? (enfin, vu que tu continues ton récit au passé simple, ce serait plus logique)

Citation :
La colère assombrit la voix du jeune homme
Euh, assombrir une voix ?

Citation :
Le soigneur marmonnait on ne sait quelles récriminations
On ne savait

Citation :
Personne ne le voyait à cause du manque de luminosité mais le soigneur suait à grosses gouttes
Si personne ne le voit, comment on peut le savoir ?

Citation :
elle eut l’intelligence de s’évanouir
comment on peut avoir l’intelligence de s’évanouir ? S’évanouir, ça ne se contrôle pas.

Citation :
Les zombres ne s’attaquent pas aux choses inanimées
Ne s’attaquaient pas
La princesse rebelle qui brave les interdits pour aller voir quelque chose de nouveau, bon, c’est un peu cliché, mais ça ne pas m’a pas trop dérangé pour ce texte. Il y a de l’action, on sent que tu lances ton histoire, du coup ça passe.

Par contre, il y a deux choses qui m’ont dérangé à la lecture :

La ponctuation.
Il manque des points et des virgules, pour raccourcir les phrases ou les rendre plus cohérentes

Ex :
Citation :
Depuis plusieurs jours des marchands venus du continent s’étaient installés sur la place du marché près du port
« venus du continent » devait, à mon avis, être mis en incise pour que la phrase soit mieux rythmée.


Le manque de description
Tu dis que ce n’est pas ton point fort et tu ne sembles pas trop aimer ça, mais là, tu ne pourras pas y couper. Il manque dans ce chapitre des descriptions pour savoir où on se trouve, à quoi ça ressemble et surtout, qui sont les personnages (parce que personnellement, j’ai eu beaucoup de mal à m’y retrouver).
Pour moi, c’est vraiment ce qui manque le plus dans cet extrait : des descriptions pour étoffer ton monde et donner de la réalité à tes personnages.

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MessageSujet: Re: Orf, la naissance d'une Déesse   Orf, la naissance d'une Déesse Icon_minitimeSam 6 Oct 2012 - 22:42

Le début de l’histoire est intriguant et on entre assez rapidement dans l’action, c’est un point positif, on a envie d’en savoir plus et de découvrir ce qui va se passer après.

Par contre, il manque vraiment des descriptions pour mieux entrer dans ton univers et visualiser tes personnages et les lieux où ils évoluent.
Ce qui m’a perdue au début, c’est que tu évoques des personnages dans ton dialogue (Naty et Lisy) qui n’apparaissent pas du tout, et tu ne présentes pas les deux héroïnes : quand j’ai lu « Julanne » en plein milieu du texte, je me suis demandé de qui il s’agissait, alors qu’elle intervenait dans l’histoire depuis le début.

Dans ton introduction, ta première phrase fait penser qu’on se trouve au marché, sauf que finalement, ce n’est le cas, il aurait fallu développer un peu plus pour que l’on comprenne où se situe la première scène.

J’ai le même problème que Sombreféline avec la ponctuation, absente ou mal placée, il y a des phrases où j’ai du mal à comprendre ce que tu veux dire, et la fluidité de la lecture s’en ressent.

J’espère que tu ne prendras pas mal mes critiques, elles sont peut-être un peu dures, mais sincères, je pense que ton histoire a du potentiel et que tu peux l’améliorer en le retravaillant un peu. Bon courage.

Enfin, il reste quelques fautes, notamment d’accord :

Citation :
Un long couloir découpé en compartiments de douze cellules s’étendaient sur plus de cinquante-deux toises .
« s’étendait » (car c’est « Un long couloir » le sujet)

Citation :
Seule la lumière des deux lunes à travers des petites fenêtres, leur permettaient de se diriger dans les dédales de couloirs et de portes closes.
« leur permettait » (car le sujet est « la lumière ») : ici c’est un exemple d’un manque de ponctuation, avec une virgule après « lunes », la phrase serait plus fluide et le sujet plus évident.

Citation :
Mais y aller alors que tout le monde dors, l’idée ne la quittait plus.
« tout le monde dort »

Citation :
Sortir de l’île était bien plus facile car les gardes du pont faisaient plus attention à ceux qui entraient qu’à ceux qui en sortaient, et l’heure assez tardive avait permis à ces acolytes de se fondre dans la masse des gens de services qui finissaient leur journée et rentraient chez eux.

« ses acolytes » et « de service »

Citation :
Aussi, après le passage des vigiles il ne leur fallut que trois quarts d’heure au quatre jeunes gens pour atteindre le lieu-dit.
Dans cette phrase, « leur » est de trop, « il ne fallut que trois quarts d’heure aux quatre jeunes gens » est suffisant

Citation :
Les garçons connaissaient bien la ville et surtout le port où l’été ils travaillaient sur les quais pour se faire un peu d’argent de poche à certains moment de l'année.
« à certains moments »
Citation :
Le dompteur avait installé ses monstres dans un enclos avec pour seul garde un des deux soigneurs cependant les hautes palissades de bois de bunier empêchaient d’y voir à l’intérieur.
Le « y » est de trop : « de voir à l’intérieur » passerait mieux

Citation :
- Mais comment allons-nous entrer.
Il manque le point d’interrogation à la fin de ta question.

Citation :
Dalyan sortit sa petite bourse de sous son manteau qu’elle portait à la ceinture.
Dans cette formulation, on a l’impression que c’est le manteau qu’elle portait à la ceinture : peut-être plutôt « la petite bourse qu’elle portait à la ceinture de sous son manteau »

Citation :
Les garçons s’étaient bien garder de dire à Dalyan qu’elle payait pratiquement pour tout le groupe mais seule elle possédait de l’argent régulièrement de par sa position.
« s’étaient bien gardés » et plutôt « elle seule possédait »

Citation :
Courbatu, la démarche torve, il ne s’embarrassa pas des préliminaires de la présentation. Il se baissa à son tour.
« Courbaturé »

Citation :
Un jeune apprenti médecin avait même décrit sa probable maladie avec force détails comme une maladie de peau faisant que ses lèvres, l’intérieur de ses oreilles et ses paupières se couvraient de desquamation écœurantes.
« desquamations »

Citation :
- La colère assombrit la voix du jeune homme. Crois-tu que tu vas nous voler aussi facilement gredin. Ça pourrait aussi bien être un tas de peau de chaguines des montagnes.
Au début de la phrase, l’action se mêle au dialogue
« un tas de peaux »

Citation :
- Montre en nous plus où rend moi mon argent.
« Montres-en nous plus ou rends-moi mon argent. » (peut-être plutôt « rends-nous notre argent » d’ailleurs, puisqu’ils ont été plusieurs à payer)

Citation :
La première bête bondit sur la grille qui s'ouvrit violemment poussée par trois cent kilos de muscles sauvage, d'instinct animal exacerbé par des années de captivité.
« trois cents kilos »

Citation :
Cette lumière soudaine fut sa perte un deuxième zombre sortit et bondit sur lui. Il fut décapité d’un coup de dent. Une deuxième et une troisième bêtes sortirent de la cage.
Là je suis un peu perdue car tu dis dans la première phrase qu’un deuxième zombre sort, puis ensuite qu’une deuxième et une troisième sortent, ce ne seraient pas une troisième et une quatrième ? Ou tout simplement « deux autres bêtes » ?
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MessageSujet: Re: Orf, la naissance d'une Déesse   Orf, la naissance d'une Déesse Icon_minitimeMar 9 Oct 2012 - 19:02


En aparté je voudrais ajouter un petit commentaire.

En primaire je me suis battue avec deux énergumènes sans foi ni loi. Ne riez pas, cela aurait pu se finir au commissariat ou à l’hôpital. Mais j’ai eu le dessus. J’étais déterminée à ne pas me laisser faire. Depuis cette époque, elles étaient là, chaque année, dans mon dos, à m’asticoter. Jusqu’en Première, là, j’ai pris la dérouillée de ma vie. L’année d’après j’ai eu mon bac et sans oral de rattrapage mais elles m’ont torturée. Depuis je les évite comme la peste, surtout lorsqu’elles sont accompagnées de leur maris respectifs. Je me souviendrai toujours de leurs prénoms : Grammaire, Orthographe et le nom de l’un des maris, Dictionnaire et Bled.

Alors quand vous me parlez d’«incise » je suis certaine que ce sont elles qui vous l’ont soufflé à l’oreille et vous ont demandé de viser juste entre l’hémisphère droit et l’hémisphère gauche de mon cerveau. Et bien c’est raté. J’ai baissé la tête !

Pour ce qui est de « la voix qui s’assombrit » j’ai modifié la phrase mais en fait c’était métamorphorique (Et Paf ! J’espère que ces deux chipies et les maris vont saigner du nez pendant dix minutes).


En ce qui concerne "l'intelligence de s'évanouir" Je pensais faire de l'humour. Je sais qu'il faut choisir le genre mais je n'ai pas pu m'en empêcher.

J’ai bien pris note de vos remarques judicieuses et ai modifié le texte en conséquence. J’avoue que les passages de descriptions manquent cruellement dans le chapitre cependant tout au long de mon récit je distille des informations sur l’endroit où se déroule la scène, l’allure des personnages :

… Mag fut quelques secondes vexé d’avoir été rabroué ainsi par sa mère. Sentiment qui s’évanouit aussi vite qu’il était apparu devant la luxuriante beauté de cette Cité-école dédiée à la Déesse « Celle qui détient le pouvoir de Vie ».

Pour les Orféans (habitants d’Orf), il n’existe pas sur Nalak (la planète) de montagnes plus majestueuses, de Vallées plus riches, de cieux plus cléments que ceux que l’on trouve sur l’île d’Orf. En cette année de Abinch Ararh, cette cité-école que l’on nommait aussi Temple d’Orf se voyait submergée par des enfants venus de toute l’île et du continent avoisinant.

Dès la banlieue, bâtiments, chapiteaux, tertres, jardins, tout ce qui s’offrait à sa vue provoquait en lui étonnement, incrédulité. C’est lorsqu’ils arrivèrent dans le centre de Kémir, la capitale foisonnante d’activités, qu’ils purent enfin apercevoir l’îlot central où avaient été construit le Temple de Zen-Yér Sholvarth et le Palais Royal.

Les rues immenses, les arbres séculiers des allées, des jardins, les édifices religieux, les dormitarium et leurs dépendances, les amphithéâtres, les bibliothèques, les arènes sans avoir été conçus dans le même marbre veiné de rose et d’or que le Temple de Zen-Yér Sholvarth et le Palais Royale, ne dépareillaient pas par leur splendeur. Un enchantement pour les yeux….

Mais c’est dans le chapitre 2.

… Après quatre longues années à étudier sous la surveillance exclusive de sa mère, la Princesse Dalyan devait enfin faire son choix. Contrairement aux autres enfants du royaume, dû à son statut d’héritière du Trône d’Orf, c’est à ses dix-sept ans qu’elle devait passer son Yarichin. Elle avait attendu patiemment l’arrivée du Père Liénorth qui devait la guider. Vêtue de sa robe bleue au col serti de pierres de Lune et aux manches longues qui affinaient ses formes, la jeune Princesse apparaissait dans toute la beauté de sa jeunesse. Ses traits sortaient de l’enfance pour ressembler de plus en plus à ceux de sa mère la Reine Gannaa. Déjà d’une grande beauté on devinait qu’elle serait une jeune femme d’une grâce sans pareille.

Elle connaissait très bien le Père Liénorth. D’abord il avait eu l’insigne honneur de la bénir lors du rituel de la consécration dans sa première semaine de vie. Ensuite elle avait été conduite auprès de la Manshirina, la Grande Prêtresse, afin qu’elle trouve le signe qui la désignerait comme étant la fille incarnée de Zool sur Nalak, en vain.

Lors d’un étrange événement où elle fut confrontée à des zombres, son éducation avait été confiée aux Frère Yéridans pensant qu’elle était susceptible de développer de grands pouvoirs magiques et, à cause de son statut d’héritière au trône, dut suivre également l’enseignement dispensé par les Sœurs afin de lui inculquer les nobles valeurs qui régissent le royaume.
-----
Ça c’est dans le chapitre 3

C’est trop loin ? De plus il ne lui arrive rien lorsqu’elle a 13 ans. L’histoire ne démarre vraiment que lorsqu’elle a 18 ans.

Je m’attèle au synopsis et au sommaire pour que vous puissiez avoir une vue d’ensemble. Et j'introduis.

Salve.

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MessageSujet: Re: Orf, la naissance d'une Déesse   Orf, la naissance d'une Déesse Icon_minitimeMar 9 Oct 2012 - 19:21

Yo !

Moi j'ai bien aimé lire ton chapitre, même si certaines phrases sont mal ponctuée. Tu parles de pas mal de personnages et je m'embrouille un peu, mais je pense qu'on va les connaître avec le temps, donc je suis pas inquiète ^^

L'attaque des zombres... La scène de carnage était pas mal (sadique !)
Meordel ne serait pas... comment dire... un imbécile fini ? x)

Citation :
- A la lueur des deux lunes, il compta les pièces une par une avant de parler.
Pourquoi y'a un tiret ici ? Erreur nan ? ^^

En effet, le manque de description se fait sentir, mais je trouve que celles que tu as écrit ensuite sont jolies ! Celle de la princesse, par exemple. J'arrive vraiment à la visualiser.
même si tu n'aimes pas ça, tu t'en sors bien et avec un brin d'effort ça rendra ton histoire bien plus vivante.

Bref, je vais surveiller la suite, ça me plait bien jusqu'ici ! Wink
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MessageSujet: Re: Orf, la naissance d'une Déesse   Orf, la naissance d'une Déesse Icon_minitimeMar 9 Oct 2012 - 19:56

Merciiiiiiii ¨!

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MessageSujet: Re: Orf, la naissance d'une Déesse   Orf, la naissance d'une Déesse Icon_minitime

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