Une histoire sans titre

Bonjour :-),

Alors voilà, je me lance! C'est mon tout premier texte présentable je dirais ^^, il n'y a qu'une page et quelques pour plus de facilité de correction, en vous remerciant d'avance pour tout vos commentaires et remarques! Surtout n'hésitez pas à parler crument, ce n'est pas parce que je débute que vous risquez de me dégouter par une critique dure, du moment qu'elle est juste ^^. Pour un jour pouvoir être bon, il faut accepter d'avoir été nul

Le soleil arrivait à la fin de sa course, encore quelques jours et il aura atteint l’horizon, signifiant la fin de L’Aithein, et le début du Sisthein, la vaste plaine s’étirait à perte de vue, éclairée par un soleil paresseux, à l’horizon le ciel se parait d’une teinte légèrement orangée, quelques rares bosquets commençaient à prendre leurs teintes de saison. D’ici moins d’un mois il sera devenu impossible de voyager sans que cela soit synonyme de grands dangers, mais plus probablement, de mort.

Le temps joue contre nous pensa Sam anxieux, tandis qu’ils levaient le camp, la Cordillère du Nord était encore bien trop loin, et à plus forte raison Impie, leur destination. Tandis qu’il ruminait ces amères pensées, assis au pied d’un chêne solitaire, en aiguisant machinalement son poignard de chasse, Tali effaçait toute trace de leur passage, recouvrant le feu après en avoir éparpillé les cendres, et faisant disparaître toute trace de leur repos.

- J’ai terminé. dis Tali de cette air bougon propre aux enfants. Sam sortit de sa rêverie, leva les yeux vers elle, et l’observa comme si c’était la première fois qu’il la voyait pendant qu’elle préparait son paquetage, elle se grattait sans arrêt la tête, passant les doigts dans ses cheveux coupés court, à la garçonne, visiblement elle lui en voulait encore, ce qui ne faisait qu’ajouter à sa propre culpabilité, lui aussi préférait voir ses longs cheveux bruns malmenés par les vents, et la regarder pendant des heures le soir se faire les tresses guerrières des amazones.

Une fois dans la montagne, elle aura tout le loisir de les laisser repousser, en attendant, la maintenir en vie est la seule chose qui compte.

- Laisse-moi voir ça… Voila qui n’est pas mal du tout. Fis Sam avec un sourire que Tali ne le lui rendit pas.
-Mademoiselle boude encore ? On sentait percer l’amusement et il vit Tali esquisser l’ombre d’un sourire, mais elle se reprit bien vite, et après avoir enfilé son sac, elle se mit en route sans l’attendre.
-Ah c’est comme ça ? Très bien, voyons combien de temps tu vas tenir. Fis Sam alors qu’il la rattrapait en trottinant.

Les longues journées de fuites les avaient épuisés, et maintenant qu’ils étaient sur d’avoir semé leurs poursuivants, ils avaient dormi en oubliant toute prudence afin de récupérer quelques forces. Le rythme était dur pour une petite fille de dix ans, mais elle ne se plaignait jamais, et avançait sans ralentir.

Une vraie petite guerrière pensa Sam avec fierté

Mais la fatigue fut bientôt tellement forte que Tali en oublia sa colère, et bientôt, alors qu’ils se dirigeaient vers le prochain village fortifié, elle lui donna la main. Sam lui adressa un sourire timide, mais dans un élan de fierté bafoué elle resta concentrée sur sa route.
Un vent venu du Nord se mit bientôt à souffler, venant tout droit sur eux et rendant la marche plus pénible encore. Sortant leurs longs manteaux en laines ils se couvrirent rapidement, en avançant tête baissé, le menton enfoncé dans le col, et les mains biens au chaud dans leurs poches. Mais le vent n’était pas venu seul, et bientôt le ciel bleu laissa place au gris sombre des nuages prêt à exploser. Une légère bruine vint rafraichir davantage nos deux voyageurs, Sam avançait devant sa fille pour tenter de la protéger un peu, mais ils durent rapidement sortir de nouveaux manteaux, plus léger et étanches, car la douce mélopée d’une pluie fine vint s’ajouter à celle du vent en un concert harmonieux.

Soudain Sam pointa le doigt vers l’horizon, il ne dit rien, mais Tali compris, un village était en vue et c’est précisément ce moment que choisirent les nuages pour se décharger tout de bon de leur lourd fardeaux, les vêtements de nos deux voyageurs furent bientôt à tordre.

Titou a écrit:

Le soleil arrivait à la fin de sa course, encore quelques jours et il aura atteint l’horizon (problème de concordance des temps : --> aurait atteint / atteindrait ) , signifiant la fin de L’Aithein, et le début du Sisthein, la vaste plaine s’étirait à perte de vue, éclairée par un soleil paresseux, à l’horizon le ciel se parait d’une teinte légèrement orangée, quelques rares bosquets commençaient à prendre leurs teintes (répétition de "teintes") de saison. D’ici moins d’un mois il sera devenu impossible de voyager sans que cela soit synonyme de grands dangers, mais plus probablement, de mort. (le mais ne sert à rien, j'aurais plutôt mis "voire")

Le temps joue contre nous pensa Sam anxieux, tandis qu’ils levaient le camp, la Cordillère du Nord était encore bien trop loin, et à plus forte raison Impie, leur destination. Tandis qu’il ruminait ces amères pensées, assis au pied d’un chêne solitaire, en aiguisant machinalement son poignard de chasse, Tali effaçait toutes traces de leur passage, recouvrant le feu après en avoir éparpillé les cendres, et faisant disparaître toute trace (encore une fois c'est au pluriel, mais attention répétitions !) de leur repos.

- J’ai terminé. dis (dit) Tali de cette (cet) air bougon propre aux enfants. Sam sortit de sa rêverie, leva les yeux vers elle, et l’observa comme si c’était la première fois qu’il la voyait pendant qu’elle préparait son paquetage, elle se grattait sans arrêt la tête, passant les doigts dans ses cheveux coupés court, à la garçonne, visiblement elle lui en voulait encore, ce qui ne faisait qu’ajouter à sa propre culpabilité, lui aussi préférait voir ses longs cheveux bruns malmenés par les vents, et la regarder pendant des heures le soir se faire les tresses guerrières des amazones.

Une fois dans la montagne, elle aura tout le loisir de les laisser repousser, en attendant, la maintenir en vie est la seule chose qui compte.

- Laisse-moi voir ça… Voila qui n’est pas mal du tout. Fis (fit) Sam avec un sourire que Tali ne le lui rendit pas.
-Mademoiselle boude encore ? On sentait percer l’amusement et il vit Tali esquisser l’ombre d’un sourire, mais elle se reprit bien vite, et après avoir enfilé son sac, elle se mit en route sans l’attendre.
-Ah c’est comme ça ? Très bien, voyons combien de temps tu vas tenir. Fis (fit, mais essaye de trouver un autre verbe que "faire" à chaque fois...) Sam alors qu’il la rattrapait en trottinant.

Les longues journées de fuites les avaient épuisés, et maintenant qu’ils étaient sur d’avoir semé leurs poursuivants, ils avaient dormi en oubliant toute prudence afin de récupérer quelques forces. Le rythme était dur pour une petite fille de dix ans, mais elle ne se plaignait jamais, et avançait sans ralentir.

Une vraie petite guerrière pensa Sam avec fierté

Mais la fatigue fut bientôt tellement forte que Tali en oublia sa colère, et bientôt, alors qu’ils se dirigeaient vers le prochain village fortifié, elle lui donna la main. Sam lui adressa un sourire timide, mais dans un élan de fierté bafoué elle resta concentrée sur sa route.
Un vent venu du Nord se mit bientôt à souffler, venant tout droit sur eux et rendant la marche plus pénible encore. Sortant leurs longs manteaux en laines ils se couvrirent rapidement, en avançant tête baissé, le menton enfoncé dans le col, et les mains biens au chaud dans leurs poches. Mais le vent n’était pas venu seul, et bientôt le ciel bleu laissa place au gris sombre des nuages prêt (prêts, car ce sont les nuages) à exploser. Une légère bruine vint rafraichir davantage nos deux voyageurs, Sam avançait devant sa fille pour tenter de la protéger un peu, mais ils durent rapidement sortir de nouveaux manteaux, plus léger et étanches, car la douce mélopée d’une pluie fine vint s’ajouter à celle du vent en un concert harmonieux.

Soudain Sam pointa le doigt vers l’horizon, il ne dit rien, mais Tali compris (comprit), un village était en vue (il manque une virgule je pense...) et c’est précisément ce moment que choisirent les nuages pour se décharger tout de bon de leur lourd fardeaux (fardeau), les vêtements de nos deux voyageurs furent bientôt à tordre.

Bon...
Sur le fond, rien de très original, mais ça reste sympa. Deux petits trucs qui me chiffonnent cependant :
- j'ai pas tout de suite compris que Sam était le père de Tali
- il pleut, puis le ciel bleu revient, puis tout à coup il pleut de nouveau averse ? Je ne sais pas où ils se trouvent mais sacré climat !

Sur la forme, attention aux répétitions. Essaie de trouver d'autres verbes que "faire" pour introduire les dialogues : parler, dire, répliquer, expliquer, réclamer, demander, interroger, s'exclamer, maugréer, chuchoter, susurrer, déclarer, répondre, et bien d'autres existent ^^
Enfin, au passé simple, la troisième personne du singulier prend généralement un "t", et non un "s"...

Bref, une lecture intéressante, il faut tenir compte que ce n'est qu'un début (en tant qu'écrivain, ce qui explique les fautes, et dans le roman ou la nouvelle, ce qui explique qu'il ne se passe pas grand chose^^) ... donc je reste curieux : pourquoi sont-ils poursuivis et par qui ? à quoi ressemble la ville d'Impie ?
Donc je te suivrai avec plaisir si j'ai le temps... Ne serait-ce que pour trouver des réponses à mes interrogations.

Fos'

Bon eh ben comme c'est demandé si gentiment
*se retrousse les manches, fait craquer ses articulations*
C'est parti ! ^^


Le soleil arrivait à la fin de sa course, encore quelques jours et il aura atteint l’horizon, signifiant la fin de L’Aithein, et le début du Sisthein, la vaste plaine s’étirait à perte de vue, éclairée par un soleil paresseux, à l’horizon le ciel se parait d’une teinte légèrement orangée, quelques rares bosquets commençaient à prendre leurs teintes de saison. => tu confonds point et virgule. Là, la majorité de tes virgules devraient être des points :

"Le soleil arrivait à la fin de sa course. Encore quelques jours et il aurait atteint l'horizon, signifiant la fin de l'Aithein et le début du Sisthein. La vaste plaine s'étirait à perte de vue, éclairée par un soleil paresseux. A l'horizon, le ciel se parait d'une teinte légèrement orangée [et] quelques rares bosquets commençaient à prendre leurs teintes de saison."

D’ici moins d’un mois il sera devenu impossible de voyager sans que cela soit synonyme de grands dangers, mais plus probablement, de mort. => comme dans le passage précédent, l'emploi du futur est fautif, il vaut mieux du conditionnel présent : il serait devenu impossible (vu que ton temps de récit est du passé)

La fin de cette phrase est maladroite. petite proposition : "sans que cela soit synonyme de grands dangers, dont la mort n'était pas l'un des moindres" par exemple, mais là, on dirait que tu veux atténuer quelque chose qui au contraire devrait être amplifié.

Le temps joue contre nous pensa Sam anxieux, tandis qu’ils levaient le camp, la Cordillère du Nord était encore bien trop loin, et à plus forte raison Impie, leur destination. => là encore, tu confonds virgule et point. Un point termine une phrase, une virgule permet de relier des segments d'une même phrase. Là, si tu te relis, tu verras que "ils levaient le camp" et "la cordillière du Nord" n'ont pas grand chose à voir ensemble, donc, un point entre les deux.
Mets une virgule aussi, après la pensée de ton personnage. Le fait de préciser qui pense s'appelle une incise, et il faut toujours une virgule après.
La partie sur la Cordillière (avec un "i") et Impie n'est pas assez rattachée au fait qu'ils manquent de temps. A mon avis, il faudrait rajouter quelque chose comme "leur destination, pour qu'ils l'atteignent dans le délai imparti" (non, c'est pas terrible, mais c'est un exemple)

Tandis qu’il ruminait ces amères pensées, assis au pied d’un chêne solitaire, en aiguisant machinalement son poignard de chasse, Tali effaçait toute trace de leur passage, recouvrant le feu après en avoir éparpillé les cendres, et faisant disparaître toute trace de leur repos. => les virgules ne sont pas fautives ici, mais ta phrase est trop longue et pleine de participes présents (on dit qu'il faut les éviter un peu, tant qu'à faire, pour rendre plus vivant l'écriture que ça donne mieux).
Tu peux facilement la couper en deux. En plus, tu as une répétition de "toute trace de leur passage" / "toute trace de leur repos"

- J’ai terminé. dis Tali de cette air bougon propre aux enfants. => dit Tali de cet air / toujours une virgule, et non un point à la fin des phrases de dialogue : "J'ai terminé, dit Tali"

Sam sortit de sa rêverie, leva les yeux vers elle => retour à la ligne entre une réplique et la narration, tu ne peux pas les mettre à la suite lorsque tu utilises des tirets de dialogue.

Sam sortit de sa rêverie, leva les yeux vers elle, et l’observa comme si c’était la première fois qu’il la voyait pendant qu’elle préparait son paquetage, elle se grattait sans arrêt la tête, passant les doigts dans ses cheveux coupés court, à la garçonne, visiblement elle lui en voulait encore, ce qui ne faisait qu’ajouter à sa propre culpabilité, lui aussi préférait voir ses longs cheveux bruns malmenés par les vents, et la regarder pendant des heures le soir se faire les tresses guerrières des amazones. => virgules fautives à nouveau : "comme si c'était la première fois qu'il la voyait. Pendant qu'elle préparait son paquettage [...] à la garçonne. Visiblement, elle lui en voulait encore[...] culpabilité. Lui aussi préférait..."

Une fois dans la montagne, elle aura tout le loisir de les laisser repousser, en attendant, la maintenir en vie est la seule chose qui compte. => "repousser. En attendant..."

Voila qui n’est pas mal du tout. Fis Sam avec un sourire que Tali ne le lui rendit pas. => même remarque sur l'incise : "du tout, fit Sam avec un sourire"
"que Tali ne lui rendit pas"

- Laisse-moi voir ça… Voila qui n’est pas mal du tout. Fis Sam avec un sourire que Tali ne le lui rendit pas.
-Mademoiselle boude encore ? On sentait percer l’amusement et il vit Tali esquisser l’ombre d’un sourire, mais elle se reprit bien vite, et après avoir enfilé son sac, elle se mit en route sans l’attendre.
-Ah c’est comme ça ? Très bien, voyons combien de temps tu vas tenir. Fis Sam alors qu’il la rattrapait en trottinant. => apparemment, c'est le même personnage qui parle, donc ne fait pas de nouveaux tirets, c'est troublant pour le lecteur. Enchaîne les phrases, ou met une ligne de narration pour dire qu'elle ne répond pas et qu'il parle tout seul.

Très bien, voyons combien de temps tu vas tenir. Fis Sam alors qu’il la rattrapait en trottinant. => "tenir, fit Sam"

Les longues journées de fuites les avaient épuisés, et maintenant qu’ils étaient sur d’avoir semé leurs poursuivants => sûrs

Une vraie petite guerrière pensa Sam avec fierté => guerrière, pensa Sam avec fierté.

mais dans un élan de fierté bafoué elle resta concentrée sur sa route. => je mettrais bien une virgule après "bafoué"

Sortant leurs longs manteaux en laines ils se couvrirent rapidement, => en laine / virgule après "laine" je pense

et bientôt le ciel bleu laissa place au gris sombre des nuages prêt à exploser => prêts

Une légère bruine vint rafraichir davantage nos deux voyageurs, => rafraîchir / "nos voyageurs", je te le déconseille. L'apostrophe au lecteur est un cas assez spécifique, et très peu employé dans le récit "traditionnel". "vint rafraîchir davantage les deux voyageurs" est beaucoup mieux. (et un point après "voyageurs")

Soudain Sam pointa le doigt vers l’horizon => Soudain, Sam point le doigt vers l'horizon.

il ne dit rien, mais Tali compris, un village était en vue => Tali comprit / soit un point après "comprit", soit deux points : "mais Tali comprit : un village était en vue" (et virgule après dans ce cas)

ce moment que choisirent les nuages pour se décharger tout de bon de leur lourd fardeaux,=> "pour de bon", non ?

les vêtements de nos deux voyageurs furent bientôt à tordre. => pareil, évite le "nos", remplace par "des"


Alors, de façon générale : donc attention à tes virgules. Relis-toi, à voix haute s'il le faut, et tu verras que tu entendras beaucoup mieux le rythme de tes phrases, et les coupures devraient te venir presque naturellement.
Au niveau des dialogues, il y en avait peu ici, mais pense à varier les verbes d'incises. "faire", c'est clairement pas le mieux, surtout qu'il n'exprime pas grand-chose du ton, de l'expression, etc. Avec des "hurla", "grogna", "sourit", etc., tu exprimeras plus de choses en ayant moins besoin d'en mettre ensuite dans l'incise, et ça gagnera en fluidité.
Attention aussi à tes conjugaisons, il y a plusieurs à ce niveau-là.
Sur le reste de l'écriture, je n'ai pas grand-chose à dire, une fois qu'on a mis les virgules de côté, ça se laisse lire, c'est plaisant et bien écrit. L'histoire n'est pas très avancée, donc je ne peux pas trop juger pour l'instant. Si je comprends bien, on a un père avec sa petite fille de dix ans (qu'il laisse ranger le camp pendant que lui se la coule douce... super papa !), ils ont à priori fuit quelque chose ou quelqu'un, et vont chercher refuge dans la montagne, mais le temps leur est compté (pour quoi, ça...)
Voilà voilà, n'hésite pas si tu as des questions, et à bientôt pour la suite, alors !

EDIT : Fos' est passé avant que j'ai fini de poster, désolée donc pour les répétitions de correction.

Un peu difficile de juger au niveau de l’histoire sur une seule page, un début intriguant, j’attends de voir la suite pour voir à ce niveau.

Au niveau de la forme, j’avoue être gênée par la ponctuation, surtout celle de la première phrase et de celle du troisième paragraphe (de « Sam sortit… » jusqu’à « amazones ») : il y a trop de virgules et du coup, je me perds dans la phrase, j’ai l’impression que tout se mélange. Je pense qu’il faudrait remplacer certaines virgules par des points ou des points virgules, pour alléger un peu et permettre une meilleure compréhension.

Sinon tu as plutôt un bon niveau en orthographe et en vocabulaire

Sinon comme à mon habitude, les corrections que j’ai relevées, en plus de celles de Fos :

Citation :

- Laisse-moi voir ça… Voila qui n’est pas mal du tout. Fis Sam avec un sourire que Tali ne le lui rendit pas.

Il faudrait supprimer « le » entre « ne » et « lui », il n’est pas nécessaire.

Citation :

Les longues journées de fuites les avaient épuisés, et maintenant qu’ils étaient sur d’avoir semé leurs poursuivants, ils avaient dormi en oubliant toute prudence afin de récupérer quelques forces.

« de fuite » et « ils étaient sûrs »

Citation :

Sortant leurs longs manteaux en laines ils se couvrirent rapidement, en avançant tête baissé, le menton enfoncé dans le col, et les mains biens au chaud dans leurs poches.

« en laine », « tête baissée » et « les mains bien au chaud »

Citation :

Une légère bruine vint rafraichir davantage nos deux voyageurs, Sam avançait devant sa fille pour tenter de la protéger un peu, mais ils durent rapidement sortir de nouveaux manteaux, plus léger et étanches, car la douce mélopée d’une pluie fine vint s’ajouter à celle du vent en un concert harmonieux.

« légers »

Ton texte a déjà été corrigé trois fois donc de ce côté, ça doit être bon ^^.
Je ne sais pas si mes camarades l'ont relevé mais dans l'avant dernier paragraphe, tu utilises 5 fois le mot "bientôt", ce qui est un peu... beaucoup.

L'histoire n'est, en effet, pas très avancée mais elle pose déjà des questions et donc on veut savoir la suite (et à plus fortes raisons, ce qui s'est passé avant !).
J'avais plutôt pensé à un grand frère en ce qui concerne Sam. Je ne sais pas...

J'attends la suite.

Hello ,

Merci à tout les quatre pour vos réponses rapides et hyper complètes! C'est fou toutes ces erreurs dont je suis pourtant parfaitement au courant, mais dans le feu de l'action, même dans la relecture, je suis tellement focalisé sur tout ce qui entoure l'action tant dans le passé que dans le futur que j'en oublie totalement toutes les règles d'écriture les plus élémentaires!

je suis conscient d'avoir un réel problème avec la ponctuation, je penses que relire à voix haute est une très bonne idée!

Mais je suis très heureux de m'être enfin lancé, ça m'a permis de me rendre compte de certaines incohérence, et certains aspect boiteux de l'histoire, pour le moment je songeais écrire des petits morceaux de mon récits, comme celui ci, ainsi vous aurez droit à certains nouveaux éléments, et peut être quelques réponses, et ça me permettra de voir plus facilement les progrès, et pour vous ce sera plus agréable que de relire une énième correction!

Je ne garderais probablement pas ce passage, pour le moment il s'agit vraiment de tester les limites de mon monde encore à l'état embryonnaire, et d'apprendre à écrire, tout simplement ^^.

En attendant je prends bonne note de vos critiques, je vais corriger ce texte, pour moi, et je posterais prochainement un autre texte plus long, et je l'espère avec moins de fautes

Bonne journée

Allez, vu que je bloque à fond sur mon DM de physique, je me fends d'un petit commentaire.
Je pense que ça a déjà été suffisamment répété par les autres, mais j'en remets une couche : la ponctuation c'est nawak! Sincèrement, entre les phrases qui sont dix fois trop longues ( du genre la première), la mauvaise utilisation des virgules, ça bloque tout le texte. Pour ce morceau là, étant donné que c'est pas ton chef d'oeuvre, ce genre de problème n'est pas trop grave. Seulement, si je ne m'étais pas forcé, j'aurais refermé le texte au bout de deux lignes.

Sinon, c'est difficile de donner un vrai avis. On ne connait quasiment rien du monde ni des personnages, on a le droit à une poursuite qui est déjà finie. Aucun enjeu ne nous est dévoilé, pas de suspence. Niveau originalité, il est clair que pour cet extrait en tout cas, c'est de la fantasy bien clichée.
Quant aux personnages, je n'en ai pas encore lu assez pour me faire un avis, mais ils semblent un petit peu vide.

Voila. J'avais prévenu que j'étais un peu le gros bourrin du forum. ^^
Mais continue, je commenterais tes autres textes aussi.

hardkey a écrit:

Voila. J'avais prévenu que j'étais un peu le gros bourrin du forum. ^^

Mouais, faudrait pas qu'Ilàan passe par-là, tu serais ridicule ^^

Bon, à part ça, j'ai pas trouvé ça si mal personnellement. En dehors des fautes et autres simples problêmes de rédaction, l'histoire démarre bien. Bien sûr, il faut que la suite garde le rythme mais pour un début, l'intrigue est doucement amené, on traine pas non plus en longueurs inutiles, c'est juste la dose de mystère qui pousserai le lecteur un peu curieux à continuer. pas besoin d'en faire des tonnes, narrativement c'est très juste je trouve. Il te suffirait de corriger les maladresses et d'affirmer ensuite le récit et les personnages pour tenir quelque chose de certes classique, mais tout à fait correcte.

Après tout ces commentaires sur un si petit texte, je me sens bien inutile mais enfin bon, même si on se doit de dire franchement la (parfois) dure vérité, c'est important aussi de souligner ce qui est bien.
Je pense que je lirai la suite, pour voir où tu nous emmènes ::rolling::

Bonsoir ,

Je me suis rendu compte de plusieurs erreurs lors de ma relecture, la principale étant que normalement à ce stade de l'histoire, on sait qui sont Sam et Tali. On est également au courant pour pas mal d'autres petites choses que j'ai essayé de glisser de façon maladroite dans ce tout petit texte de rien du tout ^^. C'était clairement une grosse erreur de vous balancer comme ça en plein coeur de l'histoire, mais j'espérais surtout une aide sur la qualité de l'écriture, plus que sur le fond de l'histoire (je n'ai pas été déçu au passage )

J'ai relu le texte à voix haute, c'est une horreur, et je suis profondément désolé de vous avoir imposé pareil exercice!

La prochaine fois il s'agira du prologue, donc gros retour en arrière, et mise en place du monde, comme ça au moins vous pourrez appréhender la suite en sachant où vous mettez les pieds

Encore une fois merci pour vos commentaires, je crois que tout est dit! Même si je penses que le DM d'hard l'a mis de mauvaise humeur , il me parait difficile de classer un texte aussi court dans la catégorie "cliché de fantasy", il ne me semble pas avoir vu d'elfe, de dragon, ou de magie .

Bonne soirée