Prologue d'une histoire sans titre...

Bonsoir ,

Je me permet d'ouvrir un nouveau post, car au final mon histoire à beaucoup changé, et mon premier texte n'est plus du tout d'actualité, je compte continuer à poster sur ce topic à l'avenir

Alors, il ne s'agit que de 3 pages de mon prologue, je ne voulais pas faire plus pour ne pas vous assommer! j'espère que ce sera suffisant pour éveiller votre intérêt!

Pour ce qui est de la correction, je ne vous demande pas de traquer toutes les fautes d'orthographe ^^ à moins que vous y teniez réellement, car ce n'est pas ce qui m'intéresse réellement, ce texte sera de toute façon réécrit plus tard et la correction ne sera plus d'actualité ^^! Ce qui m'intéresse vraiment c'est votre avis de lecteur, pourquoi vous n'accrochez pas, les passages trop longs, lourds, ce que vous avez aimé, ou pas ^^.

En vous remerciant par avance! Bonne lecture

Kylian faisait les cent pas dans sa minuscule cellule, éclairée par une bougie en fin de vie. Emmitouflé dans une couverture, les pieds nus, il allait de la petite table qui occupait l’angle de la pièce — sur laquelle étaient posés ses recueils de prières et son dogma— à son lit, à même le sol, au bout duquel se trouvait un coffre qui contenait ses nouveaux habits, symboles de son nouveau rang dans l’Ordre.

A l’extérieur, le crépitement de la pluie ne parvenait pas à couvrir l’éternel ressac des vagues qui se fracassaient contre la falaise, et l’unique volet de la pièce se faisait malmené par un vent du nord, typique de la fin de saison. La bougie s’éteignit, plongeant la pièce dans l’obscurité. Les nuages étaient bien trop denses pour laisser filtrer le moindre rayon de Lune, mais Kylian n’avait pas besoin de lumière, il connaissait la pièce par cœur.

— Je suis prêtre, dit-il tout à coup à voix basse comme pour se convaincre lui-même.

L’examen pour devenir prêtre figurait parmi les plus durs de tout le clergé. Il comptait deux épreuves : la maîtrise martiale, et la maîtrise théologique. La première consistait en une série d’affrontement entre aspirants — la plus facile. Quand à la seconde, les jeunes moines étaient enfermés pendant onze jours et onze nuits consécutives dans un caisson de bois, muni d’une petite trappe par laquelle on pouvait faire passer copie, nourriture et boisson — du pain dur et de l’eau claire— bougies et pot d’aisance ; les jeunes moines passaient le plus clair de leur temps à noircir des dizaines de feuilles de papier grossier.

Il était impossible d’y tenir debout, de s’y allongé, et encore moins de se dégourdir les jambes. Toute sortie prématurée conduisait à un échec de l’examen, les conditions étant des plus inconfortables pour tester la foi des trois futurs prêtres.
Tout le corps de Kylian hurlait à chacun de ses pas, ses membres courbatus et transis de fatigue ne demandaient qu’à s’affaler dans un lit pour ne plus se réveillé avant la fin de la Longue Noirceur. Mais il se sentait incapable de dormir. Il ne réalisait toujours pas qu’il avait réussi l’épreuve. Parmi la cinquantaine de jeunes moines, frais et confiant qui se présentaient, seuls trois recevaient l’insigne honneur de devenir des prêtres d’Ygnis, Dieu de Lumière et de Vérité.

Kylian avait fini bon troisième, mais il était le premier moine à réussir cet examen du premier coup. C’est pourquoi alors qu’il aurait dû dormir et récupéré des forces en vue de sa toute prochaine — et première — mission hors du monastère, il faisait les cents pas dans sa chambre, exultant, en attendant que l’on vienne le chercher.

Des bruits de pas dans le couloir le tirèrent de ses rêveries. Il jeta négligemment sa couverture en travers du lit, alluma une lanterne et se rua sur son coffre pour y prendre son nouvel uniforme. Une simple bure de laine d’un noir de geais, ceinte à la taille par une corde tressée, de solides bottes en cuir, taillé pour la marche et une cape en laine toute aussi noire, doublée de peau de mouton. Sans oublier le plus important : un collier de cuir auquel pendait un simple médaillon de bronze.

Trois coups secs résonnèrent à la porte et Kylian l’ouvrit avec tant de brusquerie que le jeune moine qui se trouvait derrière eu un violent sursaut. Toujours sous le choc — et un rien intimidé par le visage hagard du prêtre, où se lisait une impatience dévorante— le moine tremblait légèrement, ce qui fit tinter les trois sacs — ou plutôt leur contenu. La lampe à huile qu’il tenait au bout de sa hampe faisait trembler leurs ombres sur les murs du couloir. Retrouvant une certaine contenance, le moine se souvint du but de sa visite.

— Bonne nuit mon père, dit-il à voix basse après s’être légèrement incliné, il est l’heure.

— Bonne nuit mon fils. Mes frères sont ils déjà en route ?

— Vous êtes le premier, on m’a demandé de vous remettre un de ces sacs, les dédommagements pour les familles, et joignant le geste à la parole, il lui tendit un des trois lourds sacs, qui tinta joyeusement.

Après un nouveau signe de tête, le moine continua son chemin. Kylian, après avoir pris sa lanterne, s’enfonça dans les couloirs du monastère encore endormi, en direction des écuries.

Les dortoirs se trouvaient à l’extrémité Est du monastère, et pour rejoindre le portail qui donnait sur la cour, Kylian devait traverser tout le bâtiment. Au bout du couloir se trouvait la porte qui donnait sur le cloître de l’Arbre Dieu.

Le monastère, de forme circulaire — forme standard de tout ouvrage religieux — avait été bâtie autour d’un gigantesque séquoia, deux fois millénaire et de prêt de quarante toises de haut. Il trônait au centre du cloître, lui-même centre du monastère, et représentait le point culminant de la capitale. A son faîte avait été construite une modeste plate-forme, épousant la structure naturelle de l’arbre. Il s’agissait de l’aire du sonneur.

Alors que Kylian avançait dans le large couloir à balustrades, il ne put s’empêcher de s’arrêter un instant pour se recueillir devant ce monstre paisible, symbole de savoir et de vérité. Tout en haut, à travers la pluie, il put discerner une pâle lueur. Le Sonneur était à son poste, les yeux rivés sur l’océan à l’Est. Il serait le premier homme à voir le soleil poindre à l’horizon, et de la justesse de son coup dépendrait le faste des cinq mois le lumières à venir : quelques instants trop tôt, ou trop tard, et le malheur s’abattrait sur les hommes pour toute une année. Il s’agissait d’un insigne honneur, mais surtout d’une très lourde responsabilité.

Pour avoir été Sonneur lui-même, Kylian eu une pensée pour le pauvre homme qui se trouvait là haut, avec une énorme cloche pour seule compagnie face aux assauts combinés du vent et de la pluie.
Après un dernier regard, il se remit en marche et fit rapidement le chemin qui le séparait de la petite porte qui donnait sur la cour principale.

Le vent lui fit l’effet d’une gifle lorsqu’il ouvrit la porte, et il dut rabattre fermement les pans de son manteau avant de pouvoir continuer.
Si le séquoia était le centre du monastère, la cour, elle, était le centre du cercle de l’Ordre. On trouvait à sa périphérie toutes les structures indispensables. Derrière Kylian le monastère s’éloignait, tandis que devant lui, légèrement à droite du portail, se dressaient les écuries ; sur sa droite se trouvait l’hôtel et la chapelle des hôtes. Sur sa gauche se trouvait l’infirmerie — Séparée du monastère, car la maladie était un rappel de la faiblesse de la chair, et était considérée comme une punition divine — ainsi que la boulangerie, le moulin, et la forge.

Kylian arriva enfin aux écuries, éclairées par seulement quelques lanternes à huile. Un lad s’affairait autour d’une charrette qu’il venait visiblement de bâcher pour prémunir ses occupants des intempéries, tandis qu’un autre lui attelait un vieux canasson fatigué. Quatre chevaux de bataille, fraîchement harnachés, étaient attachés à proximité.
Tout le reste de son équipe était déjà présent : quatre gardiens en armure, armés de piques et d’épées étaient chargés de la sécurité du convoi quand il évoluerait dans les bas-fonds ; et deux sœurs préceptrices, qui auraient la charge des enfants pendant le cycle à venir.

Il les salua silencieusement, d’un signe de tête. Il prit place à l’avant de la charrette, pendant que les sœurs montaient à l’arrière, et que les hommes d’armes mettaient le pied à l’étrier après s’être équipé de torches. D’un petit coup sec sur les rênes, et d’un claquement de langue, Kylian mit en branle le convoi.

La récolte pouvait commencer.

Eh bien, c'est très bien comme longueur cela, m'est avis.

Spoiler:

Bien entendu, je n'ai pas pu m'empêcher de corriger, surtout que tu ne l'avais pas formellement interdit... ^^ Mais ce n'est pas là le plus important, sûrement.

Tu utilises pas mal d'incises... D'ailleurs, confirmation à demander mais tu es sûr que c'est les bons tirets ? Il me semble que c'est ceux-là: – (alt + 0150)...
http://monsu.desiderio.free.fr/atelier/tiret.html
Autant le savoir tout de suite... ^^
Ce sont des "pauses" dans la lecture mais fais attention à ne pas en abuser. Et puis ce que tu dis en incise peut parfois être une suite logique de ta phrase (sans nécessairement que ce soit une info "en plus" comme le suggère la mise en incise).

J'ai bien aimé le "je suis prêtre" en phrase de dialogue, c'est une manière assez jolie de lancer l'info, je pense.
Je trouve ce début intéressant, je me fais déjà des plans pour la suite. Je trouve que tu balances juste assez d'indices pour qu'on puisse suivre un minimum mais que tu gardes encore plein de mystères pour qu'on veuille continuer.
Et puis le style est plutôt fluide et il n'y a pas de difficultés à lire mais pour juger du récit, c'est encore un peu tôt ^^.

Kylian faisait les cent pas dans sa minuscule cellule => peu importe l'orthographe, il semble que ce soit un nom apprécié en fantasy ^^ Tu es la troisième personne (dont moi) qui l'utilise

Un lad s’affairait autour d’une charrette => techniquement, un lad s'occupe des chevaux de course. En plus, c'est un anglicisme, voire un anachronisme. Je te conseille "palefrenier" plutôt.
Autre question : pourquoi un vieux canasson pour la charrette ? La mission a l'air dangereuse, vu l'escorte, il ne vaudrait pas mieux que la bête soit capable de se bouger un peu l'arrière-train, juste au cas où ?... En plus, s'ils ont de quoi se payer et entretenir des destriers, je ne vois pas trop pourquoi ils harnachent une carne. Autant la garder pour les travaux à l'intérieur du monastère ^^

A part ça, Elann étant passé avant moi (et comme tu l'as demandé ^^), je ne me suis pas intéressée aux fautes.
Pour l'histoire, ça a l'air bien intriguant pour l'instant (on retrouve donc notre Sonneur ; c'était pour lui ta question de l'autre fois ? ) Le prêtre combattant, sa mission pour l'instant énigmatique (vont-ils chercher de nouvelles recrues ? c'est vers ça que je penche pour l'instant, d'où le dédommagement aux familles), le personnage qui semble être un "prodige" (avec de gros guillemets, hein, je dis pas que c'est un grosbill) mais malgré tout pas tant que ça... Oui, tout ça est vraiment sympa.

J'ai un peu achoppé sur la description des épreuves par contre. Pas grand-chose en fait, elles sont très claires comme ça. Mais par exemple, je me suis demandée si la première épreuve était éliminatoire ou non ; la première fois où tu parles des 3 prêtres seulement, je me suis demandée si c'était à cause d'éliminations, s'il y avait très peu de candidats cette fois-ci... Bon, autant pour ce dernier point je me suis posé la question parce que je faisais une "bêta lecture". Vu que l'explication arrive juste après, si j'avais acheté le bouquin, ça ne m'aurait peut-être pas autant perturbée. Pour le premier point, par contre, ce n'est pas mentionné, donc c'est vrai que j'aimerais avoir la précision.
Ceci dit, j'ai bien aimé la seconde épreuve. Elle est intéressante. Mais comment on fait pour départager s'il y a plus de 3 gars qui restent tout le temps imparti ? C'est grâce à la première épreuve ?

Il trônait au centre du cloître, lui-même centre du monastère, et représentait le point culminant de la capitale => là j'ai eu un peu de mal aussi, que tu nous parles de la capitale, brusquement, sans transition, et pour la seule et unique fois sans explication sur "la capitale de quoi ?"

A part ça, je suis intriguée par l'histoire du Sonneur, comment un type peut-il influer à ce point sur la lumière... Dommage que l'explication ne doive pas venir de si tôt je pense ^^

Voilà, c'est effectivement plaisant à lire, comme le dit Elann tu as un bon style, et ma foi, c'est assez intriguant. Donc n'hésite pas à poster la suite, je te suivrai avec plaisir

Bonjour ,

Alors tout d'abord, merci à vous deux pour vos réponses , ça me fait plaisir de voir que dans l'ensemble ça vous à plu !

@Elann :

Pour ce qui est des incises, je me suis dis la même chose ^^, j'en utilise un peu trop, mais je venais de les travailler, ça fait un peu gamin qui à un nouveau jouet ^^ (mea culpa) , Pour ce qui est du tiret, j'étais persuadé d'avoir le bon, dans certains livre le tiret cadratin est utilisé pour les incises, mais visiblement c'est pas le bon! Mais déjà que pour faire le tiret cadratin il faut que je triche (je l'ai mis en correction automatique sur word) alors pour un demi cadratin :( ... je vois vraiment pas comment le faire ( c'est quoi ce chiffre 0150 ? ) si tu pouvais m'éclairer, je me ferais un plaisir d'utiliser la ponctuation appropriée

En tout cas merci pour le reste du commentaire , j'avais vraiment peur d'en dire trop ou pas assez ! J'espère pouvoir vous fournir la suite prochainement, mais pour l'instant je me consacre exclusivement à la construction de mon monde comme je l'expliquerais tout à l'heure en répondant à Morrigan ^^ , Mais la suite du prologue ne devrait pas vous décevoir en matière d'intrigue, enfin je l'espère, à la fin sont balancés les grandes lignes d'une intrigue principale, et d'une ou deux intrigues secondaires

@Morrigan :

Kylian c'est un nom pour dépanner en fait ^^, il me fallait absolument un nom et c'est le premier qui m'est passé par la tête, je finirais le prologue avec lui pour pas vous perturber. Je suis en pleine construction de la personnalité de mes 3 factions, j'en aurais une avec des consonances plutôt celtiques, une autre nordiques, et la dernière un mix des deux ^^. Mais faut admette que Kylian c'est classe comme prénom

Sinon pour ce qui est du lad, c'est très bien vu, je te remercie! je cherchais le mot palefrenier mais c'est lad qui m'est venu en tête ^^, j'aurais dû vérifier!
Et pour ce qui est du canasson c'est une erreur de relecture de ma part :( , le contexte à changé lors de la réécriture et j'ai oublié de changer ce point :( , ce n'est effectivement pas un canasson ^^, merci! (après, la mission en elle même n'est pas dangereuse, sinon Kylian serait armé, il s'agit plus d'un étalage de puissance que d'une véritable protection, le prestige dont jouisse les prêtres étant une protection suffisante à elle seule comme vous le verrez plus tard! )

Sinon pour ce qui est du sonneur, oui c'était pour lui la question si je me souviens bien ^^! Sinon pour ce qui est de sa mission je n'en dirais pas plus car c'est une des intrigues principales (enfin, je te dirais quand même que tu n'as pas totalement raison, ni totalement tort ^^). Vous le verrez accomplir sa mission, vous aurez une idée du pourquoi, mais j'espère que le vague dans lequel je vous laisserai vous incitera à lire la suite . Et sinon pour ce qui est du côté prodigieux de mon personnage, je voulais vraiment faire ressortir le fait qu'il est très très motivé ^^, il n'est pas particulièrement prodigieux, sinon il serait arrivé premier ^^, mais il a la volonté de se donner les moyens de réussir ce qu'il entreprend, qualité qui je l'espère le rendra louable d'une certaine manière

Pour ce qui est des épreuves, j'avais peur d'en faire trop, mais je me rends compte maintenant que je vous ais plus embrouillé qu'autre chose ^^, il faudra que j'agrandisse ce paragraphe! Les épreuves physiques sont éliminatoires dans le sens ou si tu est faible tu abandonnes sous la douleur, t'es pas obligé de gagner tes combats pour être retenue, c'est à ton mental que tu es jugé, ça je le préciserai dans la correction! Et pour ce qui est du choix des trois prêtres finaux, parmi les rares qui tiennent les 11 jours, on corrige leurs copies ^^ tout simplement, tellement simple que j'ai même pas pensé à le marqué -_- désolé

Pour ce qui est du séquoia, c'est vraiment dans un soucis d'espace que je n'ai pas davantage décrit, je voulais pas dépasser les 3 pages pour pas vous rebuter à la lecture ^^, mais du coup pareil, je pêche par manque de détail! Merci pour la remarque

Le sonneur en lui même n'est pas très important dans l'histoire ^^, il sert à poser les croyances de la faction à laquelle appartient Kylian, comme tu le verras dans la suite ; mais tout ça sera dûment expliqué dans mes prochains écrits

Voila voila, merci encore à tout les deux pour vos commentaires, et j'espère ne pas vous décevoir pour la suite!

PS: si quelqu'un à un avis à donner qu'il n'hésite pas, même s'il n'est pas bon, je suis ouvert à toute critique!

bonne journée

Titou a écrit:

Pour ce qui est des épreuves, j'avais peur d'en faire trop, mais je me rends compte maintenant que je vous ais plus embrouillé qu'autre chose ^^, il faudra que j'agrandisse ce paragraphe!

Je suis pour cette idée ! ^^


Ah tiens, j'avais aussi noté pour le lad et le cheval, mais sur le coup, j'ai oublié de l'écrire ^^ heureusement que Morrigan est plus vigilante que moi.

Titou a écrit:

je vois vraiment pas comment le faire ( c'est quoi ce chiffre 0150 ? ) si tu pouvais m'éclairer, je me ferais un plaisir d'utiliser la ponctuation appropriée

Sur un P.C., pour faire un tiret demi-cadratin, tu appuies sur la touche "alt" et (de l'autre main ^^) tu fais le code "0150" sur le pavé numérique... et tu auras... ça: –
De même pour le cadratin où le code est "alt + 0151": —

(et pour un mac, je te renvoie à cette page vu que je ne m'y connais pas... http://perso.univ-lyon2.fr/~mortier/vrac/XP/CarSpecMacXP6/CarSpecMacXP6.html )

Citation :

j'en aurais une avec des consonances plutôt celtiques, une autre nordiques, et la dernière un mix des deux ^^

Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!! Ze veux ze veux ze veux ^^ Non, je ne suis pas folle, mais j'aime ce procédé, moi aussi (et accessoirement, ce sont mes deux cultures favorites), je l'avais employé dans une de mes nouvelles...

Ahem.
Ok pour tes explications, mais en effet, rajouter ces précisions sur les épreuves sera tout à fait bénéfiques.
Et ne te limite pas à un nombre de pages pour nous : c'est la qualité de ton texte qui est en jeu ^^ N'hésite pas à poster en plusieurs fois, s'il le faut, mais écrit comme tu le veux / en a besoin, surtout. Nous on s'adapte

Mwahaha, tu sais Elann, c'est surtout que dès qu'on parle de chevaux, j'ai une antenne spéciale qui s'active et qui recherche toutes les petites fautes possibles ^^

J'ai bien aimé ce début, c'est bien écrit et à la fois mystérieux, ce qui donne envie de savoir la suite.
Les épreuves pour devenir prêtre sont bien expliqué mais si elles pouvaient être un eu plus détaillées se serait mieux je pense.
J'ai bien aimé aussi le passage avec le sonneur mais j'ai trouvé un peu dommage que tu ne précise pas plus. Pourquoi le bonheur ou le malheur des hommes est sa responsabilité ?
En espérant avoir pu t'aider.
Bonne continuation.

Bonsoir ,

Merci encore à toi Elann pour le coup des tirets !! maintenant je maîtrise : – — ♪ — – hihihihi trop bien ^^

@ Morrigan : J'espère que je ne te décevrai pas alors! et je retiens pour la taille du texte je finirais bien par trouver le compromis parfait

Merci mipmip pour ton commentaire , tu sauras bientôt le pourquoi du comment du sonneur c'est expliqué dans la suite du prologue ! En espérant que la suite répondra à tes attentes

Bonne soirée, et encore merci pour vos commentaires ^^

Hey ,

Désolé pour le double post! Mais j'aimerais parler de techniques pour mon livre, et vous parler d'incohérences dont je viens de me rendre compte lors de mon trajet en train!

Technique : J'ai enfin décidé de comment je voulais écrire mon livre , comment je voulais que le lecteur perçoive l'histoire et les personnages. Je compte écrire à la manière d'un film, c'est à dire que le lecteur sera un personnage extérieurs à la scène et qui la verra uniquement à travers ses yeux. Ainsi il n'aura pas accès aux pensées des différents personnages, et il devra les juger par rapport à leurs actions.

Pourquoi je veux faire ça? Pour qu'il n'y ais pas de prise de partie de ma part, et pour que le lecteur spécule sur la véritable identité d'un personnage et sur ses futures actions ainsi que sur ses motivations, je veux que le lecteur découvre les persos comme on découvrirait quelqu'un qu'on vient de rencontrer dans la rue. Quand on est dans la vrai vie, on doit juger les gens à leurs attitudes, leurs mots et leurs gestes, ce serait pareil . Ainsi ce serait beaucoup plus simple de surprendre le lecteur, et je suis convaincu que l'intrigue en serait renforcée, si je parviens à balancer juste ce qu'il faut d'information pour tenir le lecteur en haleine.

Voila, je tenais à l'écrire car au moins ça y est, c'est décidé, je sais comment je vais écrire et c'était vraiment important pour moi

Et sinon niveau incohérences : Mes religions sont trop inspirées du christianisme moyenâgeux. Il faut que je change totalement l'architecture des bâtiments, les tenues aussi, les rites et tout pleins d'autres choses ^^. Je dois faire ça car mes prénoms et noms auront des consonances celtiques et nordiques comme dit plus haut, et ça ne collerait pas avec une religions trop inspirée du christianisme. Il faut donc que je revois tout ça, et j'ai plein d'idées, à ce niveau là je suis pas inquiet ^^.

Sinon le monde est vraiment en train de prendre forme, mes deux personnages principaux sont bien modelé, je sais qui ils sont et je vois très bien comment ils vont évoluer. Il me manque plus qu'à peaufiner mes personnages féminins pour les faire sortir des clichés habituels.

Tout ce qui est politique et économie est bien avancé aussi et j'espère pouvoir me lancer à fond dans l'écriture véritable d'ici quelques mois, le temps de vérifier que tout est bien cohérent, j'ai pas envie d'avoir à tout refaire en plein milieu de mon livre ^^.

Voila voila, c'est surtout les élucubrations d'un fou, et je suis désolé de vous avoir imposé ça, mais le fait de le dire, et pas seulement sur mes feuilles volantes, ça me conforte dans mon choix

Bonne journée! Et merci de m'avoir lu ^^

Citation :

faisait malmené

Malmener

Citation :

L’examen pour devenir prêtre figurait parmi les plus durs de tout le clergé.

J’ai un peu de mal avec la syntaxe de cette phrase.

Citation :

de s’y allongé

s’y allonger

Citation :

récupéré des forces

récupérer

Citation :

Le monastère, de forme circulaire — forme standard de tout ouvrage religieux — avait été bâtie autour d’un gigantesque séquoia, deux fois millénaire et de prêt de quarante toises de haut

Je ne suis pas experte, mais le temple bâti autour d’un arbre gigantesque, ça ne me paraît pas être l’idée du siècle, dans la mesure où les racines vont avoir tendance à s’étendre au fur et à mesure que l’arbre pousse, et font donc gondoler les sols.

Au niveau du style, c’était plutôt bien écrit, tu retranscris bien l’atmosphère du monastères, ses us et coutumes. Les réflexions du personnages sont elles aussi plutôt bien rendues.
Le début est intriguant et donne envie d’en savoir plus. Je lirai la suite avec plaisir.