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 L'étrange Boutique de Crux [FANTASTIQUE]

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MessageSujet: L'étrange Boutique de Crux [FANTASTIQUE]   L'étrange Boutique de Crux [FANTASTIQUE] Icon_minitimeDim 24 Fév 2013 - 13:31

Bonjour, bonjour! Voilà une histoire faite pour le Français qui est à rendre dans un mois. Je la poste ici avant de la rendre à mon professeur pour que vous me disiez les choses qui ne vont pas? J'ai essayé de taper dans l'original puisque que je suis quasi-certaine d'être la seule à avoir fait quelque chose de fantastique (puisque c'est un conte qu'il faut faire), mais le genre n'était pas donné alors je me suis fait plaisir. Mais le plus gros problème reste l'ironie, j'ai peur de l'avoir mal maîtrisée et que mon professeur croit que c'est juste des erreurs dues à mon âge.

Alors voilà le texte (qui est assez court puisque la longueur est aussi imposée Rolling Eyes):



Il y
avait, dans une des nombreuses rues du vieux Paris, depuis bien
longtemps, une étrange vitrine emplie de poupées de toute sortes.
L'enseigne de couleur noire dont les lettres dégorgeaient de rouille
semblait plus vielle que la Tour Eiffel elle-même, qu'on pouvait
apercevoir un peu plus loin. La gérante de cette charmante antiquité
portait un nom aussi étrange que sa boutique: elle se prénommait
Crux et on la connaissait sous le nom de ''L’illustre Sorcière Aux
Poupées'' grâce à sa très grande renommée dans son domaine même
si elle ne payait pas de mine lorsqu'on la croisait au détour d'un
des nombreux couloirs du Magisterium, faisant figure de petite fille
inoffensive au regard querelleur. Ce n'était pas moins pour son
caractère frivole ou sa phobie des enfants qu'elle s'était fait une
place dans le grand monde, mais tout simplement à cause du sort
qu'elle avait, un jour créé dans le plus grand secret. Il
s'agissait d'un ''Avale-Âme'' que toutes les sorcières, jusqu'à sa
création officielle, croyaient être une légende. Le but était,
comme son nom l'indiquait, d'avaler littéralement des âmes; mais
par âme, entendons-nous bien, il s'agissait de celles d'enfants.






Mais là
où toutes ses commères avaient échouées, ''Crux La
Marionnettiste'', comme on l’appelle aussi, avait eut l'idée
absolument dérangée, mais en si bel accord avec son étrange
personnalité; d'enfermer ces âmes pures dans des poupées pour les
garder éternellement avec elle. S'en suivit une notoriété
ahurissante qui passa par delà les frontières et ainsi, la fit
connaître dans le monde entier. Mais beaucoup, en s'entretenant avec
le personnage qu'était la jeune sorcière, eurent l'impression de se
faire brosser à rebrousse poil et d'entendre des craies crisser sur
un tableau, tant sa personnalité était particulièrement agaçante.
S'en suivit les regrets qu'une simple sorcière telle qu'elle ait
trouvé un sort aussi puissant. Cependant, il s'avéra que malgré sa
façade immature, Crux cachait bien des cartes dans son jeu, qui
n'était composé que de Jokers. Par la suite, elle créa d'autres
potions qui devinrent plus connues encore comme la soupe de
souvenirs, le repoussoir – mélange de mandragore et de bave d'on
ne sait quel animal, permettant de faire repousser des membres-, ou
encore le mange-rêve ainsi que la très fameuse potion
embellissante. Et, connaissant Crux, personne ne fut étonné lorsque
l'on constata que ces inventions avaient un retour vicieux qui se
manifestait sous la forme d'effets secondaires allant du plus nocif
au plus ridicule. Le repoussoir faisaient pousser les membres, oui,
mais indéfiniment; le mange-rêve rendaient nos songes si vrais
qu'on pouvait y mourir et la potion embellissante entraînait des
crimes passionnels sur la personne qui l'utilisait.





Mais avant
qu'on ne puisse la condamner pour cela, ''La Sorcière aux Mains
D'argent'', comme on désigne souvent, avait fuit vers la ville, là
où elle ne pouvait être atteinte par les sorcières qui vivaient en
campagnes ou dans des villes souterraines, de peur des hommes qui
pourraient les tuer. Crux fut ainsi la première sorcière habitant
dans une capitale, voire dans une ville de plus de mille habitants.
Et c'est à partir de là qu'elle pût se consacrer à sa vraie
passion: la création de ses poupées mangeuses d'âme, bien que le
nom s'éloigne tout compte fais du contexte puisque les âmes étaient
simplement enfermées, mais Crux avait trouvé cela plus épique et
au passage, plus vendeur; elle avait donc vite fais son chemin à
travers les différentes appellation pour sa potion. De même que,
comme elle n'était pas très partageuse, la sorcière s'était
enfuie avec la recette de son chef d’œuvre, histoire de garder une
certaine jouissance vis-à-vis des autres sorcières. Elle alla
jusque dans sa sottise, ou dans sa folie, personne ne sait très
bien; brûler la bibliothèque du Magisterium lorsqu'elle ne trouva
pas le ''GLITTAPQDIFL'', ou comme on le nomme aussi: le ''Grand Livre
des Illustres et Très Très Anciennes Potions Qui Datent d'Il a Fort
Longtemps''





Au jour
d'aujourd'hui, elle résidait, en ce bel hiver mille neuf cent douze,
dans sa petite boutique entretenue par Wolfen, une de ses nombreuses
créations. C'était une poupée d'environ un mètre quatre vingt
dix, à forme lupine noire et aux yeux rouges qui, contrairement à
son apparence effrayante, était un agneau. Il était attentionné et
à l'écoute de tous les enfants enfermés dans les poupées de Crux,
disposées sur des étagères en bois noir encrées dans le mur. Car
à défaut de pouvoir leur parler, il écoutait leur histoire puisque
c'est tout ce qu'il lui était permis de faire. Car en effet, Wolfen
n'avait pas de cordes vocales, sa créatrice n'ayant pas jugé utile
de lui en confectionner, mais il se consolait en pensant que de toute
façon, il n'aurait pas été de nature très bavarde car les grandes
personnes sont en générales calmes et silencieuses. Une des
particularités de cette grande poupée était sa maladresse native
que Crux n'avait cessé d'essayer de stopper depuis sa création,
mais rien n'avait marché pour enrayer cette épine dans le pied de
la sorcière qui entendait souvent des vases se briser ou la table en
bois de l'arrière boutique tomber dans un bruit fracassant.





Et c'est
un jour, lorsqu'elle en eut assez d'entendre une étagère se traîner
sur le sol, que la sorcière sauta de sa chaise, placée derrière le
comptoir qui portait la caisse enregistreuse, et que les bras lui
tombèrent. Cette fois, il avait fait fort: gisant sous l'étagère
renversée, Wolfen, regardait sa créatrice des yeux les plus grands
et désolés qu'il pût faire. Malgré ses faux-airs, elle savait
qu'il était effrayé par ce qu'elle allait lui faire et quand elle
entendit la cloche, disposée au dessus de la porte d'entrée,
teinter, Crux le laissa à son sort et quitta la pièce. Ses pieds la
menèrent jusqu'à son petit bureau, à l'étage, et elle sortit son
miroir de la commode vivante qui dormait près de la fenêtre. La
sorcière regarda dans le verre réflecteur et, notant
l'endormissement de son meuble, avachi au sol, elle donna trois coups
secs avec le miroir afin de le sortir de sa torpeur. S'il y avait
bien une chose qu'elle détestait, c'était la paresse de son
entourage. Après tout, la sienne suffisait bien au monde. Agacée,
elle revint donc à son observatoire puisque l'objet en or ciselé
était un des moyens de surveillance qu'elle utilisait quand un
enfant entrait dans sa boutique.





Ce que
Crux aimait par dessus tout, c'était les enfants curieux car c'était
eux qui touchaient les poupées dans lesquelles ils s'enfermait. Là
était toute l'ironie du sort: il se piégeaient de leurs propre
chef. Et ce matin là ne dérogea pas à la règle puisqu'une
fillette d'une dizaine d'années entra dans la boutique sombre,
éclairée seulement par la lumière de la neige filtrant à travers
la vitrine. Ses yeux se tournèrent vers un jouet qui était sa copie
conforme: une petite poupée rousse au grand yeux vert. Elle portait
un imper rose clair délavé et les mêmes mitaines bleues.
Intriguée, l'enfant marcha jusqu'à l'objet de la convoitise mais
fit un bond lorsqu'elle entendit un jouet mécanique tomba au sol et
tenta de marcher jusqu'à la porte de sortie. Crux qui allait
s'étrangler, promit à elle même de lui enlever la clef qu'il avait
dans le dos dès que la boutique fermerait. Le chérubin ramassa le
fugueur et lui sourit, amusé. Quand elle regarda l'endroit où était
placé la poupée, elle se surprit de constater qu'elle avait bougée
pour se cacher derrière une lampe disposée sur une table. Lorsque
la petite fille s'approcha, il lui sembla que la table éternua
discrètement, d'un bruit si faible qu'elle se demanda si ce n'était
pas une hallucination auditive. Elle retira la main qu'elle tendait
jusque là et recula, méfiante. Ses yeux verts scrutèrent le
moindre mouvement et rapidement, elle s'empara de la poupée. Dans
son antre, Crux sourit, jubilant de cette charmante petite âme qui
se retrouverait sur une de ses étagères, mais sa joie s'enfuie vite
lorsqu'elle vit la petite fille avec la poupée toujours dans les
mains. Il y avait un problème? N'avait-elle pas bien suivit le cours
de l'incantation quand elle avait créé cette poupée? Elle devint
livide, ce serait la première fois qu'il y avait un accroc dans le
processus. Précipitamment, elle dévala les escaliers et arriva dans
le boutique, essoufflée, l’œil décontenancé et pointa le
fillette du doigt. Cette dernière se figea et fixa la sorcière,
inquiète.





« Je
promet! Je n'allais pas la voler! »


Crux
plissa les yeux et arracha la poupée de ses mains pour mieux la
détailler. Elle sentit bien le flux magique s'échapper de l'objet,
ce qui signifiait qu'il n'y avait là aucune faille. Dans un premier
temps, elle eut beau retourner son cerveau dans tout les sens, son
incompréhension était totale. Mais le temps qu'elle se rende compte
de ce qui était évident, une balle de poudre soporifique explosa
sur la fillette et la fit tomber dans les bras de Morphée. Crux
grinça des dents et scruta les alentours.





« Dites-moi
que ceci était destinée à cette enfant et non pas à moi sinon je
vous jure que je vous met toutes dans un placard jusqu'à
Ragnarock! »





Les
poupées ne bougèrent pas d'un cil, faisant encore plus rager la
sorcière mais au moins, la fille d'Eve était inoffensive.
Rapidement, elle alla libérer Wolfen et lui ordonna de la mettre à
l'étage pour mieux l'observer. En passant, elle tourna la pancarte
accrochée à la poignée de la porte d'entrée, signifiant ainsi que
la boutique était fermée. Quand elle revint dans son bureau, la
fillette couchée sur un divan, Crux fit un bref résumé de la
situation dans sa tête et comprit, sans vouloir y croire, la
situation. La petite fille était une jeune sorcière aux doigts
d'argent qui, ne pouvait être piéger dans les poupées, tout comme
Crux. Alors, la panique s'installa dans sa pauvre tête. Que
devait-elle faire? Son choix se fit tout seul. Elle avait, en ce
moment, de plus en plus de poupées et il était difficile de les
entretenir toutes. De plus, la ''Sorcière Mangeuse d'Enfants'',
comme on l’appelle également, vieillirait bien un jour ou l'autre
et plus personne ne pourrait s'occuper de la boutique. Personne sauf
cette petite fille qui pouvait toucher les poupées ensorcelées.
Pour s'assurer quelle était bien sa nature, Crux mit une autre
poupée entre ses mains et, voyant qu'il ne se passait rien, devint
encore plus anxieuse. Car en effet, même si cette fillette se
présentait comme une aubaine, il y avait un problème de taille
quant au fait d'avoir cette sorte de ''créature'' dans sa boutique
puisque la vérité était bien là: Crux avait la phobie des
enfants.





Cela la
fit revenir à une époque douloureuse de son passé qui était la
raison de sa situation actuelle. À l'époque, sa sœur était malade
et pouvait mourir un jour ou l'autre alors Crux avait cherché un
sort pour la guérir. Mais la seule chose qu'elle avait trouvé,
juste avant le chapitre sur la nécromancie qu'elle ne pouvait se
résoudre à lire, un sort d’absorption des âmes. Le but d'origine
était de l'enfermer dans le corps d'une enfant et pendant des jours
et des nuits, Crux essaya. Par erreur, une froide nuit d'automne,
elle réussit la potion à cause de plusieurs fioles mal étiquetées
et échangea les corps d'une enfant et celui de sa sœur. La nuit
suivante, la maladie revint et son corps se mit à pourrir, faisant
une sorte de rejet. Alors, Crux ne trouva qu'une solution; enfermer
sa sœur dans le corps d'une poupée de porcelaine créée à son
image.





Doucement,
elle se dirigea vers la malle située en dessous d'une étagère et
sortit un journal de l'année mille huit cent quatre vingt un. Elle
observa la photo prise de la poupée aux cheveux blonds, paraissant
gris à cause de l'absence de couleurs. Sa sœur était la première
âme qu'elle ait enfermée et à présent, elle trônait dans une des
grande salles du Magisterium. Cela faisait près de trente ans
qu'elle n'avait pût la voir et la seule raison pour laquelle elle
risquerait sa vie serait pour la récupérer. Mais Crux dût se
résoudre, en cet instant, à régler des problèmes plus pressants
en entendant la petite fille se réveiller. Ainsi, elle rangea la
malle et s'approcha de l'enfant d'un pas méfiant. Elle les
détestait, les trouvant trop imprévisibles et bornés. C'est donc
pour cela qu'elle resta à distance raisonnable du divan. Lorsque les
yeux du fléau furent ouverts, Crux se figea.





« Pourquoi
suis-je ici? demanda-t-elle. »





Crux
regarda le plafond, cherchant une explication à se donner dans un
premier temps. Elle ouvrit la bouche, mais la referma aussitôt,
causant l'amusement de la fillette.





« Je
crois que tu es tombée dans les pommes, fini par dire la sorcière,
as-tu des problèmes de santé?


-Non. Mais
vous, qui êtes-vous?


-Mon nom
est Cruxelyra Grimodéry Fissolier, on m'appelle aussi Célestine
Rosélina Uriphie Xélidier. »





Devant la
mine dubitative de l'enfant à propos de son nom extrêmement long et
complexe, Crux s'empressa de rajouter:





« Je
suis la gérante de la boutique.





-Émilie.
répondit simplement la fillette.





-Bien,
Émilie, tu as touché à cette poupée et...





-Je suis
désolé, elle me ressemblait beaucoup et j'ai crue qu'elle était
peut-être... »





Elle
s'interrompit, les yeux tristes, et fini sa phrase.





« …
pour moi. »





Crux la
fixa longuement et sourit avant de remettre la poupée dans les mains
d'Emilie.





« Tu
n'as qu'à la garder, alors.




-Je
voudrais bien, mais je n'aurais jamais assez d'argent, je vis en
orphelinat. »





Crux
sentit un sourire se dessiner sur son visage et, alors que la petite
fille se tassait, méfiante, la sorcière eut l'idée brillante de
lui faire la proposition qui aurait ravi n'importe enfant sans
parents.





« Que
dirais-tu d'habiter avec moi? Tu aurais toute les poupées que tu
veux et si tu es sage, je pourrait faire de toi ma fille. »





Les yeux
d’Émilie s'illuminèrent et elle acquiesça positivement. Ravie,
Crux sortit un contrat qtipulant les conditions de cette entente. En
bonne enfant inconsciente qu'elle était, le petite sorcière ne
chercha même pas à lire -si tant est qu'elle savait le faire- et
signa d'une croix. Alors Crux jeta un sort sur la petite fille qui
lui permit de passer pour une humaine et pouvant se promener
librement dans la ville sans que personne ne cherche à savoir
quoique ce soit sur elle et risquer de briser sa couverture. Le
personnel de l'orphelinat ne la recherchèrent pas et Crux eut une
assistante. Elle lui appris à confectionner des poupées et à
faire la potion pour y enfermer les âmes d'enfants. Comme elle se
réjouit de l'absence de distinction du bien et du mal d’Émilie
qui suivit toute ses instruction avec admiration. La petite aimait
beaucoup Wolfen avec lequel elle tissa un lien de forte amitié et
c'est donc naturellement qu'elle le réparait quand il s'accrochait à
un clou, que sa fourrure se déchirait ou encore lorsque ses griffes
s'abîmaient. Peu à peu, la fillette prit conscience de la nature de
sa mère adoptive et, sans être effrayée, se voua à une vie de
sorcellerie en changeant de nom. d’Émilie, elle passa à Émildya
Cruxelyra Fossilier, plus tard connue sous le nom respectable de
''L'Honorable assistante de la Croqueuse d'Enfants''.





De même
que, la sœur adoptive de Crux, qui s'appelait Hermine Grimodéry
Fossilier et qui avait changé de nom en Reilissof pour ne pas avoir
le même que ''L’Honorable Traîtresse'', un autre des surnoms de
Crux; permit à Emildya d'entrer au Sénat des sorcières. Ainsi,
elle venait, une semaine sur deux, aider sa mère adoptive à la
boutique.






Le petit
commerce se trouve dans une petite ruelle parisienne, à quelque
minutes de la rue Mouffetard, et reste très discrète. Elle est en
permanence ouverte et a été récemment rénovée mais il n'y a pas
plus de clients qu'avant. Le peu qui y entrent n'en ressortent pas et
étrangement, la police ne semble pas se poser de question à propos
de disparitions étranges. Le peu de personnes passant devant ont
souvent dit avoir aperçu deux femmes les saluer amicalement à
travers la vitrine alors qu'elles étaient en train de confectionner
des poupées. Il n'y a donc aucune raison de s'inquiéter.
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MessageSujet: Re: L'étrange Boutique de Crux [FANTASTIQUE]   L'étrange Boutique de Crux [FANTASTIQUE] Icon_minitimeDim 24 Fév 2013 - 13:32

Désolé pour le rendu du texte, je ne sais pas ce qu'il s'est passé...
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Elann
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Elann


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MessageSujet: Re: L'étrange Boutique de Crux [FANTASTIQUE]   L'étrange Boutique de Crux [FANTASTIQUE] Icon_minitimeLun 25 Fév 2013 - 15:51

En effet, que s'est-il passé avec ton texte ? o_O
Tu l'as posté depuis un iphone ou quelque chose ainsi ?

Enfin, bref, pour les corrections, je l'ai remis 'en bonne forme' même si je ne suis pas sûr d'avoir bien respecté le découpage en paragraphes.
Ce n'est pas si court... ^^.
D'ailleurs, je ferai des remarques comme si ce n'était pas un devoir. C'est à dire que je vais sûrement chipoter ^^ mais les professeurs ne s'attendent pas à ce que leurs élèves soient tous des écrivains en herbe, donc le tien (de prof') sera moins regardant que moi, je pense.

Spoiler:

Il faut mettre des espaces avant les points d'interrogation et d'exclamation.
Tu as quand même une certaine tendance à faire des phrases très longues. Ce qui fait qu'on ne peut pas te lire "rapidement" sous peine de ne rien comprendre. La fluidité en souffre un peu.
Le texte en lui-même est entre ""horreur"" (on parle quand même d'enfermer des gosses dans des poupées ^^) et "mignon tout plein" (la sorcière qui découvre son apprentie et la fin heureuse). C'est intéressant puis ça change un peu.
De l'ironie ? Où ça de l'ironie ? Parce que tu fais semblant de trouver normal qu'une sorcière enferme des gamins dans des poupées ? A cause des touches d'humour notamment avec Wolfen ?

_________________
Je suis né pour te  connaître, pour te nommer, liberté.  Paul Eluard
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