L’homme à la peau pâle

Voici le début de ma nouvelles ! Merci d'avance pour vos commentaires !



L’homme à la peau pâle

Des rencontres incroyables, on en fait. On n’y croit pas, on refuse d’accepter la vérité. Moi j’ai rencontré un homme incroyable, un être que je n’oublierai jamais. Il est ma raison de vivre. Sans lui ! Que serais-je ? Rien. Pourtant, au début, j’avais peur de lui. Il faut dire que je n’aurais jamais pensé voir de telles choses un jour. Et encore aujourd’hui, j’ai du mal à m’y faire.

Tout avait commencé une nuit étoilé. Ce soir-là, à travers la fenêtre de ma chambre, je contemplais les magnifiques astres qui remplissaient les cieux. Le ciel était tellement magique ! A ce moment-là,  une étoile filante traversa  cette étendu infinie. Dans ma vie, je n’avais jamais rien trouvé de plus beau qu’un ciel lumineux. Alors, au passage de cette comète, je fis un vœu. Je suppliai le destin de me donner l’amour. Depuis combien de temps n’avais-je pas connu cette magnifique aventure ? Je ne savais plus. Quelques années au moins.  Mon dernier petit ami, avait été Mark. J’étais amoureuse de lui, mais je pense que lui, ne chercher qu’à m’avoir dans son lit. J’avais toujours refusé, alors il m’avait quitté. Depuis, je n’avais jamais eu de copain.

Soudain, un bruit de verre brisé retentit. Je me crispai. J’étais la seule à vivre dans cette maison. J’ouvris la porte en chêne, qui séparait ma chambre d’un vaste couloir. En ce moment, ce corridor me paraissait lugubre et interminable. Je descendis les escaliers de la façon la plus discrète possible.  Une ombre noir longe le mur à une tel vitesse, qu’elle en est presque imperceptible pour l’œil. Je me retrouve plongé dans la pénombre. L’ampoule était sûrement grillée. Mes muscles se contractèrent.  Mon cœur battait la chamade. A qui appartenait cette mystérieuse ombre ? Je perçus un craquement qui venait, vraisemblablement, du plafond. Je levais la tête et vis, avec horreur, un homme. Il était suspendu, la tête en bas. J’eu un sursaut. Je m’écroulai au sol, horrifiée.

Je sais que tu as déjà posté mais c'est la première fois que je te lis alors... voyons voir.

Joe a écrit:

L’homme à la peau pâle(.)

Des rencontres incroyables, on en fait. On n’y croit pas, on refuse d’accepter la vérité. (Dès le début, je me dis "... non". Tu dis "on" comme si c'était général mais je ne ressens pas du tout ce genre de sentiments. Pourquoi refuserait-on d'accepter la vérité en rencontrant quelqu'un d'incroyable ? Ou alors explique un peu mieux ce sentiment avant de généraliser et de perdre ton lecteur.) Moi j’ai rencontré un homme incroyable, un être que je n’oublierai jamais. Il est ma raison de vivre. Sans lui ! (Cette phrase n'en est pas une. Préfère plutôt "Sans lui, que serais-je ?") Que serais-je ? Rien. Pourtant, au début, j’avais peur de lui. Il faut dire que je n’aurais jamais pensé voir de telles choses un jour. Et encore aujourd’hui, j’ai du mal à m’y faire. (Beaucoup d'enthousiasme et d'exagération dans ce premier paragraphe, j'espère que la suite sera aussi "folle" que nous le prédit la narratrice.)

Tout avait commencé une nuit étoilé (étoilée) . Ce soir-là, à travers la fenêtre de ma chambre, je contemplais les magnifiques astres qui remplissaient les cieux (tu en fais trop "les magnifiques astres qui remplissaient les cieux", c'est pompeux presque. Décris un peu plus qu'on puisse au moins y croire mais sans tout exagérer.) . Le ciel était tellement magique ! (Pareil. Pourquoi ?) A ce moment-là,  une étoile filante traversa  cette étendu infinie. Dans ma vie, je n’avais jamais rien trouvé de plus beau qu’un ciel lumineux. (Quel est le rapport avec la précédente phrase ? Et encore trop d'exagération...) Alors, au passage de cette comète, je fis un vœu. Je suppliai le destin de me donner l’amour. Depuis combien de temps n’avais-je pas connu cette magnifique aventure ? Je ne savais plus. Quelques années au moins.  (Là, c'est l'inverse. Le personnage semble presque avoir oublié ce qu'est l'amour et tu dis qu'elle n'est pas tombée amoureuse depuis "quelques" années. Ça semble assez peu.) Mon dernier petit ami, (pas de virgule) avait été Mark. J’étais amoureuse de lui, mais je pense que lui, ne chercher (cherchait) qu’à m’avoir dans son lit. J’avais toujours refusé, alors il m’avait quitté (quittée) . Depuis, je n’avais jamais (le "jamais" est de trop alors qu'on sait que Mark était son petit ami, il y a "quelques années" seulement.) eu de copain.

Soudain, un bruit de verre brisé retentit. Je me crispai. J’étais la seule à vivre dans cette maison. J’ouvris la porte en chêne, (pas de virgule) qui séparait ma chambre d’un vaste couloir. En ce moment, ce corridor me paraissait lugubre et interminable. Je descendis les escaliers de la façon la plus discrète possible.  Une ombre noir longe (longea) le mur à une tel (telle) vitesse, qu’elle en est presque imperceptible pour l’œil. Je me retrouve (retrouvai plongée) plongé dans la pénombre. L’ampoule était sûrement grillée. Mes muscles se contractèrent.  Mon cœur battait la chamade. A qui appartenait cette mystérieuse ombre ? Je perçus un craquement qui venait, vraisemblablement, du plafond. Je levais la tête et vis, avec horreur, un homme. Il était suspendu, la tête en bas. J’eu un sursaut. Je m’écroulai au sol, horrifiée.

Fais attention de ne pas soudainement passer au présent au beau milieu d'un texte au passé.
Je n'ai pas tellement de plus à dire que ce que j'ai mis dans le corps du texte, tu as tendance à tellement tout exagérer qu'on ne peut y croire et écrire un récit puis une chute à la hauteur de cette exagération sans perdre toute crédibilité, ça va être très très dur.
Essaye de rentrer plus avant dans le personnage, j'ai l'impression que tu restes un peu en surface. Pour ce qui semble ici être histoire de sentiments, il faut vraiment qu'on soit avec le personnage.
Un petit boulot de réécriture peut-être, sur ce passage mais je me demande qui sera cet homme si merveilleux et ce qu'il lui fera voir...

EDIT: comme me l'a fait justement remarquer le vieux loup, il y a un petit souci de vocabulaire. Une étoile filante n'est pas une comète. Wikipédia peut t'aider : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89toile_filante .

Merci pour tes remarques, je vais revoir tous ça

J'ai retravailler les points qui ont étaient soulignés et ai ajouté la suite (mais pas la fin) :

L’homme à la peau pâle.

Je n’avais jamais rencontré un tel être dans toute ma vie. Je n’y croyais pas, je refusais d’accepter la vérité. Il me serait impossible de l’oublier à présent. Il est ma raison de vivre. Que serais-je sans lui ? Rien. Pourtant, au début, j’avais peur de lui. Il faut dire que je n’aurais jamais pensé voir de telles choses un jour. Et encore aujourd’hui, j’ai du mal à m’y faire.

Tout avait commencé une nuit étoilée. Ce soir-là, à travers la fenêtre de ma chambre, je contemplais les astres qui remplissaient les cieux. J’ai toujours aimé regarder ces points lumineux. Cela me rappelait que le monde est vaste et donc qu’un jour, une personne tiendrait à moi.
A ce moment-là, une étoile filante traversa cette étendu infinie. Alors je fis un vœu. Je suppliai le destin de me donner l’amour. Cela faisait bien quelques années que je n’avais pas connu cette aventure. Mon dernier petit ami, avait été Mark. J’étais amoureuse de lui, mais je pense que lui, ne chercher qu’à m’avoir dans son lit. J’avais toujours refusé, alors il m’avait quitté. Depuis, je n’avais pas eu de nouveau copain.

Soudain, un bruit de verre brisé retentit. Je me crispai. J’étais la seule à vivre dans cette maison. J’ouvris la porte en chêne qui séparait ma chambre d’un vaste couloir. En ce moment, ce corridor me paraissait lugubre et interminable. Je descendis les escaliers de la façon la plus discrète possible avec l’appréhension de me retrouver. Une ombre noir longea le mur à une telle vitesse, qu’elle en est presque imperceptible pour l’œil. Je me retrouvai plongée dans la pénombre. L’ampoule était sûrement grillée. Mes muscles se contractèrent. Mon cœur battait la chamade. A qui appartenait cette mystérieuse ombre ? Je perçus un craquement qui venait, vraisemblablement, du plafond. Je levais la tête et vis, avec horreur, un homme. Il était suspendu, la tête en bas. J’eu un sursaut. Je m’écroulai au sol, horrifiée.

L’individu lâcha prise et tourbillonna dans l’air pour retomber sur ses pieds, sans fléchir. Je ne pouvais voir son visage dans l’obscurité. Je reculais, sur les fesses, terrorisée. Je voulais hurler, mais aucun son ne sortait de ma bouche. L’intrus sauta, brusquement, à une hauteur incroyable et atterrit sur moi. Ses genoux me maintenaient au sol, impossible de me redresser. Je paniquais, je me débattais, mais rien n’y faisait !
-Pitié ! Le suppliais-je
Il approcha son visage près du mien. Je pus voir ses deux yeux rouge sang me fixer. Il poussa un cri pareil à un sifflement de serpent et laissa apparaitre deux longues canines pointues. J’arrivai à peine à respirer, mon sang se glaça. Qu’est-ce que c’est que cette chose ?
Il approcha son horrible bouche vers mon cou. Instinctivement, de mes mains, je tenais à distance sa tête. Lorsque je me rendis compte que c’était peine perdu, la créature fut soulever par une puissante colossal, puis projeté sur ma table qui se brisa sous le choc. Je gémissais tellement j’étais terrifiée. Je ne pouvais me lever, mes jambes étaient comme du coton. Derrière moi j’entendais une lutte acharnée. Je percevais des bruits de fracas, des hurlements de douleurs, puis à la fin, un cri strident. L’atmosphère redevint calme, il n’y avait plus aucun bruit.

Je distinguais ensuite, une silhouette s’approcher de moi. Une main se présenta à moi. Je ne la pris pas. Qui me dit que la personne qui me la tendait n’aller pas me tuer ?

Joeylaplume,

Honnêtement, j'ai été subjuguée par le début de ta nouvelle. Elle nous tiens en haleine, et tes phrases sont souvent courtes comme pour appuyer sur le souffle saccadée de cette fille qui tremble, qui a peur...

J'adore, continue...

Merci beaucoup ! J'y travaille