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 Loup y es-tu?

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MessageSujet: Loup y es-tu?   Loup y es-tu? Icon_minitimeDim 2 Fév 2014 - 22:29

Hellooooooooooo, salutations distinguées et tout le titouin!

Je suis une impétueuse, je n'aime pas attendre et j'ai besoin d'agir dans l'immédiat?
Pour calmer ma soif de vengeance et haine contre mon coté immature, je vais poster le début de mon récit ici, en espérant qu'il est dans son milieu.
Ah et j'adore les avis de tous, surtout ceux qui me font progresser.
Ne prenez pas de gants et n'aimez pas ce que j'écris, je vous adorerais.


"Un simple sourire suffit parfois. Un geste tendre et l'on fond. On pardonne tout à ceux que l'on aime."

      L'élève a la bonne grâce de faire apparaître des rougeurs sur sa face, très charmante d'ailleurs. Trop gentille. Cela la perdra, ici les gentils ont une espérance de vie limitée.Il s'agit d'une de ces espèces en voie de disparition, belles mais inadaptée au nouveau système. On les parque en groupe, elle et ses semblables, et on leurs laisse de quoi survivre car en somme on les envie. Mais la survie reste l'unique priorité de chacun, la seule raison pour laquelle chaque matin on se lève au lieu de rester dans la moiteur amorphe de sa chambre.
     Revenons à cette tendre brebis entourée des plus féroces prédateurs de la planète, unis par leurs même faces d'humains: La Nouvelle Génération. Tous des futurs pourris, des corrompus, des manipulateurs, maniant déjà à la perfection le pouvoir des mots, camouflant tels des caméléons sournois leurs émotions en ne laissant paraître que ce qu'ils veulent te faire voir, quand ils le veulent. Ah, magnifiques machines à dissimulation, programmée pour jouer une comédie écrite avant leur naissance devant un frêle et naïf publique composé de Gen-tils.
     Donc cet îlot de pureté dans mon océan de pouvoir (on peut dire ce que l'on veut, seul le pouvoir corrompt l'homme, n'en déplaise à Rousseau) laisse les traces de la honte agrémenter son innocent visage tandis que le professeur la donne en pâture au pire des châtiments, à savoir nos ricanements de hyènes assoiffée de sang, en lisant sa copie trop mièvre. Et le troupeau se régale de ce rouge qui colore ses joues, l'Assemblée s'attable au grand festin qu'on lui offre avec la plus grande joie, si bien qu'il semble qu'elle n'avait pas mangé depuis des mois déjà. Que nenni, mes amis! Notre dernier repas ne date que d'une heure mais nous connaissons tous les besoins du peuple: du pain et des jeux! Des jeux sanglants où nous jouons tous les roles exceptés ceux des vitimes. Nous sommes à la fois les spectateurs, les juges, les bourreaux et les fauves.
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MessageSujet: Re: Loup y es-tu?   Loup y es-tu? Icon_minitimeMer 5 Fév 2014 - 20:21

khho a écrit:
Hellooooooooooo, salutations distinguées et tout le titouin!

Je suis une impétueuse, je n'aime pas attendre et j'ai besoin d'agir dans l'immédiat?
Pour calmer ma soif de vengeance et haine contre mon coté immature, je vais poster le début de mon récit ici, en espérant qu'il est dans son milieu.
Ah et j'adore les avis de tous, surtout ceux qui me font progresser.
Ne prenez pas de gants et n'aimez pas ce que j'écris, je vous adorerais.
Allez, c'est partit, je te promet de faire ce que je peux!

"Un simple sourire suffit parfois. Un geste tendre et l'on fond. On pardonne tout à ceux que l'on aime."

      L'élève a la bonne grâce de faire apparaître des rougeurs sur sa face, très charmante d'ailleurs. Trop gentille. Cela la perdra, ici les gentils ont une espérance de vie limitée.(espace ici, m'enfin vu que pour l'instant je n'ai que ça à dire, tu t'en sors bien^^)Il s'agit d'une de ces espèces en voie de disparition, belles mais inadaptée(tu es partie pour tout mettre au féminin pluriel, alors continue sur ta lancée, inadaptées) au nouveau système. On les parque en groupe, elle et ses semblables, et on leurs (sans le s ici. J'avoue que les accords de leur me jouent des tours assez souvent, aussi je t'encourage à vérifier la règle aussi souvent que tu as un doute^^) laisse de quoi survivre car en somme on les envie. Mais la survie reste l'unique priorité de chacun, la seule raison pour laquelle chaque matin on se lève au lieu de rester dans la moiteur amorphe de sa chambre.
     Revenons à cette tendre brebis entourée des plus féroces prédateurs de la planète, unis par leurs même faces d'humains (je ne suis pas sûre, mais ici je pense que comme tu fais référence à quelque chose qui les unit, c'est un élément unique qui sera donc plutôt au singulier.) : La Nouvelle Génération. Tous des futurs pourris, des corrompus, des manipulateurs, maniant déjà à la perfection le pouvoir des mots, camouflant tels des caméléons sournois leurs émotions en ne laissant paraître que ce qu'ils veulent te faire voir, quand ils le veulent. (Petite parenthèse, tu annonces en début de paragraphe que tu vas reparler de la brebis, pour finalement ne parler que des prédateurs... Je ne sais pas si c'est voulu, mais ça me donne un peu l'impression qu'on s'égare.) Ah, magnifiques machines à dissimulation, programmée (Même principe que précédemment, garde ton accord jusqu'au bout, donc féminin pluriel.)pour jouer une comédie écrite avant leur naissance devant un frêle et naïf publique composé de Gen-tils. (Pourquoi cette découpe étrange du mot?)
     Donc cet îlot de pureté dans mon océan de pouvoir (décidément je n'ai pas tout suivi, jusqu'ici nous avions des on, parfois un nous, mais je ne me souviens pas d'un je et je m'interroge sur l'identité de celui-ci...), (on peut dire ce que l'on veut, seul le pouvoir corrompt l'homme, n'en déplaise à Rousseau) laisse les traces de la honte agrémenter son innocent visage tandis que le professeur la donne en pâture au pire des châtiments, à savoir nos ricanements de hyènes assoiffée(s) de sang, en lisant sa copie trop mièvre. Et le troupeau se régale de ce rouge qui colore ses joues, l'Assemblée s'attable au grand festin qu'on lui offre avec la plus grande joie, si bien qu'il semble qu'elle n'avait pas (plus me semblerait mieux ici, mais c'est subjectif)mangé depuis des mois déjà. Que nenni, mes amis! Notre dernier repas ne date que d'une heure mais nous connaissons tous les besoins du peuple: du pain et des jeux! Des jeux sanglants où nous jouons tous les roles (rôles) exceptés ceux des vitimes (oubli du c^^). Nous sommes à la fois les spectateurs, les juges, les bourreaux et les fauves.
Bon, pour commencer tu as un style qui me semble très travaillé et sur lequel je n'ai pas grand chose à redire. A voir s'il se lit toujours aussi bien sur quelque chose de plus long, mais pour l'instant je trouve ça agréable.
Ceci dit, tu nous annonces un récit, or pour l'instant, (bon, c'est un extrait très court c'est vrai, mais tout de même) pour moi ça ressemble plus à une critique acerbe vaguement fictionnalisée, et encore, à peine.
Je m'explique : le début de tout récit est extrêmement important, parce qu'il pose les bases. Et ici, la seule base que l'on a, c'est le ton, qui est donné très clairement (bravo) mais pas grand chose d'autre. La voix narrative est encore floue et assez mal identifiée, il faudrait voir à aiguiller un peu le lecteur assez vite (sans nécessairement tout balancer dans un lourd paragraphe de description, mais juste histoire qu'on comprenne qui raconte, à qui on a affaire, quel est le point de vue en somme, sans quoi tout le propos peut rester assez flou...) Par ailleurs pour l'instant aucun personnage ne se démarque, si ce n'est peut-être la foule de "on", seule entité sur laquelle tu t'attardes pour l'instant. Et niveau intrigue, c'est encore très flou également : quelle époque, quels buts, quels enjeux?
Bien sûr, tu as largement le temps et le loisir de développer tout ça, peut-être le fais-tu d'ailleurs dans le paragraphe qui suit, mais selon moi certains éclaircissements méritent peut-être d'être fait plus tôt, pour servir de point d'ancrage au lecteur et maintenir son attention.
Tout ceci n'est que très subjectif et bien relatif, et j'attendrais de voir la suite pour constater si oui ou non mes attentes sont comblées^^

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sombrefeline
Héros Légendaire
sombrefeline


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MessageSujet: Re: Loup y es-tu?   Loup y es-tu? Icon_minitimeSam 8 Fév 2014 - 13:28

Un autre avis que celui de Cerise? En attendant, Khho, n'hésite pas à faire un tour dans les galeries, histoire de commenter les textes des autres membres.
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MessageSujet: Re: Loup y es-tu?   Loup y es-tu? Icon_minitimeSam 8 Fév 2014 - 15:37

Argh je me hais, j'ai effacé ma réponse avant d'avoir pu l'envoyer. Faut que je réécrive touuuuuuuuuuuut.
Avant tout je me dois de vous expliquer que je n'ai accès à l'ordi que le week-end, c'est donc là que je serais présente sur ce forum.
Bref Cerise, merci pour ton avis, je ne t'en demandais pas tant ^^" c'est vraiment sympa de ta part. Et pardonne mon orthographe qui me semblait moins désastreux.
Alors mon style n'est pas vraiment travaillé, c'est juste que je suis dans la tête de mon héros qui est assez... particulier. Ce qui va expliquer les passages confus, les égarements, le coté critique acerbe...
L'orthographe du mot Gen-tils est là pour souligner le mépris de mon personnage pour ce qu'il considère comme une "sous-race".
Pour le reste, j'écris en ne donnant que peu d'informations sur tout, que se soit mon héros, le lieu etc car je suis dans sa tête. Il ne juge pas utile de se décrire, mais je compte donner les informations au fur et à mesure, laisser des pistes... C'est mon petit truc, ne jamais tout donner. Toujours laisser sur sa faim, offrir un texte qu'il est impossible de comprendre au début.
Petit indice, il s'agit purement de SF. Ou du moins pas de notre époque.





     J'attends en souriant la suite des événements, prévisibles mais toujours aussi délicieux: Quoi de plus beau que le blanc qui se salit? Au moment où la frénésie atteint son paroxysme, à tel point que l'enseignant cesse d'enseigner, juste avant que l'agneau à sacrifier ne laisse échapper ses larmes, part de son enfance et de son innocence, dernier aveux de la fragilité de sa nature d'agneau, se lève l'Ange Gardien. D'une voix forte, ce profil de statue grec s'impose avec une aisance diaboliquement rapide d'un sonore "Il suffit!" preuve ultime de son autorité. Un silence assourdissant retentit, remplaçant notre brouhaha silencieux.
     "A quel point le fond est-il le fond? Jusqu'où pouvons-nous aller dans la cruauté? Où sont les limites qui devraient nous retenir? Nous prenons plaisir à bafouer une personne dans toute son intégrité, mais sur quel motif?" etc. Je vous passe la suite. Le registre empathique, bien que banal, est nécessaire pour séduire l'agneau. Mais ce dernier ne voit-il pas que que celui qu'il prend pour son sauveur n'est que celui qui enfoncera le pieu dans son pauvre petit cœur remplit d'amour?
   J'observe mon sujet partir dans ses envolées lyriques tissant sa toile tel l'araignée. Je peux encore agir pour sauver la mouche. Mais les idiots n'ont pas leur place ici. Les faibles doivent mourir. S'adapter pour survivre. Un ennui profond s'abat sur ces gradins maudits, vestiges d'orgies passées et futures. Argh. L'ennui est irrespirable. Je le brise en me levant à mon tour. Avant de continuer il va falloir que je vous explique un des plus grand principe ici, afin que la symbolique de mon geste vous apparaisse réellement.
    Prenez n'importe quelle personne lambda dans cet amphithéâtre à ce moment précis, juste avant que je ne soulève mon corps jeune et vigoureux de ces bancs usés? Que cette personne soit LE mouton galeux, le pire bouc émissaire de l'école, ou encore le pire monstre de ces lieux ( ce qui revient à parler du meilleur élève), si elle se lève, elle commet une erreur. La proie appartient au premier servi, pas au plus fort. C'est inscrit dans les esprits de tous à l'encre rouge. Quiconque transgresse cette règle tacite ne finit pas la semaine vivant. On lui organise son suicide tel une fête somptueuse. Or se lever au moment crucial où le serpent, par ses ondulations lascives, entreprend de séduire le lapin revient à détourner l'attention du lapin du serpent, pour la centrer sur nous. Il s'agit d'une tentative directe de vol avant même que l'objet ne soit possédé. Un attentat direct envers l'honneur du chasseur. Un crime impardonnable, ou du moins pardonnable qu'au prix de nombreux compromis. rares sont ceux qui arrivent à en établir suffisamment avant la fin de la semaine. Et après c'est trop tard.


Bon je referais un post ici avant demain soir, peut-être même cette aprem, et je visiterais le forum ^^"

Et j'accepte tous les avis ^^"
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MessageSujet: Re: Loup y es-tu?   Loup y es-tu? Icon_minitimeSam 8 Fév 2014 - 16:56

Bon, pas le temps de commenter cette suite maintenant désolée, mais je voulais quand même revenir sur ta réponse : je comprend ton parti pris, ceci dit je pense que du coup annoncer plus clairement dès le début que la narration est à la première personne et donc d'un point de vue particulier facilitera la lecture. Je comprend que tu ne veuilles donner que très peu de piste, mais si tu n'en donne aucune ça ne pourra que fatiguer le lecteur, et il n'aura peut-être pas envie de se prendre la tête plus avant sur ton texte. Du coup une petite phrase semée ici ou là en je ou quelque chose de ce genre, plus clair que les on et les nous, serait vraiment le bienvenu je pense. 


Sinon, niveau fonctionnement du forum, ce n'est pas la peine de poster dès ce soir une suite de plus, à moi que quelqu'un ai le temps de venir relire ce nouveau passage d'ici là. On a pas mal de nouveaux textes en ce moment et on a besoin de commentateurs si je puis dire^^ donc ceux qui ont le temps de le faire pourraient se sentir découragée de voir que tu n'attend pas les avis pour avancer.
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MessageSujet: Re: Loup y es-tu?   Loup y es-tu? Icon_minitimeVen 28 Fév 2014 - 17:21

j'ai longtemps appartenu au clan des rougissantes, cela s'appelle de l'émotivité (aigüe me concernant).
même si de façon paradoxale je cassais les briques dans mes prestations d'orateur (ou d'oratrice, mon dico n'est pas a porté de main, dix milles excuses).
le fort, le faible.je crois pas au classement, le déroulement de la vie est trop vaste pour savoir si le perdant du moment ne sera pas le survivant. Même les taupes ont droit au bonheur.
est ce en rapport avec l'ambiance de la fac? j'ai eu l'impression de survivre comme on survit à un chemin des combattants, je n'ai pas vécu cela avec un instinct de steak haché.(sauf peut être quand j'ai préparé avec une total inconscience l'iufm, mais je tourne vite à la vache folle, une vache avec des crocs )
l'envie de s'entretuer de la foule ? sans doute par le fait qu'on ne propose pas l'idée d'une sieste généralisées,avec une distribution de pouf et de grenadine. on préfère entrainer les gens au meurtre plutôt qu'au plaisir.je n'ai pas besoin d'entrainement pour appartenir au camps des doux hédonistes

en gros c'est plus un avis général qu'une critique....
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MessageSujet: Re: Loup y es-tu?   Loup y es-tu? Icon_minitime

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