La Pierre Démoniaque

La Pierre Démoniaque

Salut,
Ton texte est vraiment chouette !! C'est fort bien écrit !
Bravo !!

Certaines zones restent floues pour moi, mais ça pourrait faire un chouette début d'histoire !
Raah, j'oubliais : je suis nulle pour les commentaires, alors c'est sympa, agréable à lire (un peu compliqué ?) mais je laisse le soin aux autres d'être plus pertinant.

La puissance des mots, incroyable ! Tu es un sacrément bon écrivain Gérard. Mais je le savais déjà...
PS : "A l’origine, celles-ci se terrait dans une pierre ", une faute, comme quoi, même chez les plus grands...

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Toujours aussi fort. Et quel virtuosité à éviter la platitude de la répétition des verbes être et avoir à l'imparfait (sauf au début, mais ça ne choque pas).

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Et ma remarque portait surtout sur le fait d'utiliser à tout va ces deux verbes. La richesse et le nombre de ceux utilisés pour éviter leur répétition sont impressionnants.

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Bonjour l'enfer, ça fait bien flipper.
Et ton écriture est incroyablement bien mise à disposition de ton imagination.
Pour chipoter j'ai relevé "elle conspirait au clan des révoltés, elle en était même la leadeur". Je comprends le début mais il est mal formulé et une faute à leader.
Et aussi "Elles se parlèrent avec les mains, inventèrent une langue des aveugles", ça ma parait étrange. Peut-être voulait-tu dire "par des contacts avec les mains"?

C'est... maîtrisé. C'est le seul adjectif qui me vient, là

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Cela me plait beaucoup, presqu'autant, mais dans un registre différent, que les aventures des dames Gurdi et Ledroit.
Et le tutoiement me ferait plaisir, enfin si tu veux bien.

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Quelle voluptueuse noirceure Gérard.
Je suis presque certain que tu envoies tes extraits au fur et à mesure que tu les rédiges. C'en est d'autant plus impressionnant.
J'ai relevé "ils attendaient impuissantes que les émanations rongeassent leurs tendres" qui m'a un peu gêné. Je verrais plutôt "Elles (ou suppression du "elles") attendaient(ou même "attendirent"), impuissantes, que les émanations rongent leurs tendres..."
Il y a aussi quelques virgules qui me semblent de trop ou manquantes.
Le code de désobéissance sortit avec celles qui furent les premières libérées, celles(,) qui acceptaient de faire vœu de lubricité, et sacrifièrent leur corps dans le but de transmettre le virus mutin aux plus faibles qui subissaient passivement la luxure. La contagion, le virus de la rébellion(,) gagna toute la colonie et, quand plus aucune ne voulut se soumettre, la mine devint la plus grande concentration d’énergie capable de soulever les montagnes.
Le combat fut celui de l’agilité, (de)l’hypocrisie, (de)la finesse(,) (et de) la ruse contre la force pure. Il parut irréaliste(,) (et) prodigieux dans la haine et la férocité. Devant le refus de toutes à se soumettre, le Seigneur de la montagne asséna des violences si impensables que, parmi celles qui souffraient le plus, certaines décidèrent de s’entretuer et de plonger en enfer. Dans des boucheries(,) où le sang giclait pour abreuver un(ce?) cloaque immonde, les androïdes se perdirent dans des sanctions inadaptées. Ils frappèrent avec assez de force pour casser des membres, éclater des têtes(,)(et) traverser des abdomens. Dans cette gesticulation aspergée de sang et (d')excréments, Percia, consciente d’être la focalisatrice de cette révolte, assuma ces sacrifices en espérant que le Maitre s’engageât vers la faute.
Dans la fosse putride(,) où se débattaient les âmes qui n’aspiraient qu’à se blanchir, avec (l'aide de?) quelques unes, elle réussit à échapper à la surveillance des androïdes incapables de gérer les pulsions criminelles de celles qui s’acharnaient sur les corps étripés, jonchés sur le sol et mêlés à la glaise puante.
Cachée dans un interstice suintant l’acide, elle rampa comme une larve dans une cavité, où elle fut vite prisonnière des éboulis de chaux qui, sur sa peau suppurante, la brulait. Toutes les cinq enfermées, cloitrées dans la roche, immobiles, serties dans la montagne, ils attendaient impuissantes que les émanations rongeassent leurs tendres chairs d’enfants. Elles comprirent qu’elles ne pourraient pas survivre et que(,? ou qu'une fois mortes...)) mortes, elles subiraient une punition éternelle aux enfers
Mais c'est juste mon avis, pour donner un rythme plus soutenu en fonction des évènements de ton récit.

Citation :

aspergée de sang et [d']excréments,

Citation :

Toutes les cinq enfermées, cloitrées[cloîtrées] dans la roche, immobiles, serties dans la montagne, ils[elles] attendaient impuissantes que les émanations rongeassent leurs tendres chairs d’enfants

_ J'aime bien ce récit assez " strange", mais, non dépourvu d'effets.

Helène, il me semble que depuis 1991 l'utilisation de bon nombre de ^a été supprimée. Je n'en suis pas certain, mais je vois ça sur les nouveaux dictionnaires, donc j'en parle ici.
En espérant que Gérard ne m'en voudra pas de polluer son espace.

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T'écris très bien mais, wao, qu'est-ce que ça devient gore!

Si tu pouvais lire dans mes pensées, tu verrais un jeune adulte assez impressionné par ce qu'il vient de lire.

C'est vraiment bon. J'ai rien a dire, c'est appliqué...ça approche de la perfection...

vraiment hâte la suite, savoir ce qui se passe. tu nous tient en haleine et les descriptions sont excellentes.

Tu choisis les bon mots, expressions...

Encore.

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hé ben!

il se passe des choses et on comprend très bien ce qui se passe.

Pour de la fantasy n'est-ce pas trop gore? comme l'enfant qui se fait décapité la tête?
Toujours exellent =D

Et oui, toujours très bien écrit. Je ne t'apprends rien en te disant que tu es un vertuose des mots...et de la mise en scène macabre.
Quoique l'elfe nous laisse, quand même, entrevoir un soupçon de clarté.

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rhoo, vite vite la suite!

ca devient une drogue là =D

je vais tout mettre sur open officer writter, me l'imprimer et me le relire lol