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**Admin** Nombre de messages : 142 Date d'inscription : 09/03/2007

Texte n°2

Boules de poils… deviendra grand

Faim.

J’ai faim ! Mère ne sort plus de la grotte. Depuis trois soleils. Père est seul pour apporter à manger. Ca fait trop longtemps qu’il est dehors. Petites sœurs vont mourir ! Ma fourrure est assez épaisse. Je n’ais pas froid. Mais la faim tue plus vite.
Lentement, je me traine vers mère. J’espère qu’elle va me répondre cette fois. Je pose ma tête sur la sienne. Seul un once pouvait parler de la manière que j’utilisais.
Mère, répond moi… Mère ! C’est moi. Qu’est-ce qu’on doit faire ? Sœurs ne vont plus tenir longtemps
Mon fils… je sens que je quitte ce monde. Viens, j’ai des choses à te confier.
Tu ne peux pas nous quitter comme ça. On a besoin de toi.

Ma mère… La personne qui était toujours là pour moi. Depuis ma naissance. Celle qui m’avait allaité, protégé. Qui m’appris à communiquer avec le monde… Non ! Elle ne pouvait pas nous quitter. Pas elle, pas maintenant…
Un once ne peut pas pleurer. Mais il peut éprouver de la peine. Et beaucoup d’autres sentiments humains. Comme une vague de déception, de douleur. Comme celle qui m’envahissait en cet instant précis. Je n’avais même pas encore six lunes. Et voila que j’allais être le responsable d’une famille…

Je te fais confiance pour garder tes sœurs en vie. Si ton père n’est toujours pas de retour, cela ne peut vouloir qu’une chose. Les Deux-Pattes l’on trouvé, comme ils nous ont trouvé. Ils ne doivent pas être content d’avoir perdu un des leurs…Tu vas devoir sauver la famille. Cette vallée a toujours été notre, et cela ne doit pas changer. Maintenant, ferme les yeux et concentres toi. Je vais te narrer l‘histoire de notre race.

Alors, ma mère m’apprit un savoir qui me dépassait. Moi qui n’avais même pas appris à chasser convenablement. Les onces étaient une race ancienne. Elle régnait il y a longtemps sur les monts enneigés du monde entier. Puis l’homme arriva.
Et tua.
Il nous appela panthère blanche. Il nous traqua pour notre fourrure. Aussi pour le simple honneur d’avoir tué une noble créature…
Aujourd‘hui, l’homme venait de violer un sanctuaire de plus. Notre vallée. Mère avait payé le prix fort. Elle ne s’en remettrait pas. Père ne chassait pas. Il se vengeait. Jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Puis Mère me fit un nouveau don. Encore plus précieux. Son expérience. Sa vie défila, de sa naissance au moment présent. Je muris en même temps. Elle venait de me doter de tout ce qui me manquait. Ou presque : la force ne viendrait pas aussi facilement. Heureux de la confiance qu’elle avait en moi, car elle venait de me confier sa vie entière, je me mis à lui lécher l’oreille.
Je compte sur toi petite Boule de poils…
Ce n’est qu’à ce moment que je compris ce qu’il s’était vraiment passé. Mère venait de voir sa vie défiler, alors qu’elle se trouvait au seuil de la mort… Et elle m’avait partagée sa vie. Plutôt que de partir en paix avec ses actes, elle me les avait légués…
Mère, Mère, réveille-toi ! Je t’en supplie ! Pas ça, pas maintenant ! Non…

Malgré que je sois le plus mur, celui avec le plus de chance de survire de ma portée, je n’étais qu’un gosse, qu’une petite boule de poils… Comment aurais-je pu espérer rester en vie ? Ma Mère venait de mourir… mourir… Je me roulais en boule, contre ma mère… Cherchant un peu de la chaleur qu’elle me dispensait lors de mes premiers jours.
Rien… Rien que la froideur cadavérique d’un corps mort. Elle n’était plus… il fallait bien s’en faire une raison…
Sœurs, il faut partir, vite !
Où est Mère ? Mère, c’est toi ?
Mère n’est plus. Père la rejoindra peut-être, ou nous. Mais il faut partir car l’homme nous trouvera tôt ou tard.
Mais qu’est-ce que tu dis ? Tu es fou ?
Ecoute ! Ne discute pas et suis moi !

Sans le faire exprès mon cri fut suivi d’une claque mentale qui fit sortir de leur torpeur mes sœurs. Elles suivirent alors sans hésiter. L‘une d’elle s’attarda pourtant sur le cadavre de Mère, chose que je comprenais parfaitement.

Courage, même si elle n’est plus, son esprit veille sur nous.

Cela ne lui parut pas étrange, et elle me suivit gentiment, même si son chagrin était perceptible par le lien qui nous unissait.
Au loin, des aboiements retentirent. L’homme avait lancé sa meute de chiens.

Courez vite ! Notre vie en dépend !

J’étais affaibli, mais mes sœurs encore plus, et je me fis un devoir de les pousser, de les motiver, même si la meute hurlante à nos trousses étaient déjà très stimulante…

La nuit commença à tomber lorsqu’il devint évident que fuir ne servirait à rien. Nous étions quasiment morts de fatigue, et les chiens ne cessaient de nous rattraper, petit à petit, nous poussant à l’hallali.

Stop… autant affronter notre mort en dignes once.

Et malgré la fatigue, mes trois sœurs se dressèrent fièrement face aux chiens qui étaient maintenant à quelques centaines de mètres de nous. Cent mètres nous séparaient maintenant d’une mort sale. Cinquante. Quarante. Des buissons bougèrent à ma gauche. Trente. Quelque chose d’autre approchait. Vingt. Je reconnus l’odeur. Dix. Un once aux multiples blessures bondit, nous survolant, et atterrit directement sur l’un de chiens, lui brisant la colonne vertébrale.
La lutte débuta. Père était puissant, très puissant, mais déjà affaibli et assailli de toute part. Les chiens volaient sous ses coups de patte, mais ils revenaient toujours à la charge. L’un d’eux glissa vers nous, et nous aperçut. Il décida brusquement de change de proie.
L’instinct se réveilla en moi alors que l’animal déchirait le ventre de l’ainée des sœurs. Je sautais sur la bête et lui planta mes petites griffes sur son cœur. Il mit quelques secondes avant de comprendre qu’il devait cesser de battre… Et mes deux jeunes furent sauvées…

Mais pas mon Père…

Nous nous enfuîmes… Sachant qu’il ne pourrait pas gagner… Comme Mère, il nous avait fait un don. La vie…

La vallée devait rester aux onces. Et elle le resta.

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**Admin** Nombre de messages : 142 Date d'inscription : 09/03/2007

Texte n°3

Je m'extrais lentement d'un rêve agité où je m'imaginais poursuivre une ombre ailée.

Mes deux paupières s'ouvrent et une troisième plus fine coulisse sur le côté. Je perçois le plafond au-dessus de moi. Il fait sombre, mais j'y vois parfaitement clair. Mes iris se dilatent en deux gros disques noirs pour laisser entrer un maximum de lumière. La membrane brillante située sur chacun de mes yeux reflète les rayons lumineux et je distingue mon environnement comme de jour. Heureusement qu'il ne fait pas totalement noir, car sinon, même moi, je ne verrai rien du tout.

Je me dresse paresseusement sur mes pattes, quelque peu engourdies par mon sommeil réparateur. Je me cambre, je bâille en ouvrant grand les mâchoires, et mon dos s'étire en tremblotant. Que ça fait du bien !

Avant d'aller vagabonder, je m'impose une toilette rapide. Je tords mon cou pour me lécher le dos. Ma langue râpeuse lisse mes poils et les débarrasse des impuretés. Au passage, j'ingurgite les vitamines qui s'y sont accrochées. C'est une des raisons pour lesquelles je déteste les bains. En plus de m'irriter les yeux, le savon me dépouille de mon odeur et de toutes ces vitamines dont j'ai besoin.

Je dépose ensuite un peu de salive sur mes pattes et je frotte l'arrière de mes oreilles avec. Puis je me lave brièvement le torse, le ventre et les flancs.

La toilette terminée, je suis fin prêt à affronter le monde.

Je trottine jusqu'au bord du lit, et je saute. Mes coussinets amortissent ma chute et feutrent mes pas tandis que je progresse dans un couloir. Il fait plus sombre ici, alors je me sers de mes vibrisses, de longs poils bien pratiques qui s'étirent sur mes joues et mes sourcils. Grâce à elles, j'évite de me cogner contre le mur. De toute manière, je connais pratiquement par coeur le trajet.

J'arrive au seuil d'une porte. Mon esclave, un bipède géant fort utile mais quelque peu agaçant parfois, la laisse entrouverte à mon intention. Il sait que j'aime les virées nocturnes. Cela n'a pas été facile de le dresser. Les premiers temps, j'étais forcé d'aller le trouver et de le réveiller à coups de miaulements bien sentis pour qu'il se lève et consente à me libérer.

Je passe le bout de mon museau dans l'ouverture et j'observe l'extérieur un moment. L'endroit semble calme. Je décide, avant de plonger dans l'air frais de la nuit, de lapper un peu d'eau dans mon écuelle. Puis je sors.

Le vent me hérisse le poil. Il ne fait pas chaud. Je m'asseois sur le carrelage de la terrasse, les sens en alerte. Les vingt-sept muscles de mes oreilles me permettent de les orienter indépendamment l'une de l'autre dans des directions différentes, pour couvrir un vaste terrain sonore. Grâce à mon tympan surdéveloppé, j'isole les bruits lointains de ceux qui sont plus proches.

Aucun danger ne se profile à l'horizon. Je me relève, puis je m'enfonce dans les haies qui bordent le jardin. Ma démarche se fait plus souple. Les feuilles frôlent les extrémités de mes vibrisses, occasionnant une cécité sensorielle, et mon visage s'agite de petits tics. Ca ne fait rien. Ma vue accrue compense ces désagréments.

Soudain, je perçois une odeur. C'est fort. Les deux cent millions de cellules olfactives qui tapissent l'intérieur de mon nez frémissent. J'identifie les relents. Ils me sont connus. C'est un excrément.

Je suis sur la bonne piste.

Tout en me faufilant à travers la haie, je jette des coups d'oeil au-dessus de moi. Je n'ai pas besoin de beaucoup lever les yeux, ma vision couvrant un champ de deux cent quatre-vingts degrés. Les airs sont vides de toute présence, hormis celle du vent.

J'arrive au bout de la haie. En face de moi se dresse le tronc d'un vieux cerisier. J'analyse rapidement la distance entre la branche la plus basse et moi. Avant de sauter, je m'assure une dernière fois qu'il n'y a pas de danger à proximité.

Et je bondis.

Mes pattes arrière me propulsent dans les airs. Je contracte les muscles de mes avant-bras, ce qui provoque l'ouverture de minuscules barrières de peau qui retiennent mes griffes et les protège de l'usure. Je plante mes doigts crochus dans l'écorce de la branche et je me hisse en soufflant. Je commence à être un peu vieux, il faut dire. Je m'accorde deux secondes pour me remettre de ces acrobaties. Puis je me remets en chasse.

Pas de trace de ma proie. En bon équilibriste, j'escalade la branche. Je me sers de ma queue comme d'un balancier pour ne pas tomber. Mes griffes assurent mes prises. Je grimpe, je grimpe.

Tout à coup, j'entends un bruissement d'ailes, tout près. Je me fige, oreilles et queue dressées.

L'oiseau pousse un piaillement, avant d'atterrir sur la branche voisine à la mienne.

C'est lui. L'ombre ailée de mes rêves.

L'animal choisi est un chat.

Texte n°4

Une vie de rêve.

La prochaine attaque sera la bonne. Je le surveille de loin, espérant qu’il ne sache pas où je me cache. Deux fois déjà je lui ai bondi dessus et par deux fois il m’a contré. Comment fait-il ? Je cherche à comprendre. Le prendre par surprise sera mon seul atout. Je sens sa peur par delà l’odeur de l’herbe humide. Me craindrait-il quand même ?

Je le contourne sans bruit, évitant toutes les feuilles mortes sur mon passage. Je suis souple et c’est mon plus grand avantage. Mes pattes ne font qu’effleurer le sol. Que je suis heureux de mener cette vie ! Être un loup c’est tellement exaltant ! Je ne pense qu’au jour le jour. Pas besoin de m’encombrer de pensées sur mon futur ni sur mon passé, chez moi ça n’existe pas. La seule chose qui m’importe c’est ma survie et la chasse.

Je le surprends là où il ne m’attend pas. Nos pattes se touchent et c’est à celui qui fera le plus de mal à l’autre. J’attends impatiemment une ouverture pour pouvoir le saisir de mes crocs. Et au moment où je ne m’y attends pas, j’en perçois une et je le saisis à la gorge. Il hurle, il se sent vaincu. Quelques gouttes de sang viennent tâcher son pelage et je sens ses forces lui échapper. Il se laisse coucher sur le sol humide, en guise de soumission. Doucement je le lâche et jette un œil de l’autre côté. Sa femelle est là, déçue de le voir ainsi perdre son statut de chef. Enfin je suis le chef de notre meute !

Le vaincu me regarde et se relève. Il me tourne le dos et s’en va comme il en est de coutume. La femelle s’approche de moi et frotte son museau au mien. Maintenant je suis son mâle. Les autres loups et louves arrivent afin de saluer leur nouveau chef. Je les laisse s’approcher un à un de moi. Mais la fatigue me prend et je m’allonge tranquillement afin de me reposer un peu, la bataille a été dure !

Un bruit. Je l’entends à peine. Je hume l’air. Un animal s’approche tout doucement de moi. Je me lève et essaye de percevoir sa position. Il est dans les buissons. Ainsi j’ai vu juste. Je m’avance vers lui prestement afin de ne pas me faire entendre. Peut-être ignore-t-il qu’il est sur mon territoire. C’est un rat, j’en suis persuadé. Ma femelle lève la tête, elle l’a entendu aussi. Je contourne le buisson et m’apprête à le saisir par surprise. En deux mouvements je suis sur lui, mes crocs plantés dans son cou. Il se débat quelque peu mais j’y mets toute ma force et bientôt ses forces l’abandonnent. Je l’amène auprès de la louve afin qu’elle puisse le donner aux louveteaux. Elle me remercie d’un frottement de museau et s’en va. Je me dirige alors vers la petite rivière et je lape un peu d’eau. Je me roule sur l’herbe, satisfait de moi. Ma femelle revient vers moi et s’allonge. Elle hurle tout doucement en guise de soumission. Je l’approche et la saisis par le cou tout en prenant soin de ne pas trop lui faire mal. Bientôt je serais père. Être chef de meute, quel bonheur !

[Troisième concours d'écriture] --> Venez voter Loup

**Admin** Nombre de messages : 142 Date d'inscription : 09/03/2007

Texte n°7

Another day in paradise

Je m’éveille doucement en sentant quelque chose d’humide sur mon museau. Entrouvant un œil, je suis ébloui par le soleil qui éclaire joyeusement la petite clairière. La petite goutte de rosée qui, audacieusement, m’a tiré du sommeil, glisse lentement le long de mon museau. De ma langue, je la goute et m’émerveille de sa fraîcheur.

Maintenant complêtement réveillé, je me redresse doucement sur mes quatre pattes. Je promène mes yeux endormis autour de moi et je les laisse savourer les couleurs chaudes et douces du matin : la teinte cacao des troncs d’arbres tranche de manière délicieuse avec l’émeraude des feuilles et de la mousse gorgée de rosée. J’approche ma bouche du sol et, d’un coup de dent, j’arrache une portion généreuse d’herbe que je mastique longuement et avec déléctation.

Le vent se lève soudain et, alerte, je dresse mes oreilles sensibles pour guetter le danger. J’attends… Rien ! Apaisé, je reprends mon repas en écoutant les bruits de la forêt. Le souffle de la brise chante dans les feuilles, et sa mélodie douce accompagne de façon naturelle le pépiement gai des oiseaux.

Je deviens conscient de Sa présence. Derrière moi, Elle avance doucement, puis me frôle. Je ressens, comme à chaque fois, un frisson qui me traverse et aiguise mes sens. Vers Elle, lentement, je tourne mon regard.

La perfection, que dire de plus ? Ses yeux marron sont des portes vers un autre monde, lointain et magnifique. Sa fourrure, d’une couleur ocre, est lisse et propre. Je me retiens de la toucher, de peur de l’abimer ! Et pourtant, m’y lover est mon vœu le plus cher, mon obsession, ma seule raison d’exister.

Je la suis alors qu’Elle avance à pas feutrés. Nous dépassons l’orée de la forêt, et le vent souffle maintenant librement contre mon visage heureux. La vie remplit mes poumons et je lance un cri puissant, primitif. Elle se tourne vers moi, surprise, mais Ses yeux si beaux me sourient.

A perte de vue des champs de blés ondulent sous le souffle du ciel comme une mer jaune pâle légèrement houleuse. Lorsqu’ils rencontrent la forêt, les champs semblent s’y perdre et s’y mêler, dans un camaïeu insolite de sinople et de paille. Mais mon voyage n’est pas terminé, et encore – et pour toujours – je la suis.

Bien avant de la voir, j’entends le murmure chantant de la cascade. Lorsque je lui fais face, sa mélodie est devenue asourdissante, un hymne à la félicité. Dans les gouttes qui jaillissent au pied de la paroi, où des trombes s’abattent avec fureur, les couleurs se mélangent et s’entremêlent. Le violet côtoie le rose pâle, le saphir se marie à l’agathe, et l’azur englobe et magnifie cette communion.

Sur la pierre chauffée par le soleil, je m’installe à Ses côtés. Ivre de bohneur, je tourne vers Elle mon regard. Dans la lumière matinale, Ses yeux merveilleux me renvoient ma joie comme un miroir. Encore un jour au paradis.

Invité

Wooow, y a du bon !

Par contre, c'est peut etre moi qui bug encore, mais as-tu bien selectionne deux votes par personnes ? Car, des que je cliques sur mon 2e choix, le premier disparait...

Invité

Je pense comme Ellias. Le deuxième vote n'est pas sélectionné...

Du coup cela m'a évité d'avoir à choisir le deuxième...

Même si après un long temps de décision, j'aurais voté pour le 2...
Si ma voix est décisive, elle pourra être prise en compte.

Il y a eu un léger soucis, tout est règlé, vous avez bien 2 votes disponibles. Pour la personne qui n'a pas pu voter une seconde fois, nous prendrons en compte son vote, aucun problème ::rolling::

Invité

Bon... je rencontre toujours le meme probleme donc... je vote 3, normalement.

Et mon second vote est le 5 !

Je n'ai pas pu,non plus,faire mon deuxième vote.
Donc si c'est bien pris en compte pour la suite,j'aimerais le donner au texte 4.

**Admin** Nombre de messages : 142 Date d'inscription : 09/03/2007

Oui, bien sur votre deuxième choix sera pris en compte, pour ça il y a aucun soucis.

Par contre il y a un problème dans les options du sondage car nous ne pouvons cocher la case, "plusieurs choix possible". scratch

Dès que le problème sera réglé, nous vous avertirons.

En attendant, merci de bien vouloir nous dire pour quel texte vous donner votre deuxième vote comme l'on fait Akira, Ellias et Morrigan.

C'est bizarre, j'arrive parfaitement voter 2 fois...

**Admin** Nombre de messages : 142 Date d'inscription : 09/03/2007

Moi aussi j'y arrive scratch

Invité

Je vote 4 et 6

j'ai mit 4 mais je ne peux aps mettre 6 aussi bizare

enfin voilà pour moi c'est 4 et 6 Very Happy

Bon apparemment, il y a un problème technique ; je me suis renseigné, le problème n'est pas un cas isolé, d'autres gens semblent avoir eu exactement le même problème.

Merci de patienter, je vous donnerai des nouvelles lorsque j'en aurai et que tout sera arrangé.

Le délai pour voter sera sûrement repoussé de quelques jours.

Merci

Bonjour,

Le problème technique n'est toujours pas règlé, mais le topic est réouvert.

Vous ne pouvez faire qu'un seul choix, alors choisissez bien génial

Bon vote à tous

Invité

A voté

Tout pareil Wink

Invité

A woté =)

Le temps de vote est décalé je suppose?

Evidemment, mais la date n'est pas encore fixée...

Invité

Ah, un seul choix... dur dur...

Allez, a voté ! Le 3; parceque je l'adore !!!

Il est possible que nous mettions en place un système de "qualification" pour ce concours (étant donné le petit soucis technique...) Les 3-4 meilleurs textes issus de ce premier vote subiront un second vote des membres du forum afin d'en tirer le meilleur. Comme un tournoi, si vous préférez.

Invité

ok mais celui qui a posté le texte vote pour lui?enfin peut voter pour lui?car si oui c'est pas superbe ...

Bien sûr qu'il peut voter pour lui. Maintenant, le but ici n'est pas de voter pour son texte, mais pour celui que nous trouvons le meilleur. Donc s'il pense que son texte est le meilleur, il votera pour lui ::rolling::

Invité

sniiiiiiif j'ai pas pue participer au concour (demenagement)
mais bon apparement y'a une grande cdiversité d'animaux j'ai pas encore voter
à vrai dire j'ai encore rien lue
mais je souhaite bonne chance à tout les participants
c'est bien comme sujet panda-chan ^^ ::yes2::

Invité

Hum... pour ce concours, c'est pas évident de choisir ... Honnetemet je crois qu'il y a du niveau, je trouve la plupart des textes très bon, mais j'ai quand même une préférence pour le 2 et apparemment, je ne suis pas la seule ^^.

Invité

Non en effet !

Mais le fait de n'avoir qu'un vote ne permet pas d'avoir un très nette majorité...

C'est dommage je crois ! (j'avais mmis du temps à me décider)

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