Les chevaliers dragons

Voici un petit texte, dites moi se que vous en pensez et se que je doit améliorer.
Je l'ai fais pour l'exercice de désaseptisation.

Tiyan a écrit:

Renan sentait son cœur battre la chamade. Le messager lui avait apporté de bien mauvaises nouvelles. Le chevalier avait reçu l’ordre de retourner immédiatement à Olcinea, la capitale du petit royaume de Siikéor. Elle se trouvait au nord de Somir, une petite bourgade bordée par le lac Ostila. Il se doutait que l’on le rappellerait que pour une bonne raison mais ses pensées étaient entièrement tournées vers Alia, sa compagne qu’il lui faudrait quitter une fois de plus.

Il chassa ces pensées en se concentra sur les attaches de son armure qu’il était en train de noué avec dextérité. Ceci terminé, il s’attaqua ensuite aux jambières puis aux gantelets. Renan vérifia en regardant dans son miroir si tout était en ordre. Il se regarda lui dans son armure en linil, un métal rare et plus souple que les autres tout en étant aussi résistant, et fit bougé ses bras et ses jambes. Rien aucun problème. Il prit alors son heaume, son épée noénienne et son large bouclier.

Il sortit alors promptement de sa chaumière et se dirigea vers les étables. Celles-ci étaient grandes, heureusement vu se qu’elles devaient parfois accueillir, et propre. Il alla directement à la dernière stalle dans laquelle l’attendait Onrir, son dragon. Malgré l’odeur légèrement désagréable, il ne pouvait s’empêcher de l’admirer : la créature devait faire approximativement trois mètres de haut et avait, comme tous le dragon de sa race, de grandes écailles noire bordées d’un soupçon de rouge. Ses grandes ailes elles aussi noires étaient repliées au dessus de son dos et ses grand yeux jaunes brillaient dans la pénombre du bâtiment.

- Comment vas-tu, mon grand ? demanda Renan. Tu est près pour faire de la route j’espère.

L’immense saurien baissa sa grande tête bardée de corne en signe de respect puis tendit le cou pour sentir son maître. Ce dernier entra dans le box, flatta ensuite les écailles de la bête puis monta en selle. Le messager avant donc bien transmit son ordre.

- Ecuyer, pouvez vous m’ouvrir les portes ? fit le chevalier.

- Bien sur, monseigneur, répondit un jeune homme habillé d’une culotte courte, d’un dessus sale et de vielle chausses. J’y vais de ce pas.

Le serviteur sortit du bâtiment pour accéder à la demande de Renan puisque l’on ouvrait les portes de l’extérieur. Quand ce fut fait, le chevalier s’adressa à sa monture.

- On y va Onrir.

Le dragon sortit d’abord de l’étable puis, après avoir un instant laissé le soleil lui caresser les écailles, il ouvrit grand ses ailes et poussa sur ses pattes arrières. Renan, un peut secoué
par le décollage comme à son habitude se redressa et regarda une dernière fois Somir et dit :

- A bientôt mon amour.

Merci d'avance!

Okay, 1ère critique, je me lance

Je dirais d'abord, attention à l'orthographe, notamment à l'accord des participes passés.

Ensuite, un truc qui me gêne, c'est de le décallage entre la richesse apparente du personnage : un chevalier avec un dragon, une amure... et l'endroit où il vit : une chaumière et une étable pour un dragon de 3 m.

Enfin, je vais faire ma chieuse, mais mettre une armure seul, c'est assez compliqué (pour ne pas dire impossible). souvent, pour enfiler une armure, notamment pour lacer les jambière, c'est mieux d'avoir de l'aide.
En plus, l'armure ne se portait jamais à mème les vêtements, mais au dessus de généreuse protections (genre gambison).

J'ai aussi un peu de mal avec le concept de métal souple pour une armure. le principe d'une armure, c'est de protéger, d'être la plus résistante possible. un métal souple qui va s'enfoncer sous les coups n'est pas une super idée.

Sinon, dans les points positifs, je trouve ton style assez fluide à lire, avec un vocabulaire varié. le personnage est accrocheur, on a envie de connaître son histoire, savoir comment il en est arrivé là et ce qui va lui arriver ensuite

Alors j'avais pas bien compris ta demande, pour mettre un texte de se genre il faut le mettre dans la galerie, un modérateur va le déplacé, cette section (Table ronde) c'est plus pour expliquer le monde de son livre et tout le reste. Lis ce qu'on fait les autres.

Pour ton texte, relis toi bien, il y a des phrases qui ne veulent rien dire

Citation :

Il chassa ces pensées en se concentra sur les attaches de son armure
en se concentrant/et se concentra une des 2 phrases serait plus logiques

ou des fautes qui piques les yeux

Citation :

Tu est près pour faire de la route j’espère.
tu es

Pour tes descriptions, prends ton temps et développe les un peu plus. Pour la description des villes j'ai lu tellement vite que je ne me souviens pas d'où elles sont situées l'une par rapport aux autres. Tu ne dis pas où est la chaumière du chevalier par rapport Olcinea ou Somir.

Le chevalier rappelé par le royaume pour sauver le monde ça fait un peu cliché mais avec ce court passage on ne peut pas se faire une idée.

Relis ton texte, modifie le un peu et repostes le, on est là pour te dire ce qu'on en pense.

Je déplace dans les Galeries

J'ai essayé de corriger ceci et j'ai fais un petit ajout.

Renan sentait son cœur battre la chamade. Le messager lui avait apporté de bien mauvaises nouvelles. Le chevalier, comme tout les autres du pays, avait reçu l’ordre de retourner immédiatement à Olcinea, la capitale du petit royaume de Siikéor. Elle se trouvait au nord de Somir, une petite bourgade bordée par le lac Ostila. Il se doutait qu'on ne le rappellerait que pour une bonne raison mais ses pensées étaient entièrement tournées vers Alia, sa compagne qu’il lui faudrait quitter une fois de plus.
Il chassa ces pensées et se concentra sur les attaches de son armure qu’il était en train de noué avec dextérité au dessus d’une couche de vêtements rembourrés. Ceci terminé, il s’attaqua ensuite aux jambières puis aux gantelets. Renan vérifia en regardant dans son miroir si tout était en ordre. Il se regarda dans son armure en linil, un plus métal rare et plus résistant que les autres, et fit bougé ses bras et ses jambes. Rien, aucun problème, l’armure épousait parfaitement son corps comme d’habitude. Il prit alors son heaume, son épée noénienne et son large bouclier.
Il sortit alors promptement de la chaumière qui lui servait pour le moment de résidence et se dirigea vers les étables. Celles-ci, situées juste devant le la pointe sud du lac Ostila, étaient grandes, heureusement vu se qu’elles devaient parfois accueillir, et propre. Il alla directement à la dernière stalle dans laquelle l’attendait Onrir, son dragon. Malgré l’odeur légèrement désagréable, il ne pouvait s’empêcher de l’admirer : la créature devait faire approximativement trois mètres de haut et avait, comme tous les dragons de sa race, de grandes écailles noire bordées d’un soupçon de rouge. Ses grandes ailes elles aussi noires étaient repliées au dessus de son dos et ses grand yeux jaunes brillaient dans la pénombre du bâtiment.
- Comment vas-tu, mon grand ? demanda Renan. Tu es près pour faire de la route j’espère.
L’immense saurien baissa sa grande tête bardée de corne en signe de respect puis tendit le cou pour sentir son maître. Ce dernier entra dans le box, flatta ensuite les écailles de la bête puis monta en selle. Le messager avait donc bien transmit son ordre à l'homme en culottes courtes et en billes chausse qui se reposait à présent dans la paille..
- Ecuyer, pouvez vous m’ouvrir les portes ? fit le chevalier.
- Bien sur, monseigneur, répondit le jeune homme . J’y vais de ce pas.
Le serviteur sortit du bâtiment pour accéder à la demande de Renan puisque l’on ouvrait les portes de l’extérieur. Quand ce fut fait, le chevalier s’adressa à sa monture.
- On y va Onrir.
Le dragon sortit d’abord de l’étable puis, après avoir un instant laissé le soleil lui caresser les écailles, il ouvrit grand ses ailes et poussa sur ses pattes arrières. Renan, un peut secoué par le décollage comme à son habitude se redressa et regarda une dernière fois Somir et dit :
- A bientôt mon amour.

Je corrige quelques fautes

Tiyan a écrit:

Il se doutait que l’on le rappellerait que pour une bonne

il se doutait qu'on ne le rapellerait que pour une bonne...

Tiyan a écrit:

Il se regarda lui dans son armure en linil

Il se regarda lui dans son armure en linil

Tiyan a écrit:

comme tous le dragon de sa race

comme tous les dragons de sa race

Tiyan a écrit:

Le messager avant donc bien transmit son ordre

?

Tiyan a écrit:

un peut secoué par le décollage

Un peu secoué par le décollage

les descriptions passent mieux, bien que certaines me gène encore comme celle-ci

Tiyan a écrit:

- Ecuyer, pouvez vous m’ouvrir les portes ? fit le chevalier.
- Bien sur, monseigneur, répondit un jeune homme habillé d’une culotte courte, d’un dessus sale et de vielle chausses. J’y vais de ce pas.

j'aurais plutôt mis :

Citation :

Un jeune homme habillé d’une culotte courte, d’un dessus sale et de vielle chausses se prélassait sur un banc lorsque le chevalier sorti de la chaumière.
- Ecuyer, pouvez vous m’ouvrir les portes ? demanda le chevalier.
- Bien sur, monseigneur. J’y vais de ce pas. répondit-il en se dirigeant vers l'étable

Il s'agit juste d'un exemple, tu peux lui faire faire autre chose. Le fait de décrire l'écuyer pendant qu'il parle arrête l'action, cela passe mieux si tu lui fais faire une action. Je sais pas si tu comprends ce que je veux dire? cela fait plus fluide dans la lecture.

Merci pour tes conseils Mysticus, j'ai corriger le texte.
Voici la suite:

Cinq années avant, dans le Palais des Larmes.

Un adolescent était assit sur une corniche de laquelle il surplombait la cour du palais. Le grand bâtiment était fait de trois blocs positionnés en forme de « U ». Au centre, s’étendait une large cour pavée. Au delà, se trouvait tout d’abord les jardins et plus loin encore, la ville et la forteresse d’Olcinea.
Une femme sortit sa tête par la fenêtre aux grands carreaux qui s’ouvrait à un mètre du jeune homme.
- Réveille-toi Renan, tu devrais déjà être préparé, fit la femme d’un ton exaspéré. Vas mettre ta tenue.
Elle repartit en grommelant tendit que le garçon se levait prestement et souplement. Il se joua du vide quelques instants avait de pénétrer le Palais par la fenêtre. Maintenant qu’il avait pu réfléchir, il se sentait plus léger. Ses craintes et ses doutes avaient été balayés et il était à présent serein.
Il se dirigea vers sa chambre mais en chemin, son attention fut attirée par une chose inhabituelle. Une porte, qui était généralement fermée, était ouverte. Sa curiosité fut piquée au fit et il s’aventura dans l’étroit escalier en colimaçon. Ce dernier le mena dans un grand débarra où se trouvait, en plus de nombreux coffres et autres piles de tapis, une immense étagèrent où reposait de lourd et grand livres.
Un homme se tenait devant l’énorme meuble. Il se retourna quand, par la faute de Renan, une tasse en porcelaine éclata sur le sol. Le fautif, qui n’avait jusque là pas repéré la présence de l’inconnu, s’arrêta net. Il entreprit de s’expliquer.
- Excusez-moi. Je n’avais jamais vu cette porte ouverte et je me demandais si ce n’était pas un voleur qui aurait pénétré le palais par les toits.
- Comment t’appelle tu, jeune homme ? demanda l’étrange personnage sans tenir compte des explications de l’adolescent.
- Je m’appelle Renan Der Janio, répondit-il en essayant de discerner le visage de son interlocuteur. Je suis le neveu du roi.
- Tu dois avoir dix sept ans alors. Ne devrais tu pas participer aux choix ? Je crois que tu ferais mieux d’aller te préparer, la cérémonie ne devrait pas tarder à commencer.
Le jeune homme n’avait pas prit Iniès quand elle était venue le chercher sur l’appui de fenêtre, et comprenait enfin qu’il n’avait plus beaucoup de temps. Après s’être excusé auprès de l’inconnu, il descendit les marches du petit escalier quatre à quatre. Il se précipita dans les longs couloirs dont les murs étaient couverts de tapisserie et les sols de belles dalles de marbre. Environs deux minutes plus tard, Renan arriva devant sa chambre. Il en ouvrit précipitamment la porte et se rua à l’intérieur. C’était une suite de trois pièces de tailles moyennes, la première servait de salon alors que la deuxième contenait le lit du jeune homme et que la troisième était une salle de bains.
Il entra dans cette dernière pour se laver et se préparer. Il en ressortit rafraîchit puis se dirigea vers la salle qui lui servait de chambre pour se vêtir ainsi que pour se coiffer. Il ne prit pas le temps d’être parfaitement, présentable pour une cérémonie de cette envergure mais se dit qu’il pourrait toujours rectifier le tir en chemin. Il enfila une nouvelle paire de chaussure et sortit dans le couloir.

Une faute relevée:

Citation :

Un adolescent était assit sur une corniche

était assis

Et j'aurai plutôt mis L'adolescent était pour une meilleure rentrée dans le chapitre si tu ne donnes pas le nom du personnage.
Bon, ce n'est que mon feeling personnel.

Sinon, au niveau de l'histoire, je dois avouer que le premier extrait m'a un peu bloqué par un sentiment de lourdeur (peut-être aussi dû au fait que je lis ton texte à 00h15).
La version corrigée m'a paru plus fluide, plus travaillée et je suis vraiment rentré dans ton histoire.
Après sur la suite, je suis intrigué par ton personnage, j'ai envie d'en savoir plus sur lui. Il est trop tôt pour tiré une conclusion, mais pour le moment j'ai plaisir à te lire.

Par contre, petit précision concernant ce qu'a dit Mysticus : les galeries sont faites pour amorcer les textes, obtenir des avis pour démarrer.
Lorsque ton texte sera bien posé, tu pourras le partager dans la table ronde.

Lu le premier post donc critique (je suis très critique de forme, pour le fond j'ai parfois plus de difficultés à commenter, mais je vais faire des efforts) :

Citation :

Il se doutait qu'on ne le rappellerait que pour une bonne raison mais ses pensées étaient entièrement tournées vers Alia, sa compagne,

Citation :

Il chassa ces pensées et se concentra sur les attaches de son armure qu’il était en train de nouer avec dextérité.

Citation :

Ceci terminé, il s’attaqua ensuite aux jambières puis aux gantelets.

Pour être plus logique, tu aurais du le faire commencer avec les bras et les jambes et ensuite le corps, car il est difficile de se baisser et de se contorsionner une fois le corps couvert d'une armure.

Citation :

Il se contempla lui dans son armure en linil,

Pour éviter la répétition de "regarder".

Citation :

et fit bouger ses bras et ses jambes.

Citation :

Rien, aucun problème.

Cette phrase n'est pas très bonne à mon avis. Je te propose "il ne discerna aucun problème dans ses mouvements", par exemple.

Citation :

Il sortit alors promptement de sa chaumière et se dirigea vers les étables.

Répétition de "alors" avec la phrase précédente.

Citation :

Celles-ci étaient grandes, heureusement vu se qu’elles devaient parfois accueillir, et propre.

Je te propose une autre construction : "Celles-ci étaient vastes - ce qui s'avérait nécessaire au vu de ce qu'elles devaient accueillir - et propres".

Citation :

comme tous lesdragon de sa race, de grandes écailles noires bordées d’un soupçon de rouge.

Le "soupçon de rouge" ne me paraît pas assez évocateur. Je te propose "d'un liseret pourpre" ou "d'un éclat rougeoyant".

Citation :

Ses grandes ailes, noires elles aussi, étaient repliées au dessus de son dos et ses grands yeux jaunes brillaient dans la pénombre du bâtiment.

Je pense que ça fonctionne mieux avec cette structure.

Citation :

Tu est prêt pour faire de la route, j’espère.

Citation :

L’immense saurien baissa sa grande tête bardée de cornes en signe de respect puis tendit le cou pour sentir son maître.

Le verbe "barder" suggère le nombre, donc "cornes" au pluriel.

Citation :

Ce dernier entra dans le box

Le terme "box" fait vraiment trop équitation. Je te suggère de trouver un synonyme ou de réutiliser "stalle".

Citation :

Le messager avant donc bien transmit son ordre.

Je n'ai pas très bien compris à quoi tu fait référence ici.

Citation :

Ecuyer, pouvez-vous m’ouvrir les portes ? fit le chevalier.

Citation :

Bien sûr, monseigneur, répondit un jeune homme habillé d’une culotte courte, d’un pardessus sale et de vieilles chausses.

Citation :

Le serviteur sortit du bâtiment pour accéder à la demande de Renan puisque les portes ne s'ouvraient que de l'extérieur.

Cela me paraît mieux.

Citation :

Renan, un peut secoué par le décollage comme à son habitude, se redressa, regarda une dernière fois Somir et dit :

Si j'ai bien compris, Somir est le nom du pays dans lequel se déroule l'action. Donc je me demande comment il peut le "regarder", sans compter qu'il n'est pas censé le quitter puisqu'il se rend à "Olcinea, la capitale du petit royaume de Siikéor. Elle se trouvait au nord de Somir, une petite bourgade bordée par le lac Ostila." Donc ce n'est pas la dernière fois qu'il voit ce pays. De même la dernière phrase fait penser qu'il s'adresse à sa femme (où est-elle d'ailleurs ?) mais comme elle n'est pas évoquée dans la phrase d'avant, on peut penser qu'il s'adresse au pays lui-même. Il y a donc de l'incompréhension dans ce passage, je pense que tu devrais le retravailler.

Impression générale : une histoire qui commence un peu comme une légende du cycle arthurien. Personnellement je n'ai rien contre les clichés si on en fait quelque chose d'original au final^^ Donc j'attends de lire la suite. Tu devrais peut-être plus décrire le dragon, étant donné que c'est un personnage principal et non un quelconque dragon, tu dois souligner plus de particularités ou de détails uniques.
Sur la forme, il y parfois des incohérences (que j'ai souligné) et aussi des fautes de frappe et d'orthographe, qui auraient pu être évitées avec un correcteur normalement. Tu en utilises ?

Merci pour ton commentaire assez précis.
Je sais, il y beaucoup de fautes m^me avec un correcteur.

Alors Somir, c'est une petite ville de Siikéor. Celui-ci est bel et bien un pays dont la capitale est Olcinea.

Je doit encore retravailler tout ça, mais je suis actuellement sur autre chose.
Merci encore!