Un petit texte comme ça.

En l’an 2134, l’humanité était asservie. Pas par une race extraterrestre comme elle l’avait crue mais bien par elle-même. Les vingt milliards d’habitants de la Terre était sous l’emprise de quelques privilégiés. Ces derniers n’étaient bien sur pas restés sur la planète qui l’est avait vu naître. Non, l’air y était trop pollué pour eux. Ils s’étaient tranquillement installés sur Mars, dans la colonie. Plus d’un milliard de personnes avaient été engagées pour sa construction et plus de la moitié y étaient restée.
Les humains, qui avaient, depuis longtemps, oublié se que signifiait le mot « liberté », n’avaient même pas bronchés. Ils vivaient mollement dans d’immenses citées états, se pliant à tous les ordres des autorités. Elles pouvaient savoir où se trouvait chaque personne à chaque minute de chaque jour grâce à des puces. Des puces d’identité, comme les chiens et les chats. L’intimité avait disparue, l’identité n’avait plus de sens. Les autorités avaient posé des caméras partout : dans les rues, les magasins, les bus ainsi que tout les transports en commun, les immeubles et même dans les appartements.
Malgré les actions écologistes du début du 21e siècle, les hommes n’avaient jamais su changer leurs habitudes. Les neiges éternelles et les glaciers du monde entier avaient disparus. De nombreuses espèces animales et végétales avaient disparut ou s’étaient adaptées. Le Sahara occupait maintenant les trois quarts de l’Afrique et de la forêt amazonienne, il n’en restait plus que quelques morceaux. Les océans avaient cependant moins montés que les scientifiques ne l’avaient prédit. Par contre, l’eau douce était de plus en plus rare et chère.
En dessous des anciennes glaces de l’Antarctique, On avait trouvé quelques choses…

*

C'est pas d grand art et ce n'est pas nouveau, je sais mais j'avais besoin d'écrire!

Bon, je sais que c'est un petit texte pour recommencer, mais c'est vraiment pas génial. Aucune originalité, tu rabaches un peu le même thème pendant tous le texte, sans réelle subtilités, et le suspence est inexistant. En plus de quelques fautes assez monstrueuses.

Mais vu que tu ne poste pas souvent, je te donne des corrections

Citation :

En l’an 2134, l’humanité était asservie. Pas par une race extraterrestre comme elle l’avait crue mais bien par elle-même. Les vingt milliards d’habitants de la Terre étaient sous l’emprise de quelques privilégiés. Ces derniers n’étaient bien sur pas restés sur la planète qui les avait vu naître. Non, l’air (Terrien ça passe mieux) était trop pollué pour eux. Ils s’étaient tranquillement installés sur Mars, dans la colonie (quelle colonie?). Plus d’un milliard de personnes avaient été engagées pour sa construction et plus de la moitié y étaient restée.
Les humains, qui avaient, depuis longtemps, oublié se que signifiait le mot « liberté », n’avaient même pas bronchés. Ils vivaient mollement dans d’immenses citées états, se pliant à tous les ordres des autorités (eux, ils sont sur Terre ou sur mars, pas clair) . Elles pouvaient savoir où se trouvait chaque personne à chaque minute de chaque jour grâce à des puces. Des puces d’identité, comme les chiens et les chats (Une puce d'identité, c'est pas un fucking GPS hein, tu traces pas les gens avec). L’intimité avait disparue, l’identité n’avait plus de sens. Les autorités avaient posé des caméras partout : dans les rues, les magasins, les bus ainsi que tout les transports en commun, les immeubles et même dans les appartements. (Un peu redondant sur la disparition de la vie privée. Tout mettre dans une phrase, et supprimer des parties je pense)
Malgré les actions écologistes du début du 21e siècle, les hommes n’avaient jamais su changer leurs habitudes. Les neiges éternelles et les glaciers du monde entier avaient disparus. De nombreuses espèces animales et végétales avaient disparut ou s’étaient adaptées. Le Sahara occupait maintenant les trois quarts de l’Afrique et de la forêt amazonienne (Alors je veux bien que la foret amazonienne soit un désert, mais que je sache l'Océan atlantique n'est pas asseché au point que l'Amérique du Sud fasse parti du Sahara!!), il n’en restait plus que quelques morceaux. Les océans avaient cependant moins montés que les scientifiques ne l’avaient prédit. Par contre, l’eau douce était de plus en plus rare et chère.
En dessous des anciennes glaces de l’Antarctique, On avait trouvé quelques choses…

Je sais ce n'est pas original, c'est pas fait pour. c'est un peut comme un toute première mise sur papier. Je vais même pas continué je pense.

Vu tes remarque, tu n'as certainement pas tout capté ( ce n'est pas contre toi, c'est ma faute, j'ai mal ponctué mon texte.) par exemple: ce que je voulait faire entendre avec la forêt amazonienne, c'est qu'il n'en restait presque plus rien et pas que le désert du Sahara l'avait envahit. (ce qui serait impossible je 'admet)

Merci pour ton commentaire.

PS: ce n'était que le début d'une histoire, une sorte d'intro!

Je suis assez d'accord avec certains points que Hardkey soulève, notamment les fautes et le manque d'originalité.

J'ajouterais par contre qu'on sent bien que c'est un début, des idées que tu as jeté comme ça sur le papier. ça demanderais à être développé, réfléchir aux idées que tu veux garder, celles qu'il faut abandonner, celles qu'il faut développer pour avoir une vraie originalité. Et puis, réfléchir aux personnages que tu veux pour cette histoire.

Oui, je verrais ça après les exams.

Merci pour ton commentaire!

bonjour
j'ai lu ton texte
je ne parlerais pas de manque d'originalité, il se place dans un contexte tres actuel
le probleme est qu'il manque d'images, de sensations
reflechir a un livre comme un script de film

planter le decor
un monde aride et chaud balayer par le vent
couleur des vents solaires,couleur des déserts
cette puce ressemblait elle à un code barre, a un tatouage
que devient l'antartique ?

un peu de psychologie
peut on être tuer à la tache et mou ?
en general un peuple exploiter est miserable,denudé,oter de toutes forces et d'energies
dans un camps de concentration ce n'est pas la mollesse qui l'emporte, peut être la resignation, la proximité de la mort

voila il faut aller au bout d'une idée, d'un theme, d'une image
le decor sera le suport à la dramatisation

tu as quinze ans et ton embauche est plein de merite
c'est une ebauche dont le sytle doit être travaillé
visualiser
ressentir
me parait être une bonne methode

bien à toi,anne.

Tiyan a écrit:

Vu tes remarque, tu n'as certainement pas tout capté ( ce n'est pas contre toi, c'est ma faute, j'ai mal ponctué mon texte.) par exemple: ce que je voulait faire entendre avec la forêt amazonienne, c'est qu'il n'en restait presque plus rien et pas que le désert du Sahara l'avait envahit. (ce qui serait impossible je 'admet)

Nan mais j'avais compris hein, c'est juste que c'était mal expliqué donc je l'ai pointé du doigt . Et en ce qui concerne le manque d'originalité, je persiste et signe : La situation de ce prologue est d'un cliché hallucinant. Après il ne tient qu'à toi de le dépasser, et de faire un super récit