Atelier d'écriture Communauté d'écrivains en herbe |
| | Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] | |
| |
Quel est votre texte préféré ? | Texte 1 | | 43% | [ 6 ] | Texte 2 | | 29% | [ 4 ] | Texte 3 | | 7% | [ 1 ] | Texte 4 | | 21% | [ 3 ] |
| Total des votes : 14 | | Sondage clos |
| Auteur | Message |
---|
Elann Accro au forum ? Oui, pourquoi ?
Nombre de messages : 770 Age : 29 Localisation : Nord Date d'inscription : 13/06/2012
| Sujet: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Ven 16 Jan 2015 - 17:04 | |
| Eh bien, l'heure est venue de découvrir les textes et de voter ! Merci à tous les participants ! Vous avez jusqu'au 23 janvier !
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Texte 1: 21h42 : Service des réclamations divines « Monsieur, monsieur ! Une lettre pour vous ! - Déjà qui es-tu toi ? - Euh je suis nouveau, je m’appelle Toutankhamon, et j’ai eu un petit retardement… Ces imbéciles m’avaient recouvert de papier, je vous dis pas la galère. - Bon Toutan… ça te dérange si je t’appelle Bob ? - Et bien, c’est tout de suite un peu moins glorieux mais… - Bon et bien on fait comme ça. Donc Bob, de qui est cette lettre ? - Une jeune femme appelée Marie apparemment, plutôt jolie et… - Voyons nous ne sommes pas là pour juger les humains ! Et donc que veut cette jeune femme ? - Ce n’est pas très clair, une histoire de stérilité avec son mari je crois. Et du coup elle souhaiterai tout de même avoir un enfant. - Alala les prières c’est plus ce que c’était… J’ai droit de remplacer l’enfant par un kebab ? Non parce que je n’ai pas trop le temps, y a Lucifer qui m’attend pour une partie de bowling. - Euh… attendez je regarde… Non désolé ça n’a pas encore été inventé. - Un iphone 6 alors ? - Non plus. - Bon et bien allons y pour l’enfant alors… Dites à Lucifer que je reviens bientôt, qu’il mette les bières au frais ! »
22h16 : Sur Terre Bon alors, où habite-t-elle celle-là ? Ah voilà c’est ici ! « Toc toc toc. - Bonjour je m’appelle Joseph, puis-je vous aider ? - Bonjour, on m’a signalé un incident dans la chambre de votre femme. - Un incident ? - Oui une histoire de bé… euh… - Béeuh ? Qu’est-ce donc ? - Non non, une histoire de bé… baignoire ! - Pardon ? Mais nous sommes très modeste, vous devez faire erreur. - Bon écoutez, laissez-moi passer, je n’ai pas le temps pour ça ! - Mais… - Tenez un Big mac ! - Mais qu’est… »
22H29 : Chambre de Marie et de Joseph Bon, il va s’agir de faire vite ! Alors où est-elle ? Ah là ! Ah oui c’est vrai qu’elle est charmante ! Alors comment on fait déjà ? Ah oui, le boitier sous le matelas. Alors la difficulté va être de ne pas la réveiller… Là… voilà… j’y suis presque… « Qui êtes-vous ? - Euh personne, je faisais que passer… - Personne ? Vous êtes un brigand ? - Non non ! Je suis… Euh vous vous souvenez du vœu que vous avez fait ce soir ? - Le sandwich au jambon ? - Non pas celui-là. - Ah le bébé ! - Oui ! - Mais je ne le voulais pas en vrai, c’est Joseph qui m’a obligé à faire ce vœu ! - Ah mince… - Mais qui êtes-vous ? - Et bien… Je suis Dieu en réalité. - Dieu ? Mais c’est extraordinaire ! - Si vous le dites. Mais vous êtes sure que vous le voulez pas cet enfant ? Non parce que vous êtes très charmante et… »
23h57 « Oui allo Lucifer ? Oui c’était pout te dire que je ne serais pas là pour la partie de bowling… Oui des formalités administratives… Marie arrête, je suis au téléphone ! Quoi ? Non non je parlais à personne, bon je te laisse ! J’ai euh… plein de boulot ! »
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Texte 2:
Rosalie
On s’est rencontrés un peu par hasard ; enfin j’aime à le croire. On s’est aimés, beaucoup ; enfin moi, je l’ai beaucoup aimée. Je dirais même que je la vénérais des pieds à la tête, de son esprit si éblouissant à son corps si parfait, jusqu'à son prénom, si exquisément inhabituel : Rosalie !
Longtemps j’ai cru que nous nous retrouvions chez moi parce que c’était plus facile, que mon appartement était plus grand ou moins loin. Je n’étais donc jamais allé chez elle, mais je m’en foutais parce que je l’aimais. Elle n’avait jamais non plus vraiment répondu à mes questions, toujours évasive, toujours dans l’élusion, mais là encore, parce que je l’aimais, j’avais gardé mes questions pour moi.
Puis, elle s’est mise à manquer certains de nos rendez-vous. Je la trouvais parfois distraite, lointaine, préoccupée, mais habitué à ses échappatoires j’avais là encore ravalé mes interrogations. Je me disais que, de deux choses l’une, soit ce qui la troublait était important et j’en aurais l’explication un jour ou l’autre, soit ce n’étaient que bagatelles et vétilles dont il n’y avait pas lieu de se soucier. Un jour quand même n’y tenant plus — elle m’avait encore oublié trois fois cette semaine-là et je commençais à me lasser un peu de sa distraction — je me présentai à l’adresse que j’avais, à force d’insistance, réussi à lui arracher.
Après un temps d’hésitation devant la façade décrépite, je m’engageai dans un couloir malodorant aux murs lépreux, prolongé d’un escalier aux marches irrégulières et grinçantes. Enfin, je fus devant sa porte dont la peinture marron s’écaillait et tous mes menus griefs s’effacèrent d’un coup à la perspective de revoir son visage. Je frappai délicatement, presque avec tendresse, sur le panneau. Pas de réponse. J’insistai encore, l’appelai d’abord doucement, puis plus fort. Toujours rien. Presque involontairement, je pesai sur la poignée et la porte s’ouvrit avec un petit couinement, me laissant entrevoir, enfin, l’univers intime de ma bien-aimée. Ma surprise fut de taille ! J'aurais difficilement pu imaginer un décor lui ressemblant aussi peu.
C’était, pour le moins que l’on puisse dire, spartiate : en fait d’appartement, il s’agissait d’une sorte de réduit vaguement triangulaire à peine éclairé par une minuscule lucarne en hauteur. Le papier peint déchiré laissait entrevoir des murs moisis et le lino gris sale était constellé d’accrocs et de brûlures de cigarette. Dans un coin, une bassine jaune passé posée sur une pile de parpaings à l'aplomb d'un robinet tenait lieu d’évier. Le mobilier se résumait à une table bancale, une chaise pliante en mauvais état, une grande cantine métallique et un matelas posé à même le sol. J’avais peine à imaginer mon adorée dans ce terrier et je comprenais soudain mieux sa réticence à me recevoir chez elle, mais je l’aimais bien assez pour ne pas m’en formaliser. Au contraire même, je n’en admirais que plus la pudeur qui l’empêchait de me révéler ses difficultés. Je ne pouvais pas la laisser continuer à loger dans ce galetas si indigne d’elle. J’allais donc attendre son retour et lui offrir de s’installer chez moi.
La chaise s’avérant vraiment inconfortable, je décidai de m’asseoir plutôt sur ce qui tenait lieu de lit, redoutant sans trop oser y penser de découvrir quelque habitant indésirable sous le sac de couchage. Comme je cherchais machinalement des yeux une éventuelle vermine, mon regard tomba sur un petit morceau de papier qui dépassait de sous le matelas. Sans doute n’aurais-je pas dû soulever la paillasse, hasarder une main dans l’intervalle et retirer ce sur quoi mes doigts s’étaient posés.
Soigneusement enliassées entre deux brochures publicitaires pour une clinique esthétique de banlieue, quelques factures aux montants indécents disaient que Rosalie était naguère encore Romaric.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Texte 3:
Tom Tom n’en menait pas large. Armé de ses 12 printemps et de sa silhouette féline, simplement éclairé par ce superbe clair de lune, il s’attaqua à la face nord de la maison du vieux Cliff.
Certains auraient trouvé cette ascension périlleuse, mais pas Tom Tom, il en avait vu d’autres ! Pour l’heure, il ne souhaitait qu’une chose : retrouver son fidèle ami Ben, et pour ça, il avait un plan infaillible.
C’est donc à patte de velours qu’il atteignit le balcon du 1er étage de cette grande bâtisse. Il entendait le vieux Cliff ronfler depuis la rue. Sa petite mimine passa dans l’entrebâillement des volets et souleva le loquet. Ensuite, opération périlleuse : l’ouvrir suffisamment pour pouvoir entrer dans la chambre, sans faire grincer le-dit panneau de bois aux charnières hors d’âge.
Quelques instants plus tard, TomTom était aux anges. Il avait réussi, là ou bien des copains s’étaient fait attraper. Son cœur battait la chamade, il était debout face à Cliff, vautré sur son lit, son quintal et demi de gras flottant sous un drap par cette chaleur estivale. Tom Tom devait affiner son plan. Comment allait-il faire ?
Tout le monde savait que le vieux Cliff, cette grosse brute, cette masse immonde de saindoux, ce pachyderme haineux, … que dire d’autre ? Personne ne l’aimait, et pourtant il donnait tout son cœur à son travail. Il tenait la fourrière d’une main de maître, prenant soin des animaux et veillant à leur prodiguer les meilleurs soins.
Cependant, Cliff avait attrapé Ben (le chien de Tom Tom) et ce dernier ne pouvant payer la caution avait décidé de libérer frauduleusement son ami. Afin d’aboutir à son projet, il devait se procurer la clé du chenil qui était toujours accrochée autour du cou de son propriétaire. Tom Tom s’approcha prudemment sans faire grincer le plancher en chêne et lentement mais sûrement arriva sur la tête de lit, se pencha et …
Misère ! Pas de clé. Il examina les alentours et ne vit rien. Où pouvait-il l’avoir pausée ? Il fit le tour du lit et examina méticuleusement la pièce : rien, absolument rien, aucune clé. Cliff ronflait toujours telle une locomotive à vapeur, quand tout à coup, Tom Tom reconnue le cordon de tissus dépasser du lit. C’est ça, il avait trouvé ! Le tissu dépassait, coincé entre le matelas et le sommier.
Le visage de Tom Tom s’illumina, le trésor était au bout de ce cordon. Il tenta vainement de tirer dessus, impossible sans risquer de casser le cordon. Le père Clif n’était plus « vieux », mais « gros » ! Tom Tom tenta l’impossible : il mit sa main sous le matelas et avança lentement mais sûrement à la recherche du grâle, le sésame ouvre-toi du chenil.
Action périlleuse mais Tom Tom arriva finalement à ses fins : il avait la clé en main. Grace à ce bout de métal il allait libérer son chien. Tout à coup, un bruit effroyable : Cliff s’était mis à renâcler comme un cheval épuisé, il lâcha un pet, ronfla à réveiller la ville entière puis se retourna dans son lit.
Les yeux de Tom Tom s’agrandirent, sa bouche s’ouvrit mais ne laissa échapper aucun son, une larme à l’œil et … défaut de jeunesse. Le plan de Tom Tom n’était pas infaillible. Le pauvre garçon avait le bras coincé sous le matelas de Cliff. C’est alors qu’un éclair de lucidité emplit ses pensées et qu’il se posa cette question : " Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? "
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Texte 4 :
Les mots prenaient vie dans son esprit et c’est comme si le monde s’arrêtait de tourner. Tremblant, il refermait déjà le calepin, le replaçait là où il l’avait trouvé. Mais le mal était fait. Sans l’entendre, il la devinait de l’autre côté de la porte de la salle de bain, insouciante et sereine, à mille lieux du cataclysme qui se déclenchait à cet instant précis dans sa tête.
Cela faisait 3 ans qu’ils conjuguaient leurs vies au pluriel, laissant derrière la solitude du célibat. Jour pour jour, cela faisait 3 ans. Ils avaient fait l’amour cette nuit, instantané de passion, conclusion d’une nuit de tendresse en s’endormant du sommeil lourd de ceux qui se sentent aimés. Au matin, les yeux embués de fatigue et la voix endormie, elle s’était levée pour faire « un brin de toilette ». Il s’était alors arraché de son sommeil en écoutant l’eau ruisseler en cascade de la douche. Et c’est par accident que tout s’était mis en place. C’est par accident qu’il fit tomber ses lunette, se pencha pour les ramasser et remarqua sous les lattes la couverture de cuir rouge du petit ouvrage. Puis la curiosité aidant, il s’était saisi du calepin. Il savait en effleurant des doigts la couverture qu’il devait sans doute s’agir d’un de ces jardins secrets de papier, là où sont couchées les pensées intimes qu’on a tous dans le cœur mais qu’on ne montre jamais. Comme une irritation, le scrupule vint l’empêcher un instant d’ouvrir l’ouvrage. Un instant seulement. La curiosité s’étant chargé de le chasser, il avait entrepris de feuilleter les pages, juste un instant, juste pour voir. Et l’Horreur avait surgit. Il lisait le nom de l’Autre, celui qui était là quand elle rentrait de ses réunions tardives, celui qui venait quand il était lui-même absent. L’Autre, qui avait blasphémé le sanctuaire de leur lit conjugal. -Ca va… ? Elle le fit sursauter, il se retourna, et la vit dans l’encadrement de la porte. Elle était douloureusement belle, et, comme la colère noircissait et gonflait comme un dangereux orage d’été dans son esprit, il ne pouvait s’empêcher de sentir l’amour qu’il lui portait gonfler et lutter. Lentement, il souleva le matelas sans la quitter du regard. A l’incompréhension initiale qu’elle avait dans les yeux succédait la surprise, puis la panique. Et ça n’en était que plus douloureux. Il comprit qu’elle avait compris. Il laissa retomber le matelas, et, sans un mot, sourd a ses explications et ses larmes, prit ses vêtements et s’enfuit, comme on fuyait les lieux d’un drame.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
_________________ Je suis né pour te connaître, pour te nommer, liberté. Paul Eluard
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Ven 16 Jan 2015 - 18:05 | |
| Bon, je me suis permise d'ouvrir les votes. Les quatre textes ont été agréables à lire et tous si différents que cela m'a fait sourire. Je félicite donc tous les participants pour leur travail et leur originalité !! ^^ |
| | | sombrefeline Héros Légendaire
Nombre de messages : 2284 Age : 38 Localisation : Le Grand Nord Loisirs : Ecrire, dessiner, coudre et taquiner ses semblables avec des bouts de métal coupant Date d'inscription : 21/04/2012
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Ven 16 Jan 2015 - 19:08 | |
| A voté ! _________________ That is not dead which can eternal lie. And with strange aeons even death may die
There is no "overkill". There is just "open fire" and "time to reload"
Mon site http://catherine-loiseau.fr/ Ma page Facebook https://www.facebook.com/cat.loiseau Mon Pinterest http://pinterest.com/sombrefeline/
| |
| | | Morrigan modératrice
Nombre de messages : 3518 Localisation : entre la terre de Bretagne et la Scandinavie Date d'inscription : 11/03/2007
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Sam 17 Jan 2015 - 18:11 | |
| A voté tout pareil | |
| | | Elann Accro au forum ? Oui, pourquoi ?
Nombre de messages : 770 Age : 29 Localisation : Nord Date d'inscription : 13/06/2012
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Sam 17 Jan 2015 - 19:24 | |
| J'ai voté aussi et invite ceux qui ne l'auraient pas encore fait à départager tout ça ! _________________ Je suis né pour te connaître, pour te nommer, liberté. Paul Eluard
| |
| | | Rima68 modératrice
Nombre de messages : 2233 Age : 29 Localisation : Alsace qui a dû migrer vers Paris Date d'inscription : 16/01/2010
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Dim 18 Jan 2015 - 11:06 | |
| A voté également _________________ "'I wish I had a hundred years' she said very quietly. 'A hundred years I could give to you.'" Patrick NESS A monster callshttps://mescarnetsdecrivain.wordpress.com Moi, Rima, chatte pottée je fais régner l'ordre sur ce forum, tremblez floodeurs et trolls ! Je veille au grain ! | |
| | | sombrefeline Héros Légendaire
Nombre de messages : 2284 Age : 38 Localisation : Le Grand Nord Loisirs : Ecrire, dessiner, coudre et taquiner ses semblables avec des bouts de métal coupant Date d'inscription : 21/04/2012
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Lun 19 Jan 2015 - 10:35 | |
| N'oubliez pas de venir voter ! _________________ That is not dead which can eternal lie. And with strange aeons even death may die
There is no "overkill". There is just "open fire" and "time to reload"
Mon site http://catherine-loiseau.fr/ Ma page Facebook https://www.facebook.com/cat.loiseau Mon Pinterest http://pinterest.com/sombrefeline/
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Mer 21 Jan 2015 - 0:38 | |
| J'ai bien aimé le ton du premier et le style du quatrième mais mon coeur s'est finalement décidé pour "Rosalie". La chute m'a bien fait rire en imaginant ce que le protagoniste pouvait penser en découvrant cette nouvelle assez inattendue Mais globalement, j'ai trouvé tous ces textes plaisants à lire |
| | | eldandil Hey, soyez cool, je viens de m'inscrire !
Nombre de messages : 11 Age : 28 Localisation : Entre deux pages d'un livre Date d'inscription : 19/12/2014
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Mer 21 Jan 2015 - 9:47 | |
| | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Mer 21 Jan 2015 - 14:36 | |
| |
| | | Elann Accro au forum ? Oui, pourquoi ?
Nombre de messages : 770 Age : 29 Localisation : Nord Date d'inscription : 13/06/2012
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Ven 23 Jan 2015 - 18:03 | |
| Tadam ! Eh bien, notre valeureux gagnant et auteur du texte n°1 n'est autre que... Ganbist ! Bravo à lui et merci à tous les participants et votants ! _________________ Je suis né pour te connaître, pour te nommer, liberté. Paul Eluard
| |
| | | sombrefeline Héros Légendaire
Nombre de messages : 2284 Age : 38 Localisation : Le Grand Nord Loisirs : Ecrire, dessiner, coudre et taquiner ses semblables avec des bouts de métal coupant Date d'inscription : 21/04/2012
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Ven 23 Jan 2015 - 18:11 | |
| Bravo ! Par curiosité, qui étaient les autres participants (notamment celui du texte 2, que j'ai beaucoup aimé). _________________ That is not dead which can eternal lie. And with strange aeons even death may die
There is no "overkill". There is just "open fire" and "time to reload"
Mon site http://catherine-loiseau.fr/ Ma page Facebook https://www.facebook.com/cat.loiseau Mon Pinterest http://pinterest.com/sombrefeline/
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Ven 23 Jan 2015 - 18:45 | |
| Eh cool! |
| | | Morrigan modératrice
Nombre de messages : 3518 Localisation : entre la terre de Bretagne et la Scandinavie Date d'inscription : 11/03/2007
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Ven 23 Jan 2015 - 18:46 | |
| Félicitations à toi ! Moi aussi j'aimerais bien connaitre les autres :v'nez vous dénoncer, un peu ^^ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Ven 23 Jan 2015 - 21:09 | |
| Ah zut, je n'ai pas eu le temps cette semaine d'aller lire les textes et de voter... mais c'est pas dit que c'était que jusqu'à 18 h pour voter... Bon, bravo au gagnant, et je vais rattraper mon retard de lecture ce week-end au moins. |
| | | Elann Accro au forum ? Oui, pourquoi ?
Nombre de messages : 770 Age : 29 Localisation : Nord Date d'inscription : 13/06/2012
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Ven 23 Jan 2015 - 22:41 | |
| Si ça peut te rassurer, tu n'aurais pas pu inverser la tendance, Abi (sauf si tu avais une armée de petits lutins derrière toi !) C'est vrai que je n'avais pas précisé d'heures... mais je ne savais pas moi-même quand je pourrais annoncer les résultats. En tout cas... Désolé ! Ah ! Et pour ce qui est de dénoncer (pas de honte à avoir): Texte 1: Ganbist ! Texte 2: Rozen ! Texte 3: Tairngire ! Texte 4: Imparfait ! _________________ Je suis né pour te connaître, pour te nommer, liberté. Paul Eluard
| |
| | | sombrefeline Héros Légendaire
Nombre de messages : 2284 Age : 38 Localisation : Le Grand Nord Loisirs : Ecrire, dessiner, coudre et taquiner ses semblables avec des bouts de métal coupant Date d'inscription : 21/04/2012
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Sam 24 Jan 2015 - 8:31 | |
| Bravo à tous en tout cas _________________ That is not dead which can eternal lie. And with strange aeons even death may die
There is no "overkill". There is just "open fire" and "time to reload"
Mon site http://catherine-loiseau.fr/ Ma page Facebook https://www.facebook.com/cat.loiseau Mon Pinterest http://pinterest.com/sombrefeline/
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Sam 24 Jan 2015 - 10:07 | |
| Bravo à Ganbist, j'ai vraiment adoré ton texte. Je l'ai trouvé original, rigolo, et super agréable à lire. Félicitations aussi aux autres participants, qui ont tous su trouver une idée différente et originale. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] Lun 26 Jan 2015 - 11:56 | |
| Zut alors ! J'ai complètement laissé passer les votes, moi... Bravo à Ganbist et un grand merci à ceux qui ont voté pour Rosalie. |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] | |
| |
| | | | Mais pourquoi ai-je glissé mes mains sous son matelas ? [Votes] | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|