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 Alan Edgerson [Roman]

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MessageSujet: Alan Edgerson [Roman]   Alan Edgerson [Roman] Icon_minitimeLun 22 Juin 2015 - 13:52

Introduction:
première intro:

Voila.
Alors c'est un premier jet, j'ai essayé de faire au mieux pour l'orthographe mais il se peut que quelques fautes ne m'ai échappées.
Je poste ici principalement pour avoir un avis sur ma présentation des différents éléments du décors. j'aimerais savoir si elle est trop brouillone ou incomplète - peut-être trop complète- si je devrais reformuler certaines choses...

En tout cas merci de m'avoir lut, n'oubliez pas de laisser des commentaires ICI. Smile
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MessageSujet: Re: Alan Edgerson [Roman]   Alan Edgerson [Roman] Icon_minitimeMer 15 Juil 2015 - 0:08

Bon j'ai retravaillé tout ça, c'est nettement différent.

Voici la nouvelle introduction:

Azura…
Ce magnifique caillou teinté de bleu et de vert paraissait être un joyau vu d’ici. La perle du secteur Eta, comme l’appelait de nombreux médias, était la dernière des colonies humaines. Une merveille de technologie et d’éco organisation sans pareil dans la galaxie. Toutes ces informations vous étaient servie et resservie par les nombreuses affiches de propagande dans de nombreuses stations orbitales.
Et elles avaient raison, Azura est objectivement la mieux pensé et la mieux planifiée sur le long terme de toutes les installations humaines. Les politiques oubliaient juste de préciser que comme tout monde économiquement prospère qu’il pullulait sur cet écrin de roches autant de contrebandiers, d’assassins, de voyous et de bandits que dans les plus mal famés quartiers sur Terre.
Cependant, son atmosphère chargée d’oxygène me manquait déjà. C’était ma maison, comme cela l’avait été pour mon père, mon grand père et son grand père avant lui. Je n’étais pas à l’aise dans cette station, j’avais comme l’impression que la vitre de dix centimètres qui me séparait du vide spatiale allait éclater et que le néant m’happerait en seulement quelques secondes.
Cette pensée m’avait poursuivit durant tout le voyage de la planète à la station de surveillance orbitale -   Station Zamlona pour les intimes – ou j’allais probablement rester pour le restant de mes jours. J’avais en horreur les voyages spatiaux, j’ai déjà habituellement une boule au ventre dés que je prends un aéronef, mais quand on a quitté l’attraction azurienne, j’ai presque pété un plomb. Hyperventilation et tout le tralala. Heureusement j’ai réussi à me calmer mais je suis tout de même resté irritable pour le reste de cet abominable voyage.
Bon d’accord je n’étais pas vraiment de très bonne humeur en partant, qui le serrais alors qu’une équipe de police faisait irruption dans votre salon un dimanche matin en vous demandant gentiment de bien vouloir les suivre. Bien sur pas question de perdre du temps donc j’avais l’air malin moi devant un agent du conseil de sécurité avec mon vieux t-shirt taché de sauce mayonnaise et mon vieux jogging déchiré pour tout vêtement.
Heureusement on me permis de me changer et ont me conseilla même grandement de prendre une douche – ça fait partie de ma couverture, jouer l’ado paumé - avant qu’un transport ne vienne me chercher. Je jouais encore le jeu à ce moment là me pensant plus malin qu’eux, pas impressionné pour un sou par l’étonnante mise en scène dans laquelle j’étais propulsé. Après tout que pouvaient ils bien savoir sur moi, je me suis toujours efforcé de ne pas laissé de traces.
Mais toute cette belle confiance a fondu comme neige au soleil lorsqu’à mon arrivé on m’a emmené à l’illustre  Colonel Ngono, qui m’a très calmement indiqué qu’il me surveillerait personnellement en attendant que le conseil de sécurité ne prenne la pêne de me recevoir.
« Je suis foutu. »
Ces trois mots revinrent une fois encore dans ma tête alors que je faisais les cent pas devant la baie vitrée. En même temps, il fallait s’y attendre. On ne pouvait pas joué a dieu sans se péter la figure. Cela faisait maintenant un an et deux mois que j’étais Opale, mieux connu sous le nom de l’Observateur.
Je savais tout de ce qui ce passait sur la planète, plus que tout service secret ne pourrait rêver. J’achetais, vendais, conservais mails, cargos, localisation et autres informations aux malfrats des quatre coins du système d’Hypérion et même au delà parfois.
Et il y a quelques mois, j’avais vendu des renseignements sur un cartel de drogue a un indic de l’ASA afin qu’ils mettent un termes à leurs actions qui devenaient de plus en plus incontrôlable. Cependant, j’avais gardé pour moi une partie compromettante de ses informations et ils avaient perdus une vingtaine d’hommes sur le terrain.
D’une manière ou d’une autre ils avaient alors du remonter la piste jusqu'à l’Observateur et avait percé au jour son identité, la mienne. Comment avaient-ils fait ?  Je croyais n’être qu’une ombre informatique parfaitement intracable. Personne ne savait qui j’étais réellement. Pour les uns j’étais un ado en crise d’identité depuis la mort de son père et pour les autre j’était un vendeur d’information ayant des contacts partout et a qui il ne valait mieux pas chercher les noises.
- Monsieur Edgerson, fit alors le colonel d’une voix claire et froide me tirant brusquement de mes réflexions, le conseil va vous recevoir.
Je fut alors accompagné par ce même colonel ainsi que deux gardes dans un couloir hautement sécurisé pour enfin débouché sur deux portes qui se refermèrent sans un bruit après mon passage. Devant moi, j’avais un grand bureau en arc de cercle derrière lequel étaient assis les trois plus puissants personnages du système.
- Monsieur Edgerson, commença le premier, un homme noir dans la cinquantaine. Je présume que vous avez une idée du pourquoi vous êtes ici aujourd’hui ?
- Je suppose en effet, m’entendit je répondre.
- C’est votre mère qui nous a parlé de vous, dit alors le deuxième personnage, un trentenaire a bouc ayant un fort accent arabe que je reconnut comme étant Amir El Bassir, le président d’Alaxium.
Ma mère ? Ça pour le moins c’état étrange. De toute les personnes que je connaissaient, c’était ben la dernière a qui j’aurais comme étant celle ayant percé a jour la vérité vu qu’elle travaillait sans cesse et que je ne la voyait que trois fois par mois.
- En effet quand nous lui avons fait notre proposition, elle n’a pas hésité à vous désigner, reprit le premier qui était sans doute le représentant d’Eldago.
- Elle nous a affirmé que vous étiez tout a fait capables de ce que nous demandions, intervint alors la troisième, une asiatique dont je n’aurais su dire l’âge ni l’origine précise. J’espère que vous serrez à la hauteur de ce travail qu’elle-même n’a put accepté.
J’avais dut mal entendre. Un travail ? De plus est  un travail qu’ils avaient premièrement proposé à ma mère, ministre à Alaxium. J’ai dut laisser paraître ma perplexité car El Bassir à alors froncer les sourcils.
- Elle ne vous a donc rien dit ? Hmm… ça ne m’étonne pas d’elle.
- Monsieur Edgerson, reprit alors le premier intervenant, nous vous demandons d’officier comme nouvel agent de renseignement auprès de l’ASA. Ce n’ai pas un métier évidents mais vous avez toutes les qualités requise pour le mener au mieux votre mère vous ayant toujours ouvert les portes des hautes sphères d’Alaxium.
« Oh merde. Je doit travailler pour eux » me dis je intérieurement. « Ils ne savent pas qui je suis alors. Bien, ça ne vas pas être facile mais je préfèrent ça que la taule même si ces « hautes sphères » peuvent parfois provoqué les mêmes sensations. Et puis de toutes façon je peux refuser le job. »
- D’accord, fis je alors, je doit y réfléchir avant de vous envoyer ma réponse.
- Ce n’était pas une demande monsieur Edgerson, c’est un ordre dont vous ne pouvez vous soustraire comme votre mère, signala alors la femme d’une voix ayant des air de glacier. Vous pouvez partir, nous vous enverrons toutes les informations que vous devez connaître sur un ordinateur que nous vous fournirons. Au revoir monsieur Edgerson.
- Et faites attention à vous, reprit El Bassir. Celui que vous remplacez est mort il y a de ça trois mois. C’est un métier dangereux, veuillez à toujours vérifier vos sources.
« Je suis foutu. »
Je remplaçais l’homme que j’avais tué. Bon ce n’était pas moi personnellement mais c’était de ma faute. J’avais intérêt à ne pas faire la moindre fausse manipulation désormais ou je le rejoindrais aussi vite.

Je tiens a rappelé que c'est un premier jet, les fautes en tout genre seront corrigées sous peut. Wink
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