Sa robe pourpre ensanglante la neige,
Elle est tombée dans son propre piège,
Un amour passionnel inassouvi
L'a entraînée aux tréfonds de la folie
Ses lèvres rouges teintées d'écarlate,
Son corps de porcelaine brisé,
Le dieu de la mort a posé sa patte
Sur ce cœur douloureux et frustré
Ses cheveux de flamme rougeoyants,
Au lever de soleil ardent,
Un liquide vermillon s'écoule doucement,
peignant sa peau d'ivoire de cette couleur qu'elle aimait tant...