Univers Perdu [Roman]

 Le centre des Mondes, le seul à vraiment être là, sans vraiment disparaître. Ses pas sont les battements de coeur des mortels, des dieux, des maitres. Ses respirations, le signe que plusieurs planètes se sont éteintes et si un jour vous le rencontrer et écouter ses paroles, cela signifie que dans votre tête, dans vos pensées, vous êtes perdus dans un néant profond, c’est que vous êtes en train de plonger dans une zone d’infinie trou noir.

 Il est l’oeil omniscient, ses mains savent même votre propre mort, ces moindres circonstances, et ces infimes conséquences. Le verdict de vos multiples années à vivre sur votre planète, maintenant perdu dans un bout de fil composant sa lourde veste grise, blanche, et noire. Le son affreux et sombre qui était produit par ses lourdes bottes de matière noire, au bout d’orichalque resonnant dans un vide immense, composé de millions de milliard de planètes où le simple fait de dire son nom fait trembler ciel et terre. Craint par la plupart des mortels à cause de la distance qu’il a avec tout le monde, mais aimé par sa propre personne, grâce à sa justice.

 Pour une très grande majorité, y compris les dieux de tous les Univers, le considèrent comme le seul et unique vrai dieu. C’est un dieu plus que divin, n’ayant pas la moindre idée de ce qu’est une émotion, peut-être à cause du fait qu’il soit absolument distant de toutes chose et de toutes vie, par-delà le temps, à la multiple pensée indescriptible. Lui, il le sait, contrairement, à vous, que votre vie n’a nulle importance sur le fait de savoir qu’il sera heureux ou non, car de toutes manières, il n’aura qu’à ce soucié de lui, et de lui seul. Il efface des vies, comme il efface un simple dossier… sans regrets. Vos souvenirs, sont pour lui, des bouts de ficelles, donc vous êtes la triste et l’inerte marionnette en bois.

 Alors qu’une lumière grise commença à éclairer ses fréquentes, et lourdes cernes dù aux multiples Timeyards1 à passer sans même dormir pour pouvoir veiller sur des nombreuses vies… des âmes perdues, par-delà les océans, les vastes étendus interstellaires.

A Suivre...

 Son visage aux cheveux gris clair, avec quelques nombreuses mèches blanches bougeant à l’ouverture des portes impressionnantes de son palais, face à lui, une plateforme d’eau pur l’attendant patiemment, pour qu’il puisse admirer, ce qu’il admire encore et encore chaque jour, ces nombreux cadeaux fait… refait, vu… revu, par les divins qui malgré leurs profondes haines envers le centre, lui donnent régulièrement beaucoup de présents. Ça n’a jamais été dans son caractère de tout garder, même les objets de hautes valeurs. Sans savoir pourquoi, en voulant garder un minimum de distance avec ceux qui lui ont offert ces merveilles, il les garde bien rangés dans une étagère.

De ses yeux vairons, rouge rubis et jaune or, qui voient dans ce hall d’entrée, accompagnant ce qu’on lui a offert, des multiples sources d’innombrables de connaissances s’étendant sur onze grands étages, cinq au-dessus de sa couronne de rouages indiquant une heure de vingt-deux heures vingt-trois, et cinq en-dessous de ces lourdes bottes. Tous considèrent que rien n’est plus grand, plus haut, que cette personne se déplaçant parmi ces livres tombant jusqu’à la fin des temps, ni même son propre et immense palais

Toutes les lumières s’allumèrent en même temps, à la même seconde, il descendit de l’eau, arrivant alors sur un sol entièrement transparent, l’OEil vit alors la pointe du bas de sa tour lui servant de palais. Il traversa porte après porte, pour arriver dans une immense salle au mille deux cents piliers d’une sombre composition. Ces porteurs sont appelés par beaucoup, les sombres miroirs du temps grâce à leur transparence absolue de noirceur. Quand ont regardent à travers leur glace, on pense y voir notre reflet… en réalité, on n’y voit que notre propre ombre. Si une personne prononce le nom d’Univers et la Partie auquel il est assigné, permet à cette personne, de voir, de savoir le passé, le futur, et l’actuelle présent de cet Univers. Cela marche pour tout, pour le petit objet sur votre bureau, à la galaxie la plus grande. Mais un Univers est l’exception qui semble échappé à la connaissance absolue de ces piliers, cet Univers n’est l’éternel premier, rien, malgré des millions de néants ne put le détrôner de sa première place. Ce sombre Univers Un de la Première Partie, celui de ce vieux marchant en ces lieux glorieux, appartenant au vide absolu de cet Univers où chaque chose n’est invincible.

A suivre...

Ces habitants, si vous les voyiez, ils vous diraient qu’ils sont bels et bien présents, qu’ils existent bien, mais… pour la plupart des visiteurs annuelles, ils sont inexistants, y compris pour les planètes aux nombres infinis, qu’ils sont engloutis dans un néant trop omniprésent dans ces lieux. La seule chose qui semble être là, et présente : c’est lui, le juge suprême des âmes, neutre la plupart du temps, vide de tout sentiment humain. Son triste palais malgré qu’il soit le centre de cette partie, de ces vastes lieux serra, semblera toujours à côté de son importance crucial, un simple lieu secondaire.

Il est comme ça ! Ce considérant comme sa plus grande création, le premier, toujours, encore, il ne sera qu’éternellement qu’au sommet qui lui-même commence à être au-dessous de lui. Il sait qu’il est fatigué à vous surveilliez, à regarder vos actions, à voir tous les Univers détruit de sa main, recrée par son autre main. Tous ce monde tourne et tourneras toujours autour de ce juge. Si jamais, un jour en vous baladant vous le croissez, s’il vous plait, de tout mon coeur, essayer de lui parlez-lui d’une manière calme, sans la strict émotion, soyez le plus neutre possible, sinon votre requête, aussi bonne qu’elle soit, vous allez finir comme cette minuscule fourmi que vous avez écrasé sans la moindre indifférence, à la différence que les souvenirs que vous avez laissé, ceux que les autres ont de vous, ce que vos parents ont pensée de vous… tout cela… entièrement disparut… dans un vide refusant d’être comblé.

Toujours sans même se fatiguer, assis sur son trône, à voir… revoir, les mêmes images, seules les personnes d’ailleurs changent, sur des milliards à venir le voir… des milliers en ressortent tristes, au bord de l’autodestruction, ils ont perdu toutes satisfaction être restés en vie, pour quelques minables années en vie. Ceux qui n’en sortent pas, sont ceux qui tellement heureux d’être venus, sont devenus de simple molécule flottant dans le tissue de sa lourde veste.

Il est le grand maître du temps, dirigeant ce vaste étendu qu’est le Cosmos2. Là, parmi les visiteurs annuelles et journalières, un jour comme les autres, une personne vêtue comme on peut le remarquer dès le premier coup d’oeil, d’une armure de fer rouge, des cheveux orange, une couleur de peau jaune clair. Reine d’un vaste empire, la conquérante de milliers de planètes, appartenant à l’Univers Neuf de la Partie Deux3 vient le voir et lui dit :

A suivre...

« Salut ; salua la visiteuse d’une manière singulière et plus qu’arrogante pour celui qu’il l’a accueilli ; maître des amateurs, ô sommet de pauvres âmes ; elle leva son regard, sur le maître des lieux qui la regarda d’un lourd regard cerné ; votre temps m’ai des plus précieux, pour mon plan, pour mes projets, plus que visionnaire ; dit-elle d’une manière arrogante ; il me faut plus de force pour que je puisse mettre fin à tous ceux qui se mette en travers de mon chemin ; à l’entende de cette phrase, le roi des mondes regarda cette mortelle d’un oeil intéresser, son regard s’assombrit ; En espérant de ne pas vous avoir offenser. Je suis admirer par la crainte dans la moitié de l’Univers Neuf de la deuxième Partie, mais moi ; la respiration de ce Centre fatigué, n’augmenta guère de plus en plus, elle était de moins en moins présente, des planètes qui était situés proche de la bordure de cette Univers, et qui regardèrent cette action en ayant peur tremblent de plus en plus, l’air diminua un peu, autour de lui, remplacer par un vide noir et sombre, et la puissante conquérante resta sur place elle pouvait toujours bougeait mais qu’avec des mouvements limités ; je veux être aimé par cette peur qui m’aime aussi, par les dieux de chaque Univers, grâce à cette paix intérieur qui sera en moi ; dit cette jeune antisociale, en essayant de s’approcher de grand du monde, elle eux sa conscience qui put de moins en moins cacher les véritables intentions de la personne qu’elle était ; que la Mort tremble et voudra à son tour mourir rien qu’à l’entende de mon si délicieux nom ; dans la tête du maître du temps, une bien vielle mécanique encore bien huilée s’enclancha délicatement et doucement pour désister de son verdict final ; Qu’absolument plus rien ne puisse m’arrêter dans mes plans, ni même le temps trop arrogant ; le pilier assis sur son confortable trône fait de néant et de quelle que poussière, il comprit finalement, prit par la suite la meilleur des solutions, pour cette simple mortelle, qui par l’attente du temps puisse enfin être gratifier

A Suivre...