Blanc et Noir

Alors voila le prologue d'une fiction que je viens d'écrire ( plutôt partiellement) qui introduit plus une sorte de mise en place qu'un réel annoncement de situation... enfin c'est compliqué à expliquer, je vous laisse voir par vois même.

Prologue : Blanc et Noir

Dans les ténêbres de la nuit surplombant le petit village d'Ix de sa tenture sombre, les habitants regagnaient leurs habitations d'un pas préssés, leur visages graves et dégoulinants de sueur ne dissimulant rien de leur panique. Dans les ruelles, les mères tiraient presque de force leurs enfants encore remplit d'insouciance le long des pavés. Dans les tavernes les hommes s'arrêtaient brusquement de jacasser entre deux gorgées de bière mousseuse et tous furent frappés, comme si la foudre fut venue s'abbatre sur eux, par la crainte la plus ancienne et la plus impétueuse de toute : celle de la mort. Partout, que se soit dans les ateliers de forgerie, dans les boutiques de vêtements ou de maroquinerie, partout la terreur s'inflitrait comme la peste noire, hântant les plus petis esprits comme les plus aiguisés. Sur la grande place, les jeunes garçons de marché exposant leur épices, leurs joailleries ou encore leurs bêtes de bétails criaient à tue tête l'heure du couvre-feux visible sur l'horloge de la grande église et immédiatement se dépêchérent de remballer leur marchandises comme si leur vie en dépendait, car d'un côté, il est bel et bien question de vie ou de mort. L'empressemement se propagea jusqu'aux champs de la cité, les paysans, déjà harasés par la fatigue de leur dure journée de labeur trouvèrent encore le courage de lever le nez de la terre grasse et porter à leur front leur poing sale de poussière. Eux aussi étaient nerveux, ils voulaient tous sans exception regagner la sécurité de leur lit, retrouver la sécurité dans les bras de l'être aimé, pourtant ils n'avaient pas le droit de quitter les terres avant d'en recevoir l'ordre du chef d'ouvrage, celui-ci n'étant autre que sous la solde de leur *très cher souverain* : Gaara, le prince des morts.

Bon j'avoue, c'est court et peu intéressant mais ce n'est qu'une mise en place...

Rahn a écrit:

Alors voila le prologue d'une fiction que je viens d'écrire ( plutôt partiellement) qui introduit plus une sorte de mise en place qu'un réel annoncement de situation... enfin c'est compliqué à expliquer, je vous laisse voir par vois même.

Prologue : Blanc et Noir

Dans les ténèbres de la nuit surplombant le petit village d'Ix de sa tenture sombre, les habitants regagnaient leurs habitations d'un pas pressé, leurs visages graves et dégoulinants de sueur ne dissimulant rien de leur panique. Dans les ruelles, les mères tiraient presque de force leurs enfants encore remplis d'insouciance le long des pavés. Dans les tavernes les hommes s'arrêtaient brusquement de jacasser entre deux gorgées de bière mousseuse et tous furent frappés, comme si la foudre fut venue s'abbatre sur eux(=> Mieux de dire "comme si la foudre s'était abattue sur eux) , par la crainte la plus ancienne et la plus impétueuse de toutes : celle de la mort. Partout, que se soit dans les ateliers de forgerie, dans les boutiques de vêtements ou de maroquinerie, partout la terreur s'inflitrait comme la peste noire, hantant les plus petits esprits comme les plus aiguisés. Sur la grande place, les jeunes garçons de marché exposant leurs épices, leurs joailleries ou encore leurs bêtes de bétail criaient à tue-tête l'heure du couvre-feux visible sur l'horloge de la grande église et immédiatement se dépêchèrent de remballer leurs marchandises comme si leur vie en dépendait, car d'un côté, il est bel et bien question de vie ou de mort. L'empressemement se propagea jusqu'aux champs de la cité, les paysans, déjà harassés par la fatigue de leur dure journée de labeur trouvèrent encore le courage de lever le nez de la terre grasse et porter à leur front leur poing sale de poussière. Eux aussi étaient nerveux, ils voulaient tous sans exception regagner la sécurité de leur lit, retrouver la sécurité dans les bras de l'être aimé, pourtant ils n'avaient pas le droit de quitter les terres avant d'en recevoir l'ordre du chef d'ouvrage, celui-ci n'étant autre que sous la solde de leur *très cher souverain* : Gaara, le prince des morts.

Bon, c'est certes court mais je préfère. Quand quelqu'un poste directement quelque chose d'effroyablement long, à moins de m'accrocher à fond dès les premières lignes, je n'ai guère le courage de tout lire et de commenter.

Concernant ce début, il me sera difficile de juger le fond car je n'ai que bien peu d'éléments mais il me semble que l'histoire soit prometteuse.
Par rapport à la forme, comme tu as vu, j'ai corrigé quelques fautes de français. Rien de bien grave, mais c'est toujours mieux. Non, toi, la lacune que je vois serait plutôt la ponctuation en fait.

Exemple avec ton dernier paragraphe, où on s'essoufle :

"Eux aussi étaient nerveux. Ils voulaient tous sans exception regagner la sécurité de leur lit, retrouver la sécurité dans les bras de l'être aimé... Pourtant, ils n'avaient pas le droit de quitter les terres avant d'en recevoir l'ordre du chef d'ouvrage, celui-ci n'étant autre que sous la solde de leur *très cher souverain* : Gaara, le prince des morts."

C'est un exemple. D'ailleurs, à propos de ce paragraphe, il y a quelque chose qui me gêne : "celui-ci n'étant autre que sous la solde de leur *très cher souverain*" Je comprends ce que tu veux dire mais il me semble que la tournure est mauvaise... Il manque comme un élément, genre "n"étant autre qu'un des sbires de leur "très cher souverain"", tu vois ce que je veux dire ?

Sinon, tu te débrouilles plutôt bien. Attention à la ponctuation et à certains tournures de phrases, mais le reste est bon !
Je t'encourage donc à poursuivre !!! ^^

Non, c'est intéressant, moi j'aime bien !
Ca m'a l'air d'être un contexte assez moyennageux, et j'adore ça
C'est court, certes, mais comme l'a dit Nighthaven, quand c'est trop long, c'est décourageant !

T'as déjà écrit la suite ?

Moi j'aime bien ce début (je peux pas encore dire j'adore, j'attends d'entrer dans l'intrigue )

Gaara... Il a quand même pas une tête de lapin ?



Au fait, je confirme ce qu'Ultuant a dit dans les présentations, il est superbe ton avatar !

L'accroche est pas mal Rahn.
Un peu courte comme tu l'as dis, mais je pense qu'en allongeant ton intro par quelques détails aptes à faire 'saliver' le lecteur, tu pourrais créer une atmosphère tout à fait intéressante.

Une faute: je crois que la forgerie n'existe pas. Pluitôt la forge. Sinon Nighthven a corrigé le reste.
J'aime assez, tu arrives à bien développer le début, ce que je ne pourrai jamais faire.
J'ai remarqué que tu a mis: partout les hommes s'arrêtaient brusquement de jacasser, et tou furent frappés etc... je ne peux pas trop l'expliquer mais il me semble que tu devrai utiliser le passé simple, c'est une interruption dans le temps, non?

OUi, forgerie m'a interpellée aussi car on a tendance plutôt à parler de forge mais en vérité, le terme existe bel et bien... ^^

Héhé, c'est qu'elle est pas cruche mon amie tout de même ! (enfin pas tout le temps :: )

* part se cacher *

Essaye même pas de te venger en balançant mes surnoms ridicules

Une bonne entame même si l'on reste sur notre faim un poil plus long m'aurait plu !
Gaara du village du sable ? (je suis un nostalgique du club dorothée )

Je t'encourage donc a continuer mais également à retraivailler tes phrases tu as donc un bon premier jet, à toi de concrétiser l'essai .