Les Chroniques du lion d'or

Citation :

J'ai pas vu de changements flagrants.
Le visage ivoirin se contracta. Ses yeux papillonnèrent un instant et ses lèvres bougèrent.
-Je vais… essayer…

je ne comprends pas qui parle. Terac ou le guérisseur?
Il tâtonna autour de lui et finit par trouver la main du garçon." Si le il et idem à celui qui parle je suis perdue. Au début tu dis que l'état de Terac s'est dégradé donc le garçon va mieux. Mais plus loin tu dis
Déjà, les gardes aidaient un Terac hésitant et le garçon toujours inconscient " scratch

Heu déjà Terac = le guérisseur... Je crois que c'est parce que tu à lu des bouts de texte sans suivre le tout... faut dire que le problème du site n'a rien arrangé question clarté...

Citation :

l'ensemble de la description me plait bien, j'en suis frigorifié et je vais me faire un café bien chaud.... par contre, juste... je me pose une question existentielle sur l'eau croupie... C'est ptet moi mais "eau croupie" ça me fait penser à une marre d'eau toute cracra... et pour la description je pense que "eau boueuse" ça suffirait..; (bah ça donne de toute façon pas envie de la boire hein...)

en fait si j'ai mit "croupie" parce que je dit boue une ligne (ou deux au dessus je croie... )mais si je peut le replacé pas de problème

Je vous poste le début du chapitre 2, bonne lecture :

"Chapitre Deux

Dans un tourbillon d’or et flamme rouge

Une douleur. Une douleur terrible. Foudroyante. Battante. Il ne ressentait rien d’autre. Son esprit ne parvenait pas à réfléchir, revenant constamment sur la souffrance dans son crâne. Il gémit. Le son lui fit mal. Il serra les dents pour s’empêcher de recommencer. Sa respiration ralentit alors qu’il essayait de se calmer. De calmer la douleur que chaque battement de son cœur accentuait. Après quelques secondes, il leva lentement ses paupières… avant de les refermer tant ce simple effort fut douloureux. Finalement sa volonté reprit le dessus. Et Elione ouvrit les yeux.
La pièce dans laquelle il se trouvait n’était que faiblement éclairée. A l’aide d’une chandelle, à en juger par les ombres dansantes au plafond. La seule vision de ces formes mouvantes brouilla sa vue et transperça sa tête d’une centaine d’aiguilles brûlantes. Quelques battements de cœur passèrent. Rien ne bougea. Puis une porte coulissa en grinçant imperceptiblement, mais suffisamment pour raviver encore un peu plus la douleur. Une vague silhouette blanche approcha. Il aurait voulu se tourner mais la souffrance était telle qu’il craignait de retomber dans l’inconscience… Avant qu’il ait décidé quoi que ce soit, une flasque apparut devant son visage. Sa gorge était sèche et ses lèvres s’écartèrent presque par réflexe. Il se força à avaler plusieurs gorgées d’un liquide acre et chaud. Le goût lui donna la nausée. Une minute s’écoula et la douleur commença à refluer pour finir par disparaître presque instantanément. Quelqu’un se pencha au-dessus de lui.
L’homme était vieux. Très vieux. Bien plus que la plupart des anciens qu’Elione avait vus dans sa jeunesse ou même des druides qu’il connaissait. Le visage clair, plus pâle que celui des hommes d’Hargand, était marqué par de profondes rides, mais semblait épargné par toute autre forme de vieillissement. Comme sa barbe et ses cheveux fournis, gris et tout juste envahis de quelques rares mèches blanches. Et ses yeux. Des yeux de mage, blanc et légèrement pailletés de brun. Assurément il devait être âgé de plusieurs vies d’homme. Son regard plongea dans celui d’Elione quand il prit la parole.
-Je suis désolé pour la souffrance que vous avez du ressentir. Vous n’étiez pas sensé vous réveiller avant plusieurs jours.
Alors que les mains de l’homme palpaient son front, Elione vit un petit pendentif se balancer sous ses yeux. Une étoile à cinq branches en argent, finement ciselée.
-Guérisseur… quand…quand sommes-nous ? demanda-t-il en cherchant son souffle.
L’autre tira quelque chose près du lit et s’assit.
-Le mois de novembre vient juste de commencer.
-Novembre … marmonna Elione.
-Vous êtes resté deux semaines dans l’inconscience, jeune homme, expliqua le mage d’une voix très douce.
Elione essaya de reprendre ses esprits.
-Qu’est-ce qui s’est passé ?
-Vous ne vous rappelez pas les vouivres ? répliqua calmement le guérisseur.
Elione aurait pu jurer que l’homme s’était tendu imperceptiblement.
-Si je… je les ai tuées…
Le mage opina.
-Oui, vous les avez tuées. Ce qui n’est pas un mince exploit. Peu d’hommes peuvent se vanter de pareille victoire.
-Mais après… qu’est-ce qui s’est passé après ?
-Vous avez été blessé. Gravement. Des soldats de Rocblanc vous ont trouvé juste à temps. Leur guérisseur vous a… maintenu en vie pendant qu’ils vous amenaient ici.
-Ici ? répondit Elione en essayant de se redresser un peu.
-A Rocblanc. Dans la citadelle du Haut Seigneur pour être précis. Ne bougez pas, ajouta-t-il en voyant le jeune homme lutter. Vos muscles sont encore faibles et je n’ai pas soigné les nerfs de votre épaule.
Paniqué, Elione voulut lever son bras gauche, sans succès.
-Ce n’est pas définitif ? lança-t-il faiblement.
-Non. Vous serez guéri pour votre entrevue avec le Haut Seigneur.
-Mon entrevue ? répliqua le jeune sans comprendre.
-Vous devez connaître les anciennes lois. Toute personne qui tue l’un des grands prédateurs de la Forêt Grise est placé sous la protection du Haut Seigneur et a droit à un entretien avec le Duc de Rocblanc pour demander la faveur de son choix. Dans votre cas, c’est le Seigneur lui-même qui vous recevra.
Elione réfléchit quelques instants. En effet, il se souvenait des lois anciennes qui régissaient encore un grand nombre de villages forestiers. Son père lui avait expliqué que la loi sur des prédateurs avait été instaurée à l’origine pour réguler le nombre de grands loups gris, vouivres et petits dragons dans la forêt. Aujourd’hui personne ne l’appliquait plus.
Mais c’était surtout le fait de rencontrer le Haut Seigneur d’Hargand qui le mettait mal à l’aise. Peu de gens du commun avaient la chance de le voir, ne serait-ce qu’une fois dans leur vie. Comment devrait-il se comporter ? Y avait-il des sujets qu’il faudrait éviter ? Des centaines de questions se mirent à tourner dans la tête d’Elione toujours engourdie par son récent coma. Il en oublia totalement la présence du guérisseur.
-Je crois que vous avez besoin de repos, finit par dire celui-ci après un certain temps. Je vais rétablir l’activité de vos nerfs mais je vous préviens cela va être très douloureux.
Elione cligna des yeux vers le mage.
-Si ça peut guérir mon bras…
L’homme se leva et posa ses mains sur l’épaule insensible. Il ferma ses paupières puis les rouvrit rapidement. Les traces brunes avaient disparu de ses iris, maintenant en proie à un feu immaculé et aveuglant. De la lumière sortit de ses paumes et sembla s’infiltrer dans la peau d’Elione. Qui hurla. Une douleur mille fois plus forte que celle de son crâne venait d’exploser dans son bras. Il compta trois battements de cœur atrocement et affreusement longs Et finit par s’évanouir. "

PS : ced est ce que saumâtre te conviendrais mieux ?

Post 1

Citation :

son pantalon avait perdu la moitié de leurs jambes.

(assez maladroit)

Citation :

Malgré sa vie sauvage il conservait une hygiène admirable, ses longs cheveux noirs brillaient légèrement

(surprenant vu le peu d’intérêt qu’il porte à ses vêtements.)
Une ombre n’est invisible que la nuit.

Citation :

Le matin même Elione avait entendu des cris. Des rugissements bestiaux. Tout près. Trop près du bosquet qu’il occupait.

(Il y a une incohérence de durée).

Citation :

Un squelette de cerf y était affalé dans une position grotesque

. (affalé ne convient pas) tu parles de squelette et ensuite de traces du prédateur dans le sang séché. Tu emploies le terme rongé alors que l’attaque semble être celle d’un prédateur avec des dents de carnassiers. Ensuite le druide touche les bois imbibés de sang. (encore une confusion de durée et de faits)

Post 2

Citation :

plus vieux que l’humanité

. (cela paraît excessif, il y a-t-il eu plusieurs humanités ?
Abattre un pan de mur avec des branches c’est pas un peu bizarre ?
Sinon pourquoi marcher jusqu’à ces ruines pour dire si peu de choses. Ensuite le temps tu le calcules comment pour être si précis.

Post 3

Citation :

C’était une vouivre

, et bien du fait que cet animal est un être fabuleux, le lecteur ne le connaissant pas, tu devrais peut-être le décrire avant de dire ce que c’est.
Si c’est ce monstre qui laisse ses traces de destruction dans la forêt je ne comprends pas comment Elione qui est un chasseur, puisse être surpris vu le manque discrétion du monstre.
La réaction de ton héros, est bizarre pour ne pas dire plus, il pourrait rire en pensant qu’il va mourir et en se souvenant de la mort de son père ?
Pourquoi la vouivre ne poursuit pas son attaque. Le combat n’est pas fluide, on le dirait stoppé dans son élan par un arbitre invisible. Une attaque. Une Parade. Une réflexion. Etc.. De plus l’affrontement ne me semble pas vraisemblable, peux-t-on rouler avec son arc et tirer une flèche en étant sous le monstre ?

Citation :

La bête, hébétée, recula. Elle mourut sans même savoir pourquoi.

(l’anthropomorphisme tu connais ? Car tu attribues à tes monstres des sentiments vraiment humain).

Citation :

Le monstre scruta les alentours et chargea Elione dès qu’il le remarqua.

Cette phrase est illogique, puisque c’est le monstre vouivre 2 qui vient de le frapper ?

Post 4

Citation :

Le chariot passa sous l’arche sans ralentir

, vu la description apocalyptique que tu fais des éléments je ne vois pas comment le chariot puisse se déplacer vivement.

Citation :

que deux lames se posaient sur sa gorge.

(pourquoi les garde que tu décris comme incrédules, manifestent cet acte de violence, juste après ?).
sinon, le déroulement de ton récit me laisse perplexe, Elione qui était le héros n’est plus présent.

Post 5

Citation :

Son bras droit n’était plus relié à sa poitrine que par une bouillie sanguinolente où les os de l’épaule, brisées, jaillissaient en divers endroits. Plusieurs côtes transperçaient son flanc et les vêtements qui le recouvraient étaient imbibés de sang. Qui continuait à s’écouler. Il ne fallait pas perdre de temps.

(Vu la description c’est le moins qu’on puisse dire.)
-

Citation :

Je peux le garder en vie mais cela ne servirait à rien. Son épaule et son bras sont irrécupérables. Ses vertèbres sont brisées. Seul un maître de mon ordre pourrait avoir une chance de le guérir.

Vraiment tu en fait tellement qu’on se demande comment ton héros peut encore parler. Vu le mode de transport, chariot, et les heurts de la route du précédent post, c’est juste complètement invraisemblable.
Si bien que tu obliges ton guérisseur à accomplir des soins magiques plus que puissants avec pleins de détails pour redonner de la cohérence.
C'est comme si tu voulais faire vrai, pour ensuite envoyer valser toute vraisemblance avec un sort de soin, « capable de relier un bras détaché d’une poitrine. »

Citation :

On ne lui fera pas grand-chose à deux. La meilleure chance de ce gamin est que tu partes chercher les autres, et vite !

(Maintenant une autre interrogation me vient, pourquoi toutes ses personnes chassent ce monstre avec des armes inappropriées pour lui faire de réels dommages ?)

Citation :

Après avoir poussé un soupir, il lança la fiole en l’air. Carolan était près à la rattraper par réflexe quand le verre explosa en une myriade de fragments étincelants. Ils furent emportés par un vent invisible et finirent par disparaître.

( pas compris l’action).

Post 6
Je trouve ce passage plutôt intéressant. Mais bon, toujours à mon goût un gros problème de cohérence. En deux temps trois mouvements d’un village endormi, plus d’une dizaines de personnes, dont la duchesse viennent pour se renseigner sur les faits et gestes des nouveaux arrivants. Ensuite le souvenir d’Elione dans l’esprit de la duchesse est un peu téléphoné. Sinon le récit prend son rythme. Les soins magiques curatifs avec l’échange de flux vitale semble plus acceptable.

Sinon bravo pour ton récit, car c’est du travail. Tu te donnes du mal pour bien faire, cela se ressent.
Alors j’espère que mes réflexions ne resteront que ce qu’elles sont : de simples points de vues divergents et aussi des encouragements à toujours mieux faire.

Je trouve tes réflexions des plus intéressante ! Je vais prendre le temps de toute les prendre en compte (je suis un peu trop crevée aujourd'hui! ) !

PS : je passerai lire Hypnos dès que j'aurais un moment !

et la suite alors ?
je n'ai relevé que quelques incohérences, je te ferais un pinaillage complet quand j'aurais un peu plus de temps

(ps : rhôô, tu as laissé le système de mesure bizarre )

Olivier tu t'es référé à l'ancienne version... l'entièreté du chapitre 1 corrigé est à la fin de la page 1...

Citation :

son pantalon avait perdu la moitié de leurs jambes.

Remplacé par : "Son pantalon avait été amputé de la moitié de ses jambes depuis bien longtemps."

Citation :

Malgré sa vie sauvage il conservait une hygiène admirable, ses longs cheveux noirs brillaient légèrement

Remplacé par : "Malgré sa vie sauvage il parvenait à conserver un aspect irréprochable, habitude compulsive, hérité de sa vie passée. Ses longs cheveux noirs brillaient légèrement, captant le peu de lumière présente. "

Citation :

Le matin même Elione avait entendu des cris. Des rugissements bestiaux. Tout près. Trop près du bosquet qu’il occupait.
(Il y a une incohérence de durée).

Désolé mais je ne comprend pas ta remarque...

Citation :

. (affalé ne convient pas) tu parles de squelette et ensuite de traces du prédateur dans le sang séché. Tu emploies le terme rongé alors que l’attaque semble être celle d’un prédateur avec des dents de carnassiers. Ensuite le druide touche les bois imbibés de sang. (encore une confusion de durée et de faits)

Que mettrais tu a la place d'affaler ?
Pour le carnassier j'ai remplaça par ça : "La carcasse semblait rongée. Par des dents effrayantes. Des os manquant il ne restait que quelque traîné de poussière blanche. Le prédateur qui avait dévoré le cerf devait posséder une mâchoire énorme." En effet la vouivre à du goût ! Et l'os elle évite... après les premières bouché bien sûr ! ^^
Une nouvelle fois je ne comprend pas ta remarque sur la durée...

Citation :

. (cela paraît excessif, il y a-t-il eu plusieurs humanités ?
Abattre un pan de mur avec des branches c’est pas un peu bizarre ?
Sinon pourquoi marcher jusqu’à ces ruines pour dire si peu de choses. Ensuite le temps tu le calcules comment pour être si précis.

Le début est remplacé par : "Un jour un druide lui avait affirmé que la ville, ou du moins ce qu’il en restait, était plus vieille que l’humanité. "
Pour les branches je te pose la question : tu est dans la forêt, tu veux exploser un mur tu utilises quoi ?
Quand à la raison... surprise ! ^^

Citation :

, et bien du fait que cet animal est un être fabuleux, le lecteur ne le connaissant pas, tu devrais peut-être le décrire avant de dire ce que c’est.
Si c’est ce monstre qui laisse ses traces de destruction dans la forêt je ne comprends pas comment Elione qui est un chasseur, puisse être surpris vu le manque discrétion du monstre.
La réaction de ton héros, est bizarre pour ne pas dire plus, il pourrait rire en pensant qu’il va mourir et en se souvenant de la mort de son père ?
Pourquoi la vouivre ne poursuit pas son attaque. Le combat n’est pas fluide, on le dirait stoppé dans son élan par un arbitre invisible. Une attaque. Une Parade. Une réflexion. Etc.. De plus l’affrontement ne me semble pas vraisemblable, peux-t-on rouler avec son arc et tirer une flèche en étant sous le monstre ?

Je décrit l'animal juste après... le lecteur peut bien attendre quelque ligne...
La réaction est calculé... à toi d'en tirer les conclusion que tu veux...^^
Les réactions de la vouivre on déjà été évoqué... c'est un animal intelligent (nouvelle version : "Les vouivres étaient une espèce apparentée aux dragons, qui avaient perdu la capacité de voler ou de cracher du feu mais qui conservaient une part de leurs intelligences." ) et on un comportement félin... elle aime jouer avec leurs proies...

Citation :

Cette phrase est illogique, puisque c’est le monstre vouivre 2 qui vient de le frapper ?

J'avoue que je comprend pas...

Citation :

vu la description apocalyptique que tu fais des éléments je ne vois pas comment le chariot puisse se déplacer vivement.

Juste ! J'avais oublier de préciser que le chariot avait rejoint une route pavée...

Citation :

(pourquoi les garde que tu décris comme incrédules, manifestent cet acte de violence, juste après ?).
sinon, le déroulement de ton récit me laisse perplexe, Elione qui était le héros n’est plus présent.

Ils font leurs boulot : pense a ta réaction si un chariot fou s'arrêtait juste devant toi et que tu devais garder les portes...
Quand à la présence d'Elione c'est voulu... je n'aime pas les héros surprésent...

Citation :

(Maintenant une autre interrogation me vient, pourquoi toutes ses personnes chassent ce monstre avec des armes inappropriées pour lui faire de réels dommages ?)

Problème de quantité et pas de qualité... Deux chasseur sont bien moins efficace qu'une compagnie entière...

Citation :

( pas compris l’action).

Encore une surprise...^^

Citation :

Vraiment tu en fait tellement qu’on se demande comment ton héros peut encore parler. Vu le mode de transport, chariot, et les heurts de la route du précédent post, c’est juste complètement invraisemblable.
Si bien que tu obliges ton guérisseur à accomplir des soins magiques plus que puissants avec pleins de détails pour redonner de la cohérence.
C'est comme si tu voulais faire vrai, pour ensuite envoyer valser toute vraisemblance avec un sort de soin, « capable de relier un bras détaché d’une poitrine. »

Déjà il n'est pas dans le chariot quand il parle... et si il est tellement résistant c'est parce que c'est le héros (ça deviendra plus clair plus tard...)!

Citation :

Mais bon, toujours à mon goût un gros problème de cohérence. En deux temps trois mouvements d’un village endormi, plus d’une dizaines de personnes, dont la duchesse viennent pour se renseigner sur les faits et gestes des nouveaux arrivants.

Heu... je ne comprend pas...

Luciole j'attends tes remarque avec impatience... Et vous aurez bientôt la suite...