Texte rapide, nul et sans interet.

Voici un petit texte que j'avait écrit pendant les cours, je sais que c'est pas génial mais bon ... :

Aujourd'hui, j'ai 20 ans, je part vivre dans mon premier appart' avec ma copine.
Ca aurai pu être un jour magnifique, mais ma mère à tenu à ce que je range ma chambre (Laissée comme tel depuis mes 10 ans). Un travail difficile en perspective, mais en procedant méthodiquement ça devrait aller vite non ?

Je commançait donc en décrochant les posters de groupes de rocks accrochés au mur et en les pliant soigneusement pour ne pas les abimés, puis en vidant mon armoire.
Je passai toute la matiné à fouiller tous les recoins de la pièce, jusqu'à que je trouve cette fameuse boite.
Je ne me souvenait que vaguement d'avoir eu une petite boite en bois comme celle-là, elle était en ébène délavé par le temps, le couvercle était gravé d'une inscription difficile à déchiffrer mais encore visible:



A l'évidence je devai être jeune pour avoir fait des fautes aussi flagrantes, les lettres avaient été gravées avec la pointe d'un couteau sûrement.
Le couvercle était soudé au reste de la boite avec une serrure, je sortit mon couteau suisse de ma poche et fit sauter le morceau de métal et vidait le contenu de la boite par terre. Il y avait la dedans tout un bric-a-brac d'enfant, des billes, un beau caillou translucide, un bracelet de perle noires, des plumes de pigeons ...
Et un carnet sombre à la reliure de cuir, ainsi qu'un petit stylo d'argent. J'ouvrit délicatement le livret, la première page étairt remplit d'une écriture en patte de mouche, mais maladroite, comme si à cette époque je savait à peine écrire.
Je me surpris à lire à haute voix les premières lignes:



Je m'arrêtai la. Je n'avait pratiquement aucun souvenir de ma jeunesse, encore moins de ce petit carnet. Par contre, l'histoire de Flavien et Jeremy restera à jamais dans ma mémoire. L'école primaire avait été pour moi une torture, on s'en prenait toujours à moi et a une fille qui était mon amie ... Enfin je n'en était pas sur. Je feuilletait rapidement les pages, peu à peu les fautes se faisait moins fréquentes, les phrases était mieux tournées. A la fin du livret se trouvait un numero de portable, sans nom à côté.
En bas de la dernière page, il n'y avait que 10 mots:


Un instant je ne comprit pas, puis je revint au début et fouillait le carnet à la recherche d'un nom. Enfin, dans une marge de la troisième page, je découvrit ce que je cherchait: Nina F. 1989 – (aucune date de mort).
J'allai de nouveau vers les dernière pages et lu plus attentivement. Puis je trouvait le texte qui me fit presque pleurer:



Je commençai à comprendre. Ce n'était pas MA boite, mais celle d'une amie ... Dont je ne me souvenait pratiquement pas. Comme tout cela me semblait lointain !
Je tournait la page et composait doucement le premier numéro, sans trop savoir ce qui me poussai à faire ça.
Il y eu un bip, puis deux, et enfin un déclic.
-Allo ? chuchotai-je
J'entendit comme un rire à l'autre bout du fil, puis une voix feminine et douce répondit:
- Alphonse ! Je savait que tu rappelerais !

Un joli travail de mémoire.
Pas génial ! c'est toi qui le dit. Tu pourrai en faire une jolie nouvelle.
Bravo continue

Oh. Comme premier commentaire je m'attendait a pire.

J'ai pas mal d'idées pour la suite mais c'es encore flou, merci Mike

Franchement j'aime bien! Même avis que Mike! tu pourrais en faire une bonne petite nouvelle!

Merci elodia, j'y travaille.