L'enfant maudit

Je suis nouveaux alors desolé si je poste au mauvais endroit. Ne sachant trop par ou commencer, e vous mets un de mes textes pour commencer. si vous avez des conseils, il sont les bienvenue.

Si vous voulez rigolez voici l'histoire en audio (mp3)
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Chapitre I

L’épidémie

Enki le visage tendu, les mains appliquer sur la poitrine d’un enfant malade sentait son pouvoir agir et repoussez le mal. Il était assez grand selon les critères du peuple de sa mère tout en étant aussi souple et svelte que les elfes dont le sang coulaient dans ces veines.
Quand il eu terminé, il se redressa avec un soupir de soulagement
-Il vivra, souffla-t-il.
Le visage baigner de larmes la mère prit son enfant dans ces bras.
- Merci, vous êtes un sauveur.
Sans dire un mot, le jeune homme se leva et s’éloigna d’un pas las. Il n’avait pas dormi depuis l’avant-veille et la fatigue commençait à se faire lourdement sentir. Mais le repos attendrait encore au moins une journée. Il lui restait beaucoup à faire.
Arrivé au seuil de la porte, il marqua une pause et se retourna. Il regarda un instant l’enfant dont le visage semblait maintenant s’être apaisé.
L’enfant était encore faible. La maladie l’avait marqué dans sa chair, mais il était jeune et finirait par se remettre. D'autres malheureusement n’avaient pas eu cette chance.
Il sortit, les premiers rayons de l’aube éclairait doucement la pénombre du petit matin. Un épais brouillard s’étendait sur le village et ces environs. Il était arrivé presque trop tard. Cela faisait déjà un moment que l’épidémie sévissait. La maladie avait tué de nombreux villageois. S’il était arrivé ne fussent que deux où trois jours plus tard, il n’aurait trouvé que des cadavres.
Une odeur fétide de décomposition lui apprit ce que la brume matinale lui cachait. Il devait y avoir un ou plusieurs cadavres en décomposition dans le coin. Le jeune magicien espérait pouvoir en finir avec tout cela avant de s’écrouler de fatigue. Malgré sa grande résistance, il était parfaitement conscient du fait qu’il avait dépassé ces limites durant ces deux derniers jours.. On ne faisait pas un usage aussi abusif de la magie sans en payer le prix. Tous qu’Enki espérait étaient de pouvoir finir le travail avant de s’effondrer. Conscient que s’il marquait une pause, il ne se relèverait pas.
Enki se força donc à ne plus y penser. D’expérience, il savait que la pire des choses à faire dans ce genre de situation était de se perturber avec des questions futiles pour lesquelles on n’avait pas de réponse. Le résultat se soldait toujours par un gaspillage d’énergie et de temps. Le jeune homme se força donc à se focaliser sur son objectif.
Soudain, le bruit des sabots d’une dizaine de chevaux se fit entendre brisant le silence morbide qui jusqu’ici n’avait été rompu que par les gémissements des malades.
Une belle femme blonde devant être âgée d’une vingtaine d’années alla se planter devant lui. Bien que ses traits fussent de primes abords calmes et sereins, Enki percevait de l’inquiétude derrière ce masque d’impassibilité.
— Êtes- vous le guérisseur ? demanda-t-elle avec empressement.
Enki releva la tête croisant le regard de la femme.
— J’en suis un parmi beaucoup d’autres.
— Sauf que les autres sont impuissants face à la maladie. Comment pouvez-vous réussir là ou même les meilleurs médecins royaux ont lamentablement échoué.
— Cette maladie n’est pas naturelle, expliqua Enki dont l’attention venait juste d’être attirer par un homme agonisant qui gisait à demi mort. Passant devant la noble comme si elle n’était pas là, il se dirigea vers le pauvre homme.
Même si celle-ci ne sembla pas se formaliser de ce comportement, ce ne fut pas le cas de tout le monde. Tout particulièrement l’un des hommes qui l’escortait – apparemment le chef de la gardes- paraissait tout spécialement remonté. Et l’irritation qui déformait ses traits semblaient s’être imprimée à jamais sur son visage.
— Et toi, réalises-tu à qui tu d’adresse ?
Enki ne porta aucune attention à l’homme. Le chef de la garde l’air furibond s’apprêta à répondre, mais d’un geste de la main la femme lui intima de se taire. Sans un mot, elle alla le rejoindre.
— Ce n’est pas une maladie naturelle. C’est une maladie magique, reprit-il en examinant le corps. Il appliqua ces mains sur le torse du malade. Une pâle lumière illumina ces mains.
« C’est la raison pour laquelle tous les remèdes et les décoctions sont sans effet. Voilà pourquoi seul la magie peu guérir .
La femme médita cette réponse. L’observant du coin de l’œil, Enki put deviner le cheminement de sa pensée aussi surement que s’il avait possédé le don de lire dans les pensées. Hélas l’heure n’était pas à ce genre de préoccupation. Ne voulant pas gaspiller son énergie en longue explication sur l’origine de l’épidémie, il se décida d’aller droit au fait.
— Pardonnez-moi si je suis un peu brusque, mais peut-être devriez-vous me dire les raisons qui vous ont poussé à venir me trouver.
— Vous avez raison, je suis la princesse Elira se reprit-elle l’air grave. Mon fils est malade, j’aimerais que vous veniez avec nous.
— Quand est-ce que les premiers symptômes sont apparus ?
La femme réfléchie un instant.
— Il a une forte fièvre depuis deux jours.
— J’essayerai de passer ce soir.
— Non, vous devez venir immédiatement. Nous vous donnerons tout l’or que vous souhaitez, mais il faut que nous partions, maintenant. Ce n’est pas quelque chose de négociable ! Mon fils est au plus mal, il ne peut pas attendre.
— Et pas eux, fit-il d’une voix blanche dont la froide neutralité contrastait avec la panique évidente qu’on percevait dans celle de la femme. Il esquissa un léger mouvement de tête en direction des malades qui gisait dans la rue. Cela peut vous paraître cruel en temps que mère, mais ici aussi, il y à des mères dont les enfants son malade depuis bien plus longtemps que le vôtre. Si je m’en vais, il meurt s’est aussi simple qui ça. Voudriez-vous sacrifier des dizaines de vies contre celle de votre enfant.
La femme baissa les yeux, le visage empreint d’une frustration contenue. Une nouvelle fois la lumière dans les mains magicien faiblit après quelques minutes avant de mourir complètement lorsqu’il eut terminé. Cet homme était bien plus malade que l’enfant, et il n’était pas certain qu’il survive. Si la maladie ne rongeait plus son corps, elle avait cependant fait trop de dégâts pour que l’on puisse raisonnablement présumer de ses chances de survie.
En silence, il se redressa prêt à aller à la rencontre d’un autre contaminer, mais le capitaine des gardes s’interposa, lui bloquant le passage. Le soldat le regardait une lueur réprobatrice dans les yeux.
— Sa Majesté ta donnée un ordre. Obéis et ne discute pas.
Enki fixa l’homme d’un regard méprisant qui en aurait mis mal à l’aise plus d’un.
-Impossible ! Je ne sacrifierais pas des dizaines de vies pour en sauver une seule. -Il tourna alors la tête vers la jeune femme- Je suis désolé, votre fils devra attendre.
-On ne te demande pas ton avis, espèce de traître. Tu fais ce qu’on te dit bien gentiment ou je te passe mon épée en travers du corps.
-Vous voulez me tuer? Rien de nouveaux sous le soleil donc, lança-t-il le visage impassible et la voix moqueuse. Faites donc ! Ne vous gêné surtout pas pour essayer si cela vous amuse… Enfin si vous le pouvez, bien sur.
Le capitaine contrarié par l’arrogance indifférente du jeune homme se renfrogna encore plus. Il pointa un doigt menaçant vers le guérisseur qui osait le défier.
-Ne commets pas l’erreur de penser que j’hésiterais un seul instant, mon garçon. J’ai fait bien pire dans ma vie de soldat que couper des langues un peu trop bien pendues
Enki lui adressa un sourire entendus non dépourvus de cynisme.
- Comme bruler au fer rouge le visage d’un nourrisson et vous parjurer, je sais suggéra le guérisseur.
Ces mots avaient été prononcés sans une once d’agressivité ni aucune intonation particulière pouvant suggérer un éventuel double sens. Et pourtant inexplicablement le capitaine de la garde recula comme s’il venait de le frapper.
-Surpris, il ne faut pas. Le revers de la médaille c’est que les nourrissons grandissent et que les parjures ne connaissent jamais la paix.
Perdant tout intérêt pour l’officier, il reporta son attention sur sa maîtresse.
-Vous être libre de me tué ou du moins d’essayer, lui dit-il. Mais en faisant cela vous condamnez, non seulement votre enfant mais aussi tous les gens de ce village. Je suppose que vous espérez que votre fils devienne quelqu’un de bien plus tard. Quel genre d’exemple lui donneriez-vous, si vous sacrifiez des dizaines de vies pour que lui ai la vie sauve ?
-Au moins sera-t-il vivant, souffla-t-elle.
Le capitaine reprenant contenance le rattrapa et l‘empoigna sans ménagement.
-Je te l’ai déjà dit, tu n’as pas le choix. Même si je dois te briser les deux jambes et te trainer par les cheveux jusqu’au palais, tu soigneras le prince.
Le magicien lui cracha au visage.
-Silence ! Je n’ai pas de leçon de moral à recevoir venant d’un individus de te sorte.
Avant que le capitaine n’eu le temps de réagir, Enki lui saisit le poignet, et en éclair lui passa sous l’épaule et se retrouva derrière lui. Dans le même temps sa main libre, sortit la dague qui pendait à sa ceinture. En une seconde se fut terminé. D’une main Enki, tordait le bras du soldat et de l’autre, il le menaçait de sa dague qu’il appliqua sur sa gorge.
-Maintenant écoute-moi et tache d’user de ta cervelle. Chaque minute, chaque instant, que je passe à perdre avec toi c’est une chance voler à ton jeune seigneur car j’ignore combien de temps, je tiendrais.
Il se pencha vers l’oreille du soldat et murmura à voix basse de telle façon que personne d’autre nentende .
Par ta stupidité tu mes en danger la vie d’un autre enfant.
Il libera sa victime le poussant sans ménagement.
Sans dire un mot le jeune magicien tourna les talons et s’éloigna d’à peine trois pas avant que la femme ne lui demande.
-Ne pouvez-vous vraiment venir. Je comprends les raisons qui vous poussent à vouloir rester. Mais si nous partons, maintenant nous pourrions être de retour dans moins de deux heures.
-Vous ne comprenez pas la situation. Cela fait presque deux jours que je n’ai pas mangés et que j’utilise mon pouvoir presque sans m’arrêter. Le temps avant que je ne m’effondre est compté. Et lorsque ça arrivera, il me faudra, au moins une semaine pour récupérer…et ca c’est seulement si je survis.
La jeune femme écarquilla les yeux avec un air horrifié.
-Vous voulez dire que vous risquez de mourir ?
-Dans le pire des cas, oui. Ce qui est certain c’est que si je survis, je porterais les séquelles de ces deux derniers jours pendant longtemps.
-Pourquoi allez si loin ?
Enki regarda la jeune femme avec un air sincèrement surpris comme si la réponse était si évidente qu’il ne comprenait pas qu’on lui pose la question
-Dans le pire des cas, je mourrais mais j’aurais sauté des centaines de vies. Ce n’est pas une mauvaise affaire, je trouve. De plus qu’est ce que pouvais-je faire d’autre ? Faire semblant de ne rien voir alors que des gens que je peux aider meurt ?
La femme réfléchit un instant puis demanda :
-Peut-on vous aider ?
-Vous pourriez rassembler les malades que je n’ai pas encore soigné au même endroit cela me fera gagner du temps. Vos médecins ne peuvent vaincre cette maladie mais ils peuvent ralentir ces effet mettez les au boulot.
Sans l’ombre d’une hésitation, elle tourna un regard plein d’autorité vers le chef de la garde et ordonna :
-Allez au palais chercher du renfort.
-Mais…commença le soldat
-Pas de discutions, capitaine.

Là c'est mieux je pense. Dans la section précédente, c'était pour les questions plus techniques et générales sur l'écriture

ok merci

Salut,

je commence par les petites erreurs:

- les mains appliquées
- dans ses veines
- quand il eut
- le visage baigné
- dans ses bras
- ses environs
- ne fusse que
- ce que la brume matinale lui cachait : il devait...
- ses limites
- tout ce que Enki espérait, s'était de pouvoir...
- une belle femme blonde, sans doute âgée de..., vint se planter devant lui
- calme/serein/impassible. Comment peux-tu savoir que son visage est calme et serein s'il est impassible?
- ont lamentablement échoué?
- venait juste d'être attirée
- qui gisait, à moitié mort.
- ne semblait pas se formaliser
- de la garde
- à qui tu t'adresse
- pas de discussion capitaine!

En gros beaucoup de fautes de frappe je pense, quelques fautes d'orthographe par ci par là, attention à ses/ces et surtout, aère le texte. N'aies pas peur d'user des virgules.

Sinon, ce début un peu apocalyptique à la Résident Evil est pas mal.

J'attend la suite;)

Au plaisir,

Oui quand je suis plongée dans l'écriture, je ne fais pas suffisamanent attention à l'orthographe me disant que le plus gros sera corrigé au moment de la relecture ce qui n’est pas faux, mais il en reste toujours pas mal.

Bonjour,

je viens voir ce qu'écrit le nouveau ^^

Je ne donnerai pas les fautes d'orthographe puisque BlackHeart s'en est chargé.

Pour commencer sur ce forum, si tu veux plein de commentaires sur tes écrits, n'oublie pas d'aller commenter les autres.


Finalement, toutes les fautes n'ayant pas été corrigées, je les note quand même

Citation :

agir et repoussez le mal

Un peu de concentration ^^. Deux verbes de suite liés par "et", et tu en mets un à l'infinitif et l'autre au présent... "repousser"

Citation :

L’enfant était encore faible

répétition de "l'enfant" avec la phrase précédente. Tu pourrais mettre "le petit" ou quelque chose comme ça.

Citation :

les premiers rayons de l’aube éclairait

éclairaient

Balckheart a fait une petite erreur dans sa correction

Citation :

tout ce que Enki espérait, s'était de pouvoir...

c'était

Citation :

Enki se força donc à ne plus y penser

comme on sait bien de qui tu parles, il est inutile de répéter le prénom, "il" suffit amplement.


Une dizaine de chevaux à quelle allure? Parce que s'ils trottent ou galopent, ça fait vraiment beaucoup de bruit. Peut-être pourrais-tu insister là-dessus pour renforcer l'opposition avec le silence précédent et l'impression de rupture et de soudaineté.

Citation :

Même si celle-ci ne sembla pas se formaliser de ce comportement, ce ne fut pas le cas de tout le monde. Tout particulièrement l’un des hommes qui l’escortait – apparemment le chef de la gardes- paraissait tout spécialement remonté. Et l’irritation qui déformait ses traits semblaient s’être imprimée à jamais sur son visage.

garde
Je trouve ce passage moins bon que le reste du texte. Je pense que tu devrais le retravailler.

Citation :

Le chef de la garde l’air furibond s’apprêta à répondre

plutôt "à poursuivre" qu'à répondre puisque il es tlui-même le dernier à avoir parlé, Enki l'ayant ignoré.



Je dois m'arrêter là (je sais, c'est peu mais je manque de temps). Je reviendrai lire la suite. En tout cas, du peu que j'ai lui, j'aime bien ton style ^^.

Quant à mes remarques, c'est mon avis personnel, bien sûr, tu en fais ce que tu veux.

Merci beaucoup, ça m'aide. Je vais voir si je ne trouve pas quelqu'un pour me corriger tout cela. Apparament mes relectures ne sont pas sufisante.

Et je trouve deja cela plutôt complet comme critique pour la partie que tu as commenté en tout cas.

Je vais essayer de lire et de commenté un texte ce week-end

Un début intéressant !

correction des fautes

Spoiler:

Comme l'a souligné Barla il y a beaucoup de répétitions !

Merci.

Pour ce qui est des répétitions qui m'aurait échappé c'est ce qui m'inquiète le plus. Barla en as relevé deux donc si vous en repérer d’autre, n'hésitez pas à me le signaler.

Ce serait vraiment trop long à tout noter ! Je me sers d'un logiciel (Antidote), mais malheureusement je ne peux pas copier le texte avec tous les sur-lignages.

Voici un exemple, dans le premier paragraphe tu utilises les mots : visage, enfant et mère.

Dans cette phrase tu les répètes : Le visage baigné de larmes la mère prit son enfant dans ses bras.

Tu pourrais remplacer par : Les joues baignées de larmes, la femme prit son petit dans ses bras.