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 oublie d'un genre : le témoignage

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MessageSujet: oublie d'un genre : le témoignage   oublie d'un genre : le témoignage Icon_minitimeSam 12 Mar 2011 - 7:54

le témoignage est pour moi proche de l'article de jouranl ou plutot du journal intime
c'est en tout cas à l'origine la réponse a une amie.
cette amie me sait alcoolique et à lu dans science et avenir un article sur le bacloféne comme nouveau traitement
c'est donc ma réponse
pourquoi la publier
j'ai la naiveté de croire qu'elle peut être utile a quelqu'un
l'alccolisme est une maladie courrante, mais peu de malde parle de leur maladie.
pace que jeune on joue avec des problemes en coyant la solution facile
et qu'au final j'ai déccouvert, bien malgres moi, la psychiatrie
ainsi cet écris pourrait s'intituler psy en vrac
que je suis naturellement à disposition pour toutes questions


---------------------------------------------------------
Bonjour Patricia

dans l'histoire du baclofène, par hasard, il se trouve que j'ai bien suivie l'histoire.

il y a peu prés deux ans, à la sortie du livre d’Olivier Ameisen, le Monde a sortie un article de présentation de ses essais que j'ai mis sur le site (le forum des bipotes)
il y eu peu de réactions, l’administrateur du site est hostile à ce médicament, mais il n'est pas médecin.
Mais j'ai fait un sevrage peu de temps après cet article et je suis tombée sur un psy clinicien qui m'a mis sous baclofène.
il m'a bien préciser les conditions de cet essais et de la grande patauge sur les dosages à prescrire et sur le manque d'essais en laboratoire concernant l’alcool.
Du reste quand ma psy perso a repris le traitement elle a poussée une gueulande (désolée, il n'y a pas d'autres mots) concernant l'importance de la volontée sur l'abstinence et que, donc, un traitement au baclofène ne devais pas m'empêcher de faire un effort.
Cependant elle a pris toutes les notes médicales sur le sujet et a continuer la prescription.
Les deux médecins se connaissant bien, il y a eu communication des résultats.

les résultats ont été les suivant :
je n'ais pas connu de dépression post cure, mais je commence à connaitre les cycles du sevrage et j'étais dans un moment de retour de pas mal d'activités.
J’ai tenu six moi, record absolue
je me suis effondrée suite à une banale querelle de couple
j'avais cessé le baclafone depuis quelques mois, l'article de sciences et avenir, précisément lu (j'avais acheté le journal, par hasard) m'incite à reprendre le traitement.

Pour moi la question est :
Est ce que le baclofène limite les dégâts ?
Peut être.

Ma situation actuelle est la suivante par rapport à l'alcool, j'ai fait un nouveau sevrage de 20 j en clinique en janvier. C’est cours, mais je vais tous les six mois en clinique. Personnellement je me suis habituée à la situation, mais il semble que je sois la seule.
Mes psy aimerait que j'économise sur la sécu
mon mari n'aime pas me voir en clinique, il ne m'aime pas voir rechuter, comme il n'aime pas les vacances sous la pluie. Bref c'est parfois la rame de gérer et mes problèmes d'alcool et mes problèmes de couple.

Ma psy, que j'ai pris il y a deux ans, sur conseil de l’hopital Albert Chenevier à Créteil (je ne suis pas de leur ressort administratif, ils ne peuvent me suivre directement) m'a immédiatement après ma sortie de janvier orienter vers une psychothérapie cognitive de groupe fait par l'hôpital de Corentin celton. C’est le seul poste à paris qui conserve cette thérapie, le poste à Ste Anne a été supprimé. la thérapie en pratique étant réalisée à Vanves, je fais deux heures de transport aller, deux heures retours.
Pour le moment j'ai vu le médecin psychiatre et une psychologue. Je leur dois de nouveau de jouer au Titanic.les psychologues ne gérant pas tous les mêmes modules de discussion, pour la psychothérapie de groupe sur l’alcool, j’ai un autre rendez vous avec une autre psychologue.
Une heure pour résumer 46 ans
des questions a la hache, dans le tas, sans écouter les réponses, concernant la douleur de mon mari, si j'ai tous fais pour me faire aimer dans la vie etc....
Je ressors avec un paquet d'épine dans la gorge à chaque fois.
Mais Titanic pour Titanic, je considère maintenant que ma thérapie je me l'a gaverais jusqu'au bout.

Une chose est certaine sur concernant l'article de science et avenir.
le monde médical nage concernant l'alcoolisme.
Mais il n'existe pas un réseau de confrontation d'informations, ni un grand effort de le créer.
Ma psychologue m'a envoyé pourtant, il y a trois ans, a une institution spécialisée, l'élan retrouvée.
j'ai été soigné avec de l'aotal (inefficace) (pas d'essais sur le rivial) équanil et valium comme anxiolytique.

Pour ma psy actuelle, l'équanil est surtout a éviter, le valium aussi.

J’ai arreté l'élan, il ont planté mon dossier de la mdph, en réalité, ils sont blasés.

J’ai été conduite à Nation dans un autre centre de soin spécialisée, j'ai arrêté, mon médecin m'étant ma révolte banlieusarde sur le compte de l'alcool alors que je suivais mon sevrage.

mon jugement final donc :
les médecins sont perdus mais n'ont ni la prise de temps, ni la volonté de se concerter.
Chaque nouveau médecin est un bis repétita d'une histoire que je vais finir par radoter
donc ils ne savent pas soigner l’alcoolisme, et, en vérité, même dans des pools spécialisés, ils s'intéressent peu au malade. Ils sont trop centrés sur le produit, pas sur la personne.

Un psy m'a conseillé d'écrire, je lui dois l'écriture
la psychologue de corentin celton se moque de mes écrits, elle n'est pas la seule.
Elle est sourde
et moi je deviens teigneuse

je ne vois devant tous ces psy en vrac que maladresse et manque d'intérêts véritable.

Leur chance, est que le malade alcoolique se tait
l'entourage se tait
nous cachons une maladie honteuse, presque comme un sida.
Ce silence permet une indifférence du monde médical et de la société toute entière qui nous rejette.

face a cela, en créant un blog sur médiapart, parlant d'alcool, je me bats avec mes petites armes, bien ridicule (du reste, a bien pensée je vais mettre cette réponse dans se blog)
je rêve cependant d'une grande manifestation qui lève le silence et souligne l'impasse ou nous sommes.
Que l'on rappelle que Gainsbourg, Duras, Pollock, apollinaire, sati etc la liste des artistes alcooliques est très nombreuse et en conséquence nous ne constituons pas qu’une nuisance pour la société ( même si je sais la douleur des enfants, il se trouve que dans mes amies, les plus farouches, les plus sévères, l’un de leurs pères ou mères étaient atteintes)( je n’ai pas d’enfant)

A mon avis nous gérons surtout un gros problème émotionnelle et nous pouvons nous lobotiser nous même.(la thérapie de Corentin celton est censé me rééduquer émotionnellement)

Voila, je suis fatiguée de tant de mots.
Concernant la présentation de ton book je te réponds d'ici peu.

Amitiés, Anne.

ps : Albert chenevrier, hopital psychiatrique a creteil possede un centre de recherhce sur les bipolaires, maladie qui serait a l'origine de mes soucis.
le forum des bipotes est un forum internaute pour les bipolaire et leur famille.
l 'hopital de corentin celton possede une module de therapie congitive emotionnelle, une sorte de réeducation emotionnelle, pour ne pas se fourvoyer face à certains types de sitaution.
il existe un lien entre bipolaire et alccol, car de façon general il existe un lien entre addiction et bipolaire.
on peut resumer un comportement addictif comme une tentative de soin personnel face à un dysfonctionnement interne, les bipolaire souffre de phases dépressives à repetition, de façons variées, l'alccol surgirait face à ces periodes. en tres gros.


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